Brexit: France Info explique que Churchill rêvait de la création des Etats-Unis d’Europe… sans la Grande-Bretagne

L’histoire se confirmerait-elle? Et que peut-on réellement penser de ce Brexit? Une belle histoire qui permet au Royaume-Uni de se libérer de la dictature européenne ou est-ce une volonté afin que la finance anglo-saxonne échappe à l’emprise européenne? Car si l’on nous présente cela comme une catastrophe et l’éclatement inévitable de l’Europe, le projet de construire une autre Europe se confirme, ce qui ne promet rien de vraiment bon…

C’est donc officiel, ce n’est même plus une déclarations qui peut être rangée dans les théories du complot, les « États-Unis d’Europe » doivent se mettre en place sans le Royaume-Uni, et ça, c’est France Info qui le dit!

235077995-jpgLa vidéo est très claire, mais combien on ignoré ces propos?

 

 

5 Commentaires

  1. JBL1960
    lundi 27 juin 2016 à 22 h 56 min

    Saviez-vous que WC avait failli se convertir à l’Islam ? Tenez, j’avais lu ça y’a un moment et ce sujet me l’a remis en mémoire = http://www.lepoint.fr/histoire/quand-la-famille-de-churchill-redoutait-qu-il-se-convertisse-a-l-islam-31-12-2014-1893247_1615.php

  3. Bob
    lundi 27 juin 2016 à 23 h 32 min

    Pas incompatible avec la vision de Thierry Meyssan :
    http://www.voltairenet.org/article192496.html
    Au final, les Anglais préservent toujours leurs intérêts. Et nous ?

  4. gneu
    lundi 27 juin 2016 à 23 h 45 min

    Ben ouai, ça me parait clair.
    C’est la royauté anglaise et ses amis amerlocs qui ont favorisé l’émergence de la dictature européenne dès la fin de la seconde guerre mondiale. Logique que les anglais se soustraient de cette dictature qu’ils ont crée pour lui échapper et ainsi conserver leur souveraineté et leur domination.
    C’est un peu comme si dans un jeu, l’organisateur faisait partie des joueurs au début, pour expliquer aux autres comment ça fonctionne, et une fois qu’ils ont pigés, il redevient juste ce qu’il est : l’organisateur. Plus aucun risque de perdre lorsqu’on est l’organisateur (ou la banque du monopoly…)

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