Coronavirus, est-ce que les choix politiques sont faux? Si oui, pourquoi donc? Un scandale potentiel…

La bataille fait rage pour ce qui est du traitement contre le coronavirus. L’éminent Didier Raoult, avec sa longue expérience de la chloroquine, contre la doxa « scientifique ». La chloroquine par [Arrêté du 13 janvier 2020 portant classement sur les listes des substances vénéneuses. Art. 1er. – Est classée sur la liste II des substances vénéneuses l’hydroxychloroquine sous toutes ses formes. ] Voir l’arrêté. Heureusement, face à l’efficacité de la chloroquine et aux résultats obtenus , le traitement est appliqué sur certains patients avec succès. Quant à Agnès Buzin et ses déclarations explosives, s’il est avéré qu’elles sont vraies, le gouvernement aura des compte à rendre aux citoyens et A.Buzin aussi, pour avoir gardé le silence. Partagez ! Volti

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Liliane Held Khawam

Le professeur Raoult en voie de prouver que les choix politiques ne convergent pas avec les protocoles médicaux sérieux. Pourquoi refuser le b a ba de la médecine qui consiste à diagnostiquer puis soigner?

J’ai pu constater personnellement qu’une personne qui toussait et qui avait été en contact avec des personnes malades n’a pas été testée. Comme elle allait plutôt bien, et qu’elle n’avait plus de fièvre, on l’a laissée repartir chez elle, à la surprise de son médecin traitant, sans lui demander de s’isoler. Dans le cas de cette personne qui vit en Suisse, elle l’a fait spontanément.

Côté France, la femme d’une personne infectée, qui a dû être hospitalisée après 15 jours (!) de difficultés respiratoires, n’a pas semble-t-il reçu de consigne pour s’isoler…. Pourquoi? Combien d’autres ont continué de circuler, prendre les transports en commun par exemple et de contaminer leur environnement? LHK

Note: A l’heure où je publie ce post, je tombe sur la publication de M de Castelnau… Les mots manquent tout simplement ! LHK

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Aveux d’Agnès Buzyn : une défaillance criminelle de l’État Macron ? Régis de Castelnau

« On aurait dû tout arrêter, c’était une mascarade » vient de nous dire la pauvre Agnès Buzyn en parlant des élections municipales, entre ces sanglots dont elle n’est pas avare.

Ces aveux formulés dans le journal le Monde et selon lesquels le plus haut sommet de l’État savait parfaitement la catastrophe qui se profilait sont assez terrifiants. « Quand j’ai quitté le ministère, assure-t-elle, je pleurais parce que je savais que la vague du tsunami était devant nous. Je suis partie en sachant que les élections n’auraient pas lieu. » Bien sûr, c’est une pure et simple désertion qu’elle a commise et qu’elle reconnaît aujourd’hui en essayant assez lâchement de s’en défausser. Mais de cela elle se débrouillera avec sa conscience sur laquelle pèsera une partie de ces morts qui vont tomber, emportés par le virus, et dont on sait parfaitement qu’ils vont se compter par milliers. Dormez bien Madame Buzyn, si vous le pouvez.

Mais il y a plus grave, beaucoup plus grave, on peut déduire de ses propos le caractère criminel du comportement des décideurs publics dont c’était la responsabilité de prendre toutes les mesures permettant d’affronter la catastrophe et d’éviter une hécatombe.

Que nous dit-elle en effet ? : « Je pense que j’ai vu la première ce qui se passait en Chine : le 20 décembre, un blog anglophone détaillait des pneumopathies étranges. J’ai alerté le directeur général de la santé. Le 11 janvier, j’ai envoyé un message au président sur la situation. Le 30 janvier, j’ai averti Edouard Philippe que les élections ne pourraient sans doute pas se tenir. Je rongeais mon frein. » Donc, dès la fin janvier il était clair que prévenu par la ministre de la santé de la république Emmanuel Macron savait à quoi il fallait s’attendre, son premier ministre aussi ainsi que le directeur général de la santé. Malgré cela, le président de la république paradait le 7 mars dans les rues de Paris pour inciter les parisiens à continuer à aller au théâtre ! Tous ceux, professeurs de médecine, spécialistes, chercheurs qui sonnaient l’alarme se faisaient insulter par les serviteurs du pouvoir, de Jean-Michel Apathie à Christophe Barbier en passant par l’ineffable Michel Cymes et bien sûr l’inévitable Sibeth Ndiaye. L’incompétence à la direction d’un État de toute cette équipe arrivée au pouvoir par surprise en 2017 n’est plus à démontrer, mais aujourd’hui si l’on en croit Buzyn ce n’est pas de cela qu’il s’agit.

Si ces faits sont établis, si Madame Buzyn dit la vérité, tout cela engage la responsabilité pénale de tous ces décideurs publics.

Que nous dit le code pénal, celui-là même utilisé dans l’affaire du sang contaminé ?

C’est tout d’abord l’article 221–6 qui s’applique et qu’il faut citer intégralement :

« Le fait de causer, dans les conditions et selon les distinctions prévues à l’article 121-3, par maladresse, imprudence, inattention, négligence ou manquement à une obligation de prudence ou de sécurité imposée par la loi ou le règlement, la mort d’autrui constitue un homicide involontaire puni de trois ans d’emprisonnement et de 45 000 euros d’amende.

En cas de violation manifestement délibérée d’une obligation particulière de prudence ou de sécurité imposée par la loi ou le règlement, les peines encourues sont portées à cinq ans d’emprisonnement et à 75 000 euros d’amende. »

Il renvoie à l’article 121-3 qui nous dit :

« Il y a également délit, lorsque la loi le prévoit, en cas de faute d’imprudence, de négligence ou de manquement à une obligation de prudence ou de sécurité prévue par la loi ou le règlement, s’il est établi que l’auteur des faits n’a pas accompli les diligences normales compte tenu, le cas échéant, de la nature de ses missions ou de ses fonctions, de ses compétences ainsi que du pouvoir et des moyens dont il disposait.

Dans le cas prévu par l’alinéa qui précède, les personnes physiques qui n’ont pas causé directement le dommage, mais qui ont créé ou contribué à créer la situation qui a permis la réalisation du dommage ou qui n’ont pas pris les mesures permettant de l’éviter, sont responsables pénalement s’il est établi qu’elles ont, soit violé de façon manifestement délibérée une obligation particulière de prudence ou de sécurité prévue par la loi ou le règlement, soit commis une faute caractérisée et qui exposait autrui à un risque d’une particulière gravité qu’elles ne pouvaient ignorer. »

Ces deux textes, fruit d’une élaboration particulière dans les années 90 pour justement bien définir le périmètre de la responsabilité personnelle en matière d’homicide et de coups et blessures involontaires, méritent un éclairage.

Dans ce domaine, la France applique depuis toujours ce que l’on appelle : « la théorie de l’équivalence des conditions » qui veut que tous ceux qui ont commis le dommage ou CONTRIBUÉ à sa réalisation sont pénalement responsables. C’est ce que l’on appelle les « auteurs directs » et les « auteurs indirects ». On prendra un exemple un peu éloigné de notre sujet mais qui éclaire la problématique. L’automobiliste qui renverse un cycliste et le tue est l’auteur direct de l’infraction de l’article 221–6 par défaut de maîtrise de son véhicule. Mais, si la manœuvre mortelle a aussi été causée en raison d’une voirie défectueuse non signalée à cet endroit, les responsables de celle-ci seront également poursuivis.

Bien évidemment, l’auteur principal et direct des morts de la pandémie est bien le coronavirus. Mais il existe aussi comme vient de l’avouer Agnès Buzyn des auteurs indirects dont la culpabilité si elle est établie serait accablante. Le chef de l’État, le Premier ministre, la ministre de la santé, le directeur général de la santé, savaient donc à quoi s’en tenir dès janvier ? Alors manifestement, n’ayant pas pris les mesures afin de l’éviter alors qu’elles étaient de leur compétence, en n’appliquant pas les « diligences normales » qu’exigeaient leurs responsabilités, ils ont contribué à créer la situation d’une catastrophe aggravée. Et en s’abstenant d’agir, ils ont commis une faute pénale caractérisée en exposant autrui « un risque d’une particulière gravité qu’ils ne pouvaient ignorer ».

Par conséquent, compte tenu de l’ampleur de tout ceci, comme cela avait été le cas pour l’affaire du sang contaminé, il est indispensable que la Cour de Justice de la République soit saisie d’une procédure dirigée contre les ministres pour dire si leur défaillance est établie ainsi que le prétend Agnès Buzyn et prononcer à leur encontre les sanctions à la mesure du dommage subi. Le juge judiciaire de droit commun doit l’être pour les fonctionnaires qui n’ont pas fait leur devoir comme cela avait été également le cas dans l’affaire du sang contaminé.

Emmanuel Macron quant à lui ne risque rien. Avec ses propres pouvoirs et un Parlement à sa botte, celui qui pouvait tout est protégé par son immunité.

Reste le déshonneur.

Source Vu du Droit

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Coronavirus : l’IHU Méditerranée Infection en voie de prouver l’efficacité de la chloroquine. La Tribune …/…

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Liliane Held Khawam

34 Commentaires

  1. SANOFI proposerait donc des substances vénéneuses gratuitement ? https://lesmoutonsenrages.fr/wp-content/plugins/wp-monalisa/icons/wpml_scratch.gif
    Ou ce laboratoire essaye t’ il de se repositionner sur le « marché » du corona ! 🙁

    Sanofi offre de l’anti-paludique Plaquenil pour traiter 300.000 malades, après des essais jugés « prometteurs »
    https://www.dhnet.be/actu/sante/sanofi-offre-de-l-anti-paludique-plaquenil-pour-traiter-300-000-malades-apres-des-essais-juges-prometteurs-5e71573fd8ad582f319db647
    PS/ le Plaquenil est de la chloroquine ou, plus exactement, du Sulfate d’hydroxychloroquine.
    Ce que le professeur Rault et les scientifiques chinois préconisent ! 😉

    Question pertinente: pourquoi classer cette molécule en catastrophe et en pleine pandémie comme substance vénéneuse (?) ( arrête du13/01/2020 ) alors qu’elle était en vente libre sur l’internet français, il y a encore quelques jours ! 🙁

  2. Cette vidéo est à étudier, et très urgente :

    https://www.youtube.com/watch?v=1ZZTWEodGfE&feature=share&fbclid=IwAR0QXcVKQY-mH2TrpKjiro1TXrvp4et3HltRUJa3pTPUnyHS2-beA9cpAHc

    Notre société est elle encore pire?
    Meurtrière, on le sait.
    Mais c’est encore pire, quels sont les tenants et aboutissants ? Si les preuves sont bien là, et que l’on peut encore tenter d’analyser sans s’émouvoir, l’idéal est de trouver une solution.

  3. Big Pharma n’a pas intéret à mettre un prix trop élevé car c’est le risque qu’il n’y ait plus personne pour acheter puisqu’on sera tous mort !

  4. Un gros mensonge aussi que notre directeur de la santé est entrain de nous raconter :
    le masque est inutile !
    FAUX !!!
    Le masque est utile pour vous empêcher de mettre les mains au nez ou à la bouche quand vous avez touché des surfaces infectées, et de vous infecter vous-même.

    • Les yeux font partie des muqueuses sur lesquels peuvent se fixer les particules infectées.
      Les masques ne sont pas … intégrales.
      Donc protection limitée.

      Le virus, je rappelle, est si petit, qu’a lui seul il peut flotter dans les courants d’air,
      pendant des heures ( temps de viabilité actuellement estimé a 27 heures )
      et qu’il traversera tout masque a la porosité plus grosse que sa taille !

      Surtout un masque SEC !

  5. Le professeur Philippe Sansonetti, titulaire de la chaire Microbiologie et maladies infectieuses, a donné une conférence intitulée « Covid-19 ou la chronique d’une émergence annoncée » Il est possible de télécharger le support de la conférence :
    https://www.college-de-france.fr/media/philippe-sansonetti/UPL1414529259917354829_Covid_19_Sansonetti.pdf

    La conférence en vidéo :
    « Covid-19 ou la chronique d’une émergence annoncée »

    https://youtu.be/JKY1i7IpK3Y

  6. Coronavirus: pour des médecins chinois, leurs collègues européens répéteraient une erreur fondamentale

    Le personnel soignant qui traite les infectés par le coronavirus n’est pas suffisamment protégé, ce qui est une grossière erreur dans le traitement, selon Bloomberg à qui les médecins de la ville chinoise de Wuhan ont accordé une interview.

    https://fr.sputniknews.com/sante/202003171043312758-coronavirus-pour-des-medecins-chinois-leurs-collegues-europeens-repeteraient-une-erreur/

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