Les vaccins et notre santé

Les vaccins sont-ils utiles? Nos enfants sont-ils en meilleure santé grâce à ceux-ci? Deux articles viennent démontrer le contraire, les vaccins ne sont donc ni réellement utiles, ni réellement bons pour la santé. Maintenant, comme moi vous pouvez le vérifier dans les deux articles qui suivent, mais il faut encore se battre contre les autorités pour protéger nos enfants, et là, c’est un combat qui s’annonce épique!

Nora Berra veut « enrayer le recul de la vaccination contre la grippe » Chaque année à l’automne, comme le Beaujolais nouveau, le vaccin nouveau contre la grippe est arrivé et il faut se presser car il n’y en aura peut-être pas pour tout le monde. Déjà l’an dernier, le ministère de la Santé était allé plus loin que de coutume en envoyant des courriers à 9 millions de personnes, incitant ceux qui n’avaient jamais voulu recevoir le vaccin contre la grippe saisonnière à l’accepter enfin.

Vaccin Grippe : « il n'existe pas de preuve scientifique sur l'utilité des vaccins »Mais à cause de la gestion lamentable de la pandémie de grippe A (H1N1), seuls 51,8 % de la population ciblée se sont fait vacciner pour la grippe saisonnière, contre 60,2 % l’année précédente, soit « à peine plus de 5 millions de personnes ».

 

Aussi, malgré les mesures d’économie prônées par notre gouvernance, les sbires du ministère de la Santé ont tout mis en œuvre pour rattraper cette fâcheuse situation et cette année, Nora Berra, secrétaire d’État à la Santé, a invité 12 millions de à se faire vacciner dès le 29 septembre car elle espère revenir aux taux de couverture vaccinale d’avant 2009 et même atteindre son objectif de 75 % de vaccinés.

Et le meilleur moyen de vendre le vaccin est de distiller la peur parmi les 12 millions de personnes qui ont reçu l’invitation, car on sait bien que la peur est le meilleur moyen de soumettre les citoyens. Puisque la grippe A n’a pas terrorisé beaucoup de gens, il fallait cibler le danger de la grippe saisonnière qui : « peut entraîner de graves complications, et même être mortelle chez certaines personnes ». Et de citer 789 cas graves de grippe admis en réanimation lors de la saison précédente, dont 150 sont décédés, en se gardant bien de distinguer ceux qui avaient été infectés par le virus A (H1N1), ceux qui avaient été infectés par le virus saisonnier et ceux qui étaient seulement victimes d’affections respiratoires à cause d’un état de santé déficient. Comment se fier à ces déclarations alors que les pouvoirs publics admettaient l’an dernier qu’on ne faisait plus d’analyses. « 5 000 ou 20 000 cas par semaine en France ? Tout dépend des critères ». Et, comme l’a déclaré Françoise Weber, directrice de l’Institut de veille sanitaire, dans Le Monde du 10 septembre 2009 : « Il n’est pas indispensable d’avoir des chiffres précis ». Comment peut-on se fier à des « experts » qui ont une conception aussi personnelle des statistiques ?

Voilà pourquoi les personnes ayant déjà bénéficié de la vaccination antigrippale dans le cadre des campagnes précédentes ont déjà reçu un courrier personnalisé avec un bon de prise en charge les invitant à se rendre directement chez leur pharmacien afin de retirer gratuitement le vaccin sans prescription médicale et de se faire vacciner par une infirmière libérale, au risque de vexer certains médecins qui ont déjà été écartés de la vaccination contre la grippe A.

Cependant, cette année, le Haut Comité de Santé Publique a recommandé d’intégrer les obèses et les femmes enceintes à partir du 2e trimestre de grossesse, ainsi que les personnes souffrant d’une pathologie coronarienne, soit environ 290 000 malades, aux populations à risque bénéficiant habituellement de la prise en charge du vaccin à 100 %.

Enfin, les pharmaciens et masseurs-kinésithérapeutes, c’est-à-dire plus de 200 000 professionnels libéraux, vont désormais rejoindre les médecins généralistes, infirmières et sages-femmes qui exercent en secteur libéral et qui doivent non seulement « éviter d’être des agents transmetteurs de la grippe », mais aussi donner l’exemple à la population.

4192839501_31de91f14f.jpgQuant à ceux qui entrent pour la première fois dans le dispositif, ils ont aussi reçu un courrier personnalisé afin de se faire prescrire le vaccin par leur médecin traitant. Ce sera également le cas des les femmes enceintes et des moins de 18 ans.

Enfin, ceux qui n’auraient pas encore été identifiées pourront tout de même bénéficier d’une prise en charge à 100 %, grâce au nouveau modèle d’imprimé mis pour la première fois à la disposition des médecins traitants, précisent les autorités sanitaires. Cette prise en charge à 100 % de cette nouvelle partie de la population va évidemment augmenter le déficit annuel coutumier des CNAM.

3476196436_7fed782e1a.jpgMais cela ne veut pas dire que ceux qui ne sont pas ciblés n’ont pas besoin de se faire vacciner, car ils risquent de contaminer les parents âgés et les nourrissons. Avec ce genre de déclaration qui culpabilise les récalcitrants, on est sûr d’augmenter le nombre de candidats.

Cette année, 8 vaccins antigrippaux sont pris en charge. À croire qu’ils ne savent plus que faire de l’argent qu’ils nous prélèvent, bon gré mal gré, et que le fameux « trou de la Sécu », qui dépasse largement les vingt milliards, n’est pas aussi inquiétant qu’on veut nous le faire croire.

Cette campagne a déjà porté ses fruits puisque, d’après Amélie Pelletier, Chef des rubriques Santé, Médicaments & Grossesse, à Doctissimo.fr : « Les premiers résultats de l’action de l’Assurance maladie ont déjà porté leurs fruits, puisque le lancement de la campagne de vaccination dans les DROM-COM à une date distincte de celle de la métropole (le 15 avril 2011) s’est accompagné d’un doublement du taux de couverture vaccinale à La Réunion, qui est passée de 14 % en 2010 à 33 % en 2011. » On espère que la France métropolitaine suivra ce bel exemple.

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Ces dépenses sont parfaitement inutiles

Les pouvoirs publics ignorent certainement toutes les publications médicales qui leur prouveraient pourtant que les dépenses pour ce vaccin sont parfaitement inutiles.

De la sorte, ils veulent nous convaincre que la vaccination réduit de 50 % et même plus les risques de mortalité chez les gens âgés en hiver, comme nombre d’études, citées à tout bout de champ, l’affirment. Or il s’agit là d’une impossibilité absolue et donc d’un énorme mensonge car la mortalité par la grippe, qui atteint son point culminant en janvier-février, n’est responsable que de 5 % de la mortalité des gens âgés, comme l’a prouvé l’équipe de chercheurs du Dr Lone Simonsen, de l’université George Washington aux États-Unis. « Que le vaccin contre la grippe épargne 10 fois plus de morts que la maladie elle-même n’en occasionne n’est pas possible », affirment-ils à juste titre.

L’étude du Dr Simonsen a également prouvé que l’augmentation massive des vaccinations contre la grippe depuis 1980 n’a pas du tout fait diminuer la mortalité chez gens âgés et le 25 Septembre 2007, le journal anglais The Guardian titrait prudemment : « Le vaccin contre la grippe n’est sans doute pas utile pour les patients âgés ». Quant au journal médical The Lancet Infectious Diseases il a confirmé qu’il n’existe pas assez d’évidence pour savoir à quel point ce vaccin peut parfois sauver des vies, « ni même s’il en sauve une seule ».

La preuve en est que, lorsque aux États-Unis l’incidence vaccinale est passée de 20 % en 1980 à 65 % en 2001, la mortalité est restée la même alors qu’on espérait une baisse des décès d’au moins 40 %. Cette découverte est significative, mais on persiste à mener des études complémentaires pour savoir si le vaccin est efficace pour ces gens et, entre-temps, la vaccination va se poursuivre car « même un vaccin peu efficace est meilleur que pas de vaccin du tout ». À part pour le profit des laboratoires, il est difficile de savoir pourquoi.

5115654021_46109189b0.jpgLe Dr J. Anthony Morris, virologiste et ancien chef du contrôle des vaccins qui travaille avec la FDA, est catégorique : « Il n’existe aucune preuve que le vaccin contre la grippe soit utile. Ses fabricants savent bien qu’il ne sert à rien, mais ils continuent néanmoins à le vendre. »

Et en mars 2009, nous apprenions par le Dr Deb Brandt, du Rapid City Medical Center’s Urgent Care, que sur 106 patients atteints de grippe saisonnière, 50 % avaient été vaccinés cette année-là.

Au Japon, où la vaccination de masse contre la grippe pour les enfants des écoles a été rendue obligatoire en 1976, programme unique au monde qui devait supprimer toute épidémie de grippe, le pourcentage des personnes atteintes par la grippe est passé de 5 pour 100 000 à 60 pour 100 000. Ces chiffres montrent non seulement une absence totale d’effet protecteur de la vaccination, mais plutôt un effet aggravant.

2291616278_19fa53950e.jpgCet effet a également été prouvé par une autre étude, menée afin de déterminer si l’incidence de la grippe avait diminué dans l’Ontario après l’introduction d’une campagne d’immunisation gratuite pour 12 millions d’individus en 2000, et parue dans le journal médical américain Vaccine du 5 avril 2006. Tous les cas de grippe advenus entre 1990 et 2005 ont été évalués et le Dr Dianne Groll, qui a mené cette recherche à l’Université d’Ottawa, a constaté que lorsque la campagne a commencé en 1990 l’incidence s’élevait à 109 cas par 100 000 personnes. Or, après le début de la campagne, l’incidence était montée à jm_dubernard_small.jpg164 cas. Ainsi, en dépit de cette intense vaccination, l’influence de la maladie n’avait pas diminué, bien au contraire, et le 2 mai 2006, le National Post d’Ottawa reprenait la nouvelle et titrait : « Le vaccin contre la grippe n’a pas réduit le nombre de cas alors que cette campagne a coûté beaucoup d’argent. » Il faut déplorer que ces constats, qui montrent l’inutilité du vaccin, n’insistent pas davantage sur leur nocivité puisque plus on vaccine, plus les cas augmentent.

Le problème est exactement le même en France où l’on peut aisément imaginer ce que dépense l’industrie pharmaceutique pour le matraquage publicitaire dont les médias se font les complices. Pourtant, le Dr Jean-Michel Dubernard, chirurgien réputé et membre du collège de la Haute Autorité de Santé depuis 2008, a signalé qu’il « n’existe pas de preuve scientifique sur l’utilité des vaccins », mais personne ne semble l’avoir entendu.

Un chiffre d’affaire colossal

Certains sont écœurés de ces manières scandaleuses, mais d’autres, tel un troupeau, obéissent sans se poser aucune question sur la nécessité d’être vacciné. En réalité, la vérité sur ce vaccin, comme sur les autres, est qu’il concerne plus la finance que la science, car les grands labos misent sur les vaccins pour compenser la chute brutale Mahmoud.jpgqui attend leur chiffre d’affaires d’ici à 2013 avec l’arrivée de nouveaux génériques. En effet, il suffit de composer une formule pour copier un médicament classique alors que la fabrication d’un vaccin exige un savoir-faire et des usines spécifiques.

En outre, n’importe quel vaccin peut devenir un blockbuster, c’est-à-dire dégager un chiffre d’affaires supérieur au milliard de dollars, si un ou plusieurs gouvernements décident de vacciner tout ou partie de leur population ! C’est ce qui s’est passé pour le vaccin contre l’hépatite B et plus encore pour la grippe A. C’est ainsi que Sanofi a réalisé, l’an dernier, un chiffre d’affaires de 736 millions d’euros rien qu’avec la grippe saisonnière. Le vaccin a donc un bel avenir devant lui et devrait générer plus de 20 milliards de dollars (14 milliards d’euros) de chiffre d’affaires en 2012.

Adel Mahmoud, expert en vaccinologie, professeur de biologie moléculaire à Princeton et qui présida le département des Vaccins chez Merck de 1999 à 2005, estime que  : « L’importance du marché est inimaginable, aussi bien aux États-Unis qu’à travers le monde ». Et il manifeste sa satisfaction en signalant qu’« il existe des quantités de cibles qui n’ont pas encore été envisagées ». Pourtant, les plus inimaginables il y a à peine quelques années ont déjà été envisagées.

10966366.jpgAussi, dans cette course au trésor, tous les chercheurs s’affairent. « Nous entrons dans l’âge d’or de la vaccinologie », a déclaré Gregory A. Poland, ardent défenseur du Gardasil®, consultant de Merck entre 1999 et 2007 et expert en vaccins.

Toutefois, ce sont les vaccins antigrippaux qui sont en tête des ventes du marché car ils possèdent l’immense avantage de devoir être renouvelés chaque année. En 2004, profitant d’un défaut de production dans l’une des usines de Chiron, leader sur le marché des antigrippaux aux États-Unis, le groupe français Sanofi-Aventis couvre désormais près de 80 % de la demande américaine. Cela ne plaît guère aux concurrents qui sont furieux. GSK, qui produit chaque année 300 millions de doses de vaccins antigrippaux, s’active à mettre au point de nouveaux produits afin de les lancer dans cette guerre sans merci qui n’a rien à voir avec la véritable science et la santé.

5899895900_1b770df4e8.jpgLe monde de la finance, les laboratoires et les gouvernements le savent très bien, mais qu’en savent les consommateurs de vaccins qui croient encore que les vaccins sont la médecine de l’avenir, d’un avenir débarrassé de toute maladie ?

Tout sera donc fait pour que le dogme vaccinal perdure. Ainsi, le 30 avril 2008, Le Canard enchaîné révélait que le mois précédent, la direction du laboratoire Sanofi Pasteur diffusait, au cours d’une réunion du comité d’entreprise de la filiale française, un document mentionnant la nécessité de « neutraliser la grande presse ». Le journal mentionnait le nombre de pages de publicité achetées par le groupe dans divers magazines comme moyen de pression et poursuivait : « Pour venir à bout des plus récalcitrants, les labos connaissent d’autres remèdes de cheval : « voyages d’études », tous frais payés, au soleil, invitations multiples, cadeaux agréables et autres sévices du même tonneau. […] les responsables de Sanofi jurent, la main sur le cœur, qu’il s’agit là d’une époque révolue et que la destination des voyages de presse est « toujours liée à une activité scientifique ». Qu’en termes galants ces choses-là sont dites. »

2612194-3685338Lorsqu’il parle de « transparence » en matière de santé, notre ministre devrait se renseigner sur l’efficacité et l’innocuité du vaccin anti grippal avant que ce scandale ne lui saute un jour à la figure comme l’affaire du Médiator. Toutefois, comme dans ce dernier scandale, on critiquera les laboratoires et non leurs complices qui, une nouvelle fois, s’en tireront blancs comme neige, à part quelque bouc émissaire, moins responsable, peut-être, que d’autres.

Source image : http://www.boursereflex.com

Source: naturavox.fr

Selon une étude, les enfants non vaccinés sont bien moins sujets aux allergies et aux maladies que les enfants vaccinés

Traduction copyleft de Pétrus Lombard pour Alter Info

On présume en général que les vaccinations sont à l’origine d’importantes améliorations de santé publique, et que les gens étaient bien plus enclins à développer de graves maladies avant leur avènement. Or, une nouvelle étude publiée par VaccineInjury.info déboulonne ce mythe, en montrant que, par rapport à leurs homologues vaccinés, les enfants non vaccinés sont bien moins enclins à développer des allergies, des maladies auto-immunes, des troubles neurologiques, des maladies endocriniennes et d’autres affections.

L’homéopathe allemand Andreas Bachmair a compilé les données de santé de plus de 8.000 enfants non vaccinés, provenant d’au moins 15 pays différents, et les a comparées à la compilation des données de santé de plus de 17.400 enfants vaccinés impliqués dans une étude allemande connue sous le nom KiGGS : Entretien et examen d’étude de santé des enfants et adolescents allemands.

Les enfants impliqués dans les deux études étaient âgés de 0 à 17 ans, mais, dans l’étude des non vaccinés, la plupart des enfants impliqués avaient huit ans ou moins. Les deux études ont pourtant utilisé les mêmes critères de collecte de données de santé des enfants, et les deux sont considérées comme ayant abouti à des résultats recevables.

Dans chaque catégorie de santé isolée, évaluée dans le cadre des deux études, la santé globale des enfants non vaccinés surpasse celle des enfants vaccinés. Par exemple, le taux d’allergie chez les enfants vaccinés était plus du double de celui des non vaccinés. Et, pire encore, on a constaté que les enfants vaccinés étaient près de huit fois plus sujets à développer de l’asthme ou une bronchite chronique que les non vaccinés.

Une autre importante différence entre les deux groupes a été observée dans la catégorie des maladies auto-immunes. Alors qu’on a constaté que moins de 0,5 pour cent des enfants non vaccinés ont développé une maladie auto-immune, environ sept pour cent des enfants vaccinés en ont développé une – et, selon les Instituts de santé nationaux zuniens (NIH), près de 25 pour cent des Zuniens souffrent aujourd’hui d’au moins un trouble auto-immune.

Les autres catégories de santé où les enfants non vaccinés s’en sortent mieux que les enfants vaccinés incluent la névrodermite, l’herpès, l’otite moyenne, le rhume des foins, l’hyperactivité, la scoliose, l’épilepsie et les attaques (seizures), la migraine et la maladie de la thyroïde. La seule catégorie où les taux de maladies étaient à peu près égaux entre les deux groupes, était le diabète sucré, une maladie qui ne touche de toute façon qu’environ 0,2% des enfants de moins de 20 ans.

Il est possible de consulter l’étude complète de Bachmair sur la vaccination, avec des détails minutieux et des graphiques, ici :
www.vaccineinjury.info/vaccinations-in-general/health-unvaccinated-children/survey-results-illnesses.html

Trouvé sur Sott.net

8 Commentaires

  1. Les éffets néfastes de certaines pratiques médicales font la une de pas mal de sites internet, d’une certaine presse etc…..

    dans les effets néfastes, supposés, avérés… il est a citer en vrac :

    les mammographies
    le vaccin pour le col de l’uterus
    la transmittion de pappilomavirus, par le medecin lui même
    le ‘scandale’ des sondes échographiques
    et bien d’autres encore.

    au rayon vaccination, je n’ai pas encore pu trouver une analyse de risque pour la vaccination chez l’adulte contre le tetanos  (et couplé avec la diphtérie)
    soit la balance des risques entre ce vaccin et la maladie elle même

    • Marin Belge
      pour le tétanos ou la polio il y a le chlorure de magnésium qui est très efficace sans effets secondaires. Voir les travaux du docteur Delbet et les articles sur les Chlorure de Magnésium ou le Nigari.

  2. Travaillant en agence de publicité pour le domaine pharmaceutique, il m’est arrivé de travailler sur un document destiné à trois cibles : Médecins, pharmaciens, et grand public.
    Dans la version grand public, une petite phrase était enlevée : « l’utilisation de ce vaccin peut déclencher des tumeurs chez la patiente ».
    Rien que çà !
    Les professionnels étaient informés, mais il ne fallait pas faire peur au grand public.
    Je trouve ca scandaleux et immoral. Ce fameux vaccin Gar—– est aujourd’hui sur la sellette (il était déjà controversé à l’époque mais moins médiatisé)
    L’article montre bien le cœur du problème. L’objectif prioritaire est d’abord de faire de l’argent.
    Si le serment d’hyppocrate s’appliquait à l’industrie pharmaceutique, bien des choses changeraient.

  3. Pour ceux qui veulent se faire une idée de ce qu’est la médecine allopathique actuelle, je vous conseille le livre de Patrick de Funès :   » Médecin malgré moi  » vous serez édifiés!!

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