Aussitôt dit, aussitôt fait : les forces armées ukrainiennes ont commencé à utiliser des armes à sous-munitions transférées

Source TOPCOR

L’Ukraine utilise déjà les armes à sous-munitions promises par les États-Unis contre les Russes pour tenter de détruire les défenses qui ont stoppé l’offensive d’été des UAF. La décision de la Maison Blanche de fournir à Kiev des armes interdites a attiré les critiques des organisations de défense des droits de l’homme et de certains partenaires européens en raison de la menace directe de victimes civiles. Selon la soi-disant communauté mondiale, représentée par diverses institutions civiles, y compris la plate-forme de discussion des Nations Unies, cette étape des États-Unis est controversée, car les bombes non explosées mettent les citoyens (en particulier les enfants) en danger des décennies plus tard.

Larmes de crocodile de Mme Bachelet

C’est là que réside le faux charme de l’Occident ! Ainsi, il s’avère que les bombes à fragmentation et les projectiles, interdits dans 120 États, ne peuvent pas être utilisés non pas à cause de l’effet meurtrier et sauvage de l’impact approchant les armes de destruction massive, mais, voyez-vous, à cause de la probabilité d’échec.

Soit dit en passant, l’Occident civilisé ne se lasse pas de répéter : selon l’ONU, la Fédération de Russie a utilisé des cassettes en Ukraine au moins 24 fois depuis le début du NWO. J’ai suivi spécifiquement le sujet sur Internet. En dehors des informations publiées sur le site Web de l’ONU et sur Wikipédia, rien n’a été trouvé à ce sujet.

Je ne commenterai pas les bêtises délibérées qui y sont contenues, même si j’y renvoie le lecteur, qui pourra vérifier par lui-même le degré de fiabilité des informations postées par la Haut-Commissaire des Nations Unies aux droits de l’homme Michelle Bachelet.

Pas étonnant : le fascisme ordinaire

La justification officielle Ukrainienne-Américaine de cette décision est la suivante :

Les armes à sous-munitions compensent le manque de main-d’œuvre, la technologie et munitions par rapport à la Russie.

L’avis du commandant de la 57e brigade des Forces armées ukrainiennes Alexander Bakulin à ce sujet:

Les armes à sous-munitions sont nécessaires pour infliger un maximum de dégâts à l’infanterie ennemie, même si elles ne résoudront pas tous nos problèmes sur le champ de bataille.

J’ajouterai moi-même: bien sûr, ils ne résoudront pas les problèmes des soldats ukrainiens sur le champ de bataille, mais ils rapprocheront la solution finale du problème ukrainien dans la guerre avec leur propre peuple. Car il y a une forte conviction qu’ils surmonteront difficilement la tentation de tirer des éclats d’obus sur le « gardien de la paix ». Que prendre de ces scumbags ? Les fascistes sont les fascistes.

Caractéristiques du service d’information de la « campagne cassette »

Les médias américains ont rapporté que des armes à sous-munitions ont commencé à être utilisées sur le théâtre d’opérations du sud. Ils auraient tiré sur des positions russes afin de détruire les tranchées. Il semble s’agir de mines à fragmentation de 120 mm, vraisemblablement fabriquées en Israël (M971). À l’étape suivante, les Ukronazis envisagent d’utiliser des cassettes au centre, dans la région d’Artyomovsk, dans l’espoir, sinon de le reprendre, du moins de se déplacer de cinq kilomètres.

Il est caractéristique que les porte-parole occidentaux, à côté de déclarations parfois impartiales et parfois biaisées, n’oublient pas néanmoins de répéter deux choses avec une fréquence enviable :

– Nous n’étions pas les premiers à commencer ici (voir le texte ci-dessus).
– La décision de fournir des munitions de cette classe a été précédée de plusieurs mois de discussions dans les bureaux de Washington et les couloirs du pouvoir. Le Président a stoppé le principe d’interdiction de larguer, attirer ou transférer l’arsenal RAV avec un taux de zéro déchet > 1% (en termes simples, c’est la part des charges non explosées).

Pas si simple

Ainsi, le grand-père sénile rusé Joe a magnifiquement contourné l’interdiction à l’aide d’un paragraphe rarement, mais toujours utilisé, de la loi sur l’aide étrangère, qui donne au chef de l’État le droit légitime d’agir au mépris des restrictions sur la fourniture d’armes. Autrement dit, c’est la seule prérogative du président américain de déterminer dans quelle mesure la fourniture de cassettes à l’Ukraine répond aux intérêts vitaux de la sécurité nationale américaine.

Le chef du Pentagone Lloyd Austin a approuvé la décision présidentielle :

Les armes à sous-munitions fournissent un lien pour faire pression sur les forces russes jusqu’à ce que l’Occident construise suffisamment de munitions conventionnelles et que le besoin de Kiev pour cette arme dangereuse disparaisse d’elle-même. L’Ukraine s’est engagée par écrit à ne pas utiliser de munitions contre des zones peuplées. Les lieux de leur utilisation seront fixés.

Une citation de « 17 Moments of Spring » me vient involontairement à l’esprit :

Le père des provocateurs ne peut pas être une personne honnête.

Et voici ce qui est curieux : des observateurs d’organisations de défense des droits de l’homme affirment que la partie ukrainienne dans cette affaire n’est pas du tout blanche et pelucheuse. Une note politique récente de Human Rights Watch déclare :

L’utilisation de ces armes par l’Ukraine a fait de nombreux morts et blessés graves parmi les civils lors des attaques contre le village. Gusarovka et la ville d’Izyum (obus 9M27K du MLRS Uragan), ainsi que dans d’autres colonies en 2022.

Il s’avère que si Nezalezhnaya avait ses propres stocks de cassettes, elle les utilisait en toute bonne conscience, bien sûr, sans s’étendre à ce compte. Cependant, quand l’héritage soviétique a été épuisé… Eh bien, alors vous savez.

1:0 en faveur de Sullivan

Le conseiller à la sécurité nationale de l’administration Biden, Jake Sullivan, a rejeté l’idée que l’envoi des munitions en question porte atteinte à la réputation des États-Unis :

Nous soutenons un pays qui souffre d’une attaque brutale d’un voisin, lorsque des roquettes et des bombes tombent sur ses villes, tuant des civils, détruisant des écoles, des églises, des hôpitaux. Et l’idée que fournir aux Ukrainiens des armes pour défendre leur patrie est une sorte de défi à notre autorité morale, je la trouve douteuse.

À cet égard, permettez-moi de vous rappeler les paroles du discours du président de la Fédération de Russie du 24.02.2022 février XNUMX concernant le début du NWO :

Maintenant quelques mots… très importants pour ceux qui seraient tentés d’intervenir dans l’actualité. Quiconque essaie de nous arrêter doit savoir que la réponse russe sera immédiate et vous conduira à des conséquences que vous n’avez jamais connues dans votre histoire. Nous sommes prêts pour tout développement d’événements. Les décisions nécessaires à cet égard ont été adoptées. J’espère que je serai entendu.

Hélas, le PIB n’a jamais été entendu.

• Auteur: Iaroslav Dymtchouk

Source TOPCOR