Le gros faux-cul du jour: Barack Obama qui déclare que l’Europe n’a pas su réagir face à la crise et que les États-Unis étaient un exemple à suivre. En clair, enfoncer les autres, faire tourner la planche à billet le plus rapidement possible, se faire passer pour un modèle planétaire, cacher la situation réelle, etc… Bref, produire du vent et prendre les autres pour des glands!
Le président américain Barack Obama a affirmé jeudi que l’Europe souffrait toujours des conséquences de la crise financière parce qu’elle n’avait pas adopté des mesures de relance comme les Etats-Unis.
M. Obama, qui participait à une réunion de levée de fonds dans la banlieue de Seattle (Etat de Washington, nord-ouest), a reconnu que l’économie américaine subissait toujours des « vents contraires », mais restait en bien meilleur état que celle de l’Europe où certains pays sont entrés en récession.
« L’Europe est toujours dans une situation difficile, en partie parce qu’ils (ses dirigeants) n’ont pas pris les mesures décisives que nous avons prises au début de cette récession », a ajouté M. Obama.
L’un des principaux alliés européens du président américain, Nicolas Sarkozy, a été battu dimanche dernier à la présidentielle française par le socialiste François Hollande, qui souhaite renégocier le pacte de stabilité européen pour y inclure des mesures en faveur de la croissance.
M. Obama est lui-même candidat à sa réélection le 6 novembre prochain, et l’état de l’économie américaine pourrait être déterminant le jour du scrutin. Le taux de chômage officiel du pays s’établit à 8,1%, en baisse de près de deux points depuis le plus fort de la crise, mais encore loin de son niveau de début 2008 (5%).
Peu après sa prise de fonctions en janvier 2009, M. Obama avait promulgué un plan de relance de près de 800 milliards de dollars. Décrié par ses adversaires républicains qui ont dénoncé un gaspillage, ce plan a selon les démocrates permis de sauver quelque quatre millions d’emplois et empêché une réédition de la dépression des années 1930.
Source: boursorama.com
N’oublions pas que là-bas, la Présidentielle est en Novembre. Obama a un bilan à défendre …
La pauvreté n’existe pas en Amérique ^^
Bienvenue dans le nouveau Tiers-Monde de l’énergie, les Etats-Unis !
par Michael T. Klare
http://mondialisation.ca/index.php?context=va&aid=30796
Il y croit Obama, il y croit ! Dur comme son prix Nobel de la « Pax americana » 😀
Le Prix Nobel de la Paix : http://mondialisation.ca/index.php?context=va&aid=30753
par Fidel Castro Ruz
France: Le président élu laisse entrevoir des coupes budgétaires et des cadeaux aux banques
http://mondialisation.ca/index.php?context=va&aid=30791
par Kumaran Ira et Alex Lantier
Oh bein ça alors !!!
Il veut peut être qu’on lui donne quelques tonnes d’or ? pffff
tout a fait un faut cul sans etre anti américain dont le peuple n est pas en cause mais leurs pompes a frics qui nous siphonne comme des sangsues si un pays vit aux dessus de ces
moyen c est bien les état unis et les donneurs de leçons c est bien eux et leurs banques qui ce permet de donner ou pas des a des b et j en passe et nos gouvernements de moutons disent il faut servir
m hollande a dit JE ? ON jugera
Bah toute façon c’est connue,
c’est jamais la faute des ricains
c’est celle du voisin ….
puis lorsqu’ils auront plus de dette ils pourront parler …
puis fallait s’y attendre de l’oligarchie américaine un discours du genre ….
ils vont se mêler de tout, en semant le désordre et la mort…
enfin, pas très étonnant d’un pays née sur un génocide …
*Que voulez-vous commencer avec 4’000 MILLIARDS de DETTES Françaises ! (Il fut question de 1’700 Milliards…) !
*On ne va plus se relever avec de tels chiffres !
YOUTUBE- La Dette Française à 146 % du P.I.B. (Zéro HEDGE) par Pierre JOVANOVIC :
http://youtu.be/Kh3XnQcChp4
Ben en meme temps, c’est pas pour dire mais quand on voit le bilan économique de Sarkozy donc de la France ou que ce soit le bilan européen de 2012… je trouve qu’il a bien raison de se foutre de notre gueule !
Dans ce cas, l’on peut dire que oui, Obama n’a pas vraiment tord de le dire et de comparer les courbes du chômage est plutôt pertinent de sa part.
L’article semblait plutot prometteur mais il semble que vous arrivez à défendre au contraire, le point de vue inverse : à force de chercher la petite bête, vous arrivez à un résultat assez étonnant.