L’humanité à créé sans intention de le faire le poisson précuit et les aliments qui font péter l’émail des dents avant même que le-dit aliment ne soit ingurgité! C’est beau le progrès quand même…
Des thons rouges pêchés en Californie quelques mois après l’accident nucléaire de Fukushima ont peut-être transporté des matériaux radioactifs du Japon vers la côte pacifique des Etats-Unis, selon une étude américaine publiée lundi en ligne par la revue Proceedings of the National Academy of Sciences« .
Les poissons ont été contaminés alors qu’ils se trouvaient dans les eaux japonaises, avant de migrer beaucoup plus à l’est. Les chercheurs estiment cependant que ce taux de radioactivité ne présente aucun risque pour la santé des consommateurs car les niveaux observés sont en-dessous de la limite de sécurité japonaise et inférieurs aux niveaux d’autres isotopes naturellement présents dans le thon.
« Ces résultats indiquent que le thon rouge du Pacifique peut transporter rapidement des radionucléides d’un point au Japon vers des écorégions éloignées et démontrent l’importance des animaux migrateurs en tant que vecteurs de transport », expliquent les auteurs de l’étude, Daniel Madigan de l’Université de Stanford en Californie et Zofia Baumann et Nicholas Fisher de l’Université Stony Brook de New York.
Les chercheurs ont examiné les tissus musculaires de quinze thons rouges pêchés au large de San Diego en août 2011, quelques mois à peine après l’accident de Fukushima. Il s’agissait de poissons dont les parents auraient frayé dans les eaux japonaises avant de retourner vers les zones où ils se nourrissent, dans l’est du Pacifique. En comparant ces quinze thons aux thons rouges pêchés dans la même zone avant la catastrophe de Fukushima et aux thons à nageoires jaunes, qui restent dans l’est du Pacifique, pêchés avant ou depuis l’accident nucléaire, les chercheurs ont trouvé des taux légèrement plus élevés de césium-134 et césium-137.
Le césium 137 est présent dans l’eau de mer en raison des essais nucléaires réalisés par différents pays. Mais la présence de césium 134, dont la durée de vie est très courte, deux ans, est probablement liée à l’accident de la centrale nucléaire japonaise. Les mesures de ces deux isotopes du césium étaient dix fois plus élevées que dans les populations de thons observées avant Fukushima.
Source: lemonde.fr
Si ça pouvais les protéger un peu, ces pauvres bêtes massacrés.
Faut investir dans une compteur geinger pour mesurer le taux de radioactivité.
http://www.conrad.fr/mesure_radioactivite_c_53207_53745_53746?ns_campaign=SEM&ns_mchannel=esv&ns_source=google-adwords_b2c_OutilBrico_HMarque&ns_linkname=keywords&ns_fee=0&gclid=CLHVyqWBlrACFVMetAod31do3g
environ 300 €
sinon il y a softbank le 3eme opérateur nippon qui va commercialisé en juillet un smarphone capable de mesurer la radioactivité. http://www.01net.com/editorial/567049/au-japon-un-smartphone-pour-mesurer-la-radioactivite/
Putain de pathologie capitaliste, ils seraient même capable de te revendre les cercueils des cimetières…
Techniquement, c’est impossible mais bon…
pas envie de m’étendre sur ce gadget totalement bidon…
Génial, la preuve que la contamination planétaire de particules radioactives est dût au zanimaux.
Eliminons le problème, éliminons les zanimaux!!!!!!!
Hello,
Aucune certitude quant à la provenance de ces particules. Une première fuite à eu lieu en novembre, à la centrale de San Onofre (sud Californie), une deuxième en février maintenant la centrale est en arrêt.
La catastrophe de Fukushima sert de bouc-émissaire aux incidents qui surviennent ailleurs