Aux quatre coins de la France, rencontrez des gens comme vous et moi… qui changent le monde.
Ils sont solidaires, innovateurs, courageux, imaginatifs, modestes.
Un point commun : l’optimisme.
Elle aurait pu rester une ferme bretonne comme les autres, et subir la crise, comme les autres. Pourtant, quand il a repris la ferme paternelle des Petits-Chapelais, Gilles Simonneaux s’est tourné vers le bio et s’est diversifié, quand ses voisins intensifiaient et se spécialisaient.
« Le but, c’est de proposer un système où les ateliers coopèrent les uns avec les autres, résume-t-il. On crée une boucle vertueuse, qui amène de la productivité et de l’emploi. Je ne veux pas passer pour un nostalgique, mais finalement on reproduit ce que faisaient nos grands-parents. Ils avaient une grande diversité sur une même exploitation et produisaient le plus de choses possibles avec le peu qu’ils avaient… »
Merci Mouton Résistant pour ce coup de projecteur sur les voies du bon sens pour un futur plus intelligent ! Je me permet de mettre en avant cette remarque importante de Gilles Simonneaux, propriétaire de la « ferme de demain » :
« Mes collègues en conventionnel sont en crise, constate-t-il. Il y a des gens qui produisent 5.000 cochons par an et qui ne gagnent pas d’argent, à un moment il va falloir qu’on arrête ! Je pense qu’on est plus dans la réalité avec notre système diversifié que dans la course à l’agrandissement, la productivité, la compétitivité internationale qui nous conduit droit dans le mur. »
M.G.
Encore une nouvelle qui fait du bien. Il y a de plus en plus d’alternatives de ce genre et de bien d’autres, c’est encourageant. Le monde change !
Tant qu’ils produiront pour faire du fric au lieu de la nourriture c’est foutus.
Hello RTB, ne soit pas si catégorique, leur démarche première est bien de produire de la nourriture de qualité, après il faut bien de quoi se procurer ce que l’on ne peut pas produire ou troquer ! Donc un minimum de fric est encore nécessaire de nos jours, ne serait-ce que pour le PQ !! Même si les chèques sont de bonne taille aussi !!!
Ouep,quand il sera élu on verras bien.
Ta démarche est désintéressée et apporte un message positif,merci.
Bon OK,J’espère avoir tort.
bisous
Visiblement nous ne parlons pas du même sujet. Je parlais de la démarche de Simonneaux ICI …
Excuse moi svp,.
Pas le temps de suivre ,je sais que c’est regrettable,depuis que le blog nous informe c’est devenu impossible de suivre tout les liens proposés,il y en a tellement que cela ne laisse plus de place à l’intervention directe (qui fait toute la splendeur de ce blog,merci VOLTI et BENJI).
L’essentiel de nous retrouver entre nous est plus important je pense,des conférences de M ONFRAY et d’autres remplissent mon écran avec d’autres indispensables .
Bisous
http://www.parismatch.com/Actu/Societe/Alexandre-Jardin-Aux-actes-citoyens-745340
Voilà quelqu’un qui se bouge et crée du concret avec de beaux résultats à la clef !
Donc il veut entrer en Politique,le reste c’est du militantisme .
Des bonnes idées bien sur et des adhérents ca aide.
Salut GDP
Moi ça me fait penser à un truc, je ne dis pas que c’est lui, mais toute grande révolte à été ourdie par un leader. Je te défie de me trouver une révolte qui a fonctionné ou presque sans un leader charismatique, il y en a pas. Donc fatalement il y a des suiveurs (qui dans un tel cas, n’a rien de péjoratif bien sûr. Mais les gens pour bouger ils ont besoin de ça, de personnes qui les galvanisent, les mettent en confiance savent trouver les bons mots. Sans ça. C’est couru d’avance. L’ennui, c’est que les élites le savent aussi, donc dès qu’une personne prend un peu d’importance, il est de suite pris en charge. Soit il est discrédité aux yeux du peuple, soit écarté, mis en prison, ou pire éliminé physiquement. Donc un leader se doit d’être vraiment prudent bien entouré et assez habile à jouer avec les médias en générale.
Orné
Excellent commentaire Orne et Akasha.
Prendre nous même les choses en main: Ce matin j’écoutais sur France Inter
Alexandre Jardin, parrain de nombreuses associations, de Bleu Blanc Zèbre,
ou il fédère autour de lui les joyeux acteurs d’une révolution positive, les « faizeux » : « Laissez-nous faire ! On a déjà commencé » chez Robert Laffont.