oui ce qui montre bien la connerie ambiante…..ils attendent de ne plus avoir d’argent pour moins consommer……sans espoir j’vous dis…….PEUPLE DE MEEEEEEEEEEEEEEEEERDE….désolé….
C’est vrai ! Même si toutes les nations sont plus ou moins merdiques, la France est dans le palmarès des plus merdiques.
En fait on a gardé tout le côté vieux jeu sclérosé de notre nation et en même temps on adopte la religion ultra-libérale des Etats-Unis.
Ca fait un sacré cocktail pour notre peuple français ! Pas sûr qu’il tienne le coup..
Le côté vieux jeu, c’est quoi? Si c’est comme j’ai fait le 1er Avril, aller chercher des arbustes dans les bois avec le paternel (qui ne pourra bientôt plus marcher) qui les travaillera pour en faire des manches à outils de jardinage, ceci au lieu d’aller en chercher pour 10 E pièce dans une jardinerie (je précise que le problème n’est même pas financier), si c’est comme je le rencontre souvent se plaindre de charges élevées alors que les gens ne sont plus capables de passer un coup de balai devant leur porte mais que par ailleurs ils ont le dernier grand écran (on les a bien lobotomisés)alors oui continuons à faire confiance à nos dirigeants sponsorisés par des financiers qui eux n’en ont rien à foutre de préférer des français à des chinois pour produire de la merde. Le monde actuel se cassera la gueule, on réfléchira un peu et on en reviendra à des valeurs simples (on aura peut-être aussi au passage un peu mal aux dents…)
il faut relativiser à la baisse les chiffres annoncés du fait des augmentations de prix .
ex : le +1.8% de alimentation masque une baisse en volume des achats
le pire reste à venir , les dérèglements climatiques ont gravement touché les céréaliers et , des margoulins ont achetés la quasi totalités des stocks . ils contrôlent les prix en restreignant les ventes .
les effets de cette magouilles ne vont pas tarder à se faire sentir . les classes les plus défavorisées n’aurons plus les moyens de s’alimenter et les classes au dessus vont sensiblement restreindre leur consommation ; vieux réflexe de temps de crise , ils vont passer en mode économie .
le titre : « La semaine sanglante » et ça commence comme ça
«
Sauf des mouchards et des gendarmes,
On ne voit plus par les chemins,
Que des vieillards tristes en larmes,
Des veuves et des orphelins.
Paris suinte la misère,
Les heureux mêmes sont tremblants,
La mode est aux conseils de guerre,
Et les pavés sont tout sanglants.
Oui mais, ça branle dans le manche,
Les mauvais jours finiront,
Et gare à la revanche,
Quand tous les pauvres s’y mettront!
Je me fais l’avocate du diable et aussi des humains et des animaux!
Ce n’est pas plus mal que les gens achètent moins de viande! En manger 1 x par semaine suffit!
De toute façon, la viande des animaux d’élevages intensifs est inflammatoire et cancérigène!
Ça fera moins de gens malades et moins d’animaux torturés!
Et ça obligera peut-être les gens à prendre de meilleures habitudes alimentaires.
+15000, un peu de viande fournie par des animaux correctement nourris et ayant bien vécu+ des légumes et fruits locaux et personnels + un peu d’autre chose = pas plus cher que la bouffe industrielle + fruits exotiques et toxiques (8 lettres, pas mieux) + viande dégueu à tous les repas
Les femmes enceintes devraient faire attention aux conserves alimentaires métalliques et aux tickets de caisse
Bisphénol A : la course aux substituts doit s’accélérer
Tout juste confirmés par l’Agence nationale de sécurité sanitaire (Anses), les risques liés au bisphénol A imposent aux industriels de chercher des alternatives. Aux Etats-Unis, l’exemple de sociétés pionnières indique que c’est possible… mais plus cher.
Les femmes enceintes devraient faire attention aux conserves alimentaires métalliques et aux tickets de caisse. Ce sont, d’après l’évaluation définitive présentée par l’agence nationale de sécurité sanitaire (Anses) le 9 avril 2013, deux des principaux objets contenant du bisphénol A (BPA) en quantités suffisantes pour entraîner un risque potentiel de cancer mammaire, non chez les femmes elles-mêmes, mais pour l’enfant à naître (garçons et filles confondus). Ce risque potentiel et les autres conclusions de l’étude sur le perturbateur endocrinien amènent l’agence à une conclusion simple : « il y a une nécessité de réduire l’exposition au BPA », ainsi que le résume son président Marc Mortureux. En plus de légitimer scientifiquement l’interdiction du BPA votée par les parlementaires français fin 2012 les résultats mettent une pression particulière sur les fabricants d’emballages alimentaires. Car sur la population « à risque » étudiée, les femmes enceintes, 84% de l’exposition totale au BPA provient des aliments, avec une prédominance forte (50%) des aliments en conserve. Réagissant à l’étude, la ministre de l’écologie Delphine Batho a annoncé que dans un premier temps la France demanderait l’interdiction au niveau européen du BPA dans les tickets thermiques (tickets de caisse et reçus de carte bancaire).
Les effets portent sur la descendance
L’étude de l’Anses a déployé pendant trois ans une approche « originale et intégrative », selon son directeur, consistant à estimer les expositions réelles de la population au BPA en s’intéressant simultanément aux trois principaux moyens d’exposition : alimentation, voie cutanée et inhalation. Quant à l’évaluation des risques, elle s’est concentrée sur les femmes enceintes, ce qui fait dire à l’Anses que des études additionnelles sont nécessaires, sur les autres populations sensibles (enfants et personnes vieillissantes). Verdict chez les femmes enceintes : sur les quatre effets potentiels – cerveau et comportement, appareil reproducteur féminin, métabolisme et obésité et glande mammaire , les trois premiers présentent un risque « négligeable » mais au niveau mammaire, le bisphénol A peut entraîner le développement ultérieur de tumeurs cancéreuses, chez les enfants de la femme enceinte exposée. Vu l’extrême complexité des effets étudiés, il est impossible de parler de preuve absolue, mais l’Anses table sur un niveau de confiance « modéré » (niveau 2, sur une échelle de 3) quant aux résultats, un niveau suffisant à leurs yeux pour déclencher le principe de précaution.
73 substituts, dont des « alternatives éprouvées »
En octobre, lors de l’examen au Sénat de la loi interdisant le BPA (dès janvier 2013 pour les enfants de moins de 3 ans et en janvier 2015 pour les autres emballages alimentaires), les acteurs de l’industrie avaient été très critiques : calendrier « incompatible avec la réalité industrielle », pour le syndicat d’emballages métalliques SNFBM, loi prématurée et pas réaliste pour l’Union des industries chimiques. Aujourd’hui, qu’en est-il ? « Nous avons noté une évolution sensible dans l’attitude des industriels », constate le président de l’Anses, qui regrette néanmoins le « peu d’informations fournies ». Pour y voir plus clair, l’Anses a passé en revue 73 alternatives, dans un rapport de 200 pages. Il n’y a pas un produit universel mais il existe des « alternatives éprouvées », résume Marc Mortureux… De fait, plusieurs exemples, aux Etats-Unis, montrent qu’il est possible d’abandonner le BPA, au prix d’un surcoût.
Eden Food bannit le BPA dès 1999
Arrêter le BPA, c’est ce qu’a réussi en partie le producteur d’alimentation biologique Eden Food, dès 1999. Alerté par une « recherche européenne alarmante », Eden Food raconte avoir bataillé à partir de 1997 avec ses fournisseurs de conserves avant de réussir à bannir le perturbateur endocrinien (BPA) d’une partie de ses conserves. Ces efforts ont toutefois un coût, qui s’élève à plus de 20 % (par rapport à un emballage BPA) en 2012, précise l’entreprise. Mais ils permettent à Eden Food d’être un des premièrs à faire figurer sur ses conserves de chili, riz et haricots une mention qui pourrait se révéler de plus en plus recherchée à l’avenir : « zéro Bisphénol ». Eden a aussi cherché des solutions aux conserves acides de tomates, une volonté qui fait écho à l’avis de l’Anses selon laquelle « la présence de bisphénol A est possible et d’autant plus probable que l’aliment concerné est acide ». Sur ce terrain, il y a indéniablement des complications techniques : Eden a finalement migré en 2011 un tiers de ses conserves de tomate vers des contenants en verre.
Eden Food n’est pas la seule à avoir anticipé, puisqu’en 2010, plusieurs multinationales, comme Nestlé, Heinz et General Mills (pour sa gamme bio Muir Glen) avaient annoncé l’abandon prochain des emballages au BPA aux Etats-Unis. Contactée par Novethic, Nestlé n’en dit pas plus sur ce point précis et rappelle que l’EFSA et des autorités canadiennes et australiennes « ont toutes conclu que les taux actuels de BPA utilisés dans les matériaux demballage ne posent aucun risque pour la santé des consommateurs, y compris les enfants ». Le numéro un mondial préciser tout de même qu’il prévoit de passer à un portefeuille complet d’emballages sans BPA, « quand dautres solutions sûres et appropriées existent ».
Pour revenir au sujet de départ, j’en remets une couche : avec un peu plus de jugeote, les ménages s’en sortiraient mieux. Mes voisins n’ont pas un liard en poche mais chacun a son téléphone portable.
Par expérience, manger bio et végétarien ne coûte pas plus cher qu’une alimentation ordinaire et bon marché.
Bon bah voilà, comme prévu la France va sombrer. La chute de la consommation c’est un très très mauvais signe !
oui,il est temps de se mettre au vert.
oui ce qui montre bien la connerie ambiante…..ils attendent de ne plus avoir d’argent pour moins consommer……sans espoir j’vous dis…….PEUPLE DE MEEEEEEEEEEEEEEEEERDE….désolé….
C’est vrai ! Même si toutes les nations sont plus ou moins merdiques, la France est dans le palmarès des plus merdiques.
En fait on a gardé tout le côté vieux jeu sclérosé de notre nation et en même temps on adopte la religion ultra-libérale des Etats-Unis.
Ca fait un sacré cocktail pour notre peuple français ! Pas sûr qu’il tienne le coup..
Le côté vieux jeu, c’est quoi? Si c’est comme j’ai fait le 1er Avril, aller chercher des arbustes dans les bois avec le paternel (qui ne pourra bientôt plus marcher) qui les travaillera pour en faire des manches à outils de jardinage, ceci au lieu d’aller en chercher pour 10 E pièce dans une jardinerie (je précise que le problème n’est même pas financier), si c’est comme je le rencontre souvent se plaindre de charges élevées alors que les gens ne sont plus capables de passer un coup de balai devant leur porte mais que par ailleurs ils ont le dernier grand écran (on les a bien lobotomisés)alors oui continuons à faire confiance à nos dirigeants sponsorisés par des financiers qui eux n’en ont rien à foutre de préférer des français à des chinois pour produire de la merde. Le monde actuel se cassera la gueule, on réfléchira un peu et on en reviendra à des valeurs simples (on aura peut-être aussi au passage un peu mal aux dents…)
il faut relativiser à la baisse les chiffres annoncés du fait des augmentations de prix .
ex : le +1.8% de alimentation masque une baisse en volume des achats
le pire reste à venir , les dérèglements climatiques ont gravement touché les céréaliers et , des margoulins ont achetés la quasi totalités des stocks . ils contrôlent les prix en restreignant les ventes .
les effets de cette magouilles ne vont pas tarder à se faire sentir . les classes les plus défavorisées n’aurons plus les moyens de s’alimenter et les classes au dessus vont sensiblement restreindre leur consommation ; vieux réflexe de temps de crise , ils vont passer en mode économie .
le titre : « La semaine sanglante » et ça commence comme ça
«
Sauf des mouchards et des gendarmes,
On ne voit plus par les chemins,
Que des vieillards tristes en larmes,
Des veuves et des orphelins.
Paris suinte la misère,
Les heureux mêmes sont tremblants,
La mode est aux conseils de guerre,
Et les pavés sont tout sanglants.
Oui mais, ça branle dans le manche,
Les mauvais jours finiront,
Et gare à la revanche,
Quand tous les pauvres s’y mettront!
»
aperçu de l’évolution de la redistribution des revenus impulsée par sarko entre 2008-2010
http://zenheberg.tk/images/revenu-2008-2010-1.png
et c’est de pire en pire !
****** ALERTE NOURRITURE !!!!!! ******
TRAITEMENT DES SAUMONS D’ÉLEVAGE AU DIFLUBENZURON!!
GRAND DANGER POUR LES CONSOMMATEURS ET LA VIE MARINE
http://www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&v=oHXH3VEKhig
Je me fais l’avocate du diable et aussi des humains et des animaux!
Ce n’est pas plus mal que les gens achètent moins de viande! En manger 1 x par semaine suffit!
De toute façon, la viande des animaux d’élevages intensifs est inflammatoire et cancérigène!
Ça fera moins de gens malades et moins d’animaux torturés!
Et ça obligera peut-être les gens à prendre de meilleures habitudes alimentaires.
Beau dessin à afficher !!!
http://i2.wp.com/lesbrindherbes.org/wp-content/uploads/2013/04/danger-monsanto-roundup.jpg?fit=332%2C9999
+15000, un peu de viande fournie par des animaux correctement nourris et ayant bien vécu+ des légumes et fruits locaux et personnels + un peu d’autre chose = pas plus cher que la bouffe industrielle + fruits exotiques et toxiques (8 lettres, pas mieux) + viande dégueu à tous les repas
Je préfère m’abstenir en étant végétarienne ! Je ne le regrette pas , bien au contraire !
A propos de consommation encore…
Les femmes enceintes devraient faire attention aux conserves alimentaires métalliques et aux tickets de caisse
Bisphénol A : la course aux substituts doit s’accélérer
Tout juste confirmés par l’Agence nationale de sécurité sanitaire (Anses), les risques liés au bisphénol A imposent aux industriels de chercher des alternatives. Aux Etats-Unis, l’exemple de sociétés pionnières indique que c’est possible… mais plus cher.
Les femmes enceintes devraient faire attention aux conserves alimentaires métalliques et aux tickets de caisse. Ce sont, d’après l’évaluation définitive présentée par l’agence nationale de sécurité sanitaire (Anses) le 9 avril 2013, deux des principaux objets contenant du bisphénol A (BPA) en quantités suffisantes pour entraîner un risque potentiel de cancer mammaire, non chez les femmes elles-mêmes, mais pour l’enfant à naître (garçons et filles confondus). Ce risque potentiel et les autres conclusions de l’étude sur le perturbateur endocrinien amènent l’agence à une conclusion simple : « il y a une nécessité de réduire l’exposition au BPA », ainsi que le résume son président Marc Mortureux. En plus de légitimer scientifiquement l’interdiction du BPA votée par les parlementaires français fin 2012 les résultats mettent une pression particulière sur les fabricants d’emballages alimentaires. Car sur la population « à risque » étudiée, les femmes enceintes, 84% de l’exposition totale au BPA provient des aliments, avec une prédominance forte (50%) des aliments en conserve. Réagissant à l’étude, la ministre de l’écologie Delphine Batho a annoncé que dans un premier temps la France demanderait l’interdiction au niveau européen du BPA dans les tickets thermiques (tickets de caisse et reçus de carte bancaire).
Les effets portent sur la descendance
L’étude de l’Anses a déployé pendant trois ans une approche « originale et intégrative », selon son directeur, consistant à estimer les expositions réelles de la population au BPA en s’intéressant simultanément aux trois principaux moyens d’exposition : alimentation, voie cutanée et inhalation. Quant à l’évaluation des risques, elle s’est concentrée sur les femmes enceintes, ce qui fait dire à l’Anses que des études additionnelles sont nécessaires, sur les autres populations sensibles (enfants et personnes vieillissantes). Verdict chez les femmes enceintes : sur les quatre effets potentiels – cerveau et comportement, appareil reproducteur féminin, métabolisme et obésité et glande mammaire , les trois premiers présentent un risque « négligeable » mais au niveau mammaire, le bisphénol A peut entraîner le développement ultérieur de tumeurs cancéreuses, chez les enfants de la femme enceinte exposée. Vu l’extrême complexité des effets étudiés, il est impossible de parler de preuve absolue, mais l’Anses table sur un niveau de confiance « modéré » (niveau 2, sur une échelle de 3) quant aux résultats, un niveau suffisant à leurs yeux pour déclencher le principe de précaution.
73 substituts, dont des « alternatives éprouvées »
En octobre, lors de l’examen au Sénat de la loi interdisant le BPA (dès janvier 2013 pour les enfants de moins de 3 ans et en janvier 2015 pour les autres emballages alimentaires), les acteurs de l’industrie avaient été très critiques : calendrier « incompatible avec la réalité industrielle », pour le syndicat d’emballages métalliques SNFBM, loi prématurée et pas réaliste pour l’Union des industries chimiques. Aujourd’hui, qu’en est-il ? « Nous avons noté une évolution sensible dans l’attitude des industriels », constate le président de l’Anses, qui regrette néanmoins le « peu d’informations fournies ». Pour y voir plus clair, l’Anses a passé en revue 73 alternatives, dans un rapport de 200 pages. Il n’y a pas un produit universel mais il existe des « alternatives éprouvées », résume Marc Mortureux… De fait, plusieurs exemples, aux Etats-Unis, montrent qu’il est possible d’abandonner le BPA, au prix d’un surcoût.
Eden Food bannit le BPA dès 1999
Arrêter le BPA, c’est ce qu’a réussi en partie le producteur d’alimentation biologique Eden Food, dès 1999. Alerté par une « recherche européenne alarmante », Eden Food raconte avoir bataillé à partir de 1997 avec ses fournisseurs de conserves avant de réussir à bannir le perturbateur endocrinien (BPA) d’une partie de ses conserves. Ces efforts ont toutefois un coût, qui s’élève à plus de 20 % (par rapport à un emballage BPA) en 2012, précise l’entreprise. Mais ils permettent à Eden Food d’être un des premièrs à faire figurer sur ses conserves de chili, riz et haricots une mention qui pourrait se révéler de plus en plus recherchée à l’avenir : « zéro Bisphénol ». Eden a aussi cherché des solutions aux conserves acides de tomates, une volonté qui fait écho à l’avis de l’Anses selon laquelle « la présence de bisphénol A est possible et d’autant plus probable que l’aliment concerné est acide ». Sur ce terrain, il y a indéniablement des complications techniques : Eden a finalement migré en 2011 un tiers de ses conserves de tomate vers des contenants en verre.
Eden Food n’est pas la seule à avoir anticipé, puisqu’en 2010, plusieurs multinationales, comme Nestlé, Heinz et General Mills (pour sa gamme bio Muir Glen) avaient annoncé l’abandon prochain des emballages au BPA aux Etats-Unis. Contactée par Novethic, Nestlé n’en dit pas plus sur ce point précis et rappelle que l’EFSA et des autorités canadiennes et australiennes « ont toutes conclu que les taux actuels de BPA utilisés dans les matériaux demballage ne posent aucun risque pour la santé des consommateurs, y compris les enfants ». Le numéro un mondial préciser tout de même qu’il prévoit de passer à un portefeuille complet d’emballages sans BPA, « quand dautres solutions sûres et appropriées existent ».
Thibault Lescuyer
Ben pas de quoi s’étonner , si ce n’est que je m’étonne que ça ne soit pas arrivé plus tôt et ce n’est pas fini !!!
Pour revenir au sujet de départ, j’en remets une couche : avec un peu plus de jugeote, les ménages s’en sortiraient mieux. Mes voisins n’ont pas un liard en poche mais chacun a son téléphone portable.
Par expérience, manger bio et végétarien ne coûte pas plus cher qu’une alimentation ordinaire et bon marché.
Pourtant les prix ne sont pas les mêmes et je n’en ai pas les moyens ! 🙁