7 janvier : la rue est à nous !

Par Lediazec

Il s’en passe du vilain, du pas glop, du sale et de l’ignoble dans la tête de la horde dirigeante. On parle ici de sadisme porté à son paroxysme comme un culte à la haine.

Qu’ont fait les peuples pour mériter le sort qu’elle leur cuisine ? A quels seins a-t-elle été allaitée pour transformer ce qu’à l’origine devait être des êtres innocents en des monstres sans pitié ? Sont-ils nés comme ça ? Le serpent ne vient-t-il pas à la vie pourvu de son arsenal mortel ? Pourquoi pas ces semblables si dissemblables n’appartiendraient-ils pas à une espèce aussi traître que nuisible ?

De la très opportune apparition de la pandémie, à l’obligation d’un vaccin expérimental aux effets secondaires dévastateurs, rien n’est laissé au hasard pour faire de nos vies cet enfer que Dante avait à peine esquissé dans la Divine Comédie.

Dans la vraie vie, la nôtre et celle de nos enfants, il est fort peu probable que la rédemption soit au rendez-vous comme on le raconte dans les contes pour enfants plus ou moins mûrs.

Prenons l’exemple de Brigitte Macron, si tant est que sa féminité soit avérée, intronisée par les lois du détournement de mineurs et du mariage, première Dame de France, qui veut (ou voulait) remplacer la flèche de Notre Dame détruite par l’incendie, oeuvre de feu Eugène Viollet-le-Duc, par un cornet à deux boules dorées, symbole de… Symbole de quoi, au juste ? Un égout entrouvre une gueule obscène dans la beauté du monde et nous avons sous les dorures de nos palais son ambassadrice.

Au moment où la « branche famille » de la Sécurité Sociale balance des millions d’euros dans les poches de Cabinets Conseil pour faire de la SS ce que la horde fait avec les acquis sociaux du pays, les Gilets Jaunes reprennent du service, se mobilisent pour empêcher la ruine d’un pays et la destruction d’un continent à la culture millénaire, sauver leur peau avec l’aide d’autres bras, ou tomber au « champ d’honneur » avec la dignité pour bagage.

J’ignore si le mouvement sera suivi et soutenu comme il le mérite, mais une chose est indiscutable : les revendications ne sont pas de la roupie de sansonnette ! Elles étaient justes avant la pandémie, elles le demeurent après la filante de 49-3 que le gouvernement balance en guise de démocratie.

La « crise » s’est même aggravée avec une guerre d’Ukraine programmée dans ce but ! Posons la question à ceux qui se retrouvent sur le carreau pour ne pas avoir pris au sérieux un mouvement décrié par les mercenaires du pouvoir et par ceux qui, se croyant à l’abri, sont aujourd’hui à la rue ou sur le point de l’être !

Et qu’on ne chante pas, comme des nombreux tapineurs l’ont fait et continuent de le faire, artistes à talonnettes et chanteurs « engagés », que si l’Ukraine ; que si la pandémie ; que si la Chine ; que si la Russie… Que si les antivax…

Comme si le vaccin était ce « miracle » qui sauvera le monde ! A bientôt la cinquième dose, il s’en trouve des décervelés (j’en connais!) qui s’en enquièrent auprès des néo-piquousés comme si on prenait renseignement sur les améliorations mécaniques du dernier modèle de Lamborghini !

Eh, les gars ! On a le feu au cul ! Ne sentez-vous pas l’odeur de chair grillée qui agace les narines ?

Sous l’Casque d’Erby

Volti

10 Commentaires

  1. Le temps de se poser une question va arriver.

    Est-ce qu’on veut simplement manifester normalement, avec éventuellement un peu de casse et d’affrontements, en espérant être entendus et écoutés ?

    Ou est-ce qu’on se fout d’être entendus, et on veut juste faire le ménage, se débarrasser des corrompus et des traitres, et reconstruire selon la volonté du peuple ce qu’on va nettoyer pour de bon ?

    Avec la première option, on est surs de perdre.
    Avec la deuxième on est surs de morfler, mais au moins on aura un avenir.

    Et non, la rue n’est pas à nous. Elle ne l’a jamais été. Elle est à ceux qui nous donnent l’autorisation de manifester. Elle est à ceux qui lancent des grenades lacrymo et de désencerclement, qui mettent des blindés dans les rues, qui imposent leur loi ou la loi de leurs maîtres. Elle est à ceux qui punissent et condamnent ceux qui n’auront pas respecté leurs règles. Tant qu’ils seront là, la rue ne sera jamais à nous.

  2. Il me semblait avoir commenter sur cet article…
    oukilaipassaimoncom ?
    Màj.
    Oups désolé, j’avais commenté sur le lien dans les infos du jours.
    Je pérole…

  3. Ces Manifestations, ce n’est pas autre chose que de la supplique* envers un maitre à qui on demande d’arrêter de nous maltraiter – Ce qui en plus d’être sans effet sur lui, augmente encore son sentiment de pouvoir [ils me supplient donc c’est qu’ils sont totalement dépendants de mon bon vouloir ! https://lesmoutonsenrages.fr/wp-content/plugins/wp-monalisa/icons/wpml_cool.gif].

    Quand est-ce que vous allez chercher à vous démerder par vous-même plutôt que d’attendre quelque chose de cette merde insignifiante, à laquelle vous attribuez un pouvoir que seuls vous, lui permettez d’avoir ! https://lesmoutonsenrages.fr/wp-content/plugins/wp-monalisa/icons/wpml_negative.gif

    • Coucou David 🙂
      Je deviens folle où tu l’avais déjà dit hier ?
      J’comprends plus rien ?
      Bref, t’as raison j’en parle aussi dans info du jour et j’explique aussi pourquoi les JG ou diable soient leur nom à venir, c’est mourru et j’explique du coup qu’est ce qu’il faut faire !
      Et là avec leur retour raté, les médias s’en donne à cœur joie, moquerie, air super satisfait, etc…. De vraies ordures quoi… On ne doit plus les nommer journaliste, mais agent !

      Akasha.

      • “Agents”, Akasha ? Je dirais plutôt “suppôts”, voire “Maîtres à Dé-Penser”dans le sens de ne plus penser……

        • Coucou Jean-Claude 🙂
          Ah tu sais on peut leur donner pleins de sobriquets différents, le pitch c’est qu’on ne peut plus les respecter et les nommer journalistes car ce qu’ils font, on ne peut pas appeler ça du journalisme !
          Serge Halimi les nommaient “les nouveaux chiens de garde” C’est très bien aussi !
          Wouf ! Heu pardon (j’ai du toc)…

          Akasha.

  4. Le bonjour à tous et merci pour les commentaires. Il ne me reste que ça en magasin : le coup de gueule et je sais que ça finit par rendre aphone.
    Nous sommes pris au piège de la bêtise et de la violence. La bêtise de ceux à qui il faut expliquer (encore et encore) des choses évidentes et la violence de ceux qui ont pour mission de nous exterminer. Je me sens de plus en plus isolé au milieu de cette dislocation neuronale qui finit par me rendre fou. Les gens vivent (y compris ceux qui disent avoir compris) dans le monde merveilleux de l’ignorance, parce qu’ignorer c’est la meilleure façon de végéter en évitant la peur. Parce que se disent-ils qu’il vaut mieux ça que la mort !
    La bonne journée.

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