L’Australie est souvent synonyme pour nous de deux animaux emblématiques : le kangourou et le koala. Mais ce dernier a vu sa population diminuer de 90% en moins de 15 ans.
En cause ? L’homme, une fois encore, avec l’urbanisation et la déforestation. Les routes se multiplient ainsi que les lotissements, qui s’étendent au détriment de la forêt et donc des petits marsupiaux.
Les koalas (Phascolarctos cinereus) étaient à l’origine très répandus en Australie. Ils ont déjà failli disparaitre à cause de leur fourrure laineuse marron-gris argenté, qui compte 55 poils par mm², avant d’être réintroduits. Mais les koalas exigent des conditions très spécifiques. Un espace adapté comporte principalement, mais pas seulement, des espèces d’eucalyptus, un sol adapté ainsi que suffisamment de précipitations.
La taille des populations de koalas est directement liée à celle des espaces vitaux, au nombre et à la densité d’espèces d’eucalyptus pertinentes pour leur alimentation. Si un espace vital se réduit ou est parcellisé, sa capacité porteuse en est réduite proportionnellement à sa superficie. Fréquemment, dans les zones soumises à la déforestation, les koalas vivent dans un environnement de type steppique aux arbres plutôt isolés. Dans ce cas, les territoires sont plus grands, seule manière de s’assurer un nombre suffisant d’arbres destinés à l’alimentation. Mais il est également courant de les retrouver aussi dans les espaces verts plantés d’eucalyptus dans les villes, qui ne sont néanmoins pas des espaces vitaux adaptés. Les animaux sont alors le plus souvent victimes des automobiles, des chiens et autres dangers liés à l’Homme.
Aujourd’hui les populations les plus importantes se trouvent le long de la côte orientale de l’Australie ainsi que dans certaines régions de l’arrière-pays, où suffisamment d’arbres sont disponibles pour leur alimentation. Face à un habitat naturel qui rétrécit comme peau de chagrin, le koala se réfugie dans des exploitations forestières, monocultures, d’Eucalyptus, mais cet abri n’en est pas un car l’abbateuse y règne en maître.
L’abbateuse me direz-vous ? Il s’agit d’un engin prisé par l’industrie du bois pour exploiter les plantations en Australie. Infatigable, elle coupe 1000 arbres/jour. Il lui suffit de quelques secondes pour couper et débrancher un arbre, les grumes collectées étant exportées vers les usines à papier de la Chine et du Japon. Mais les abbateuses ne font pas de sentiments et réservent un sort funeste aux koalas. Peu soucieux du cas de l’animal, les exploitants tronçonnent les branches où bloqués par leur lenteur, les koalas restent agrippés et se font happer par les lames des monstres mécaniques.
Les exploitants des plantations contactent rarement les secours pour sauver les marsupiaux, simplement blessés, car ils ne souhaitent pas être associés avec des images de koalas tués ou blessés. Ils préfèrent exhiber la certification FSC de leurs plantations industrielles pour »gestion forestière responsable ». Les employés des plantations, ne parvenant plus à supporter le spectacle cruel de koalas blessés ou tués, ont fini par alerter les médias.
Plusieurs associations et élus écologistes plaident pour la mise en place d’une législation plus stricte en faveur de la protection du koala. Pour ce faire, l’association « Animals australia » a lancé une campagne de sensibilisation et appelle à faire part directement au gouvernement Australien de son inquiétude, via un formulaire en ligne. La Fondation australienne pour le koala rappelle pour sa part que ces exploitations servent à l’industrie du papier, et préconise ainsi de privilégier le papier recyclé…
Source : notre planète info via Nature Alerte
ET CE N’EST PAS TOUT ! Les périodes de sécheresses et de chaleur extrême que connaît l’Australie contribuent également à sa disparition :
L’espèce pourrait s’éteindre si rien n’est fait « en urgence » pour planter des arbres le protégeant de la canicule et des eucalyptus dont il se nourrit.
Mathew Crowther, de l’université de Sydney, a suivi 40 koalas grâce à un système de positionnement par GPS. Pendant pendant trois ans, l’équipe a suivi les mouvements des animaux autour de Gunnedah, à l’est de l’Australie, afin d’étudier leur habitat et leur alimentation, explique l’Université sur son site.
Via et article complet sur les brindherbes
tout sera bousiller sur la planète,pour le profit comme toujours…ça me lasse d’amertume d’être témoin de tout ce gâchis.
n’oublier pas de le transmettre pour qu’ils payent..un jour,ces génocidaires de l’espèce terrestre vivante, à poil,à écaille,à plume,à peau…transmettez,car nous le savons!
quand je dis qu’il faut arrêtez de faire des momes, non seulement notre espèce n’est plus en danger (en terme numéraire j’entends) mais plus on est pus de place il faut et ça se fait forcement au dépends de TOUTE les autre espèces vivantes
ba moi jais décider depuis fort longtemps de vivre seul et jais aucunement l’intention de faire des mômes en plus les nanas baaa y’en à plus !! sont toutes des quiches ou sont prises
je sait ce que vous ressentez moi aussi je ressent du dégout de la rancoeur fasse à cette cruauté
mais ne perdez pas espoir ce monde là ne va pas durer bien longtemps
nous ne sommes pas seul dans l’univers c’est moi qui vous le dit parole d’un sage
nous traversons une sombre période seulement temporaire
les traitres de l’humanité quand à eux seul les dieux déciderons de leurs sort c’est pas à nous de nous en chargé
donc n’ayez craintes
je rajoute que les traitres n’ont aucun amour dans leurs coeurs ils ne savent que tuer tuer tuer et s’empiffrer de pognon toujours et encore avec leurs menssonges
moi je vous le dit l’amour vaincra tôt ou tard !! car c’est la seul chôse qu’il n’aurons jamais de nous
jamais jamais !! l’amour est nôtre force la plus puissante servez vous en répandez là autour de vous
des « sages » disaientt il y a quelque siècle qu’il pouvait tuernotre corps mais qu’ils ne tueront jamais notre esprit..
Aujourd’hui plus que jamais préservons notre esprit pour que la vie perdure.
merde . plein le cul de lire des choses comme ça . l’homme est vraiment un virus mortel pour notre planète . il faut vite un antidote radical .
pas beau….pas beau…. j’ai 60 ans …à l’âge de 8 ans des milliers de mésanges longues queues venaient se poser dans les saules au bord de l’allier…. elles se comptent sur les dix doigts des mains à l’heure actuelle….
mais à par cela : tout va très bien…..tout va très bien…..madame la marquise…. tout va très bien
quelle importance…
du moment que je puisse regarder TF1 dans mon salon surchauffé avachi dans mon canapé en bouffant mon mc do,de rouler en 4×4, de m’acheter la dernière cochonnerie à la mode…
tout peut crever.de toute façon! ça sert à quoi un koala?
ta oublier facebook et call of duty xD
ah oui pi youtube et d’autres ….
Je ne sais plus si on en avait parler :
Le ministère de l’environnement et des forêts indien vient de décider que les dauphins sont des “personnes non humaines”. A ce titre, ils ne doivent pas être maintenus captifs pour le seul plaisir des humains, aussi la construction des delphinariums est-elle désormais interdite dans le pays.
http://www.goodplanet.info/debat/2013/08/08/les-dauphins-reconnus-comme-personnes-non-humaines/
Si vous avez trouvé un animal sauvage en détresse, il faut appeler le plus rapidement possible le centre de sauvegarde le plus proche de chez vous.
Vous trouverez, ci-dessous, la liste des départements possédant au moins un centre de sauvegarde. Cliquez sur le numéro du département pour faire apparaitre, sur la droite, le ou les centres du département choisi.
http://www.hegalaldia.org/index.php/fr/autres-centre#dept87
A rajouter ce centre pour la Lorraine
http://csfl.over-blog.com/
cela me rappelle un com sur la disparition des orang outan à cause des champs d’huile de palme, ou un ME mettait un lien vers un site qui disait que c’était pas trop grave!
:(:(:(:(:(
c’est triste mais comme le sous-entend dodolanature, tout le monde s’en fout !