Se protéger des dangers des émissions radioactives grâce à l’alimentation

Se protéger des dangers des émissions radioactives grâce à l’alimentation

 Merci WILL :-)
Les principales sources d’exposition aux radiations
L’EXPOSITION EXCESSIVE AUX RADIATIONS
PROVIENT :
1) des retombées radioactives d’essais nucléaires ;
2) des accidents majeurs de centrales nucléaires, comme ceux de Three Mile Island et Tchernobyl ; (et en espérant que non celles du Japon)
3) des accidents survenus dans les usines de stérilisation et d’irradiation des aliments ;
4) des fuites radioactives mineures, non rendues publiques, provenant de petits incidents dans les centrales nucléaires ;
5) des fuites et des émissions usuelles d’appareils et produits utilisant la technologie nucléaire;
6) des radiations provenant de techniques médicales, comme les rayons X, la fluoroscopie, la mammographie et la tomodensitométrie ;
7) de l’activité nucléaire militaire, comme les accidents d’usine fabriquant des armes nucléaires, les problèmes de stockage et les accidents de sous-marin atomiques ;
8) du radon ;
9) de la fumée de cigarette (sauf tabac bio, c’est dit dans l’article, mais n’étant pas le sujet du jour, je ne l’ai pas recopié)
Une explosion nucléaire ne constitue pas la plus grande menace
Contrairement à la croyance populaire, la plus grande menace d’exposition aux radiations n’est pas le souffle de radiations ionisantes provoqué par une explosion nucléaire. Les radiations de faible intensité, émises pendant de longues périodes, provoquent les plus grands dommages au niveau des structures cellulaires. Ces radiations de faible intensité proviennent de l’exposition répétitive aux radiations qui émanent de l’absorption de particules aériennes radioactives se déposant sur les aliments, ou de radiations en provenance de l’eau ou des sols incorporées à la structure cellulaire de l’aliment. Au final, ces radiations de faible intensité, émises pendant de longues périodes, produisent de grandes quantités de radicaux libres.
Cette production de radicaux libres provoquent des maladies dues aux radiations mortelles et contribue à l’augmentation du taux de cancers.
On peut faire quelque chose
On peut faire pas mal de choses pour minimiser les effets négatifs des radiations. En complément d’un mode de vie aussi sain que possible, il existe une alimentation spécifique pour se protéger des radiations qui préserve au mieux la santé et qui neutralise précisément les effets des radiations. Diminuer sa sensibilité en augmentant sa santé générale constitue un bon point de départ.
Principes alimentaires pour se protéger des radiations
Les groupes de population qui sont les plus sensibles aux radiations sont les personnes en mauvaise santé, les foetus, les nourrissons, les enfants en bas âge et les personnes âgées. Les personnes âgées sont plus affectées car leur système immunitaire est souvent plus faible et aussi à cause de l’accumulation des radiations tout au long de leur vie. Que l’on fasse partie d’un groupe sensible ou que l’on soit en bonne santé, la capacité à minimiser l’impact des radiations peut être grandement améliorée grâce à une alimentation et un mode de vie sains et l’incorporation dans notre régime d’aliments spéciaux connus pour optimiser la protection contre toute forme de radiations nucléaires.
Nous allons maintenant explorer l’utilisation d’aliments et de plantes qui diminuent spécifiquement les effets des radiations.
L’alimentation anti-radiations est basée sur 4 principes :
Le premier principe est le principe de l’absorption sélective, qui signifie principalement que si nous avons suffisamment de minéraux dans notre organisme, les cellules sont saturées en minéraux. Lorsqu’il y a saturation minérale des cellules, cela laisse moins de chance aux minéraux radioactifs d’être absorbés par le système. Par exemple, avec des minéraux tels que le calcium ou l’iode, si nous avons suffisamment de calcium ou d’iode naturels dans notre système, l’organisme ne va pas avoir
tendance à absorber du strontium-90, qui est relativement similaire au calcium, ou de l’iode-131. Si la concentration normale de minéraux est faible, alors le strontium-90 et l’iode-131 seront plus facilement absorbés. Lorsque l’un de ces minéraux radioactifs est absorbé dans un tissu, il se met à irradier immédiatement les cellules et tissus voisins. Chaque élément est attiré vers l’organe dans lequel il est utilisé normalement. Les principaux minéraux, ainsi que leurs organes-cibles peuvent être consultés sur le schéma de la page suivante(voir en toute fin d’article ) Sont aussi énumérés les minéraux sains qui empêchent les lésions cellulaires selon le principe d’absorption sélective.
Le deuxième concept important dans la protection contre les radiations est le concept de chélation. Cela signifie qu’il existe certains aliments qui vont attirer à eux les matériaux radioactifs et vont les extraire de l’organisme et les évacuer par les intestins.
Le troisième concept consiste à maintenir dans notre organisme un niveau
élevé de nutriments antioxydants et d’enzymes qui vont annihiler les radicaux
libres créés lors de l’exposition aux radiations.
Le quatrième concept est qu’il existe certains aliments et plantes qui protègent de manière spécifique contre les effets généraux des radiations ou des traitements aux rayons.
Protection contre les radiations par absorption sélective
Le principe d’absorption sélective nous montre comment minimiser les effets délétères d’une exposition aux radiations. Ainsi que cela a été révélé à la suite des études sur Tchernobyl, l’une des principales causes de maladies et de morts par radiations est due à l’iode radioactif 131. En novembre 1987, dans un article de l’East-West Journal, le Dr Schechter souligna que le Dr Russel Morgan, qui a exercé en tant que chef de service de radiologie à la Johns Hopkins University disait qu’un milligramme d’iode par jour pour un enfant et cinq milligrammes pour un adulte réduirait de 80% la quantité d’iode radioactif accumulé dans la thyroïde, lors d’une exposition directe à l’iode-131. Cela revient à prendre 5 à 10 comprimés par jour ou une ou deux cuillère à café de granules de kelp. À titre préventif un adulte a besoin d’environ un milligramme d’iode, ce qui équivaut à 15 grammes par jour de dulse ou d’une autre algue. Les autres aliments riches en iode sont la bette, les feuilles de navet, l’ail des ours et l’oignon, le cresson, les courges, les feuilles de moutarde, l’épinard, l’asperge, le chou frisé, les agrumes, la pastèque et l’ananas.
Trop d’iode peut provoquer une stimulation excessive de la thyroïde. Si vous suivez un traitement pour un dysfonctionnement de la thyroïde, l’hyperactivité ou une maladie cardio-vasculaire, consultez votre médecin ou votre praticien de santé avant de prendre des comprimés riches en iode ou d’incorporer beaucoup d’algues dans votre alimentation.
On peut aussi limiter les effets des radiations en évitant de manger des aliments qui se situent en haut de la pyramide alimentaire (les aliments d’origine animale), qui concentrent énormément les minéraux radioactifs. Les particules radioactives peuvent provenir de l’air, lors des retombées, ou de la contamination de l’eau, comme cela s’est produit lors de la fuite de césium-137 d’une usine de stérilisation de Géorgie. Des statistiques provenant du Radiological Assessment of Wyhl Nuclear Power Plant du Département de Protection de l’Environnement de l’Université d’Heidelberg en Allemagne, en 1978, ont montré que suite à une contamination aérienne, le lait de vache était 15 fois plus concentré en matériaux radioactifs que les légumes-feuilles. Les légumes-racines étaient 4 fois plus concentrés en radio-éléments que les céréales. Dans la zone de contamination de l’eau, les poissons étaient ceux qui avaient la plus forte concentration de toute la chaîne alimentaire. Ils étaient environ 15 fois plus radioactifs que les légumes feuilles.
Il est aussi important de noter que la concentration en nucléotides radioactifs des poissons d’eau douce est considérablement plus élevée que celle des poissons de mer, car ces derniers contiennent plus de minéraux et sont donc mieux protégés.
Article complet sur les brindherbes
Benji

13 Commentaires

  1. miso de riz et algues, y’a rien de mieux, le miso j’en prend tout les jours à la place du sel.

  2. Ce genre d’article fait le tour et revient à son point de départ…
    Simplement parce que sans être mensonger, il est à moitié faux !
    Rien ni personne ne peut protéger le corps d’une contamination interne, il faut à tout prix faire la différence, on peut se protéger des radiations externes, avec des blindages.
    Pas question de se protéger des inhalations ou absorptions autrement qu’avec des masques, vêtements, gants…
    L’objectif en se gavant d’iode est de saturer la thyroïde pour que l’iode radioactif ne s’y fixe pas, mais c’est en préventif au moment d’un accident, ce qui veut dire que ce n’est pas possible, le délai est bien trop court entre l’ingestion et l’exposition d’un contaminant, ce n’est que de la propagande militaire, souvent il ne sera possible de le faire qu’après avoir été contaminé !
    Pour le reste, c’est du pipeau intégral, une particule radioactive qui va se fixer sur vos poumons ne la quittera jamais, d’autres vont se choisir des secteurs préférés, comme le cœur, certains organes, chacun aura sa préférence, une grande partie sera éliminée en effet, mais il suffira d’un molécule de l’ordre du nanogramme ( 1/1 000 000 de gramme ) pour être transformé en cible vivante de bombardements à raison de plusieurs millions par an sur à peine quelques cellules, le résultat est garanti, une cellule finit par muter et si le cancer n’est pas au RdV, soyez certains qu’une autre maladie vous attend au tournant !
    Premiers effets des accidents comme Fukushima : une hausse terrifiante des crises cardiaques, l’apparition de leucémies foudroyantes, puis le calme avant la tempête des cancers de la thyroïde, quelques années après pour les enfants et quelques décennies pour les adultes…
    Il faut rester honnête et scientifique, il n’est pas possible de se débarrasser des particules une fois ingérées, on ne peut que se protéger avant, le seul produit relativement efficace employé chez les enfants du Belarusse est la pectine de pommes qui semble faire cette chélation et faciliter la réduction mais ce n’est pas sans inconvénient pour la santé et ce n’est pas miraculeux.
    L’iode de la teinture ne doit en aucun cas être ingérée, il faut se badigeonner le corps avec, c’est un poison violent, comme les fameuses pastilles dont on nous rebat les oreilles depuis 40 ans mais que personne n’a jamais vues, les dates de péremption empêchant de les stocker en masse, mais ça rend très malade, soyez en certains !!!
    La seule et unique chose à faire c’est de se battre pour stopper tout nucléaire sur la planète, c’est la seule manière efficace de se protéger vraiment, les enfants qui grandissent non loin des centrales présentent un taux de cancers largement supérieurs à la moyenne et pourtant il n’y a pas d’accident tous les jours… juste de petites fuites de tritium “normales”, faisant partie du fonctionnement…

    • j’approuve ton commentaire.

    • Bel exposé ! Vous semblez bien informé sur le sujet.
      Honnêtement, ça fait peur surtout s’il n’y a pas grand chose à faire.
      S’opposer au nucléaire..?.. à part les manifs, on a peu de moyen d’actions…
      Pour les croyants, prions pour que rien n’arrive !

    • Complètement d’accord avec cette analyse.

    • Tout à fait d’accord aussi. D’après ce que j’ai pu comprendre les éléments radioactifs ingérés vont libérer des particules qui vont agir comme des micro balles et qui vont cisailler les brins d’ADN des cellules voisines ( comme une coup de fusil dans une corde). Ces brins une fois cisaillés vont se “recoller” de façon anarchique ce qui va provoquer des mutations cellulaires et des cancers . Si quelqu’un pouvait confirmer .

  3. Concernant les causes de contamination j’ajouterai Fukushima dès à présent et pour toujours (et les rejets continuent), dans les océans, l’atmosphère et sur les terres de l’hémisphère nord (la diffusion dans l’hémisphère sud se fera aussi mais à plus long terme et avec les particules ne s’étant pas déjà fixées dans la chaîne alimentaire au nord).
    Et aussi tous les accidents majeurs non répertoriés, les déchets (y compris réacteurs entiers) jetés dans les océans et à terre et les déchets toujours autorisés à être rejetés par les centrales et usines de retraitement, La Hague et Sellafield toutes seules c’est 1 Tchernobyl par an, au minimum…
    Ça fait 70 ans qu’on en bouffe et ça fait 70 ans que les cancers et les maladies cardio-vasculaires (qu’on oublie trop souvent comme conséquence directe de certaines contaminations) ne cessent de progresser… aidés par d’autres produits chimiques bien sûr.

  4. Pardon de radoter, j’ai déjà signalé ailleurs que l’usage de radium bromatum 9ch (2gr/semaine) permet d’évacuer le nucléaire. Est-ce que tout vraiment s’en va ? Je n’en sais rien mais le fait de pouvoir faire quelque chose est assez rassurant.

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