Varicelle et zona, le jackpot des labbos…

Triste article que voilà, pas étonnant puisqu’à plusieurs reprises j’ai pu constater que les labbos-lobbys pharmaceutiques sont plus pourris que réellement soucieux de notre santé et qu’il y a un nombre de vérités qui se devraient bien d’éclater. C’est officiel, nous sommes avant tout des clients et des patients qui s’ignorent! Vous n’avez rien? il y a surement un médicament contre cela…

Je vous conseille de plus l’article sur les molécules publié aujourd’hui, à la fin la première partie du documentaire « les médicamenteurs » vous en apprendra déjà beaucoup…


La varicelle a toujours été considérée comme une maladie infantile bénigne, sans séquelles ni complications, qui guérit sans soin en quelques jours et confère une immunité définitive. On estime que plus de 90 % des Français sont immunisés naturellement.

Or, en 2004, quelques publications médicales suggéraient que la varicelle était une maladie grave, très contagieuse, qui préoccupait les instances médicales. Au fil du temps, les nouvelles se faisaient plus alarmantes, la maladie évoluant vers des formes très sérieuses. Enfin, du jour au lendemain, la varicelle est devenue mortelle, tuant « même des enfants en bonne santé ». Et non seulement elle s’est soudain aggravée, mais les cas se sont multipliés de manière très inquiétante, malgré nos « remarquables soins de santé ». « La France est au bord de l’épidémie », apprenait-on alors.

Il est évident que ceux qui ont l’esprit mal tourné (dont je dois faire partie) ont pensé que ces rapports alarmants avaient une raison cachée d’être autant diffusés et que les laboratoires n’étaient certainement pas étrangers à ces « nouvelles angoissantes ».

La lumière s’est faite lorsqu’on nous a appris qu’un vaccin contre la varicelle allait « prochainement être disponible ». Les laboratoires venaient de « perdre » beaucoup d’argent à cause de la polémique sur le vaccin anti-Hépatite B et voyaient alors d’un très mauvais œil la disparition du BCG prônée par l’OMS. Les laboratoires savaient qu’ils devraient un jour se résigner à abandonner cette manne et voulaient se rattraper d’une façon ou d’une autre.

Un seul problème pour eux : à cette époque, des objections ont été émises à l’encontre du vaccin contre la varicelle car, d’une part, il risque de décaler l’âge de la maladie et d’augmenter l’incidence du zona, d’autre part, lorsqu’il est administré à des bien portants, des études ont montré que 2,4 % des vaccinés présentaient des formes atypiques de la varicelle dans les deux ans suivant la vaccination. Le virus initial mute et donne une maladie différente qui risque d’évoluer de façon inattendue. La revue Prescrire (n° 150-1995) reconnaissait que le dossier de présentation du vaccin Mérieux comportait des lacunes et concluait que rien ne justifiait la vaccination des sujets sains. Mais, seule, la revue Prescrire a publié ces mises en garde. Les autres journaux se sont cantonnés dans le rôle de porte-parole des laboratoires.

En ce qui concerne les immunodéprimés, comme le signalait alors The New-England Journal of Medicine (vol 325 – n° 22 – 1991), des études ont montré un taux d’environ 50 % de varicelles post-vaccinales chez des enfants leucémiques, en dépit des affirmations réitérées sur son efficacité et son innocuité. On a également constaté que le taux de rechute et de décès était plus élevé chez les vaccinés. Le vaccin est en fait, mal toléré et inefficace. « La vaccination ne semble pas utile et suffisante pour protéger les immunodéprimés », affirmait en 1995 le Dr Friedman dans le British Medical Journal.

Avant le vaccin contre le virus de la varicelle, cette maladie était considérée chez les enfants sains, dans 99,9 % des cas, comme une maladie bénigne sans aucune complication.  Toutefois, lorsqu’elle touche des adultes, elle peut engendrer de sévères complications, comme toutes les maladies infantiles qui se déclarent chez les adultes qui n’ont pas été immunisés naturellement durant leur enfance.

Or, aux États-Unis, non seulement la maladie touche des adultes, mais elle a entrainé une augmentation significative du zona car les deux maladies sont causées par des virus similaires, appartenant à la famille de l’herpès.  C’est ainsi que l’immunité naturelle des Américains contre la varicelle a disparu et la population est devenue dépendante du vaccin.

Le Dr Gary S. Goldman qui s’est longuement penché sur l’analyse de la varicelle dans le district de Los Angeles a observé une augmentation du zona dans la population depuis les recommandations de l’État pour que tous les enfants soient vaccinés contre la varicelle. D’après lui : « Si l’on éradique la varicelle par la vaccination, les cas de zona vont augmenter et toute mort évitée par le vaccin sera largement compensée par les décès de gens âgés dus au zona. Mais le Dr Goldman n’est pas le seul à avoir fait le même constat. Un groupe de chercheurs britanniques a signalé que si la varicelle peut être dangereuse pour quelques immunodéprimés, « des milliers de gens âgés risquent de mourir des complications du zona ».  Ces chercheurs du PHLS (Britain’s Public Health Laboratory Service) demandent une réévaluation  de la politique vaccinale de la varicelle.

Évidemment le laboratoire fabricant du vaccin contre la varicelle a trouvé une parade et a mis au point le Zostavax® contre le zona. Ainsi, il est certain de gagner sur les deux tableaux.

Source: sylviesimonrevelations.com via Noxmail.us

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