Une série de reportages qui remet l’humain à sa minuscule place dans l’univers et pour intelligente qu’elle soit, ce sera la seule espèce à œuvrer de façon constante à la destruction de sa maison et au final à sa disparition, en moins de temps qu’il en a fallu aux espèces précédentes. Il serait temps de réagir non ? Partagez ! Volti
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Par MrMondialisation
Le sort des êtres humains peut-il vraiment êtres considéré comme exceptionnel au regard de l’immensité de l’univers et des centaines de millions d’années d’évolution biologiques dont la terre a été témoin ? Pour répondre à cette question délicate dans le cadre d’un individualisme sociétal édifiant, Franck Courchamp et Clément Morin nous emmènent découvrir les confins de l’univers jusqu’aux bactéries de notre microbiote intestinal dans une série Arte. Une véritable claque audiovisuelle qui nous invite à plus de sagesse et surtout d’humilité.
Insignifiant. Ce serait peut-être le premier adjectif qui viendrait à l’esprit d’un observateur extérieur à notre univers et qui verrait, sur une planète parmi tant d’autres, l’humanité s’affairer bruyamment à sa propre perpétuation, si pas extinction.
C’est en tout cas se que s’efforcent de montrer Franck Courchamp et Clément Morin dans Une espèce à part ?, série de 10 courts épisodes visibles en intégralité sur la chaîne Youtube d’Arte. Le chercheur en écologie et le graphiste explorent l’espace de manière subtile en interrogeant la place des êtres humains à l’intérieur de celui-ci. Que sommes-nous au milieu des 275 millions d’étoiles qui naissent et disparaissent chaque jour ? Des 100 milliards de planètes que l’on trouve rien que dans la Voie lactée ? Sommes-nous si rares ? Si uniques ?
S’imposent alors des questions, qui ne sont certes pas nouvelles, mais qui prennent sans aucun doute une autre dimension face à la catastrophe environnementale en cours provoquée par le développement aveugle de l’espèce humaine sur sa planète : « L’Homme, si supérieur, semble bel et bien perdu dans un océan cosmique en perpétuel mouvement […] Les êtres humains n’ont pas la moindre idée de leur place dans l’univers. Sont-ils seuls, ou simplement insignifiants » ? N’avons nous donc pas d’autre but que de nous développer à l’infini, écrasant tout sur notre passage ? Est-ce là le fruit empoisonné de l’évolution ? …/…
Voir aussi:
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« Nous pourrions supposer qu’à l’origine des temps, au lendemain de quelques divins FIAT LUX, la lumière, d’abord seule au monde, a peu à peu engendré par condensation progressive, l’univers matériel tel que nous pouvons, grâce à elle, le contempler aujourd’hui. » (Louis de Broglie, Physique et Microphysique)
Abordons la grande question de la Vie. Qu’est-ce que la Vie ? Quelle est son origine ?
La Vie est une force restée jusqu’ici inconnue, une force dont on a étudié les manifestations, observé les effets, mais dont personne encore n’a osé chercher la cause.
La science moderne, cependant, est mise en demeure de demander à la genèse son secret, elle est mise en demeure de nous dire quelle est cette force qui, dans le principe, a produit les êtres vivants, de nous dire, surtout, si cette force est encore agissante. Et si la science affirme que la création première est arrêtée, elle est mise en demeure, en nous donnant la démonstration de cette force, de nous expliquer comment son action génératrice s’est ralentie, pourquoi elle ne s’exerce plus.
Ceux qui se contentent de constater que les êtres vivants ne proviennent que d’êtres semblables à eux ne font qu’affirmer un fait actuel, un fait concernant l’état présent de la terre, (et qui est loin d’être certain), ils ne remontent pas dans le passé. Etendre cette affirmation à tous les âges de notre planète c’est nier tout commencement. C’est le système de ceux dont les vues bornées font de l’état actuel de l’humanité l’image d’un état constant, méconnaissant ainsi la grande loi de l’évolution qui régit les mondes comme elle régit les êtres.
Mais quiconque a des vues un peu plus larges reconnait que la vie n’est pas une manifestation nécessaire et éternelle et qu’elle a eu un commencement sur notre planète puisque les premiers étages de sa formation cosmologique nous montrent des couches de terrain absolument dépourvues de débris organisés.
Ceux qui refusent ainsi, de parti pris, d’examiner ces mystères de la Nature se donnent à eux-mêmes un certificat d’incapacité, d’impuissance. Lorsque l’on se sent en possession d’un esprit fort pour résoudre tous les problèmes philosophiques on ne craint pas de les aborder.
Regarder ces questions comme étrangères au domaine de la science c’est méconnaitre son véritable rôle. Il n’existe pas de question qu’elle puisse s’affranchir d’examiner, pas de manifestations intellectuelles qu’elle ait le droit de dédaigner. Ce qui est étranger au domaine de la science ce ne sont pas les questions relatives à la genèse naturelle puisque ces questions, au contraire, lui appartiennent tout entières, ce sont celles qu’une philosophie malsaine a répandues dans le monde et qui servent encore de guide à ceux qui refusent d’accorder à la science l’émancipation sans laquelle elle ne peut vivre.
Examinons donc comment la vie a commencé, comment s’est accomplie, à un moment donné de l’existence de notre planète, la formation naturelle d’êtres qui n’avaient pas été engendrés par des parents semblables à eux.
Cosmogonie : https://livresdefemmeslivresdeverites.blogspot.com/2017/07/la-force.html
La Vie : https://livresdefemmeslivresdeverites.blogspot.com/2017/07/la-vie.html
Je crois que l’espece (qu’on dit humaine)n’est pas adaptée (programmée)à évolué de façon harmonieuse avec son environnement,la base de sa conception de survie est la domination de tout,lui meme compris,cette destruction est son destin,apothéose.
Il y a un bug mais heureusement il y a son obsolescence programmée.
Au contraire, l’humain (comme tout animal) ne fait que ça, s’adapter. Et pour s’adapter, il modifie son environnement, lequel s’adapte pour trouver un nouvel équilibre auquel l’humain va se réadapter en modifiant son environnement etc…
Et il se passe à peu près la même ritournelle dans le cosmos où l’équilibre, la recherche d’équilibre fait loi mais crée le chaos plus loin, par rebondissements en chaîne des troubles causés par cette recherche.
Je pense plutôt que l’humain est par nature en recherche d’équilibre mais qu’il est culturellement perverti et que cet équilibre est rendu impossible alors que les efforts dans ce but sont détournés vers du rendement/profit dans un système qui se voudrait en croissance perpétuelle…
J’espère bien qu’il est unique. Pas besoin d’une vermine similaire dans l’univers.
Merci ,tout n’est pas perdus heureusement qu’il y a la profondeur de la langue Francaise.
Merci, c’est marrant !
Avec « triomphe » on peut aujourd’hui faire rimer « à donf »
Pour « simple » il y a « grimpe-le »
Pour « belge », « de quoi me mêle-je? »
Pour « larve », « ce que l’art veut »
etc?