Les secrets de la reine : Tout savoir sur l’élite mondialiste avec Pierre Hillard

Spécialiste du mondialisme, Pierre Hillard publie un nouvel ouvrage : Des Origines du Mondialisme à la Grande Réinitialisation.

Selon lui, un réseau organisé travaille dans l’ombre depuis des siècles pour accomplir un objectif clair, imposer un ordre mondial. Messianisme, marranisme, liens secrets judéo-protestants, domination bancaire sous influence eschatologique, Pierre Hillard trouve la source de son travail dans les œuvres de ces réseaux qui ne se cachent plus !

« La Bête de l’événement est là, et elle arrive ! » a annoncé le Président Macron.

Déclaration anodine ? Annonce prophétique ? Nous allons tout savoir dans cet entretien en direct avec le spécialiste du sujet !

Venez poser vos questions en live…

LES SECRETS DE LA REINE : TOUT SAVOIR SUR L’ÉLITE MONDIALISTE AVEC PIERRE HILLARD – YouTube

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Franck Pengam (Géopolitique Profonde)

3 Commentaires

  1. « La Grande Prostituée, sise au bord des grandes eaux, avec laquelle se sont prostitués les rois de la terre, et qui a grisé les habitants de la terre avec le vin de sa débauche » (Apocalypse XVII.2)
    Guy Boulianne, dans son ouvrage « La Société Fabienne », écrit ceci au sujet de la « Cité de Londres » :
    « La Cité de Londres est un État maçonnique, privé, indépendant et souverain qui occupe environ un kilomètre carré au cœur de la région métropolitaine de Londres, au sommet du centre de commerce romain d’origine en Grande-Bretagne, connu comme l’ancienne ville romaine de Londinium, établie en 43 après JC. La cité de Londinium deviendra rapidement la capitale de la Bretagne romaine et servira de grand centre impérial jusqu’à ce qu’elle soit finalement abandonnée au Ve siècle. »
    Par « État maçonnique » entendez ici Maçonnerie moderne dite « spéculative », issue de la rédaction des Constitutions de la Grande Loge d’Angleterre publiées en 1723, et non pas Maçonnerie ancienne dite « opérative » qui trouve son origine dans les « Mystères ».
    G. Boulianne écrit encore : « À ce jour, la « City » est une entité distincte du reste de la Grande-Bretagne, agissant en tant qu’État débiteur du monde occidental. Ses « citoyens » sont les débiteurs-fiduciaires des comptes militaires étrangers de l’Empire romain, au sein du système administratif de la Cité de Londres : l’occultisme du Vatican. »
    Dans son dictionnaire étymologique des noms géographiques, André Cherpillod dit que le nom de « Nuremberg » (Nürnberg, dérivé du vieux haut allemand Nuremberc : NEU-ROM-BERG) signifie « la Montagne de la Nouvelle Rome » ; une « Montagne » contre laquelle Isaïe mettait en garde lorsqu’arriverait la fin des temps (Is II.2). Aussi, qu’est-ce donc que cette « Nouvelle Rome » issue de « Nuremberg », cette parodie de justice, si ce n’est la « City », sans oublier d’y annexer sa pure création, l’ONU, ainsi que la fondation de l’État d’Israël ? Au sujet de ce dernier, citons l’ouvrage de Marcel Bulard, intitulé « Le Scorpion, symbole du peuple juif dans l’art religieux des XIVème, XVème, XVIème siècles » : L’auteur, parti de l’examen de peintures de la chapelle Saint-Sébastien de Lans-le-Villard (Savoie), a rassemblé tous les documents similaires qu’il a pu découvrir, et il en a fait une étude très détaillée, accompagnée de nombreuses reproductions. Il s’agit de figurations du scorpion, soit, sur l’étendard porté par la Synagogue personnifiée, soit plus fréquemment, dans la représentation de certaines scènes de la Passion ; dans ce dernier cas, René Guénon écrit (Formes traditionnelles et cycles cosmiques) que « l’étendard au scorpion est généralement associé à des étendards portant d’autres emblèmes et surtout les lettre S P Q R, manifestement pour indiquer à la fois la participation des Juifs et celle des Romains, chose assez curieuse et qui semble avoir échappé à l’auteur ». « On pourrait remarquer aussi, ajoute-t-il, que ces mêmes lettres, disposées dans un autre ordre (S Q R P), évoquent phonétiquement le nom même du scorpion. Quant à l’interprétation de ce symbole, écrit encore Guénon, l’auteur, s’appuyant sur les « Bestiaires », ainsi que sur la poésie dramatique de la fin du moyen âge, montre qu’il signifie surtout fausseté et perfidie ».
    La « City » est cette « New Babel-Babylone », à laquelle se réfère l’Apôtre Jean lorsqu’il parle de la « Grande Cité », cet épicentre du séisme instigateur du « Nouvel Ordre Mondial ».
    D’un point de vue géographique, faisons remarquer que l’urbanisation nous donne parfois l’impression que la Tamise coule au milieu d’une immense plaine. Mais en réalité, le fleuve est en fait relativement encaissé, souvent entouré de collines aujourd’hui densément peuplées.
    Sin City : https://livresdefemmeslivresdeverites.blogspot.com/2017/07/introduction-livres-de-femmes.html

  2. Au Royaume-Uni La file pour voir le cercueil de la reine s’étend sur six kilomètres de Westminster Hall à Tower Bridge – et ne cesse de croître

    • L’ignorance de ces gens me met vraiment mal à l’aise, je pense que la pire des choses c’est d’avoir vécu sans ne rien savoir sur le monde qui nous aura vu naître et mourrir, si dieu existe, je comprendrais qu’il soit partie faire quelque chose de mieux, ailleurs.

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