Nous sommes nombreux à ne pas faire confiance aux autorités, qui multiplient les annonces rassurantes deux fois par jour! J’ai tenté depuis, de réunir tout ce que pouvais trouver. Tout va bien nous dit on! alors pourquoi la CRIIRAD, organisme indépendant rue t-elle dans les brancards??
Une pétition devrait être en ligne prochainement! il est scandaleux que les VRAIES mesures ne nous soient pas données, alors qu’elles sont financées avec notre argent! SIGNONS TOUTES ET TOUS, IL EN VA DE LA VIE DE NOS ENFANTS, Nous sommes en droit de nous poser la question….”sont elles si dangereuses, qu’ils les gardent secrètes??”
Réponse ci-dessous:
Les chiffres relatifs à la contamination de l’air existent
mais ils sont confisqués par les Etats !
La publication des données du réseau CTBTO1 ainsi que des installations nucléaires nord américaines nous aurait renseigné précisément sur les niveaux de contamination de l’air et nous aurait permis d’évaluer de façon fiable les niveaux de risque bien avant que les masses d’air contaminé n’arrivent sur l’Europe.
La CRIIRAD lance un appel international, invitant citoyens, associations, scientifiques, élus de tous pays à se mobiliser à ses côtés afin d’exiger que les résultats relatifs à la contamination radioactive de l’air, obtenus grâce à l’argent public, soient mis à disposition du public ET SERVENT A SA PROTECTION.Pas de données interprétables pour l’Amérique du nord !
Plus de 10 jours après le début des rejets radioactifs, les masses d’air contaminé ont traversé des pays aussi étendus que les Etats-Unis et le Canada, des pays qui disposent d’équipements performants, leur permettant d’évaluer précisément l’activité volumique2 de chacun des radionucléides présents, en tout cas des plus problématiques d’un point de vue sanitaire.
Or, en dépit des recherches conduites depuis plusieurs jours, la CRIIRAD n’a trouvé aucun chiffre sur la contamination de l’air.
Ne sont accessibles que des résultats sur les débits de dose ou les taux d’émissions de rayonnements bêta et gamma, qui ne permettent pas d’évaluer le
niveau de risque. Ils ne permettent d’ailleurs même pas d’établir une relation certaine entre l’élévation des valeurs et le passage des masses d’air contaminé.
La CRIIRAD va adresser, aux ambassades de ces deux pays, des demandes officielles pour que soient publiés dans les meilleurs délais les résultats que détiennent forcément les exploitants d’installations nucléaires, qu’elles soient civiles ou militaires.Précisons à cet égard que les balises de l’IRSN implantées à Saint-Pierre et Miquelon, en Martinique et en Guadeloupe ne mesurent que le niveau de rayonnement (les débits de dose exprimés en μSv/h). Ces
résultats ne permettent pas d’évaluer les risques.Black-out international
A la recherche de stations de mesures intermédiaires entre le Japon et la France, le laboratoire de la CRIIRAD s’est tourné vers le réseau mis en place par l’Organisation du Traité d’Interdiction Complète des Essais nucléaires (OTICE) 1.
Il s’agit de stations de mesure réparties sur l’ensemble de la planète et qui enregistrent divers paramètres afin de contrôler qu’aucun essai nucléaire souterrain n’est effectué en violation des dispositions du traité (cf. Corée du Nord). Elles mesurent plusieurs paramètres : données sismiques, hydroacoustiques, infrasoniques et radionucléides. Une soixantaine de stations sont équipées de laboratoires d’analyses radiologiques. Elles sont capables de mesurer de très faibles niveaux de contamination dans l’air car l’une de leurs missions est de mesurer la contamination consécutive aux essais nucléaires atmosphériques
Ces laboratoires disposent de systèmes de détection de la radioactivité parfaitement adaptés à l’identification et à la quantification des produits radioactifs présents dans les masses d’air contaminé par les rejets radioactifs de la centrale nucléaire de Fukushima Daiichi.
Le samedi 19 mars, la CRIIRAD adressait donc une demande de communication de résultats à Mme THUNBORG, responsable de l’information publique à l’OTICE. Elle nous répondait le lendemain soir qu’elle transmettait notre demande à la division en charge de la sécurité des données (3). Le lundi, faute de réponse, la CRIIRAD réitérait sa demande en insistant sur l’urgence de la situation et en précisant que faute de réponse rapide elle dénoncerait publiquement la situation. Mme THUNBORG nous conseillait par retour de nous adresser aux autorités françaises et, soucieuse de nous aider, nous orientait vers des articles où des institutions autrichiennes, suédoises ou allemandes qui ont accès aux données avaient laissé filtrer quelques résultats. Nous obtenions ainsi quelques données mais trop parcellaires et impossible à corréler dans l’espace et dans le temps.
Deux heures plus tard, un courriel de M. SCOTTI (4), nous indiquait que Les données collectées par le réseau des stations du STP ne peuvent être communiquées qu’aux correspondants (centres de données nationaux) désignés par les Etats Signataires du TICE. Pour la France, l’organisme destinataire de ces données est le Commissariat à l’Energie Atomique. Le responsable du laboratoire de la CRIIRAD s’adressait le jour même au CEA : Je vous serais reconnaissant de m’indiquer comment la CRIIRAD peut avoir accès, dans les meilleurs délais, aux données collectées par les stations de surveillance du réseau de l’OTICE, en particulier en ce qui concerne les radionucléides (notamment Cs137 et I131, Sr 90, gaz rares, tritium, transuraniens). Il s’agit pour nous d’affiner les prévisions concernant l’impact des rejets du site de Fukushima et de répondre aux inquiétudes du public français.
La réponse nous parvenait le lendemain en milieu de journée : aucune donnée ne nous sera communiquée. Le réseau international de mesure obéit à des règles de confidentialité définies strictement par les Etats membres du traité d’Interdiction Complète des Essais. Les données sont donc uniquement transmises à des points de contact nationaux nommés par les Etats qui en font une analyse dans l’objectif du Traité, à savoir détecter tout essai nucléaire qui aurait été mené en contradiction avec l’engagement des États ayant ratifié le TICE.
Pour la France, il s’agit du Commissariat à l’Energie Atomique (CEA), organisme en charge du développement des activités nucléaires militaires et civiles.
La réponse indiquait en outre que Suite à l’accident de Fukushima, à la demande des États signataires du TICE, les données sur l’activité des radionucléides sont transmises à l’Agence Internationale de l’Energie Atomique (AIEA) et à l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS). Les équipes de ces deux organisations en charge des aspects sûreté et radioprotection peuvent ainsi les utiliser en complément de l’ensemble des données fournies par les États, pour établir les évaluations nécessaires à la protection des personnes susceptibles d’être concernées par les retombées de l’accident. ». Or, ni l’AIEA, ni l’OMS n’ont rendu publics ces résultats.
Il faut dire que l’AIEA a en charge la promotion des activités nucléaires civiles (voir statuts) (5) et que l’OMS qui est normalement en charge de la santé publique a signé avec l’AIEA, dès 1959, un accord qui dispose que les deux agences agiront en coopération étroite et se consulteront régulièrement.
BILAN : depuis plus de 10 jours, la centrale nucléaire de FUKUSHIMA DAIICHI rejette des produits radioactifs dans l’atmosphère : ces rejets ne sont ni maîtrisés ni quantifiés. Dans le même temps des stations de mesures réparties sur l’ensemble de notre planète enregistrent les niveaux de radioactivité de l’air et suivent pas à pas l’évolution de la radioactivité dans l’espace et dans le temps… mais veillent jalousement à ce que ces données restent secrètes.
Cette situation est choquante en temps normal, totalement inacceptable en situation d’urgence radiologique. Et d’autant plus inacceptable que ce réseau de mesure est financé par l’argent public !
Les Etats cotisent en effet à hauteur de 55 700 000 € pour faire fonctionner les stations de mesure. Les citoyens américains respirent depuis le 17 mars dernier les particules radioactives rejetées par les réacteurs nucléaires et les piscines de stockage de combustible irradié de la centrale de FUKUSHIMA DAIICHI. Premiers contributeurs au budget du réseau, ils apprécieront de n’avoir strictement aucune donnée en contrepartie de leurs 12 millions d’euros. Un sacré marché de dupes. A noter qu’avec un versement de 3 600 000 €, les Français ne sont pas mieux lotis.
La CRIIRAD reçoit des centaines d’appels de personnes inquiètes de la contamination de l’air qu’elles respirent, inquiètes pour elles-mêmes et surtout pour leurs enfants. Elle aimerait informer correctement, et si possible rassurer, mais sur des bases solides, tous ses correspondants, qu’ils habitent le Finistère, la Martinique ou la Corée du Sud. Elle invite chaque citoyen, chaque association, chaque scientifique, chaque élus… à se mobiliser pour obtenir la levée du secret sur les niveaux de contamination de l’air. Une pétition sera prochainement mise en ligne pour collecter des signatures sur la France mais chacun peut d’ores-et déjà relayer la mobilisation à l’étranger et intervenir auprès des autorités de son pays pour dénoncer la situation.
1- Le CTBTO –Comprehensive Nuclear-Test-Ban Treaty Organisation – est une organisation mise en place dans le cadre du traité d’interdiction totale des essais nucléaires (TICE en français), accord multilatéral ouvert à la signature le 24 septembre 1996 www.ctbto.org
2 – L’activité volumique s’exprime en becquerels par mètre cube d’air (notée Bq/m3). Elle renseigne sur le nombre de désintégrations qui se produisent par unité de temps et de volume. Une valeur de 15 Bq/m3 signifie que dans un mètre cube d’air, à chaque seconde, 15 noyaux d’atomes radioactifs se désintègrent en émettant des rayonnements ionisants. Cette valeur décroît en fonction de la période radioactive du radionucléide considéré. La période correspond au temps au bout duquel l’activité est divisée par 2 : 8 jours pour l’iode 131 ; 30 ans pour le césium 137 ; 2 ans pour le césium 134.
3 I have forwarded your request to the Division responsible for the Secure data. They will get back to you in regards to your inquiry. Best regards, Annika THUNBORG, Spokesperson and Chief of Public Information, Preparatory Commission for the Comprehensive Nuclear-Test-Ban Treaty Organization (CTBTO), UN, Vienna, Austria.
4 M. Lucien SCOTTI, Conseiller, Représentation Permanente de la France auprès des Nations Unies et des Organisations Internationales à Vienne
5 Article 2 des statuts de l’AIEA : L’Agence s’efforce de hâter et d’accroître la contribution de l’énergie atomique à la paix, la santé et la prospérité dans le monde entier. Elle s’assure, dans la mesure de ses moyens, que l’aide fournie par elle-même ou à sa demande ou sous sa direction ou sous son contrôle n’est pas utilisée de manière à servir à des fins militaires.
http://www.criirad.org/actualites/dossier2011/japon/11_03_23_Volet1de r.pdfArticle complété sur le site médiapart.fr
source boursorama.com nibiru-investigationEt comme la connerie est universelle, qu’au lieu de bannir les causes, on préfère s’en protéger, voilà que ce que les Russes envisagent…..
Le gouvernement Russe a décidé de lancer la construction de 5.000 abris anti-atomiques supplémentaires afin de pouvoir abriter toute la population de Moscou dans l’éventualité d’une attaque nucléaire ou d’une autre catastrophe de grande ampleur. Le programme est assez serré et plutôt pressé, les architectes mandatés devant concevoir des prototypes uniformes d’abris pouvant être déployés rapidement. Le calendrier prévoit que les plans soient terminés d’ici la fin 2012.
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C’est enfoirés nous refont le coup du nuage de Tchernobyl à leur sauce! S’ils dissimulent les données c’est que celles-ci sont peut être plus alarmantes que ce qu’ils veulent bien nous le dire!
Elles peuvent l’être…135 tonnes de matières radioactives à l’air libre avec un peu de plutonium….ça devrait en effet inquiéter…Mais il faut que les bourses tiennent et donc perpétuer le mensonge que tout va très bien madame la marquise…Le gouvernement japonais a déjà débloquer 200 milliards d’Euros pour éviter un effondrement boursier…et combien pour le peuple japonais…?
Il ne faudrait pas omettre que les rejets continuent de plus belle, et que le nuage ou maintenant “”panache” va rester en l’air et en continu, puisque la source n’est toujours pas stoppée! c’est je crois la raison de la colère de tous, car nous ne sommes pas stupides au point de croire que, ce fichu nuage nous a survolés et c’est dirigé ailleurs.
Donc! si on raisonne de façon primitive ( ben oui! on est si cons….et pas scientifiques!!) ce sont l’accumulation des retombées, qui poseront problème à partir d’un certain seuil, si on rajoute la radioactivité due au nuage de Tchernobyl, et dans le sud il y a des endroits où elle est assez élevée, on va se retrouver avec des valeurs, qui n’auront rien à voir avec leurs mesures. (si un “scientifique” passe par là, je le remercie de m’expliquer, si je me trompe et pourquoi!)
Au passage, EDF demande une augmentation de 30% répartie jusqu’en 2015, je croyais que le nucléaire n’était pas cher! donc! non seulement l’électricité va coûter beaucoup plus chère mais en prime, nous aurons le risque nucléaire………
Où est passée la “jolie” pub d’Aréva sur le nucléaire propre………………………depuis le désastre, je ne l’ai plus vue, à moins que je n’ai pas fais attention!
on nous dit aujourd’hui les niveau de radiation sur la France seront aux moins 10 000 fois moins importante que l’or du passage du nuage de Tchernobyl
a l’époque il disaient il y a rien a craindre !!! çà fait rire ça veut dire que pour eux 10 000 foi plus que la normal c’est rien !!!
Honte Honte , je ne puis rien ajouter !
En tout cas mille mercis à Voltigeur et c° au moins un site qui nous dit la vérité !
Bonjour Roland ,
http://www.ddmagazine.com/201103242165/Actualites-du-developpement-durable/Fukushima-combien-de-Tchernobyl.html
c est tout de même bizarre l Autriche ne banalise pas …
Très bon article soit dit en passant! Et les articles sur le côtés également, ça vaut toujours le coup d’y jeter un oeil!
PLUS LE MENSONGE EST GROS plus la couleuvre est digeste !
Si quelqu’un avale des couleuvres, c’est qu’il leur trouve bon goût, non ? Comme quoi, les goûts et les couleuvres…
La deuxième signification proposée, la moderne, est une évolution de la première qui, selon Furetière, existait au XVIIe siècle.
En effet, en partant de quelqu’un qui est obligé d’accepter ce qu’on lui propose ou inflige sans pouvoir le refuser ou le contester, et celui qui finit par gober n’importe quoi sans émettre la moindre objection, il n’y a qu’une petite distance à franchir.
Chateaubriand et Mme de Sévigné ont souvent utilisé cette expression.
Devoir accepter de subir des choses désagréables sans rechigner était autrefois le lot de toutes les personnes en position d’infériorité (comme le personnel de maison, par exemple).
Mais cela n’explique pas le lien avec nos charmants serpents.
Une des deux origines souvent citées viendrait d’une époque où les anguilles étaient très présentes dans nos rivières et servaient de plat commun.
Il est donc possible que certains hôtes facétieux ou désirant se venger de quelque chose, aient servi à leurs invités quelques couleuvres mélées aux anguilles d’apparence très proche. Et soit les invités ne s’en rendaient pas compte, montrant ainsi qu’il ‘gobaient’ n’importe quoi, soit ils s’apercevaient de la chose mais ils restaient bouche cousue pour ne pas faire d’esclandre ou ne pas se fâcher avec leur hôte.
Une autre origine, la plus probable, vient d’une ancienne signification de ‘couleuvre’ qui désignait aussi une insinuation perfide, le genre de chose à laquelle il n’est pas toujours simple de répondre et qu’on doit alors subir sans piper mot.
Ce sens du mot était bien entendu lié au comportement du serpent, cet animal qui a convaincu Ève de croquer la pomme.
Cet emploi aurait été renforcé par la confusion avec ‘couleur’ qui, du XVe au XVIIe siècle désignait une fausse apparence, encore symbole de perfidie (une bonne couche de peinture peut dissimuler bien des défauts).
Conspipedia : Je crois que c’est le même texte que celui que vous affichez par Médiapart. Il y a en plus, au bas, une VIDEO d’Alex JONES sur la LIBYE.
Les Etats confisquent les chiffres relatifs à la contamination Nucléaire.
24 mars 2011 – Auteur : Sabo.
La publication des données du réseau CTBTO (1) ainsi que des installations nucléaires nord américaines nous aurait renseigné précisément sur les niveaux de contamination de l’air et nous aurait permis d’évaluer de façon fiable les niveaux de risque, bien avant, que les masses d’air contaminé n’arrivent sur l’Europe.
La CRIIRAD lance un Appel international, invitant citoyens, associations, scientifiques, élus… de tous pays à se mobiliser à ses côtés afin d’exiger que les résultats relatifs à la contamination radioactive de l’air, obtenus grâce à l’argent public, soient mis à disposition du public ET SERVENT A SA PROTECTION 1 – Pas de données interprétables pour l’Amérique du nord !
http://www.conspipedia.fr
http://www.agoravox.fr/actualites/international/article/les-etats-confisquent-les-chiffres-91175
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si au moins on pouvait se dire que la fin de l’espece humaine marquerait la fin des hostilites contre notre bonne mere la terre et ses habitants naturels… mais non , meme pas , apres nous et sans nous persistera le poison . pas de salut pour l’etre humain , meme pas pour celui qui rendait grace à cette genereuse planete ! …