Se protéger des dangers des émissions radioactives grâce à l’alimentation

Face aux radiations et au nucléaire, nous ne pouvons que subir les effets désastreux, et pas besoin d’une catastrophe pour cela, le simple fait d’habiter à proximité d’une centrale est dangereux suivant certaines études sur le sujet. Voilà pourquoi, le fait de connaître quelques astuces pour lutter contre la radioactivité sont à prendre en compte, reste à savoir si les conseils qui suivent sont réellement/suffisamment efficaces… Attention tout de même, il ne s’agit pas ici de supprimer la totalité des radiations encaissées, juste de les réduire et d’en minimiser les effets.
3749166-la-radioactivit-naturelle-des-aliments-frais-af953L’exposition excessive aux radiations provient :
1) des retombées radioactives d’essais nucléaires ;
2) des accidents majeurs de centrales nucléaires, comme ceux de Three Mile Island et Tchernobyl ; (et en espérant que non celles du Japon)
3) des accidents survenus dans les usines de stérilisation et d’irradiation des aliments ;
4) des fuites radioactives mineures, non rendues publiques, provenant de petits incidents dans les centrales nucléaires ;
5) des fuites et des émissions usuelles d’appareils et produits utilisant la technologie nucléaire ;
6) des radiations provenant de techniques médicales, comme les rayons X, la fluoroscopie, la mammographie et la tomodensitométrie ;
7) de l’activité nucléaire militaire, comme les accidents d’usine fabriquant des armes nucléaires, les problèmes de stockage et les accidents de sous-marin atomiques ;
8) du radon ;
9) de la fumée de cigarette (sauf tabac bio, c’est dit dans l’article, mais n’étant pas le sujet du jour, je ne l’ai pas recopié)
Une explosion nucléaire ne constitue pas la plus grande menace
Contrairement à la croyance populaire, la plus grande menace d’exposition aux radiations n’est pas le souffle de radiations ionisantes provoqué par une explosion nucléaire. Les radiations de faible intensité, émises pendant de longues périodes, provoquent les plus grands dommages au niveau des structures cellulaires. Ces radiations de faible intensité proviennent de l’exposition répétitive aux radiations qui émanent de l’absorption de particules aériennes radioactives se déposant sur les aliments, ou de radiations en provenance de l’eau ou des sols incorporées à la structure cellulaire de l’aliment. Au final, ces radiations de faible intensité, émises pendant de longues périodes, produisent de grandes quantités de radicaux libres.
Cette production de radicaux libres provoquent des maladies dues aux radiations mortelles et contribue à l’augmentation du taux de cancers.
On peut faire quelque chose
On peut faire pas mal de choses pour minimiser les effets négatifs des radiations. En complément d’un mode de vie aussi sain que possible, il existe une alimentation spécifique pour se protéger des radiations qui préserve au mieux la santé et qui neutralise précisément les effets des radiations. Diminuer sa sensibilité en augmentant sa santé générale constitue un bon point de départ.
Principes alimentaires pour se protéger des radiations
Les groupes de population qui sont les plus sensibles aux radiations sont les personnes en mauvaise santé, les foetus, les nourrissons, les enfants en bas âge et les personnes âgées. Les personnes âgées sont plus affectées car leur système immunitaire est souvent plus faible et aussi à cause de l’accumulation des radiations tout au long de leur vie. Que l’on fasse partie d’un groupe sensible ou que l’on soit en bonne santé, la capacité à minimiser l’impact des radiations peut être grandement améliorée grâce à une alimentation et un mode de vie sains et l’incorporation dans notre régime d’aliments spéciaux connus pour optimiser la protection contre toute forme de radiations nucléaires.
Nous allons maintenant explorer l’utilisation d’aliments et de plantes qui diminuent spécifiquement les effets des radiations.
L’alimentation anti-radiations est basée sur 4 principes :
Le premier principe est leprincipe de l’absorption sélective, qui signifie principalement que si nous avons suffisamment de minéraux dans notre organisme, les cellules sont saturées en minéraux. Lorsqu’il y a saturation minérale des cellules, cela laisse moins de chance aux minéraux radioactifs d’être absorbés par le système. Par exemple, avec des minéraux tels que le calcium ou l’iode, si nous avons suffisamment de calcium ou d’iode naturels dans notre système, l’organisme ne va pas avoir
tendance à absorber du strontium-90, qui est relativement similaire au calcium, ou de l’iode-131. Si la concentration normale de minéraux est faible, alors le strontium-90 et l’iode-131 seront plus facilement absorbés. Lorsque l’un de ces minéraux radioactifs est absorbé dans un tissu, il se met à irradier immédiatement les cellules et tissus voisins. Chaque élément est attiré vers l’organe dans lequel il est utilisé normalement. Les principaux minéraux, ainsi que leurs organes-cibles peuvent être consultés sur le schéma de la page suivante. Sont aussi énumérés les minéraux sains qui empêchent les lésions cellulaires selon le principe
d’absorption sélective.
Le deuxième concept important dans la protection contre les radiations est le concept de chélation. Cela signifie qu’il existe certains aliments qui vont attirer à eux les matériaux radioactifs et vont les extraire de l’organisme et les évacuer par les intestins.
Le troisième concept consiste à maintenir dans notre organisme un niveau
élevé de nutriments antioxydants et d’enzymes qui vont annihiler les radicaux
libres créés lors de l’exposition aux radiations.
Le quatrième concept est qu’il existe certains aliments et plantes qui protègent de manière spécifique contre les effets généraux des radiations ou des traitements aux rayons.
Protection contre les radiations par absorption sélective
Le principe d’absorption sélective nous montre comment minimiser les effets délétères d’une exposition aux radiations. Ainsi que cela a été révélé à la suite des études sur Tchernobyl, l’une des principales causes de maladies et de morts par radiations est due à l’iode radioactif 131. En novembre 1987, dans un article de l’East-West Journal, le Dr Schechter souligna que le Dr Russel Morgan, qui a exercé en tant que chef de service de radiologie à la Johns Hopkins University disait qu’un milligramme d’iode par jour pour un enfant et cinq milligrammes pour un adulte réduirait de 80% la quantité d’iode radioactif accumulé dans la thyroïde, lors d’une exposition directe à l’iode-131. Cela revient à prendre 5 à 10 comprimés par jour ou une ou deux cuillère à café de granules de kelp. À titre préventif un adulte a besoin d’environ un milligramme d’iode, ce qui équivaut à 15 grammes par jour de dulse ou d’une autre algue. Les autres aliments riches en iode sont la bette, les feuilles de navet, l’ail des ours et l’oignon, le cresson, les courges, les feuilles de moutarde, l’épinard, l’asperge, le chou frisé, les agrumes, la pastèque et l’ananas.
Trop d’iode peut provoquer une stimulation excessive de la thyroïde. Si vous suivez un traitement pour un dysfonctionnement de la thyroïde, l’hyperactivité ou une maladie cardio-vasculaire, consultez votre médecin ou votre praticien de santé avant de prendre des comprimés riches en iode ou d’incorporer beaucoup d’algues dans votre alimentation.
On peut aussi limiter les effets des radiations en évitant de manger des aliments qui se situent en haut de la pyramide alimentaire (les aliments d’origine animale), qui concentrent énormément les minéraux radioactifs. Les particules radioactives peuvent provenir de l’air, lors des retombées, ou de la contamination de l’eau, comme cela s’est produit lors de la fuite de césium-137 d’une usine de stérilisation de Géorgie. Des statistiques provenant du Radiological Assessment of Wyhl Nuclear Power Plant du Département de Protection de l’Environnement de l’Université d’Heidelberg en Allemagne, en 1978, ont montré que suite à une contamination aérienne, le lait de vache était 15 fois plus concentré en matériaux radioactifs que les légumes-feuilles. Les légumes-racines étaient 4 fois plus concentrés en radio-éléments que les céréales. Dans la zone de contamination de l’eau, les poissons étaient ceux qui avaient la plus forte concentration de toute la chaîne alimentaire. Ils étaient environ 15 fois plus radioactifs que les légumesfeuilles.
Il est aussi important de noter que la concentration en nucléotides radioactifs des poissons d’eau douce est considérablement plus élevée que celle des poissons de mer, car ces derniers contiennent plus de minéraux et sont donc mieux protégés.
De toutes façons, en général les aliments du bas de la pyramide alimentaire sont moins contaminés par les radiations que ceux du sommet, comme le lait et les aliments carnés. Le lait est le principal vecteur de strontium-90 et d’iode -131 dans le corps humain. Un point intéressant à propos de la chaîne alimentaire est le fait que la concentration en matériaux radioactifs ne se dissipe pas nécessairement en fonction de la distance de la source de contamination. À part les courants aériens, qui, dans le cas de l’accident de Tchernobyl ont transporté des contaminants en forte concentration à des endroits comme le Massachussetts, la concentration de radioactivité tout au long de la chaîne alimentaire complique radicalement le problème. Par conséquent, consommer des aliments situés en bas de la pyramide alimentaire est la meilleure façon de minimiser l’apport de radioactivité dans son alimentation.
La protection par chélation
La chélation constitue un autre processus important pour neutraliser l’accumulation de radioactivité. Le meilleur chélateur pour expulser les matériaux radioactifs de l’organisme est l’alginate de sodium. Selon les études de Yukio Tanaka et d’autres chercheurs du Gastrointestinal Research Laboratory de McGill University au Canada, l’alginate de sodium réduit la quantité de strontium-90 absorbée par les os de 53 à 80%. Les algues qui contiennent le plus d’alginate de sodium sont celles qui appartiennent à la famille du kelp, soit le kelp, l’arame, le wakame, le kombu et l’iziki. D’autres recherches rapportées par le Dr Schechter suggèrent que l’alginate de sodium nous protège non seulement du strontium-90 que nous absorbons, mais aussi extrait le strontium-90 présent dans nos os. Ce qui est tout particulièrement intéressant, c’est que l’alginate de sodium semble ne pas interférer avec l’absorption normale de calcium. Le travail de J.F. Sara et de A. Huag à
l’ Environmental Toxicology Laboratory de l’EPA, paru dans Composition and Properties of Alginates, Report no. 30, a montré que l’alginate chélate d’autres métaux polluants, tels l’excès de baryum, de plomb, de plutonium, de césium et de cadmium. Les recherches de Tanaka ont montré que l’alginate diminuait l’absorption de strontium-90, de strontium-85, de baryum et de radium d’un facteur 12. Ces éléments radioactifs sont alors transformés en sels inoffensifs et sontexcrétés par l’organisme. Schechter souligne que les différentes algues semblent sélectionner le composé qu’elles chélatent. Ainsi les algues brunes chélatent l’excès de strontium et de fer. Les algues rouges, comme la dulse, excellent dans la chélation du plutonium. Les algues vertes, quant à elles, chélatent efficacement le césium-137.
L’ United States Atomic Energy Commission, qui a reconnu l’efficacité des algues pour minimiser les effets d’une absorption de minéraux radioactifs, recommande un apport minimum de 55 à 85 g d’algues par semaine, ou 10 g (deux cuillères à soupe) par jour de compléments d’alginate de sodium. Le Dr Schechter, dans son régime anti-radiations optimal, recommande lui-aussi 85 g d’algues par semaine. Lors d’une exposition radioactive aiguë, le Dr Schechter pense que la dose devrait passer à 2 cuillères à soupe d’alginate, 4 fois par jour, ou 170 g par semaine d’algues.
Heureusement, les algues sont des aliments qui ont très bon goût, tout comme nos autres amis anti-radiations. Les algues contiennent l’ensemble des 56 minéraux et oligo-éléments dont a besoin notre organisme. Soit une vingtaine de minéraux de plus que les légumes. Elles possèdent le plus haut taux de magnésium, fer, iode et sodium, et viennent en deuxième position pour le calcium et le phosphore. Par exemple, 112 g d’iziki contiennent 1 400 mg de calcium. Pour le potassium, la dulse arrive en tête devant toutes les autres plantes.
Les algues sont riches en vitamine A, chlorophylle, enzymes, toutes vitamines du groupe B, contiennent un peu de vitamines E et D et leur taux de vitamine C atteint celui des légumes verts. Elles constituent une excellente source de vitamine B12 assimilable. Elles contiennent environ 25% de protéines, 2% de graisses et sont très riches en fibres. Le nori, par exemple, contient approximativement 2 fois plus de protéines, à masse égale, que le tofu et plus de fibres solubles et insolubles que le son d’avoine. Comme les algues ont souvent du sel marin en surface, je recommande de les faire tremper avant de les utiliser pour bien retirer le sel.
Un autre chélateur protégeant bien l’organisme de l’absorption de matériaux radioactifs est la zybicoline, une fibre qui est particulièrement efficace pour extraire les éléments radioactifs. On la trouve dans le miso. D’autres fibres ayant de très bonnes propriétés de chélation comprennent les fibres que l’on trouve dans les céréales complètes, les noix, les graines et les légumineuses. Les fibres de pectine, une fibre soluble que l’on rencontre dans les fruits et les graines, en particulier les graines de tournesol, ont aussi de très bonnes propriétés chélatrices.
Les phytates, que l’on trouve dans les céréales et les légumineuses, et les acides aminés sulfurés, que l’on rencontre entre autre dans les légumes de la famille du chou, sont aussi de bons chélateurs. Ces derniers ont non seulement un effet chélateur, mais ils préviennent en plus l’absorption de soufre-135.
Aliments particuliers protégeant des radiations.
Le miso est un aliment plébiscité pour son action protectrice générale contre les maladies dues aux irradiations. Le miso est une pâte fermentée alcalinisante, produite à partir de graines de soja qui peuvent aussi être mélangées à du riz ou de l’orge. Le miso non-pasteurisé, qui est le seul que l’on doive consommer, contient beaucoup de bactéries et d’enzymes qui facilitent la digestion et maintiennent le tube digestif en bonne santé. La vitamine B12 qu’il contient protège de l’absorption du cobalt-60. Le miso contient beaucoup de minéraux qui protègent contre l’absorption d’autres minéraux radioactifs.
L’anecdote qui a fait connaître le miso en tant qu’aliment efficace contre les radiations est arrivée au Dr Akizuki de la St Francis Clinic à Nagasaki pendant la seconde guerre mondiale. La clinique du Dr Akizuki se situait à moins de 2 km de l’explosion de la bombe atomique tombée sur Nagasaki. Le Dr Akizuki et son personnel, qui mangeaient régulièrement du miso, n’ont pas souffert de maladies dues à l’irradiation lorsqu’ils soignaient les victimes de l’explosion atomique pendant les semaines et les années qui suivirent cet événement.
Malheureusement, selon ce que m’a rapporté le Dr Schechter, lorsque d’autres scientifiques essayèrent de valider cette histoire sensationnelle, ils n’ont pu trouver aucune preuve de sa véracité ou aucune étude documentaire.
Dans la revue Macrobiotic for Personal and Planetary Health de l’autome/hiver 1990, il y a un article qui confirme le pouvoir anti-radiations du miso. Des scientifiques japonais ont découvert que des souris nourries quotidiennement avec du miso étaient 5 fois plus résistantes aux radiations que celles qui ne l’étaient pas.
Un des faits concernant le miso est qu’il est très riche en sel marin. Ceux qui font de l’hypertension ou qui ont des maladies cardio-vasculaires devrait cependant contrôler leur apport avec soin.
Les betteraves (rouges) font aussi partie de ces aliments spéciaux. Elles ne sont pas seulement connues pour détoxiquer le sang, elles protègent aussi le système nerveux et aident à guérir l’anémie. Les radiations peuvent provoquer des problèmes dans tous ces domaines. Les betteraves sont riches en fer, qui protège de l’absorption du plutonium-238 et -239, du fer-55 et du fer-59.
Le jus de betterave contient un taux particulièrement élevé d’un anthocyane spécifique qui agit contre le cancer et la leucémie. On doit mentionner que si l’on vit dans une zone de contamination radioactive des nappes phréatiques, les betteraves — en tant que légume-racine — peuvent être plus exposées à l’eau radioactive que les légumes aériens.
Le pollen récolté par les abeilles, en contribuant à une amélioration de la santé générale, constitue aussi un puissant aliment anti-radiations. Le pollen renforce le système immunitaire et évite la détérioration des globules rouges et blancs due aux radiations. Le pollen est aussi riche en vitamines A, B, C et E, en acides nucléiques, lécithine, cystéine et minéraux vitaux comme le sélénium, le calcium et le magnésium. Chacun de ces nutriments contribue à sa manière à la protection contre les radiations.
Le pollen contient 15% de lécithine qui contribue à protéger le système nerveux et le cerveau des radiations. La lécithine protège efficacement contre le strontium-90, les rayons X, l’iode-131, le krypton-85, le ruthénium-106, le zinc-65, le baryum-140, le potassium-42 et le césium-137. Le pollen protège de manière spécifique les gonades contre l’accumulation d’iode-131 et de plutonium-239. Il apporte aussi une certaine protection contre les polluants de l’environnement tels le plomb, le mercure, l’aluminium, le DDT, les nitrates et les nitrites.
Le pollen est bien plus qu’un simple aliment protégeant des radiations. Tout comme les algues, c’est un aliment dont je recommande la consommation régulière dans une démarche d’alimentation consciente , même si vous n’êtes pas
obligé de vous protéger des radiations. Le pollen est l’énergie vitale procréatrice du monde végétal.
Le pollen est le meilleur aliment et le meilleur médicament jamais découvert.
Le pollen est la source la plus riche en vitamines, minéraux, protéines, acides aminés, hormones, enzymes et graisses découverte à ce jour. Le pollen contient aussi d’autres substances qui n’ont toujours pas encore été identifiées.
(L’auteur de l’article conseille de consommer du pollen frais qui a été conservé au froid, bien plus actif que celui qu’on trouve en magasin. Le problème est de savoir exactement où et quand s’en procurer.)
La levure fait aussi partie des aliments anti-radiations. Elle est particulièrement riche en sélénium, toutes les vitamines du groupe B, y compris la B12 et en acides nucléiques, tous ces composants protégeant des effets secondaires des radiations.
L ‘ail est aussi un aliment anti-radiations spécifique. Bien qu’il possède des qualités nombreuses et variées bénéfiques pour la santé, les éléments qui le rendent le plus utile dans la lutte contre les radiations sont la cystéine, le soufre organique de très bonne qualité et une substance non-identifiée appelée vitamine X par les soviétiques, qui à la fois prévient l’absorption des isotopes radioactifs et aide à les extraire de l’organisme. L’ail des vignes et le ginseng sauvage semblent aussi contenir cette vitamine X. Le soufre, dont la teneur est élevée chez toutes les brassicacées, empêche l’absorption de soufre-135.
Quoi qu’il en soit, la cystéine est sans doute le facteur le plus actif de l’ail. La cystéine est un anti-oxydant qui aide à empêcher la production de radicaux libres.
La cystéine se lie au cobalt-60 et le désactive. Elle protège aussi des rayons X.
Les aliments contenant de la chlorophylle sont connus depuis longtemps comme ayant un effet protecteur contre les radiations. D’une manière générale, chaque aliment vert contient de la chlorophylle. De 1959 à 1961, le directeur de la US Army Nutrition Branch à Chicago a découvert que les aliments riches en chlorophylle réduisaient de 50% l’effet des radiations sur les cochons d’Inde. Ceci était valable pour tous les aliments contenant de la chlorophylle : les choux, les légumes-feuilles, la spiruline, la chlorella, l’herbe de blé, toutes les jeunes pousses et l’algue de Klamath Aphanizomenon Flos-aquae (AFA). Cette variété d’algue bleu-vert est un excellent aliment anti-radiation à cause de sa grande immutabilité cellulaire, de son grand pouvoir de régénération, ainsi que de sa teneur élevée en chlorophylle. Elle devrait être consommée à raison de 4 comprimés (1g), quatre fois par jour, pendant une période allant d’une semaine avant l’exposition aux radiations à plusieurs semaines après.(en magasin de diététique)
Source et suite de l’article: Naturavox.fr
Autre source, autres astuces à prendre en compte:

-Les comprimés d’iodure de potassium (KI) ou d’iodate de potassium (KIO3) doivent être pris, dès connaissance d’un accident nucléaire à votre proximité (Lire la notice pour en connaître l’usage). Inutile et malsain de vouloir en faire un ..traitement de fond..

Vous devez savoir que ces pastilles protège efficacement QUE la glande thyroïde. Le « reste », tout le reste n’est pas protégé.

-À défaut d’avoir ces comprimés d’iode KI ou KI03, Ken Miller, physicien de santé nucléaire au centre médical de Hershey à constaté qu’un adulte pourrait obtenir une dose de blocage d’iode stable en peignant 8 ml d’une teinture de 2% (Deux pourcent) d’iode sur l’abdomen ou l’avant-bras approximativement 2 heures avant la contamination

-Après avoir été exposé à la contamination radioactive, vous vous douchez copieusement et vous vous brossez longtemps longtemps avec une brosse dure ..partout partout ..oui oui même là! et vous allez devoir maintenant prendre un bain au sel d’Epson, ou d’un désinfectant à base de chlore (Pas pur.. bien sûr!) ou d’argile afin enlever tous les résidus sur votre peau et pour en lixivier les métaux lourds.

Commentaire : Le chlore étant un puissant oxydant, l’usage du sel d’Epsom est préférable

Continuons maintenant avec la bouffe et voyons ce que Tatsuichiro Akizuki, qui était directeur du département de la médecine interne à l’hôpital de Nagasaki a donné à son personnel et patients pour se détoxifier après l’explosion de la bombe

Un régime stricte de riz brun, du potage de soja, de miso, de tamari, wakame, kombu et autres algues, du potiron du Hokkaido (Potimarron), et du sel de mer.

Commentaire : Le soja est ses produits dérivés sont déconseillés en raison de leur teneur en phytooestrogènes

Il a également interdit la consommation du sucre et des bonbons puisqu’ils suppriment le système immunitaire

Les algues contiennent des substances qui lient les particules radioactives et les envoient hors du corps qui a été exposé aux rayonnements.

À Tchernobyl, il a été employé de la spirulina à raison de 5gr. (Cinq grammes) pendant 45 jours. Des scientifiques israéliens ont aussi traités les gamins contaminés avec des doses de beta-carotène normal et des algues de Dunaliella

Les algues de chlorella ont également montrées des effets radioprotecteur

Des chercheurs canadiens ont trouvé sous la direction du Dr Stanley Skoryna que les légumes de mer (algues) contiennent un polysaccharide nommé alginate de sodium qui sait s’occuper à éliminer le strontium radioactif

Cet alginate de sodium est trouvé dans beaucoup d’algues, particulièrement le varech, et depuis les Russes ont sérieusement recherché à utiliser leurs propres varechs de Vladivlostok, dans lequel ils ont isolé le polysaccharide U-Fucoidan qui est devenu un autre detoxifieur radioactif.

Pour en revenir au Japon et à leur potage de miso qui leur a permis de découvrir le zybicolin servant à se detoxifier du strontium radioactif

En bref..: Vous pouvez manger des algues avec presque n’importe quel type de formule de chélation commerciale de métal lourd pour lier les particules radioactives et pour aider à les envoyer hors du corps.

En termes de fluides à boire, le thé noir et le thé vert ont montré des effets radioprotecteur si l’un ou l’autre sont consommé avant ou après l’exposition aux rayonnements.

Fondamentalement, un régime antirayonnement devrait se concentrer sur les nourritures suivantes:

1. Potage de miso

2. Spirulina, chlorella et les algues

3. Légumes de brassica et de légumes contenant du bêta-carotène

4. Haricots et lentilles

5. Potassium, calcium et nourritures riches minérales

6. Nourritures riches en contenu de nucléotides pour aider la réparation cellulaire comprenant le spirulina, le chlorella , les algues, la levure, les sardines, le foie, les anchois et le maquereau

7. Huile de foie de morue et huile d’olive

8. Un bon supplément de multivitamines/multiminaux

9. Une mention très particulière pour le régime de la pectine des pépins de pommes avec lesquels d’excellents résultats ont été obtenus pour élimer le Césium de l’organisme des contaminés de Tchernobyl. En attendant de connaître un dosage précis, vous pouvez sans crainte avaler l’équivalent des pépins de 2 (deux) pommes.. vivi ce qu’il y a autour aussi ..la chair, si vous aimez..

10. Éviter les sucres, les bonbons et le blé Ceci fait partie intégrale du « régime » et ne saurait ne pas être respecté.

La vitamine B-12 empêche la prise du cobalt-60 (utilisée dans la médecine nucléaire),le zinc empêche la prise du zinc-65 et le soufre est préventif pour l’incorporation sulfur-35 (un produit des réacteurs nucléaires) par le corps.

Puisque des ouvriers nucléaires sont potentiellement exposés au soufre radioactif, ceci signifie que les ouvriers dans l’industrie de puissance atomique ont besoin d’une teneur plus élevée de soufre dans leur régime. Les suppléments de MSM fournissent une source de soufre diététique, mais les suppléments de thiol tels que la cystéine, l’acide lipoic et le glutathion servent à double vocation dans ce secteur parce qu’ils aident à détoxifier le corps et à attaquer toutes les sortes d’autres problèmes de santé aussi bien. Le système immunitaire est habituellement frappé durement après exposition à la radiation, et un certain nombre de mesures peuvent être prises empêchant des infections opportunistes après un incident radioactif. Cependant les pleines dimensions du mécanisme protecteur sont encore inconnues. Le ginseng sibérien est une forme de ginseng qui exerce un effet radioprotecteur défini et a été démontré pour diminuer les effets secondaires du rayonnement. Il a été largement distribué par l’Union Soviétique à ceux qui ont été exposé aux rayonnements de Tchernobyl et est utilisé généralement pour aider des patients qui souffrent de cancer et subissent la thérapie radiologique.

Consommer des champignons Reishi est une autre manière prouvée de soutenir votre système immunitaire après exposition aux radiations, il réduit les dommages du rayonnement. Il a été employé pour diminuer la maladie de rayonnement chez les animaux et pour les aider à récupérer plus rapidement après exposition potentiellement mortelle.

Le ginseng de Panax empêche de saigner après exposition de la radiation, il empêche la mort de la moelle et stimule la formation de cellules de sang, ainsi c’est un autre supplément à ajouter à un protocole.

Pour faire court, des levures, des bêtas glucanes, pollen d’abeille et diverses formes de ginseng ont tous été employé pour soutenir le système immunitaire après des incidents de rayonnement.

En termes de brûlures de rayonnement, l’aloe vera a une capacité prouvée à traiter les brûlures sérieuses de rayonnement et offre d’autres effets radioprotecteur, qui peuvent facilement être utilisés chez vous.

La L-Glutamine d’acide aminé peut être employée pour aider à réparer l’intestin si vous souffrez de syndrome gastro-intestinal dû à l’exposition de radiations, et une variété de substances peut aider à reconstruire des cellules de sang pour empêcher le syndrome hématopoïétique. Ces nourritures particulières incluent le jus de betterave, l’extrait de foie, l’extrait de rate, et les alkyglycerols de requin. La plupart des oncologistes ne savent pas que l’huile de foie de requin, avec des alkyglycerols, peuvent aider à augmenter le nombre des plaquettes en quelques jours.

Parce que les armes des USA sont faites à partir de l’Uranium Appauvri et après en avoir bombardé l’environnement qui par la suite s’est répandu dans l’atmosphère terrestre, n’importe qui peut absorber cet Uranium dit Appauvri. Puisque les reins sont habituellement les premiers organes pour montrer des dommages chimiques de l’exposition à l’ uranium, les manuels militaires suggèrent que les doses ou les infusions du bicarbonate de soude aide à alkalinizer l’urine si cela se produit. Ceci rend l’ion d’uranyle moins rein-toxique et favorise l’excrétion du complexe en uranium non-toxique de carbonate.

Dans les secteurs souillés par l’Uranium Appauvri, il convient donc de boire de l’eau (non souillée!) légèrement alkaline et de favoriser un régime non-acide pour aider cette détoxification. Les detoxifiants de métaux lourds, tels que le potage de miso, le chlorella, le spirulina et les algues, sont un bon sens garanti.

Une autre chose que vous pouvez faire est éventuellement d’employer l’homeopathie après exposition de la radiation. Les gens discutent généralement du sujet à savoir les bienfaits de homeopathie ou pas, mais si vous prenez la position qu’ils ne produisent aucun résultat, vous devez également supposer que certainement ils ne vous blesseront pas, ce qui veut dire que la seule perte à les employer est quelques euros. Il y aurait des cas innombrables et des études à double anonymats où les teintures homéopathiques provoqueraint des effets curatifs physiques du corps. Par conséquent ils sont une option viable d’adjonction de traitement.

En homéopathie, ça serait l’l’URANIUM NITRICUM (nitrate d’uranium) que les homéopathes suggèrereraient d’employer dans les cas d’empoisonnement et d’exposition à l’ Uranium Appauvri ou à l’uranium. Les soldats ou les civils non simplement exposés au champ de bataille, mais les mineurs et les ouvriers en uranium de rayonnement peuvent le trouver tout à fait utile.

..et pour finir, laissez moi vous présenter ce qui est peut-être le seul compteur de Geiger naturel:

© Inconnu
Tradescantia ohiensis

La fleur de spiderwort est si sensible aux changements des niveaux de rayonnement (ses pétales changent de couleurs lors de l’exposition) qu’ elle est utilisée souvent comme détecteur de rayonnement naturel (dosimètre), juste comme on employait les canaris dans les mines comme détecteurs de gaz toxiques.

Source: Sott.net

Sait-on jamais, peut-être ces conseils pourront aider? 😉

5 Commentaires

  1. Merci beaucoup pour le partage des articles, vraiment très intéressant car je connaissais les chélations naturelles des métaux lourds mais pas des métaux radioactif, c’est bon à savoir.
    Good job les moutonsenragés !

  2. « des accidents majeurs de centrales nucléaires, comme ceux de Three Mile Island et Tchernobyl ; (et en espérant que non celles du Japon) »
    L’accident de Three Mile Island, classé au niveau 5 sur l’échelle INES, est resté contenu (officiellement) dans l’enceinte de confinement, il n’y a pas eu de rejet dans l’environnement.
    Pour Fukushima, classé au niveau 7+, les rejets dans l’environnement sont importants, c’est de notoriété publique : ce n’est donc plus la peine d’espérer.
    Tchernobyl, classé au niveau 7, n’a pas besoin qu’on s’attarde, on sait tous qu’on en mange tous les jours.

    Enfin, et il est bien trop souvent oublié dans la liste des accidents graves, il y a Mayak en ex-URSS, classé au niveau 6 sur l’échelle INES : les rejets dans l’environnement ont été très importants et ont donné lieu à une zone d’exclusion encore en vigueur de nos jours. Survenu en 1957, cet événement est resté secret pendant plus de 19 ans. Là aussi, on en mange tous les jours.
    http://nucleaire-nonmerci.net/accident-nucleaire-mayak-urss.html

  3. C’est toujours bon à savoir, mais avec Fukushima, manger des algues … Il faut aussi faire gaffe à s’adapter au contexte 😉

  4. faut boire du coca aussi, c’est très bon contre les radiations

Les commentaires sont clos.