La librairie les deux cités attaquée par les antifas, elle a besoin de vous ! Avec Sylvain Durain

Nous recevons Sylvain Durain sur la chaîne.

Depuis quelques jours, la libraire Les Deux Cités a subie de nombreuses attaques : agression devant la librairie par des antifas, tag du Hezbollah ou bien même plus catastrophique pour la libraire, la perte d’accès à son site.

Sylvain Durain est présent pour vous expliquer la situation de la librairie, la position « au bord de la légalité » de la ville sur son absence totale de réaction, mais aussi comment les soutenir.

Vous pouvez apporter votre soutien dès maintenant par un don en cliquant sur le lien ci-dessous :

https://www.helloasso.com/associations/lecteurs-lorrains/formulaires/1

Pour découvrir le travail de Sylvain Durain et le soutenir, visionnez notre entretien :

(1) LA LIBRAIRIE LES DEUX CITÉS ATTAQUÉE PAR LES ANTIFAS, ELLE A BESOIN DE VOUS ! AVEC SYLVAIN DURAIN – YouTube

Géopolitique-Profonde

Franck Pengam (Géopolitique Profonde)

5 Commentaires

  1. “Ce sang qui nous lie”
    Résumé par “La Fnac”
    “Véritable enquête sur l’histoire de la figure paternelle, ce livre nous entraîne dans une passionnante aventure : celle de la création des civilisations. L’étude de nombreuses communautés, du monde primitif à nos jours, et leur comparaison poussent l’auteur à dégager un nouveau concept, celui du « matriarcat sacrificiel ». Articulant trois niveaux d’analyse, la famille, la politique et le religieux, « Ce sang qui nous lie » remet au coeur du processus culturel les notions de sacrifice et de violence. Cette dernière serait donc, comme l’a montré René Girard, le fondement des sociétés. Mais la violence est-elle inhérente au patriarcat ? Une société plus féministe mènerait-elle vers plus de paix et de bonheur ? L’égalité totale entre les sexes provoquera-t-elle un nouveau monde meilleur ? Qui sera le bouc émissaire ? Qui cimentera la communauté mondiale face au désordre à venir ? Tant de questions qui sont, en filigrane, traitées dans ce livre, et nous sommes loin de la pensée unique ou du politiquement correct. Sans concession, l’auteur parvient à dégager deux mondes qui ne cessent de s’affronter : celui de l’archaïque indifférencié face à celui de la complémentarité incarnée. Loin des stéréotypes actuels, cette nouvelle approche permet de répondre à une question fondamentale de notre époque : allons-nous vers un matriarcat postmoderne ? Et à la lecture de ce livre, on serait tenté de répondre par l’affirmative. Sylvain Durain, auteur et réalisateur, signe ici un livre novateur pour la compréhension du monde à venir, celui qui mêlera égalitarisme total et violence exacerbée. Un ouvrage majeur qui révolutionne l’anthropologie fondamentale. “

    • Le sang du père
      Un meurtre cinématographique, Edition augmentée
      Résumé par “La Fnac”
      La mort de la figure du père est désormais chose admise dans nos sociétés modernes. De son rôle de chef de famille à celui d’incarnation de la loi, tout lui a été retiré au fil des décennies depuis la Révolution jusqu’à Mai 68. « Tuer le père » en était, en effet, le principal cri, du père du peuple au père de famille, toutes les références à la tradition devaient disparaître pour laisser place au « monde nouveau ». Si le rôle des intellectuels est reconnu dans cette véritable révolution anthropologique, qu’en est-il de celui de la culture et plus particulièrement du cinéma ? Ce livre tente de répondre à cette question épineuse. À travers une étude détaillée des films de Jacques Audiard, le présent ouvrage montre que le 7ème art est présent en amont des avancées sociétales. La mort de toutes les figures de père : biologique, symbolique, putatif, tyrannique, classique, et la promotion d’une nouvelle figure : le père-mère, semblent préparer les mentalités à la mort concrète du père au sein de l’architecture nationale. L’auteur analyse également, dans cette version augmentée, les propagandes des séries télévisées (Lost, The Leftovers), et de ce qu’il nomme « le triple mouvement » des plateformes de streaming telles Netflix ou Disney . Ainsi, l’alliance du mondialisme de « la tribu-monde » s’allie au mondialisme « gnostique » pour atteindre la victoire du Mondialisme global. Sylvain Durain, spécialiste des questions de patriarcat, de matriarcat et des conséquences familiales, politiques et religieuses de la mort de la figure paternelle dans la société, est l’auteur de l’ouvrage Ce sang qui nous lie (Verbe Haut, 2021 dans une édition augmentée), dans lequel il développe et propose le concept novateur de matriarcat sacrificiel.”

  2. L’esprit familial (préface)
    Résumé par “La Fnac
    « À la jeunesse appartient de reconstruire la société sur les ruines de la Révolution. La première préparation est d’étudier les conditions d’existence, de vie et de prospérité que réclame la société humaine. Une des conditions est de restaurer l’esprit familial. » Monseigneur Delassus Cette réédition vous propose de découvrir, ou redécouvrir, le livre “L’esprit familial, dans la maison, la cité et dans l’état de Monseigneur Delassus, grand théologien français. Cet ouvrage, publié initialement en 1910, traverse les siècles pour analyser l’état de la famille et commence par la plus fondamentale, la famille primaire, de création divine. Dieu, en créant l’homme, a établi des lois pour que les sociétés humaines puissent se perpétrer et se développer à travers la religion, les traditions et les moeurs de leurs ancêtres. Ce modèle apporte à la famille une vie florissante, prospère et éternelle. La puissance de Dieu, l’autorité du père de famille, ainsi que le pouvoir du roi, père du peuple, ont largement contribué à maintenir un équilibre salutaire et solide pour la survie, l’abondance et l’élévation de la famille. « L’esprit de famille engendre ce que l’on a fort justement appelé le culte des ancêtres et il s’en nourrit. » Il met également en comparaison les trois régimes de famille qui existent encore dans le monde : la famille patriarcale, la famille-souche et la famille instable. Aujourd’hui, la famille n’existe plus dans son état originel, elle s’est dégradée petit à petit, insidieusement, notamment en détruisant le rôle de l’Église, en reléguant le père à un rôle inexistant, à grands renforts de lois, plus destructrices les unes que les autres, pour arriver à une famille instable, sans union durable, sans repère, sans modèle et sans projection vers l’avenir. Sylvain Durain, dans sa préface « Éloge du patriarcat », en profite pour présenter le livre, le remettre dans son contexte, et surtout pour redéfinir clairement ce qu’est une famille patriarcale, loin des stéréotypes modernes. »

  3. Mort au cléricalisme ou résurrection du sacrifice humain (préface)
    Résumé par “La Fnac”
    Par cet ouvrage, publié initialement en 1877, Mgr Gaume traverse les siècles et les peuples, pour nous faire entendre ce cri de guerre, ce cri sanguinaire « mort au cléricalisme » – terme qui signifie d’ailleurs catholicisme, mais employé pour le salir et le mépriser -, et qui retentit aux quatre vents. L’adoration du Veau d’Or, commença lorsque Satan, en singe de Dieu, voulut ses propres sacrifices. Haine du Christ, Adoration du Démon. Cette révolte contre Dieu, cette haine formelle du Verbe, cette malignité spirituelle réintroduite, véritable actualisation du péché originel, loin d’être éteinte avec les 3000 hommes d’Exode XXXII, 28, a entrainé les nations dans la barbarie, favorisant directement les sacrifices humains par immolation, égorgement, carnage, et même anthropophagie, etc., en l’honneur de divinités fausses et d’idoles malfaisantes et pernicieuses. L’histoire démontre que le sacrifice humain est une affaire de culte. Il a toujours existé et il est partout. Le seul sacrifice qui peut abolir le sacrifice des victimes humaines c’est le sacrifice (indirect) d’une victime divine. Dieu lui-même s’est sacrifié pour mettre fin à ces cruautés. Et parmi les peuples où le catholicisme a été enseigné, les sacrifices humains ont cessé. « Le catholicisme c’est la grande charte de l’humanité, nous dit Mgr Gaume ; c’est l’unique raison du pouvoir et du devoir ; c’est la religion descendue du ciel, la reine de la vérité, la mère de la vertu, la sauvegarde de tous les droits, la bienfaitrice de l’univers ». Cette réédition, devenue aujourd’hui nécessaire, permettra à chacun de méditer quant à l’actualité de notre monde. Et qu’y verra-t-il ? Un retour au paganisme, des chrétiens traqués, des églises brûlées, des prêtres attaqués et tués, etc. Car un retour au sacrifice humain n’est pas une éventualité, il est déjà une réalité. Un sacrifice aujourd’hui sans statue, sans idole, sans temple mais simplement en pensées par ces sacrificateurs du XXIème siècle. Sans une réforme radicalement chrétienne de l’éducation sur la jeunesse prônée par Mgr Gaume, et comme il le pressentait déjà au XIXème siècle, le passé est-il la prophétie de l’avenir ? Si le sacrifice divin venait à disparaître, alors le sacrifice humain recommencerait-il ? Sylvain Durain, dans sa préface, retrace les études traditionnelles sur la question du sacrifice et montre – par le lignage allant de Mgr Gaume à René Girard, en passant par Joseph de Maistre – que la modernité est bien le temps du retour du sacrifice sanglant. La religion du Progrès ramène l’humanité aux temps archaïques.”

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