La banque française va enregistrer au quatrième trimestre 2012 pour 2,676 milliards d’euros de dépréciations d’écarts d’acquisition.
La banque française a beaucoup investi dans les acquisitions. (photo: Keystone)
Déjà en perte nette de 2,48 milliards d’euros sur les neuf premiers mois de l’année, l’entité cotée de la banque verte devrait dégager en 2012 la perte la plus importante de son histoire. Les écarts d’acquisition représentent la différence entre le montant payé pour acquérir une société et la valeur comptable de ce même actif. Friand d’acquisitions durant les six premières années de sa cotation (de 2001 à 2007), Crédit Agricole SA affichait, fin septembre, pour 17,4 milliards d’euros d’écarts d’acquisition.
Il a choisi de réduire ce montant de 2,6 milliards au cours du dernier trimestre de 2012, mais aussi de déprécier sa participation de 20,2% au capital de la banque portugaise BES, à hauteur de 267 millions. Toujours sur cette dernière séquence comptable de l’exercice, Crédit Agricole SA a fait face à un effet négatif de 850 millions d’euros sur son produit net bancaire (PNB) lié à la réévaluation de sa dette.
Éléments exceptionnels
Lorsque les conditions de marché s’améliorent, la valeur de marché de la dette de la banque s’apprécie car les investisseurs considèrent que la probabilité de son remboursement est plus élevée. Elle doit alors l’intégrer dans ses comptes, ce qui ampute son résultat. Deux autres éléments exceptionnels marqueront également le quatrième trimestre.
D’abord une charge d’impôt de 130 millions d’euros au titre de la taxe exceptionnelle (exit tax) sur les réserves de capitalisation des compagnies d’assurance. Ensuite l’impact négatif lié à la dépréciation de la valeur des titres de la SAS Rue La Boétie (qui contrôle Crédit Agricole SA) par les caisses régionales du groupe, annoncée le 25 janvier.
Cette dépréciation va diminuer le résultat de chaque caisse régionale et abaisser mécaniquement leur contribution au résultat de Crédit Agricole SA et la minorer de 160 millions d’euros. Au total, ces éléments exceptionnels grèveront le résultat du quatrième trimestre d’environ 3,8 milliards d’euros.
Source: L’essentiel
Et le Libor dans tout ça ?
C’est une légende.
ils nous font croire que le LIBOR c’est etc etc etc,tout est enfumage,ils ont possession des biens de toutes sortes et se croient PROPRIÉTAIRES de la planète,cons comme ils sont ils croient que c’est eux qui font tourner les Galaxies ,voyez BAMBI F Hollande comme Président ha haha ,heu ce mec est Président ? scuse me please,vous êtes CERTAIN que CE TYPE EST PRÉSIDENT de la FRANCE ?
NON D’UN CAMEMBERT HIHIHIHIHIHI
Rapport à la légende de Musashi.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Miyamoto_Musashi
je vais pas tout vous expliquer à chaque foi !