Parce que les belges sont les suivant, que ça avait déjà été souligné, la « main » de la crise continue son travail…
C’est un classement dont notre pays se serait bien passé. A l’exception de l’Irlande, la dette publique de la Belgique est celle qui a le plus progressé en Europe au cours de ce premier trimestre. Le ratio dette/PIB a ainsi bondi de 4,7 % durant les trois premiers mois de 2013 pour atteindre 104,5 %, selon des données publiées par Eurostat. Etalée sur un an, la progression de la dette belge (+ 2,6 %) est toutefois plus en ligne avec la moyenne européenne. Il n’empêche, le taux d’endettement belge reste le cinquième plus élevé en Europe derrière la Grèce, l’Italie, le Portugal et l’Irlande. Pour informations, les taux plus faibles se retrouvent en Estonie (10 %), en Bulgarie (18 %) et au Luxembourg (22,4 %).
Que s’est-il passé durant ces premiers mois de 2013 en Belgique pour expliquer cette explosion de la dette ? D’après Philippe Ledent, économiste chez ING, il faut relativiser ce chiffre. « La dette augmente davantage, sur une période déterminée, parce qu’un pays a dû faire face à plus de paiements qu’un autre, explique-t-il. C’est une question de gestion de la dette : dans chaque pays, il y a des échéances qui sont différentes. » Autre explication de l’économiste : on paie toujours les effets de la recapitalisation de Dexia. Mais la raison principale de cette augmentation reste liée à la gestion des finances publiques. Le déficit belge (-2,4 % pour 2013) reste « relativement important« , ce qui entraîne « de facto » une augmentation de la dette
L’économiste met en garde : le taux de la dette belge est passé au-dessus des 100 %. « M ême si elle est symbolique, c’est une barre importante et ce n’est pas bon par les temps qui courent d’être durablement au-dessus de ce chiffre . Si les problèmes de la zone euro devaient devenir plus criants, ce serait même fort ennuyeux . » Ce n’est pas d’ailleurs pas un hasard si le ministre des Finances, Koen Geens (CD&V), a annoncé vouloir vendre plusieurs actifs pour sortir de cette zone rouge le plus rapidement possible.
Mais mise à part ces mesures « one shot », la courbe devrait s’inverser « très doucement mais naturellement »dès l’année prochaine. « Si la Belgique tient sa ligne budgétaire (NdlR : déficit public ramené à 2,1 % l’année prochaine pour un retour à l’équilibre en 2016), même avec une croissance très modeste, on arrivera à diminuer le taux d’endettement dès 2014. » R.Meu.
Ils me font ierch ces économistes à la noix!
Il y a quelques mois, début 2013 il a encore fallu rallonger le compte de Dexia de plus de 3 milliards. Sans compter ce qui a déjà été versé avant et les 50 milliards d’actifs toxiques que cette banque possède encore.
La Belgique n’avait pas les reins assez solides pour sauver le système bancaire privé. (En tout cas, il est scandaleux d’avoir versé le moindre centime aux actionnaires qui ont planté la boite, ça aussi j’aimerai comprendre!)
On parle toujours d’austérité… Après 2008, par exemple, la Belgique a déversé des millions pour soutenir la relance automobile. Prime à l’achat fortement rehaussée, etc…. Alors que la Belgique n’a plus un seul constructeur national! l’argent du contribuable belge est donc parti à l’étranger pour soutenir une industrie qui n’est pas la nôtre.
La Belgique comme les autres à tout privatisé. Elle se voit par exemple amputée de 2 milliards d’euro de bénéfice rien que sur Electrabel. Un exemple parmi d’autres. Ces sociétés de surcroit ne payent quasiment pas d’impôt. On a donc coupé les liens avec toutes les entreprises publiques bénéficiaires et n’avons gradé que les secteurs en déficit comme la sécu et autres. Et on vient s’étonner après que les recettes sont insuffisantes. Mais on s’attaque alors aux dépenses et on détricote l’état providence.
Jamais ces analystes à la noix ne parlent des réalités sous cet angle. Ils ne voient que la protection des bénéfices privés qui doivent cotiser le moins possible et la destruction de l’état et des services publiques.
Autre sujet brulant, la compétitivité. La compétitivité n’est pas un problème si on prend les mesures nécessaires. De un, barèmes salariaux, cotisations et droits sociaux identiques pour tout les travailleurs européens. Le problème de dumping interne à l’Europe est ainsi éradiqué. De deux, taxe lourdes aux frontières de l’UE pour compenser les couts de notre système. Plus de problème de compétitivité avec l’extérieur. POINT!
Mais ces deux mesures iraient à l’encontre du toujours plus d’exploitation, de dumping en faveur de bénéfices privés toujours plus gros.
Ces gens ne voient que ce qu’ils veulent bien voir dans leur propre intérêt.
tu as oublier que l’on vient de s’offrir un nouveau roi et Reine, et oui a ce jours la belgique a 3 reines et 2 rois 🙂
non tr^ve de plaisanterie tu as tout à fait raison je me rappelle en 2008 alors que dans la presse on parlait des millions versé pour la relance de l’industrie automobile, je voyais défilé sous les fenêtres de mon bureau rue de la loi les manisfestants de Ford Genk qui voulais sauvé leurs emplois, et au mème moment, 2 étages au dessus ce signais dans le plus grand secret les accords avec la Korée pour l’industrie automobile Européen qui allai faire les dégats que l’on connais……………….. on vis vraiment dans un monde de pourris…..
C’est davignon le responsable de la destruction de notre economie ET de notre nation, il etait aux commandes lors de la faillite de la sabena et fortis, il a ete pendant plus de 20 annees president honoraire !!!! Des detraques bilderberg. C’est le boss en belgique, son programme est notre asservissement. Reynders a dit que » nous » avions signes full options pour cette europe de corrompus detraques sexuels, adeptes de rituels occultes a la botte des sionistes. Partant de la, inutile de chercher des solutions que ces pourris ne veulent surtout pas appliquer.