L’écologie et la biodiversité sont les parents pauvres de la campagne électorale. Les petites déclarations des uns, ne compenseront pas l’incompétence des technocrates bruxellois pour qui, seul le profit compte. Pourtant dans un monde fini, il ne peut y avoir croissance infinie. Il nous appartient de protéger notre environnement, pour l’avenir (bien compromis) de nos enfants. Un vœu pieu, quand on voit l’inconséquence et le jemenfoutisme ambiant. Partagez!!
Comme aime parfois à nous le rappeler la Divine Providence, un curieux hasard du calendrier à fait coïncider, à quelques jours d’intervalles, plusieurs informations que l’on pourrait qualifier de contradictoires en matière de préservation de la biodiversité méditerranéenne.
Vous l’ignorez peut-être, mais l’Europe dispose d’une compétence exclusive concernant « la conservation des ressources biologiques de la mer dans le cadre de la politique commune de la Pêche » (article 3 du Traité sur l’Union européenne).
En février 2016, elle a donc engagé un processus, dit de « Catane », qui vient d’aboutir le 30 mars dernier à la signature de la Déclaration de Malte, « MedFish4Ever », pour mieux gérer les stocks de pêche sur les dix prochaines années. Cet accord a été signé entre la FAO, la CGPM, la Commission et le Parlement européens, huit États membres côtiers de l’UE (Espagne, France, Italie, Malte, Slovénie, Croatie, Grèce et Chypre) et sept pays tiers (Maroc, Algérie, Tunisie, Égypte, Turquie, Albanie et Monténégro). En parfait accord avec sa nouvelle politique commune des pêches développée depuis 2014, qui estime qu’environ 90% des stocks halieutiques évalués sont surexploités en mer Méditerranée, le commissaire européen chargé de l’environnement, des affaires maritimes et de la pêche, M. Karmenu Vella, s’est félicité de cette signature dans un communiqué de presse : « Aujourd’hui est un jour historique. En signant la déclaration de Malte MedFish4Ever, nous affirmons notre volonté politique d’entreprendre des actions concrètes en matière de pêche et d’autres activités qui ont une incidence sur les ressources halieutiques, sur l’économie bleue, sur l’inclusion sociale et sur la solidarité entre les rives nord et sud de la Méditerranée. J’espère que la présente déclaration sera considérée comme un tournant vers un avenir meilleur à la fois pour les pêcheurs, les communautés côtières et les ressources halieutiques ».
Ce qui signifie en langage clair pour les profanes qui méconnaissent le milieu de la pêche et de la protection de l’environnement qu’on est tous « cuits ».
En effet, dormez tranquilles braves gens des incompétents notoires prennent en charge l’avenir de notre planète et mènent tambour battant des politiques qui, depuis le traité de Rome de 1957 instituant la Communauté économique européenne, sont parvenues à une éradication du vivant à un niveau jamais observé depuis l’apparition de l’humanité sur terre.
J’ai déjà exposé les raisons de cette situation dans deux articles récents : « Méditerranée (Mare nostrum) : une mer assassinée – Réchauffement climatique, pollution, surpêche » et « Pourquoi n’y a-t-il (presque) plus de poissons en Méditerranée (et partout ailleurs) ? », ainsi que dans un livre et un article de 2012 présentant le rapport parlementaire du sénateur Roland Courteau sur la situation de la mer Méditerranée : « La pêche méditerranéenne est-elle menacée de disparition ? » ; qu’il me soit donc permis de faire l’économie de la démonstration de mes allégations concernant l’incompétence de nos politiques en matière de préservation des ressources naturelles et de la biodiversité. Il me semble plus important de relayer des informations qui viennent enfin, pour la Méditerranée (mais le principe est le même pour tout ce qui touche à la biodiversité), étayer ce que nous sommes nombreux désormais à constater sur place (il serait plus que temps) : à savoir que, comme toujours, les politiques européennes mettant en œuvre l’une de ses compétences exclusives concernant « la conservation des ressources biologiques de la mer dans le cadre de la politique commune de la Pêche » ne s’attaquent qu’aux symptômes de la maladie qui touche ce secteur sans traiter à la racine le mal qui le ronge.
Pire encore ! J’affirme également qu’au travers de ses politiques, l’Europe n’a de cesse, depuis sa création, de jouer au pompier pyromane. Jeu pervers par excellence !
Et de cela, j’en dirais un mot.
La signature de l’accord « historique » vanté par le commissaire européen chargé de l’environnement intervient quelques jours à peine après la publication dans la revue scientifique Nature d’une étude unique en son genre. En effet, pour la première fois dans le domaine de la recherche, des scientifiques ont compilé des données portant sur la chaîne alimentaire d’une mer entière et sur une large période (1950-2011) et ses conclusions sont sans appel : les organismes du bas de la chaîne alimentaire, à savoir le phytoplancton et le zooplancton, baissent de 23% ; les populations des espèces de poissons commerciales et non commerciales reculent de 34% ; les prédateurs supérieurs (thonidés, requins) chutent de 40% et les mammifères marins de 41% (sic !).
À l’origine de cette perte sans précédent de la biodiversité marine, de nombreux facteurs anthropiques tels que la pêche intensive et l’aquaculture (conséquences de la PCP européenne d’avant 2014), la pollution, l’urbanisation (destruction et/ou dégradation de l’habitat) et les espèces invasives (ex. caulerpas taxifolia) qui agissent de manière synergique avec le changement climatique mondial. Une situation qui n’est pas en voie d’amélioration étant donné l’augmentation rapide de ces facteurs de stress.
Toutefois, outre le travail titanesque et la pertinence de cette étude, ce qu’elle relève avant tout, à l’inverse des politiques européennes qui mènent une campagne de propagande dans les médias qui « frise » à la désinformation du public à l’encontre de la filière pêche, c’est notamment le fait que : « [les causes] qui semblent avoir le plus d’impact, ce sont les pollutions terrestres et le réchauffement climatique » selon Philippe Cury, directeur de recherche à l’Institut pour la recherche et le développement (IRD), qui rajoute : « Cette pression humaine affecte directement la production en phytoplanctons qui forment la base de l’alimentation de toutes les espèces présentes ». Mais pas uniquement, faut-il préciser, puisque, comme j’ai pu l’analyser dans mon livre La Méditerranée (Mare Nostrum) – une mer assassinée, la production primaire agit aussi comme une formidable « pompe à carbone » qui piège le CO2 dans le fond des océans durant des milliers d’années. Autrement dit, les pollutions terrestres, grandement favorisées par les politiques économiques et agricoles européennes développées jusqu’alors, réduisent les ressources halieutiques et aggravent le réchauffement climatique alors qu’elles s’affichent comme un partenaire privilégié de la société civile pour la protection de la biodiversité et du climat tout en adoptant, dans les faits, des mesures qui tendent à leur destruction et/ou leur dégradation.
Diantre ! Le renard est dans le poulailler et le coq continu de chanter.
Tant que nous ne comprendrons pas cela, nous ne pourrons pas adopter les mesures correctives nécessaires pour changer de cap et retourner une situation moins délétère.
Le drame de l’histoire, c’est que nos dirigeants européens n’en ont pas encore conscience, comme en attestent leurs tergiversations concernant le glyphosate et les perturbateurs endocriniens. Or, si l’on tient compte de l’accélération de la perte de la biodiversité en Méditerranée, ne serait-ce que depuis ces dix dernières années (2007-2017) et à la vitesse où nos institutions réagissent, lorsque les données de cette étude seront prises en compte – si elles le sont un jour – et intégrées à des programmes politiques qui s’attaque véritablement aux causes de ce fléau, il ne restera plus rien à sauver en Méditerranée.
La façon dont l’Europe prend en charge la gestion de la Méditerranée, considérée comme un « haut spot » pour les changements climatiques et la biodiversité, est un parfait exemple de ce qu’il ne faut surtout pas faire si l’on souhaite parvenir à des résultats tangibles dans la résolution de problèmes. C’est un schéma qui prévaut pour toutes les politiques européennes, et plus particulièrement : la politique semencière de l’Union européenne et sa politique en matière de biocarburants ; la réglementation des pesticides et les OGM ; l’utilisation d’engrais azotés et ladite « bioéconomie » ; etc. Bref, c’est toute l’idéologie qui sous-tend la construction européenne qu’il faudrait revoir de fond en comble. C’est dire le chantier à entreprendre pour sauver cette Europe du naufrage qui la guette et qu’annoncent déjà de nombreux observateurs tant l’entêtement de ces dirigeants vire à l’obsession.
Alors de quoi s’agit-il au fond ?
Pour le comprendre et comme j’aime à le répéter souvent, il faut revenir aux sources, aux « fondamentaux » qui ont présidé à la construction de l’Europe, c’est-à-dire la politique agricole commune (PAC) basée sur un modèle productiviste et industriel avec toutes les dérives que l’on connait aujourd’hui et dont l’ampleur reste encore à mesurer (même par l’étude citée supra qui est pourtant l’une des plus complètes et des plus alarmantes jamais réalisées à ce jour). À ce schéma ubuesque se profile désormais une autre alternative qui est celle de l’agroécologie. Celle-ci promeut non pas l’uniformité, mais la diversité ; non pas les monocultures, mais les polycultures et le polyélevage ; non pas le remplacement des travailleurs agricoles par des machines pour gérer de grandes surfaces, mais un retour à l’humain pour optimiser de petites portions de terre ; etc. Ces nouvelles méthodes maximisent les interactions entre les plantes, les arbres et les animaux, en vue de limiter le recours aux intrants externes ce qui à terme bénéficie à l’ensemble des populations et de la planète.
Ce qui est en cause derrière cette concurrence entre deux modèles qui, in fine, détermine les nouveaux clivages politiques que l’on rencontre aujourd’hui, c’est en réalité une opposition plus fondamentale entre deux manières de concevoir les interactions complexes entre une logique économique et une logique écologique. La première obéissant aux lois du marché, à ses exigences intrinsèques et à ses objectifs de croissance, la seconde prenant compte de la réalité du monde actuel et le fait que nous vivons sur une planète aux ressources finies que nous atteindrons très prochainement si l’on en croit Les limites de la croissance telle que présentées par le rapport Meadows en 1972 à la demande du Club de Rome. (Un résumé très clair de ce document est accessible en visionnant l’interview de Gaël Giraud, chef économiste de l’Agence Française de Développement. À écouter TRÈS attentivement pour sortir des illusions avec lesquelles nous bercent nos politiques. Pour approfondir le sujet : conférences « Les journées de Tam dao : énergie, climat et prospérité ».)
Parallèlement à ces informations illustrant l’inconséquence et l’irresponsabilité des politiques européennes en matière de « conservation des ressources biologiques », un livre récent vient au soutien des arguments avancés ici. Il s’agit d’un ouvrage au titre évocateur : Biodiversité, quand les politiques européennes menacent le vivant, paru le 7 mars dernier et écrit par Inès Trépant qui travaille depuis 2004 au Parlement européen et dont le synopsis précise : « La protection de la biodiversité est un enjeu sociétal majeur. Cependant, l’Union européenne échoue systématiquement à répondre aux objectifs qu’elle s’est fixés en la matière. Comment expliquer cela ? Quels sont les enjeux ? Et surtout comment y remédier ?
Le modèle agricole économique européen, qui porte le sceau de l’idéologie néolibérale, et génère une perte de biodiversité en Europe avec les engrais chimiques épandus dans les champs, les plantes génétiquement modifiées et les “bios” carburants s’avère mortifère pour la biodiversité. Agriculture industrielle, dérives du “tout technologique” et mirages de la “bio”économie portent en germes des bouleversements écologiques sans précédent.
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Article de Philippe Vergnes pour le 4ème singe proposé par Stéphane
Bonjour à tous , ce qui m’étonne c’est que vous puissiez pensé qu’ils y’a encore quelque chose à sauver , c’est fini depuis un petit moment mais c’est graduelle et le temps du chaos s’en vient patience
Bonjour,
C’est très juste. Il devient grave de voir tant de gens encore croire en une espèce de Rédemption socialo-humaine. Que ce soit du point de vue alimentaire, thème du site http://www.rescommunis.net, ou de tout autre point de vue, le système est si ficelé qu’il est absolument impossible d’envisager une quelconque lumière au bout du tunnel, et encore moins une sortie par le haut.
Nous sommes dans ce tunnel, à savoir la société, pris au piège tels des rats de laboratoire et ceux qui croient voir la lumière au bout du tunnel sont finalement victimes de mirages, tels des gens déshydratés pensant trouver des oasis en plein désert aride. Lorsque le moment sera venu, les 1% les plus riches appuieront sur un bouton … et là, ce sera Game Over pour tout le monde.
En parallèle se déroule actuellement une guerre cybernétique défiant toutes les lois, dans tous les pays, et au profit d’une guerre froide 2.0 que seuls les aveugles ne peuvent pas voir.
Alors, soyons un tant soit peu sérieux et arrêtons de vivre dans cette utopie selon laquelle notre condition serait réversible. Elle ne l’est pas … et elle s’empire de jour en jour.
Concernant la faune et la flore, à l’échelle mondiale, il va de soi que nos actions envers la Nature témoignent de la plus grande bassesse d’esprit de toute l’histoire de l’humanité.
Mon optimisme est basé sur le fait que cette civilisation va s’effondrer. Mon pessimisme est, quant à lui, basé sur tout ce qu’elle va entraîner avec elle dans sa chute.
A bon entendeur ! A très bientôt, et n’hésitez pas à faire un tour sur http://www.rescommunis.net si l’alimentation, votre santé et celle de vos proches ont encore une valeur à vos yeux.
Res Communis
Si, le système changera lorsque les hommes verront qu’ils n’ont plus rien à manger alors que leur nombre augmente d’années en années, lorsque les mers ne fourniront plus de nourritures suffisantes à leur survie et à celle de leurs progénitures, lorsque les terres bourrées de pesticides deviendront stériles, lorsque les espèces animales disparaitront faute de ne plus avoir le temps de se reproduire, lorsque les cultures seront ravagées pas les sécheresses successives, lorsque les animaux d’élevages tomberont malades, lorsque les glaciers fondront laissant par là même disparaitre toute l’eau douce et inondant toutes les côtes du monde, lorsque les hommes mourront de cancers par milliers du à la mal bouffe, aux pesticides et aux émanations de c02, en un mot lorsque l’homme mourra d’une société malade !
Le système changera quand la survie sur terre sera compté et nous sommes pas loin du compte mais pour l’instant les peuples ont encore du pain et des jeux, ainsi les politiques peuvent continuer de parler de la croissance que tous les bêta pensent encore possible alors que c’est la croissance qui pollue, tue les espèces animales et détruit notre planète.
Non, notre avenir est compromise, nous devons faire des choix dés maintenant ( et pour commencer ne plus voter pour la finance et les mondialistes qui détruisent notre planète et nous utilisent pour leur unique profit ) et ces choix ne seront pas faciles mais il en va de l’avenir de la planète et des générations futures.
Nous ne pouvons pas continuer à détruire et à polluer, nous ne pouvons pas continuer comme si de rien n’était, nous ne pouvons pas continuer de reproduire sans penser que nos enfants n’auront pas le temps de fonder un foyer car ils n’auront pas d’autre choix que de réparer les erreurs de leurs anciens. Pensons-y.
« Ce n’est pas un signe de bonne santé mentale que d’être adapté à une société malade » – J.Krishnamurti
« En définitive, une partie de l’humanité s’enfonce de plus en plus dans un matérialisme démoniaque, où l’immoralité et la destruction sont les seuls moyens pour accéder à la classe dirigeante.
L’autre partie de l’humanité émerge de ce chaos, pour affirmer son identité et faire valoir ses droits à la libre pensée et à la fraternité. » Pierre Lassalle.
De quoi meurent les hommes modernes, si ce n’est déjà d’une société malade ? L’objectivité des faits mène bien à se rendre compte que la situation n’a jamais été aussi terne qu’elle ne l’est maintenant.
Comme le dit très bien Laurence, voir ci-dessous, les insurrections sont contrôlées. Portés par une masse populaire de plus en plus servile, ou moutonneuse, le chaos contrôlé instauré par le Top 1% de cette Terre n’a qu’un seul but : arriver à la société imaginée dans le superbe film Bienvenue à Gattaca d’Andrew Niccol … à savoir une société basée sur l’Eugénisme.
Disparition du cash, amenuisement quotidien des libertés et droits individuels, robotisation forcée, dématérialisation du vivant et de ce qui l’entoure, vie pressée par le temps et l’argent, matérialisme omniprésent, consumérisme sidérant, asservissement toujours plus conséquent … sont autant d’éléments, parmi d’autres, montrant l’irréversibilité de la marche dans laquelle l’humanité est désormais engagée.
Que l’humanité se dirige droit vers le plus gros krach de l’Histoire, c’est certain. Mais croire que tout ceci ne soit pas manipulé et instrumentalisé est une grosse erreur. TOUT ce qui se passe, que ce soit une guerre, une révolution ou un krach sont mis en place dans la Haute Sphère bien avant que cela ne se produise.
Rappelez-vous la conférence TedX sur les émissions de CO2 réalisée par Bill Gates, quelques années en arrière, et dans laquelle il déclarait que : « si l’on faisait du très bon boulot avec les nouveaux vaccins, les soins de santé et les soins de santé reproductive, on pourrait réduire la population de 10 à 15% ».
Dans la même lignée, voici des propos tenus par Ted Turner (milliardaire fondateur de la CNN) : « Une population totale de 250-300 millions de personnes, soit un déclin de 95% par rapport aux niveaux actuels, serait l’idéal ».
Les mots parlent d’eux-mêmes, et au vu des faits récents … tout se confirme.
Res Communis (http://www.rescommunis.net)
Le chaos, j’y ai cru mais je n’y crois plus! Les insurrections sont contrôlés, les masses sont rendues serviles.
C’est pour ça que les écologistes veulent changer l’europe
(humour froid)
Ils ne se rendent pas compte que toutes les formes de vie de notre planète sont liées ou s’en moquent.
Quoi qu’il en soit se que l’on fait subir à l’une d’entre elle, au final, se répercute sur toute les autres directement, ou indirectement.
Ce ne sont pas là croisant économique et l’argent qui les nourriront lorsque notre planète ne le pourra plus.
Il faudrait des années pour que les écosystèmes et les populations se régénèrent. Pour exemple chez moi le terrain à été tellement malmené et appauvri lorsqu’il était cultivé que même actuellement, après un bon moment, les arbres fruitiers, arbustes et légumes ont du mal à pousser. Heureusement qu’en apliquant les principes de la permeculture les choses s’arrangent progressivement.
On finira par se retrouver devant le choix de mourir de faim ou de détruire ce qui restera de nature préservée pour en exploiter les terres si cela continue.
Ces individus des hautes sphères auront eux aussi à souffrir de tout cela à moins qu’ils aient trouvé une planète de remplacement où se refugier. Dans un tel cas ils devraient y partir tout de suite et nous ficher la paix.
Ce système complètement inhumain disparaîtra qu’ils le veuillent ou non, mais quand?
Il est tellement difficile de parvenir à aider les gens à comprendre ce qui est en train de se passer à tous les niveaux…. Par exemple un de mes collègues de travail ne comprenant pas pourquoi j’ai fait le choix de ne pas participer à la mascarade des élections, et ce depuis longtemps, j’ai fini, afin de tenter de lui faire subir un électrochoc, par lui parler de la charte des droits sexuels concernant les enfants. La seule chose qu’il a réussi à me dire était que se n’était pas un problème politique mais moral et religieux. Or je lui avais demandé pourquoi ce genre de dérive n’était pas dénoncée par nos politiques. Je rappelle que c’est bien au niveau politique que ce genre de charte, et autre, est décidée et où acceptée avant de nous être imposée.
Mais ne perdons pas espoir….