Avec cette loi que les éditeurs de presse voulaient par dessus tout, puisque nous savons qu’ils sont tous sous perfusion, financés par l’argent public. Ils doivent être contents, en visant les GAFAM qui devront payer pour reprendre les liens et infos, ce sont les médias alternatifs, sans moyens qui seront muselés. Plus personne ne pourra détourner une info pour en rire, faire des vidéos avec des images ou extraits musique pour informer. Vendre leur âme au diable, ne leur pose pas de problème. Qu’elle est la stratégie à mettre en place pour pouvoir continuer ? C’est le devoir de tout citoyen attaché à la liberté, de la défendre. Ne restez pas muets, il en va de vos droits et liberté, rejoignez nombreux la Quadrature du Net, selon vos compétences vous y serez d’une grande utilité . Donnez vos avis et idées, pour qu’ il y ait toujours des espaces de liberté, où vous pourrez vous exprimer. N’oubliez pas que vous pouvez même modestement, contribuer en soutenant vos sites préférés. En restant passifs vous accepter les chaînes dictatoriales. Partagez ! Volti
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Source Mr Mondialisation
En adoptant une directive controversée sur le droit d’auteur, dont le filtrage à l’upload, le Parlement européen se plie aux exigences des éditeurs de presse et de l’industrie du divertissement. Les dispositions, si elles devaient entrer en vigueur de manière définitive, changeraient radicalement le visage d’internet avec le risque d’un coup de grâce pour le « libre » et ses plateformes alternatives.
Les plateformes web devront-elles bientôt payer à chaque fois qu’elles utilisent un simple lien ou citent un article externe ? Les contenus artistiques seront-ils filtrés strictement par les plateformes d’hébergement avant leur mise en ligne avec tous les risques que cela comporte ? C’est précisément ce qui approche, s’alertent les associations de défense des libertés sur internet, au lendemain de l’adoption par le Parlement européen d’une directive jugée répressive et dont les articles 11 et 13 sont au centre de la polémique. La directive, largement approuvée avec 438 voix contre 226, ouvre la voie aux négociations avec le Conseil de l’Union européenne et la Commission européenne afin de s’accorder sur un texte définitif qui sera alors à nouveau soumis au Parlement. Il reste donc une étroite marge de manœuvre pour que les opposants fassent entendre leur voix avant qu’il ne soit trop tard.
Parmi les députés français, le taux de votes favorables était l’un des plus élevés au sein de l’UE. En Allemagne, l’opinion des élus était plus partagée, alors que la Finlande et la Suède ont voté contre (voir la répartition des voix ici). Les premières discussions à propos du texte remontent à 2015 et ont été l’occasion de vifs échanges à propos de l’avenir d’internet. Les débats, qui avaient pourtant commencé avec la publication d’un rapport de l’eurodéputée Julia Reda contenant des propositions afin de favoriser les partages et les échanges sur internet, ont été finalement dominés par les éditeurs de presse et l’industrie du divertissement. Le fond du débat fut ainsi renversé non pas dans l’intérêt des utilisateurs ou d’un internet libre, mais de ces géants de la production de contenus.
Reaction to today’s vote: European Parliament endorses #uploadfilters and #linktax – a severe blow to the free and open internet https://t.co/Q6HaFkkbdU pic.twitter.com/4MhfZZUD9W
— Julia Reda (@Senficon) September 12, 2018
« Droit voisin » : les éditeurs de presse veulent l’argent du beurre des GAFAM
L’article 11, unanimement soutenu par les médias si bien que le scandale n’a que peu fuité dans l’opinion, crée un droit voisin au profit des éditeurs de presse en leur permettant d’exiger une rémunération lorsque leurs contenus sont partagés par les services d’agrégation de nouvelles. En résumé : taxer le partage de liens. L’idée de taxer Google pour le partage de simples liens semblait séduisante pour les eurodéputés. Mais de nombreux observateurs craignent que cet article assez flou remette également en cause le fonctionnement de sites comme Wikipédia qui reposent également sur l’utilisation importante de sources extérieures et de citations. Pour les opposants au texte, comme la députée Julia Reda, c’est l’internet libre et ouvert à tous qui est en danger. En effet, le web et les réseaux sociaux, libres ou non, reposent sur l’idée du partage libre de l’information, donc des liens qui font référence à ces contenus. Les éditeurs de presse et l’industrie du divertissement de la culture, qui se sont prononcés pour leur part en majorité en faveur du texte, espèrent quant à eux que ces nouvelles dispositions puissent être la source de revenus supplémentaires, en particulier auprès des GAFAM.
Pour la presse mainstream, qui rencontre des difficultés financières de plus en plus importantes et a globalement manqué sa transition numérique, on comprend aisément que l’enjeu soit de taille : il s’agit de grappiller quelques miettes à des géants comme Facebook, quitte à remettre en question les fondements du web. Mais ces taxes sont-elles vraiment la bonne solution ? Ce n’est pas l’avis de la Quadrature du net, qui analyse que l’une des conséquences insidieuses de ce texte pourrait être, au contraire, le renforcement de la dépendance de la presse vis-à-vis des GAFAM. Rappelons que Facebook et Google financent déjà en partie la presse mainstream depuis quelque temps (donc, non-alternative) tout en prétendant rester dans un rapport de neutralité.
Un communiqué publié ce 12 septembre explique : « Les éditeurs de presse […] exigent aujourd’hui que Facebook et Google les financent en les payant pour chaque extrait d’article cité sur leur service. Mais quand les revenus du Monde ou du Figaro dépendront des revenus de Google ou de Facebook, combien de temps encore pourrons-nous lire dans ces journaux des critiques de ces géants ? Plutôt que de s’adapter, les éditeurs de presse préfèrent renoncer entièrement à leur indépendance […] ». En termes simples, un pacte avec le diable – qui remettra un peu plus l’indépendance de la presse en question – semble plus facile qu’une remise en question du modèle de celle-ci. Évidemment, les médias alternatifs resteront quant à eux sur le carreau.
Qui plus est, comme Google l’avait déjà fait en Espagne en réponse à une loi nationale de même type, il n’est pas exclu, comme le soulève « Médiapart » que les géants du web préfèrent fermer leurs services d’information que de payer cette link-tax (taxe au lien). Et pour cause, des géants comme Facebook se moquent bien, sans le dire, que les médias soient présents ou pas sur leur plateforme, d’autant que les contenus les plus racoleurs (buzz) sont plus efficaces pour les annonceurs, contrairement aux articles de presse très peu lus et partagés. Ainsi, les éditeurs de presse prennent un très gros risque, pour eux comme pour la libre information, dans l’espoir d’un éventuel nouveau gain financier. Que feront alors les éditeurs de presse dont une bonne partie du flux dépend de ces plateformes ?Filtrage automatique des contenus sur les sites d’hébergement de vidéos
L’article 13, le second à faire polémique, obligerait les réseaux sociaux à empêcher les utilisateurs à publier des contenus jugés sous copyright. En d’autres termes, il appartiendra à des géants comme Facebook de vérifier et filtrer l’ensemble des contenus avant leur mise en ligne. Aujourd’hui, les hébergeurs ne sont tenus de supprimer un contenu protégé qu’après que ce dernier leur a été signalé avec raison, ce qui laisse une marge de manœuvre acceptable. L’article 13 inverse donc la logique. À l’image de Youtube, les contenus seraient filtrés et bloqués à la source. Outre le fait que les robots « vérificateurs » ont souvent tendance à filtrer des contenus qui n’auraient jamais dû l’être, on pense également aux Youtubeurs, critiques ou intellectuels dont beaucoup se sont fait une spécialité de parodier, de détourner les images ou simplement d’informer les citoyens. La liberté d’expression de ces derniers serait fortement remise en cause au nom du droit d’auteur. À titre d’exemple, quelques secondes d’une musique protégée en arrière-plan d’une conférence, ou quelques images d’un reportage ou d’un film pour illustrer une critique, précipiterait la suppression totale de l’information, donc de la parole de celui qui la porte. Une approche qui n’est pas juste absurde ou liberticide, mais dangereuse pour la liberté d’informer sur Internet.
D’autres s’interrogent sur les conséquences de cette mesure pour les petites plateformes alternatives, qui auront de grandes difficultés à se munir d’un tel système de contrôle. En effet, un tel système réclame des moyens techniques de pointe et coûteux. Par ailleurs, les plateformes « libres » s’opposent par définition à un web filtré sous des règles avant tout commerciales. « L’article 13, met en danger les alternatives comme Peertube (alternative libre et décentralisée développée par Framasoft, Ndlr) qui permettraient aux citoyens et citoyennes de s’autonomiser contre les géants du web. Nous serions contraints de développer une solution technique de filtrage ou alors d’avoir recours à un acteur externe, mais qui ? », analyse Pouhiou, salarié chez Framasoft. « Cette loi est le meilleur moyen de détruire ce qu’on est en train de construire », s’inquiète-t-il.
Autre point, la rémunération des artistes évoquée elle aussi à l’article 13. La nouvelle directive pourrait obliger les plateformes comme Youtube à négocier des accords de licence avec la Sacem et/ou les grands distributeurs. Mais comme le pointe « Les jours », la problématique de la rémunération des artistes n’en sera pas pour autant réglée, car rien n’impose pour le moment que ces nouveaux contrats profitent aux créateurs. Les grandes maisons de production risquent donc d’être les premiers, voire les seuls, à véritablement en profiter (une fois encore).
Alors que la nouvelle directive bouleversa l’architecture du web, il se pourrait bien qu’elle passe à côté de l’essentiel. Les GAFAM conserveront leur toute-puissance, distribuant éventuellement « quelques miettes » aux éditeurs de presse. Pendant ce temps, les alternatives se verront confrontées à de nouveaux verrous et les artistes, au nom desquels la loi est votée, resteront sur le banc de touche. Une vision politicienne archaïque de ce qu’est l’Internet menace à nouveau ses fondements, cherchant à enraciner un peu plus les logiques marchandes dans la diffusion de l’information.
Reste désormais une infime marge de manœuvre pour faire infléchir la décision sous le regard du Conseil de l’Union européenne et de la Commission européenne. Mais la pression citoyenne sera-t-elle au rendez-vous ? Les citoyens seront-ils seulement informés ? Rien n’est moins certain alors que l’ensemble des éditeurs de presse, à quelques rares exceptions, soutiennent cette directive dans leurs publications.
L’avis tranché de Vincent Flibustier :
Ils sont en train de buter Internet et en silence. Le 11 septembre 2001 a marqué l’histoire. Le 12 septembre 2018 la marquera aussi si on ne fait rien.LISEZ ÇA, INFORMEZ VOUS: https://www.laquadrature.net/fr/droit_auteur_12_sept
https://www.laquadrature.net/fr/capitalisme_informationnel
Publiée par Vincent Flibustier sur Mercredi 12 septembre 2018
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ça doit faire depuis le temps que je suis incrit sur le blog que j’ai dit qu’il allait falloir migrer ou créer un autre protocole pour garder un certaine liberté.
Il sagit avant tout de fermer les portes aux contradicteurs du systèmes.
C’est très bien, qu’ils continuent comme ça, à tout vouloir, ils finiront par ne plus rien avoir du tout et mourront dans l’indifférence générale.
Ma contribution ne sera pas de me battre contre des moulins à vent, je préfère les laisser crever.
Les sites d’information sérieux basculeront sur du .onion avec la vrai dissidence.
Moi je m’organise à la mise en place de ma déconnexion.
Un site miroir avec une adresse en « .onion » pour les Moutons Enragés ne serait pas une mauvaise chose si l’on veut pouvoir continuer à informer hors censure. Pour y accéder, il suffirait à l’utilisateur d’installer le navigateur « Tor » sur sa machine …
M.G.
N’oublie pas que déconnexion rime avec connexion.
Mettons qu’un jour , les IA se mettent à faire des listes.
Elle va donc être plus rapide que l’humain, donc une fois au point, les effectifs humains fondront.
Si tu es off the grid, tu seras éventuellement suspect, et on détachera éventuelleme’t des moyens humains.
Si t’as un historique et un comportement internet de beauf, l’IA passera son chemin (Person of Interest)
Je vais commettre un nouveau crime : Un lien vers une conference sur Youtube
Qui cherche à controler internet? Benjamin Bayart sur les moines-copieurs de DVD et la protection des oeuvres par les droits d’auteurs
la SACEM, pour des droits d’auteurs,relatant propagande,manipulation,mensonge,trahison?
ça me fait penser à cette époque lointaine où,les doubles lecteur K7
audio sont apparus,tout comme le magnétoscope (non,ce n’est pas un appareil médical)
beaucoup voulaient mettre une taxe sur ces copies privées,ils ont fini par se rabattre
sur les magasins diffusant des listes pré établies.. par la sacem
ne vous inquietez pas la taxe est payé par ceux qui passent la caisse de chacun de ces magasins bruyants,qui vous diffuse le tuyau de l’été,ou le tube ça dépends,de la taille
https://www.youtube.com/watch?v=tGOHcAKApB4
5 commentaires pour lutter contre la dictature et la censure, c’est vraiment dérisoire. Ce n’est pas encore aujourd’hui que les « enragés » donneront de la voix pour protester. Ils ont vraiment bien travailler, ceux qui nous coûtent cher et sont censés nous représenter, tous vendus et ils obligent tout le monde à se mettre à genoux, tout en douceur et en profondeur, centimètre par centimètre avec le camion de vaseline qui va bien. Affligeant. 🙁
Oui mais c’est virtuel 🙂
Je ne sais pas si tout le monde, mesure le danger de cette loi. Il restera face de bouc, touitter et le flicage généralisé. Bof!! après tout, on a les inutiles nantis, bouffis d’orgueil, que l’on mérite. Ils vivent dans l’entre-soi, sans travailler à défendre ceux qui les payent, et préfèrent caresser les « généreux » géants plein de fric. C’est pas dit que ces géants ouvrent leurs bourses… Les news, ils n’en ont rien à faire, ils préfèrent inonder de pubs et avoir des clients… 🙁
le danger,c’est la fin annoncée des journalistes indépendants,
la muselière des blogs et des sites de libre opinion
on pourrait même extrapoler jusqu’au blogs DIY,par exemple pour concurrence deloyale sur la lessive fait maison.
comme pour la tv bientôt une taxe sur les m² de potager
ils sont capable de tout,c’est une constante
Il est encore temps de se coller dans le deepweb pour contrer la censure …
M.G.
une porte de sortie provisoire,éventuellement
mais qui finira comme le web,avec des nids de blogs et de sites sans queue ni tête,prétendant représenter la dissidence et puis se gaver de ce qui sort déjà sur le net,c’est rébarbatif.
mieux vaut s’impliquer dans sa vie,que dans celle des autres,surtout ceux là
» ils sont capable de tout,c’est une constante »
Voila un terme qui « condense » bien l’imposture des humains évolués qui gouvernent .
oui,petit principe de précaution général,
appliqué aux gouvernants,il prend une autre dimension,bien plus révélatrice de leurs manipulations
Et voila, le piége se referme sur son inventeur….il serais temps de repenser une nouvelle forme d’internet, au codage personnalisable, modifiable a volonté.
La portée de ses communications là nécéssite de gros moyens…
Hum….il est pas difficile de communiquer par exemple…….a travers le sol,
une terre non piratable, non-hackable, les signaux electriques sont presque impossible a bloquer…
il convient juste d’avoir les moyens de le faire et les simples humains de la masse ne l’ont pas.
dommage…
Ou encore une forme de Li-Fi (voir laser) entre particuliers, de maison-a-maison,
mais comme toute émergence d’un systéme de communication mondiale pleins de lacunes apparaissent, comme dans tout événements historiques de la communication.
encore dommage que principalement TOUT les appareils de communications a Affichage Direct des Messages et Images utilisent l’electricité et les Ondes Electromagnétiques….
ce qui rend ces communications aisément décelable , décryptables, piratables, taxables, amendables…
L’ére des ordinateurs mécaniques a disparu, il reste quelques Tam-Tam dans certaines régions reculées du globe, les Nuages de fumées des Indiens s’en sont allés…il n’y a plus d’indiens réellement…
il reste encore quelques accros des boulettes de papier (messages écrits) que certains dans la mafia utilisent encore, passant d’une main discréte a une autre…
Et vous ? Sans Internet ni portable….vous n’arrivez plus a communiquer ?
les idées ne manquent pas, il suffit de Re-Former un nouvel Internet, sans électricité ni Ondes…et donc bien plus sùr !
Ces textes sont bancaux, ne serait ce que pour la réalisation d’un catalogue de data de référence.
Déjà, rien que les pays devront se mettre d’accord sur les prix, ce qu’on y met ou pas (par exemple des liens issus d’universités)
Puis , une fois d’accord entre eux, ce sera avec les éditeurs ou majors. Puis avec les géants sous droit US.
Je parle même pas des modalités d’applications : qui paye, qui décide, quand , comment, etc.
C’est un coup de semonce pour faire percuter les Etats Eu de la révoltion numérique en cours.
Vous remarquerez que les articles sur le sujet en MMS parle très peu des blockchains, mais cela va venir.
Car le point central de cette mauvaise nouvelle, c’est la progressive habituation qui arrive de l’utilisation institutionnelle des blockchains.
5G+IA+Blockchain –> J.Attali:
» identification instantannée des personnes et des objets »
Le futur d’ADD –> les sales porcs de ploucs en ville, les porcinets feutrés retrouvent la liberté de voyager entre eux et de jouir des grands espaces préservés de la présence des urbains , pensez y.
Une ville, mine de rien, est beaucoup plus difficile a sécuriser que la campagne. En revanche, la « fermer » est bien plus facile que de se préoccuper de ce qui s’y passe.
http://www.culture.gouv.fr/Thematiques/Propriete-litteraire-et-artistique/Conseil-superieur-de-la-propriete-litteraire-et-artistique/Travaux/Missions/Mission-du-CSPLA-sur-les-chaines-de-blocs-blockchains
https://blockchainpartner.fr/wp-content/uploads/2017/05/Etude-Industrie-Musicale-Blockchain-Partner.pdf
Un peu compliqué de retrouver les sources, mais excellent:
La disruption des blockchains – avantages et dangers
https://blogs.mediapart.fr/bonneau-alain/blog/160916/la-disruption-des-blockchains-avantages-et-dangers
Cela suppose-t-il que l’on ne pourrait référencer un article, mais seulement émettre un avis et laisser l’internaute chercher par lui-même la source de l’information ?
Il faudra comme actuellement prendre du recul selon l’émetteur de l’information.
On peut également espérer que les systèmes de communications de pays plus libertaires prennent le relais au détriment des médias ici soumis.
Et à la base, c’est ou ce serait une immense perte de liberté puisqu’il deviendrait pénalisable de pousser un coup de gueule sur internet et de monter un article hautement référencé.