Tout comme les robots, cette science qui s’investit dans le plus secret de la Nature, me donne des frissons quant à ses applications futures. On connait par exemple, les tomates sans goût qui se conservent longtemps. Il n’y a pas de limite et c’est là qu’est le danger.
Commentaire : La liste est longue des catégories d’individus dont nous pouvons nous méfier : politiciens, militaires, hommes d’affaires, banquiers… et scientifiques. Ces derniers, quand ils ne sont pas eux-mêmes dépourvus de conscience, ou corrompus, ou contraints, ou les trois à la fois, voient en général leurs travaux récupérés et pervertis par les premiers. Forte utile, miraculeuse, inattaquable caution scientifique oblige.
Nous pouvons donc exercer notre vigilance, voire notre imagination, en gardant un œil sur les dernières avancées technologiques dont notre monde moderne a le secret : par elles sera toujours favorisée la servitude de l’humanité. Et, in fine, sa probable destruction. Dernière en date, au rayon des « inventions inévitablement mal utilisées » : le CRISPR Cas9. Avec lui, on tape dans la dévastation polyvalente. Virus modifiables, plantes modifiables, animaux modifiables… êtres humains modifiables ; il n’y a plus de limites, si ce ne sont celles de la folie humaine. Mais, heureusement, de folie, il n’est rien d’inéluctable, d’incontournable, d’insurmontable :
Q : Les nations se ressemblent-elles ?
R : Oui, elles suivent toutes les mêmes principes fondateurs (basés sur la conscience morale) mais diffèrent au niveau culturel (langue, rites, traditions, héros…) (…) Toutes les nations partagent un ensemble de principes très similaires – conscience et valeurs morales. Au sein de ce cadre moral, chaque nation, en fonction de son Histoire, de sa culture, de sa langue et de ses traditions, prend des décisions sociales et juridiques en harmonie avec ses spécificités culturelles. (…) Les sociétés modernes ont séparé la science de la religion, donnant ainsi naissance à une société schizophrène partagée entre science matérialiste d’un côté et religions irrationnelles de l’autre. L’idée ici est de ré-unir la spiritualité et la science afin de créer des pratiques religieuses qui soient véritablement bénéfiques aux adeptes. (…) Il y a une séparation totale entre les intérêts politiques d’une part, et la recherche scientifique d’autre part. Par conséquent, le financement de la recherche dépend exclusivement des priorités sociales et du potentiel scientifique.
C’est par ici.
CRISPR Cas9, le « couteau suisse de la génétique » pourrait bien aider à la guérison de nombreuses maladies. Mais pourquoi les services de sécurité s’inquiètent-ils ? L’enquête de franceinfo montre les dangers potentiels de cette nouvelle technologie.
Le grand patron du renseignement américain a été le premier à tirer le signal d’alarme, en février 2016. Dans un rapport déclassifié par la CIA, James Clapper a classé CRISPR Cas9 dans la catégorie des « armes de destruction massive » potentielles. Pour lui, cette technologie utilisée dans des milliers de laboratoires doit être considérée comme le programme nucléaire nord-coréen, les armes chimiques syriennes et les missiles de croisière russes.
Une avancée majeure
Tout commence pourtant dans l’euphorie, en 2012, lorsqu’une Française, Emmanuelle Charpentier, et une Américaine, Jennifer Doudna, inventent les « ciseaux à découper l’ADN ». Ils sont alors présentés comme une avancée majeure de ce début de siècle. Ses co-découvreuses collectionnent les prix et sont régulièrement annoncées pour un Nobel. Il faut dire que cette découverte pourrait permettre de traiter des cancers et des maladies génétiques jusqu’ici incurables. CRISPR Cas9, c’est l’association d’un brin d’ARN (de l’ADN à une seule hélice) qui sert de guide à une enzyme (CAS9) permettant de couper, remplacer, inactiver, modifier le gène que l’on cherche à atteindre.
La technique est plus précise, plus rapide et nettement moins cher que tout ce qu’on utilisait jusque-là. Elle s’est donc répandue comme une traînée de poudre : plus de 3 000 laboratoires dans le monde utilisent cette technologie. André Choulika, le créateur de Cellectis, une des entreprises françaises les plus innovantes du secteur, est très enthousiaste : « C’est un truc complètement fou. L’édition de génome est une révolution qui va secouer la planète, à une profondeur dont on n’a même pas idée. »
André Choulika pense par exemple que l’on va pouvoir créer des espèces. Aux États-Unis, on imagine déjà reconstituer des espèces disparues. George Church de l’université de Harvard, affirme qu’il peut « ressusciter » un mammouth laineux. D’après lui, dans quelques années, on pourra récupérer de l’ADN dans les restes d’un mammouth congelé, puis en le combinant à celui d’un éléphant d’Asie, on pourra faire revivre cette espèce disparue il y a 4 000 ans.
Comment: On ne ressuscite qu’à moitié, en réalité, puisque l’on doit combiner les gènes d’une espèce disparue avec ceux d’une espèce plus récente. Pas de vrai mammouth laineux, semble-t-il.
Une application sur les animauxCertains scientifiques ont déjà mis leurs idées en pratique sur des animaux. Une équipe chinoise a donné naissance à des chiens nés avec le double de leur masse musculaire habituelle. Aux États Unis, une entreprise du Minnesota a créé des vaches laitières sans cornes. De leur côté, des chercheurs californiens ont réussi à améliorer la vision chez des rats atteints d’une forme de cécité d’origine héréditaire. À chaque fois, l’utilisation de CRISPR Cas9 a été décisive.
Comment: Oh oui, parlons des merveilleux et utiles progrès de la génétique :
Après les animaux, les laboratoires ne vont pas tarder à faire leurs premières applications à l’homme. En novembre 2016, une équipe chinoise a annoncé des premiers essais dans le cadre d’un traitement contre une forme de cancer. Une équipe britannique a, elle, obtenu l’autorisation de mener des expériences sur des embryons humains. Mais pour l’instant, il s’agit de faire de la recherche : pas question de produire un « bébé génétiquement modifié ».
La problématique pour l’alimentation
L’agro-industrie est aussi un secteur prometteur pour CRISPR Cas9. L’université de Pennsylvanie a mis au point un champignon de Paris qui ne brunit plus quand on le coupe. Agnès Ricroch, professeur à AgroParisTech, explique la technique : « On a isolé le gène responsable du brunissement. C’est très intéressant parce que ça fait moins de gaspillage alimentaire. »
Aux États-Unis, les autorités sanitaires ont décidé que ce champignon ne serait pas considéré comme un organisme génétiquement modifié (OGM), car aucun gène n’a été « ajouté ». Ils ont donc autorisé sa mise sur le marché. Mais en Europe, le débat fait rage et la question devrait être tranchée dans les mois qui viennent par la Cour de justice de l’Union Européenne. Plusieurs membres du Haut conseil des biotechnologies (HCB) en France ont claqué la porte à la suite de la publication par l’organisme d’un rapport soutenant que ces nouvelles plantes n’étaient pas des OGM.
Pour l’un des démissionnaires, Yves Bertheau, directeur de recherches à l’Institut national de recherche agronomique (INRA), ces végétaux modifiés sont clairement des OGM.
« Contrairement aux OGM actuels, on ne peut pas déceler la trace de la modification génétique avec ces nouvelles méthodes. Et donc comment rend-on identifiable ce qui n’est pas traçable ? »
– Jean-Claude Ameisen, l’ancien président du Comité consultatif national d’éthique.En attendant que la justice européenne règle la question du statut de ces plantes, les comités de bioéthique multiplient les réunions à l’échelle internationale. Pour Hervé Chneiweiss, le président du comité d’éthique de l’INSERM, « il faut un consensus mondial pour mieux connaître les effets délétères éventuels de ces techniques pour mieux les encadrer ».
Comment: Petit tour des bienfaits des OGM :
Réflexions sur l’éthique et l’humain
Pour l’instant, la plupart des expériences menées sont des thérapies géniques classiques, telles qu’on les pratique depuis de nombreuses années. Mais ce qui inquiète, c’est l’éventuelle modification abusive du génome humain. Alain Fischer, de l’Institut des maladies génétiques Imagine, s’en explique :
« Ce qui serait problématique, ce serait de modifier le patrimoine génétique germinal, qui est transmis à la descendance. Ce serait d’une certaine façon toucher au patrimoine génétique de l’humanité. »
Pour pouvoir rendre une modification transmissible, il faut intervenir aux premiers stades du développement de la vie. En avril 2015, une équipe chinoise a créé la polémique en modifiant sur des embryons un gène responsable d’une maladie du sang. Aucun n’a survécu, les embryons étant non-viables. Catherine Bourgain, généticienne et présidente de l’association Sciences citoyennes, s’interroge sur l’enjeu qui se présente :
« Peut-on autoriser la recherche sur l’embryon ? Personnellement, je pense que c’est entrer dans une mécanique qu’on a beaucoup de mal à contrôler une fois qu’elle est lancée.«
Certaines expériences peuvent effectivement faire réfléchir, comme celle qui est menée dans le cadre de la lutte contre le paludisme. Cette maladie, qui fait encore 450 000 morts par an, est transmise par une espèce de moustique, l’anophèle. Eric Marois, chercheur à l’INSERM, explique : « Grâce à CRISPR Cas9, on a réussi à enlever un gène chez certains moustiques afin de les rendre résistants au paludisme. » L’idée serait d’introduire dans la nature des anophèles modifiés et d’attendre qu’ils se reproduisent pour rendre toute la population mondiale résistante. Problème : c’est très long et aléatoire. Mais là encore CRISPR Cas9 apporte la solution : le forçage génétique. Cette technique permet d’accélérer la diffusion d’une mutation génétique. Les moustiques génétiquement modifiés de l’INSERM pourraient donc coloniser la planète. Mais une équipe britannique envisage un autre scénario : créer des anophèles avec un gène récessif de stérilité, et les introduire dans la nature, ce qui entraînerait la disparition de l’espèce en quelques générations… et du paludisme.
Comment: A propos des moustiques GM soi-disant inoffensifs :
Eric Marois, chercheur à l’INSERM appelle à la prudence :
« Il est quand même vertigineux de se dire que, pour la première fois, on est capable de modifier l’ensemble des individus d’une espèce à l’échelle de la planète », s’inquiète-t-il. « Personnellement je serais très prudent avec les approches d’éradication. Il faut d’abord s’assurer que l’espèce n’a pas un rôle essentiel dans l’écosystème. »
En décembre dernier, plus de 150 ONG internationales ont demandé un moratoire sur le forçage génétique. Jennifer Doudna, l’une des découvreuses des « ciseaux à découper l’ADN » exprime également ses craintes. Dans le magazine scientifique Nature, elle explique qu’un jeune doctorant a créé un virus qui, une fois respiré par des souris, provoque des mutations dans leurs poumons. Selon elle, une minuscule erreur de conception aurait pu permettre que ce virus fonctionne aussi chez l’homme.
« Il m’a semblé incroyablement effrayant qu’il y ait des étudiants qui travaillent sur une telle chose. Il est important que les gens commencent à comprendre ce que cette technologie peut faire. »
-Jennifer Doudna, l’une des découvreuse des « ciseaux à découper l’ADN ».L’idée d’un moratoire n’est pourtant pas bien accueillie dans la communauté scientifique. Cécile Martinat, directrice de recherche à l’Institut des cellules souches pour le traitement et l’étude des maladies monogéniques (I-Stem), installé au Génopole d’Evry, y voit un frein potentiel à ses recherches sur les maladies génétiques : « À partir du moment où il y aura un moratoire, nous allons être très limités, et ce sont des États, qui seront dans un contexte moins restrictif, qui les utiliseront. » Cécile Martinat estime qu' »on n’empêchera pas à l’échelle internationale une dérive de ces outils. Il faut faire confiance aux scientifiques et arrêter de penser qu’on fait n’importe quoi ».
Une technologie, entre quelles mains ?
Pour 150 dollars, on peut acheter sur internet des « kits CRISPR » et modifier chez soi une bactérie grâce un mode d’emploi fourni. Les clients sont des bricoleurs de génome qui se nomment « biohackers ». Ce mouvement, né aux États-Unis, où il compte des milliers d’adeptes, défend l’idée que l’on peut tous faire de la biologie dans son garage ou dans des « laboratoires participatifs ».
Quitterie Largeteau, spécialiste française du biohacking, explique que ces kits « sont conçus pour être utilisés sans formation, comme une recette de cuisine ». L’experte ajoute toutefois qu' »ils ne permettent de faire que ce qui est prévu. Il y a un code d’éthique chez les biohackers. Personne ne travaille sur l’homme ou des organismes pathogènes ».
Et si cette technologie tombait dans des mains moins bien intentionnées ? Quelques mois après le rapport de James Clapper, les conseillers scientifiques de Barack Obama envisagent ouvertement l’utilisation de CRISPR Cas9 pour créer un virus d’un genre nouveau, mortel pour l’homme.
« La menace biologique diffère des menaces nucléaires ou chimiques […] parce qu’elle requiert des ressources moins importantes et des équipements plus petits, comparables aux laboratoires ordinaires. »
– Les conseillers scientifiques de Barack Obama.Olivier Lepick, chercheur associé à la Fondation pour la recherche stratégique, confirme :
« Aujourd’hui, on voit mal comment on pourrait dénier à une organisation terroriste suffisamment puissante l’accès à ces techniques. »
Dans son rapport, James Clapper fait aussi état des menaces qui pèsent sur l’économie. Sous couvert d’anonymat, un directeur de recherche français évoque un scénario envisagé :
« Imaginez que quelqu’un modifie une pomme de terre pour la rendre toxique. Vous en introduisez quelques exemplaires sur le marché. Vous avez quelques victimes. En un mois, ce secteur économique s’effondre. »
En décembre 2015, la France met en place un Conseil national consultatif pour la biosécurité constitué d’experts. Un de ses membres confirme que CRISPR Cas9 fait partie de leurs préoccupations. Les services de renseignements surveillent ceux qui s’initieraient de manière trop poussée aux techniques de manipulation de génome. Le même directeur de recherche déclare :
« La Direction générale de la sécurité extérieure (DGSI) est très attentive aux doctorants que nous prenons dans nos labos. Une fois, on m’en a refusé un. En général, on ne vous dit pas pourquoi. »
Olivier Lepick estime qu’on « va aller vers un renforcement de ce type de surveillance. Le problème de ces technologies, c’est que leur détournement peut être envisagé de manière beaucoup plus évidente qu’il y a seulement une dizaine d’années ». Au rythme où vont les nouvelles technologies, il y a donc de quoi s’inquiéter sur l’évolution des utilisations de CRISPR Cas9.
Commentaire : Quelques articles supplémentaires :
- CRISPR : la technique d’édition de gènes classée comme arme de destruction massive
- Révolution en génétique : le CRISPR-Cas9 ou la nouvelle baguette magique des apprentis-sorciers
- Première mondiale : manipulation génétique d’ADN humain chez un embryon en bonne santé…
- Science pervertie : génome, ADN, cancer provoqué
Source SOTT
sur la base d’un article du Dr Delerue I.A.Transhumanisme
« homosapienssapiensdestructor » arrive au sommet de son art…………………
N’importe qui peut s’amuser pour pas cher avec :
http://www.synthego.com
http://www.ozyme.fr
http://www.microsynth.ch
pour éditer et changer des portions de gènes sans que ce soit des OGM (pas de gènes externes mis ) ceci sur n’importe quel être vivant !!
Les bactéries utilisent cette méthode pour se défendre des virus bactériophages qui les détruisent sinon, depuis des centaines de millions d’années !!
http://fr.wikipedia.org/wiki/Clustered_Regularly_Interspaced_Short_Palindromic_Repeats
http://fr.wikipedia.org/wiki/Emmanuelle_Charpentier
et Berlin lui a fourni le laboratoire qu’elle méritait !!
Elle est typiquement internationale et plus du tout Française de fait !!
Avec Trump, comme étrangère elle aurait été bloquée !!
On a déjà utilisé cette méthode sur des hommes pour soigner avec des cellules modifiées génétiquement :
http://gizmodo.com/the-crispr-gene-editing-tool-is-finally-being-used-on-h-1789042055*
C’est une révolution plus importante que les microprocesseurs, ordinateurs et téléphones mobiles, qui va totalement changer encore plus notre vie, car elle accélère énormément la compréhension des mécanismes de la vie et donc aussi la possibilité de la modifier sans limites par n’importe qui, une arme de destruction massive pour quelques € si mal utilisée et quasiment impossible à contrôler, même pas obligation d’afficher qu’on vend un fruit ou légume modifié !!
Vu le faible nombre de comments, les moutons ne semblent pas réaliser cette gigantesque révolution !
Les patates bien germées sont naturellement toxiques, ainsi que tout le reste de la plante, comme beaucoup d’autres plantes, même comestibles !!
Donc il est très très facile de la rendre toxique !
Certains en sont morts !!
http://fr.wikipedia.org/wiki/Pomme_de_terre#Fruits_et_graines
http://www.femmezine.fr/bien-etre/sante/pomme-de-terre-aliment-toxique-di.html
je sens que ça vient…
The red forest….
t’ as mal aux dents?
pfff…l’armée des douze singes !!!
Au début de l’article, je lis cette phrase :
« Q : Les nations se ressemblent-elles ? ( il serait plus juste d’écrire: les individus se ressemblent’ ils )
R : Oui, elles suivent toutes les mêmes principes fondateurs (basés sur la conscience morale) mais diffèrent au niveau culturel (langue, rites, traditions, héros…) »
Ainsi, la recherche scientifique me semble être, à l’instar de beaucoup d’autres activités humaines, mue par le besoin qu’a l’individu à comprendre son environnement vital afin de pouvoir le contrôler.
Ce besoin de contrôler son environnement n’est pas propre à l’homme ( prenons, par exemple, le castor qui construit des barrages pour contrôler son environnement ou, même, l’eau qui creuse son lit afin de mieux s’écouler ! )
Mais il existe un autre besoin vital et qui est contraire au premier, celui de s’adapter à son environnement vital sans chercher à le modifier afin d’économiser l’énergie que nous dépensons ( par exemple: se vêtir et se construire un abri )
Vouloir dominer mène à la recherche du pouvoir.
Se laisser dominer en s’y adaptant mène à la recherche de la soumission acceptée.
Problème :
A partir de ce raisonnement, on devrait conclure que la recherche scientifique n’est pas une recherche du « savoir » mais une recherche du « pouvoir »
++++++++++++++pouvoir et avoir++++++++++++++++++++++++++++
Nous sommes nous-même issus de la manipulation génétique…
On a été créé par les anunnakis. Ils ont croisés leurs adn avec celui de l’homo Erectus pour créer l’Homo Sapiens !
Akasha.
Ça ce sont les traductions personnelles de Sitchin des tablettes sumériennes, ça n’est pas prouvé formellement 😉
Oui… Mais ça a été revus aussi par Anton Parks.
http://www.antonparks.com/main.php?page=inter_onct
..Et bien d’autres encore, ils existent des tas de sources intéressantes sur le sujet.
On parle bien d’archéologie interdite, non ?
Donc tout ce que vous posterez sur le sujet pourra être réfuter par les sources officielles.
Dès lors, mon sujet n’est pas plus tabou que les vôtres, je pourrai jouer jouer les debunkeuse pour chacun de vos liens lol
– Homo sapiens sapiens
http://eden-saga.com/homo-habilis-erectus-neandertal-homo-sapiens-sapiens.html
Le Secret des Sumériens
http://secretebase.free.fr/civilisations/sumeriens/sumeriens.htm
Akasha.
C’est ta façon de présenter, NOUS SOMMES les descendants des Annunaki QUI ONT croisés notre adn etc… C’est une affirmation sans fondement réel 😉
Descendants ou ascendants !
En matière quantique, on ne fait plus vraiment la différence !
Je pense que nous allons bientôt découvrir des choses qui bouleverseront nôtre logique de compréhension
Comment nôtre cerveau peut ‘il appréhender le fait qu’en voyageant dans l’espace, l’homme rajeunit ?
Ce qui fait qu’a un moment donné, le père, voyageant dans l’espace serait plus jeune que le fils resté sur terre !
Poussé à son extrême, cette logique voudrait que la civilisation sumérienne serait inscrite dans le futur et non dans le passé !
Impossible à accepter suivant nos concepts, et pourtant !
Je mélange les sujets je ne suis pas encore réveillée…
Il y aussi le sujet « Archéologie interdite » et j’ai fait un mix des deux lol
Akasha.
@ Kalon, je suis en accord avec le fait qu’il n’y a ni passé ni futur, juste un éternel présent. Et aussi que nous pouvons vivre en même temps en différents espaces temporels; la physique quantique le laisse entendre.
As-tu lu le livre de Richard Bach « UN » ?
et pour répondre à Cri-Cri dont je lis le post ci-dessous : oui nous sommes des êtres spirituels venus faire des expériences, rien de plus rien de moins.
On court après le temps mais c’est lui qui fini par nous rattrapé ? Qu’elle paradoxe ..
https://www.youtube.com/watch?v=_MPACSfu_pg&list=PLgi0kSrjQIMJ2MAbsZjw6jli1v4ircA3p
L’homme ne rajeunit pas en voyageant dans l’espace.
Exemple concret : les cosmaunautes dans l’ISS ^^
Et il ne rajeunirais pas non plus en voyageant à des vitesses proches de la vitesses de la lumière : Rajeunir reviens à dire » revenir en arrière » hors ont ne peut pas aller dans le passé ^^
Si il voyage 5 ans, il aura bien vieillis de 5 ans.
Par contre, à son retour sur terre, son « temps » sera désynchronisé des autres terriens.
Tu as une explication vers la 36eme minute.
https://www.youtube.com/watch?v=eBpJXJi9kGQ
Alors si il voyage suffisamment longtemps, le père reviendrais vieillis de quelques années d’après son référentiel alors que d’après le référentiel du fils de bien plus longues années se serait écoulés.
Quoi qu’il en soit : un objet se rapprocher de la vitesse de la lumière ? c’est de la pure science fiction ^^ L’énergie nécessaire : improbable !
Le moindre choc, la moindre poussière cosmique et c’est l’explosion assuré !
Un autre lien :
http://www.atlantico.fr/decryptage/mysteres-univers-est-vrai-qu-on-pourrait-rajeunir-en-voyageant-plus-vite-univers-en-100-questions-editions-tallandier-jean-2426704.html
encore un autre sur les voyages interstellaires :
http://webcache.googleusercontent.com/search?q=cache:7CBDoo4m8SsJ:sboisse.free.fr/technique/voyage_interstellaire.php+&cd=4&hl=fr&ct=clnk&gl=fr&client=firefox-b-ab
Si j’ai bien compris, c’est le Gender cosmique avant l’heure:
Homo-en-érectus + anus-nakis = 3° type.
C’est un sujet très ésotérique celui de cet Homo-sapiens-erectus. Notre existence est bien plus ancienne, et on commence à en parler de plus en plus. Ne possédant pas la science infuse sur le sujet de « qui sommes nous » je conseillerai simplement un livre de plus sur le sujet « Le choix Atlante » sont titre parle de lui-même. L’origine secrète du mal planétaire actuel. de guillaume DELAAGE.
Dans une de ses préfaces l’auteur dite ceci.
IL N’Y A PAS DE RELIGION SUPÉRIEURE A LA VÉRITÉ. (Sâtyat Nâsti Paro Dharmah)
pour déchiffrer un peu vite:
Nous vivons dans un monde d’illusion, tout a été falsifiés. rien ne colle au niveau de notre histoire, géo, et autres fausseté sur ce qui ce passe (soit disant) au-dessus de nos tête.
Un seul mot d’ordre « Réveillez-vous »!!!! c’est un avis lancé pour l’humanité entière.
soit suivre la lumière de l’esprit,
soit se diriger vers les ténèbres de la matérialité.
Nous sommes des êtres spirituels…..
Je crois aussi l’histoire des Annunakis (je dis bien « je crois ») mais il n’empêche que, ici et maintenant, nous avons en face de nous des chercheurs qui cherchent, comme tout bon chercheur qui se respecte, mais sans comprendre toutes les implications de ses recherches.
Et là, cette histoire est hyper dangereuse.
Je trouve aussi lamentable qu’on torture et qu’on assassine des millions d’animaux pour faire des expériences hasardeuses dont une grande partie se retournera contre nous. Ce sera bien fait !!
Merci pour cet article, Volti, je ne connaissais pas la gravité de la situation.
C’est également lamentable d’en manger des milliards
….Lamentable, mais succulent avec une bonne sauce.
Humour noir ?!
Tu sais, le gout ne justifie pas la mort surtout que le sacrifice de ce dernier n’est pas grand choses aux vue du panel incommensurable de saveurs qui existe dans le monde.
Fait attention à ne pas baver sur ton clavier devant ses recettes !
http://vegemiam.fr/?cat=6
génétique –> je te nique erectus ….