Karmapolis par Zénon l’Ailé

Pour illustration/123.fr

À la mémoire d’Alain Gossens.

« Il y a plus de choses dans le ciel et sur la terre, Horatio, que n’en rêve votre philosophie. »
Shakespeare – Hamlet

J’aimerais vous parler du jour inévitable où s’effacera la raison. Ce moment de la vie où,
devant la disparition de tous nos acquis et présupposés, l’effilochement progressif de
l’univers de certitudes dans lequel nous nous sommes laissés enfermer, nous abdiquons
enfin toute rationalité pour ouvrir la porte à l’inconnu. Nous observons alors les choses
d’un regard neuf. Et pour la première fois depuis le commencement de notre existence :
nous voyons.

Nous percevons les êtres non plus seulement sous leur forme physique, mais aussi leurs
couleurs et ondulations énergétiques. Nous contemplons le chatoiement particulier de
chaque pensée, chaque intention ou désir qui les anime, et découvrons encore, ébahis, la
flottaison dans l’atmosphère qui nous environne d’entités tout aussi réelles que nous le
sommes, bien que dénuées d’organisme.

Pareille expérience ne relève pas de l’hallucination ni ne résulte d’une quelconque prise
de substance, mais peut devenir à chacun le fruit d’un long et patient travail d’activation
de nos capacités en sommeil.

De toutes les espèces peuplant notre planète, beaucoup naissent et meurent avant même
que nous n’ayons eu l’occasion de les découvrir. Il en va ainsi également de la plupart de
ce qui vit hors de notre champ de perception ordinaire. Les instruments de mesure nous
permettent d’affirmer l’existence des rayons infrarouges et ultraviolets ou des ultrasons,
bien que leurs gammes de fréquences soient étrangères à nos sens. Tout ce qui compose
le vide apparent de notre univers n’est que longueurs d’ondes se répercutant à l’infini du
plus minuscule atome jusqu’au tourbillon des galaxies.

De même qu’il existe une chaîne alimentaire sur le plan terrestre, nous nourrissons sans
cesse de nos émotions et de nos pensées des entités immatérielles apparues sur le plan
astral bien avant notre ère, au moment du développement de la conscience individuelle,
ou ego. Leur existence nous est intimement liée, car ces êtres, surnommés « prédateurs »
par les chamans ou « archontes » par la gnose antique, se sustentent en permanence des
énergies que nous consacrons à entretenir l’illusion du « moi », cette paroi auto-réfléchie
par le mental et servant de façade entre l’Être véritable et l’Univers avec lequel nous ne
sommes qu’un.

Ces créatures se délectent des égrégores religieux, politiques, militaires ou sportifs. Elles
s’ingénient à cultiver en nous les instincts les plus grégaires afin de faciliter les récoltes
massives d’énergie. Elles nous inculquent un attachement immodéré à tout ce qui peut
mener à un sentiment d’appartenance, car c’est ainsi qu’elles entendent nous posséder.

Nos vibrations les plus basses, qu’elles soient de souffrance, de peur, d’envie ou de haine,
constituent leurs mets privilégiés. Aussi ces entités nous entretiennent-elles dans la plus
douloureuse condition intérieure pour nous soutirer le plus de substance vitale possible.
Les expériences traumatiques, qu’elles soient individuelles ou collectives, participent au
grand festin, à la grande moisson quotidienne que ces prédateurs ou archontes réalisent.
Telle est entre autres la raison des rituels pratiqués par les loges noires des puissants de
ce monde : notre sueur, notre sang et nos larmes sont la monnaie d’échange leur offrant
un pouvoir presque absolu sur la matière.

Bien que nous soyons les proies de ces créatures, il existe un moyen de nous soustraire à
leur emprise. Il s’agit de la connexion à notre double spirituel ; non plus cet écran mental
où nous projetons notre représentation des choses, mais l’étincelle de lumière immuable
à travers laquelle la perception intuitive nous est révélée. Cette reconnaissance de notre
être éternel est réalisable par l’action de la glande pinéale, le sixième chakra représenté
par l’Œil d’Horus ou par le Tilak sur le front des Hindous. Elle se produit naturellement à
l’instant de notre venue au monde, à chaque fois que nous rêvons ainsi qu’au moment du
passage dans l’au-delà.

Il est également possible d’atteindre cet état de conscience en demeurant lucide, au prix
d’une pratique assidue et de beaucoup de persévérance. Mais celui-ci se manifeste à tous
quoique de manière fugace, par exemple sous forme d’impressions de « déjà-vu », ou par
les pressentiments plus ou moins nets d’évènements à venir. Ceux-ci résultent de brèves
rencontres entre l’être incarné et son double intemporel, pour qui tout a lieu sur un plan
simultané. Le temps, comme l’espace, est relatif à cette dimension. Une illusion basée sur
la perception du mouvement dans la matière, et dont la mesure est d’ailleurs donnée par
les rotations terrestres. Ce qui explique les talents de divination des maîtres dans l’art de
vivre reliés aux plans spirituels.

La première étape de ce processus est de parvenir à faire cesser ce perpétuel monologue
intérieur par lequel nous entretenons notre idée de nous-mêmes et du monde. Car celui-
ci nous limite aux frontières étroites de nos croyances. Il nous faut atteindre l’intuition à
l’état pur, antérieure à toute interprétation de l’intellect. Apprendre à mourir et renaître,
puis mourir de nouveau jusqu’à se débarrasser de toute notion et de tout souvenir. Alors
s’ouvre à nous la sensation des mondes subtils : ceux que nous percevions enfants, avant
que l’éducation et la société nous apprennent à devenir de faux adultes.

Derrière le voile des apparences, nous entrons en interaction avec l’esprit de l’eau et des
éléments, captons les énergies des minéraux et des plantes. Nous comprenons le langage
des animaux et découvrons la profondeur avec laquelle leur regard nous pénètre. Il nous
devient enfin possible de deviner les contours sombres ou lumineux des formes-pensées
dispersées au vent par les êtres incarnés ou immatériels.

Exercer cette faculté permet d’apprendre à se mouvoir dans les sphères supérieures, où
tout est lié et où n’existe aucune distinction entre « intérieur » et « extérieur ». Ceci offre
également l’opportunité de reconnaître l’origine des influences, la nature et la puissance
des courants, le potentiel absolument sans limite des intentions télépathiques ou encore
les répercussions sur la matière de chacune de nos pensées… L’expérience implique une
responsabilité toujours plus grande à mesure que s’élargit l’horizon de notre conscience.

Cette pratique confère encore une plus grande aptitude à différencier nos propres élans
de ceux qui nous sont communiqués à notre insu. À reconnaître en nous-mêmes l’œuvre
des prédateurs et à la chasser hors du champ de notre volonté. Cet effort est nécessaire à
la préservation de notre énergie vitale sur le plan physique, mais davantage encore pour
éviter le danger de se laisser envahir et littéralement absorber par des forces maléfiques
au niveau psychique.

Faire au cours de l’incarnation l’expérience de la mort à soi-même est la pierre angulaire
de la délivrance. L’on cesse alors de s’identifier à l’ego pour vivre pleinement dans l’être.
On se déleste de tout attachement, de toute passion ou vanité. On respire tranquillement
l’éternité chaque seconde. On devine la permanence dans l’éphémère. Et l’on sanctifie de
tout notre amour les indénombrables merveilles de la création. Enfin, surmonter la mère
de toutes les peurs nous rend inaccessibles à toutes les menaces, à tous les chantages, au
chant de toutes les sirènes vendeuses d’espoir et permet de devenir véritablement libres
et souverains.

À l’heure où de plus en plus de personnes alimentent l’égrégore d’une guerre mondiale,
il devient plus important que jamais de considérer que du point de vue spirituel, celle-ci
a commencé depuis l’aube des temps, et que notre époque est sur le point d’en connaître
le dénouement : soit qu’elle aboutisse à notre disparition pure et simple, soit qu’elle voie
s’accomplir notre émancipation réelle et définitive.

Rien ne se manifeste dans la matière qui n’ait été auparavant acté sur le plan psychique.
Nous en faisons tous au quotidien l’expérience individuelle. Il en va rigoureusement de
même au niveau collectif. Quoiqu’il advienne : ne laissons rien ni personne nous aliéner
l’extraordinaire pouvoir créateur de notre esprit.

Notre espèce est à la croisée des chemins de son histoire. Nous ne survivrons guère plus
longtemps au matérialisme des siècles écoulés. Car nous sommes infiniment plus que la
simple enveloppe à laquelle notre intellect et la science nous ont limités. Nous sommes à
la fois enfants de la glaise et poussières d’étoiles. Une vibration nouvelle est à l’œuvre et
nous invite à redécouvrir notre vraie nature sous les oripeaux de nos identités. Prêtons
attention à ce murmure qui nous traverse, et nous fera demain nous joindre à l’éternelle
symphonie des univers. Toutes nos croyances nous apparaîtront comme fétus de paille.
Nous nous retrouverons dans la nudité des premiers jours, sortis une fois pour toutes de
la caverne pour enfin vivre en pleine lumière.

Zénon – mai 2022

Volti

16 Commentaires

  1. Rien à ajouter si ce n’est que nos peurs, nos souffrances n’offrent un menu de choix tant que nous les ressentons en victime, que nous les subissons. Si nous les envisageons comme défi et transformation alors nous nous “nourrissons ” nous même ainsi que toutes les entités bienveillantes encore invisibles.

  2. Chacun peut interpréter sa façon d’exister. Recevoir un enseignement est important pour avancer plus vite dans la compréhension de notre existence mais avons nous assez de temps. Vu notre condition de mortels limités par le temps, celà influe sur cette folle envie de profiter avant que notre dernière heure n’arrive.
    Les enseignements ne manquent pas, le Christ l’a dit dans soyez prêts et d’autres mouvements religieux font cet enseignement dont chacun l’interprétera selon sa sensibilité.
    Aujourd’hui les satanistes veulent s’imposer comme par vengeance sur l’histoire passée mais ils tiennent le mauvais côté du rôle. D’ailleurs en 1985 le voyant Gumi de Barcelone que je rencontrai pendant 3 jours dans un voyage initiatique, me l’avait dit: le mal ne l’emporte jamais. Iui même perdait son pouvoir de voyant s’il l’utilisait dans une mauvaise pratique.
    Je me suis senti rassuré mais aussi inquiet de ne pas connaître l’enjeu de notre existence.
    Une seule chose en ressortai et ce fût pour moi un apaisement 《 soyons bienveillants les uns pour les autres》
    Juste un dernier mot; dans mon couple une règle est appliquée en permanence, ne jamais s’engueuler. Et la vie devient plus heureuse. https://lesmoutonsenrages.fr/wp-content/plugins/wp-monalisa/icons/wpml_mail.gifhttps://lesmoutonsenrages.fr/wp-content/plugins/wp-monalisa/icons/wpml_heart.gif

  3. “Juste un dernier mot; dans mon couple une règle est appliquée en permanence, ne jamais s’engueuler. ”

    Hummm…, le problème, c’est que les sourdes et muettes sont plutôt rares…https://lesmoutonsenrages.fr/wp-content/plugins/wp-monalisa/icons/wpml_yahoo.gif

  4. Magnifique texte, qui fait du bien. Merci Volti ! https://lesmoutonsenrages.fr/wp-content/plugins/wp-monalisa/icons/wpml_heart.gif
    “Rien ne se manifeste dans la matière qui n’ait été auparavant acté sur le plan psychique.”
    Le point difficile me semble là: il faut absolument modifier notre façon de penser, tout en sachant que les résultats ne se feront pas sentir de suite. Nous agissons pour le futur.

    Or notre égo ne cessera de nous répéter: “Mouais… tu vois bien, ça ne marche pas ! Arrête de te bercer d’illusions. Regarde ton monde des Bisounours ! Tu y crois encore ?! Pfft! ”
    Qui n’a pas expérimenté cela ?

    Alors il faut tenir le coup, coûte que coûte ! Oui, la création commence par l’In-tension – la tension à l’intérieur de – puis par le Verbe, et enfin l’Action va manifester l’intention initiale.

    En 5D, la manifestation sera très rapide, d’où l’importance pour nous, dès maintenant, de gérer au mieux nos pensées. Car si les pensées négatives se manifestaient immédiatement, nous aurions de sérieux problèmes…

    • …Où comment plier la réalité a ses désirs profonds.

      En français, le préfixe “in” signifie :
      – “Qui n’est pas”/ “qui ne peut pas”.

      Nous ne sommes pas anglais !
      De plus, le “in” du mot “intention” est indissociable de l’ensemble. Car il fait partie intégrante de la racine de ce mot.
      https://fr.wiktionary.org/wiki/intention

      Comme quoi, l’argumentaire dans le monde du réel est régit par quelques règles que l’on est (encore) tenu de respecter.https://lesmoutonsenrages.fr/wp-content/plugins/wp-monalisa/icons/wpml_whistle3.gif

  5. Moralité tout est une histoire d’oeilhttps://lesmoutonsenrages.fr/wp-content/plugins/wp-monalisa/icons/wpml_whistle3.gif
    …et surtout, de croyance en son pouvoir.

    En fait, au delà de la croyance qui n’est que certitude de l’idiot, il y a l’expérimentation. Et c’est dans votre vie que vous la trouverez et non dans les écrits des autres.

  6. ” Juste un dernier mot; dans mon couple une règle est appliquée en permanence, ne jamais s’engueuler. Et la vie devient plus heureuse. ”
    C’est peut-être possible entre deux personnes qui vivent ensemble . Mais une personne vivant seule doit nécessairement interréagir avec de nombreuses autres personnes pour se socialiser et la période récente a démontré que nous étions entourés de démons que nous pensions connaître et qui, sous des dehors bienveillants ont participé à la discrimination vaxx-nonvaxx activement ou en ont été les complices Ils nous ont discriminés, nous ont interdit l’entrée à l’hôpital, supprimé tout loisir collectif , tout petit plaisir (même un simple petit café en terrasse ) des “braves gens” qui étaient prêts à nous faire mourir . Combien de fois les avons-nous entendus dire qu’il ne fallait pas ré-animer les non vaxx s’ils tombaient malades ? . Refusant de perdre de l’énergie à haïr ces démons qui m’ont discriminée ,et parmi eux de haïr , à chaque mouvement douloureux de mes membres , cette jeune anesthésiste qui , à la consultation pré-opératoire , par son refus de m’anesthésier , s’est opposée , avec un sourire sadique, à la pose de ma prothèse pour emm …er les non-vaccinés , je sais qu’un jour ou l’autre la vie se chargera de rabattre leur superbe . Je peux distinguer maintenant qui sont les gens de valeur et mes vrais amis , face aux collabos lâches et meurtriers . En cas de guerre , je saurai qui seront les collabos dont il me faudra me méfier .

    • Depuis que je suis jeune et ai vu des films sur la guerre 40-45, je sais que je vis dans une société de faux semblants. Les gens se révèlent vraiment quand leurs intérêts personnels sont en jeu et qu’il faut faire un choix radical. C’est l’égoïsme ou la solidarité, et je ne me fais aucune illusion sur la majorité des gens. L’histoire l’a déjà montré maintes fois et je pense que nous avons régressé moralement au lieu d’évoluer. Nous allons en subir les conséquences et ce sera une nouvelle possibilité pour évoluer pour tous.

      • https://lesmoutonsenrages.fr/wp-content/plugins/wp-monalisa/icons/wpml_bye.gif Je m’en suis aperçu très jeune de ce que vous avez constaté aussi, une très très très grosse majorité des gens se déguisent en agneaux alors que ces gens la n’ont pas de morale et ne sont mus que par leur intérêt personnel.

        Des comportements de facade cachant l’avidité et l’égoisme qui les animent, personnellement, j’en ai souffert de cette humanité sur laquelle je me suis écorché intérieurement.
        Après maints essais, j’ai cessé ma quête de rencontrer des personnes de valeur, honnêtes et morales il y a de ça 15 ans.

        Il doit en rester quelques unes, de ces belles personnes parsemées dans cette masse de débiles mais les chercher, c’est se faire du mal alors qu’au final être seul et avoir encore le contact avec sa famille (une vraie famille) est amplement suffisant pour se sentir bien.

        J’ai appris très vite malheureusement la nature de l’homme conçu par le système, le genre d’ individus qui vous rendent malade de l’intérieur, et là, je pense que depuis le covid ou grâce au covid, que certaines personnes doivent en tomber des nues en découvrant avec effroi la laideur de l’humain et surtout celle de leurs proches et de leurs pseudo amis.

        • Votre témoignage me touche car j’ai beaucoup souffert aussi de l’égoïsme des gens et ce n’est pas fini, car difficile de ne pas être affecté par tout ce que j’observe! Encore une fois tout est une question de conscience. Je pense souvent à Jésus ou à d’autres personnes évoluées spirituellement, qui ont dû souffrir beaucoup intérieurement de voir toutes ces comportements mauvais autour d’eux. Cependant, cela ne les a pas isolé ou découragé. Par compassion (qui est à l’opposé de l’égoïsme) pour ces personnes dans l’erreur, Jésus n’a pas cessé d’enseigner et d’être bon envers tous. Prier pour ces personnes ou leur souhaiter du bien afin de retrouver la voie de l’amour, est aussi une manière non seulement de les aider, mais aussi de rester ouvert aux autres.

          • https://lesmoutonsenrages.fr/wp-content/plugins/wp-monalisa/icons/wpml_bye.gif On peut toujours aider des personnes quand on en a l’occasion, ce que je fais quand j’en ai la possibilité mais il faut se rendre à l’évidence que certaines personnes ne peuvent être aider.
            un exemple rapide: il y a dans ma famille moins proche des gens complètement abrutis par ce système que j’ai essayé d’éveiller un peu pendant le covid pour qu’ils ne se fassent pas injecter.
            Ils m’écoutaient, me questionnaient, je pensais qu’ils avaient compris et j’apprenais plus tard qu’ils s’étaient fait injecter quand même, bah, moi, je fatigue de ces gens là (proche ou pas)et je n’ai plus l’envie de m’user pour des causes perdues.

            Personnellement, je n’ai plus besoin de chercher l’amour ou l’amitié d’une personne, je ne me sens plus concerné, je suis passé à autre chose et être seul n’est pas un fardeau contrairement à ce que la société veut bien nous faire croire ,a partir du moment ou on le vit bien.

            Je suis d’accord avec vous pour dire que c’est une question de conscience, d’empathie mais malheureusement il faut savoir se blinder sinon c’est nous qui nous faisons du mal pendant que les autres avec très peu de sentiments humains en ont que faire des sentiments des autres.

            Peut être que Jésus ne pouvait enseigner qu’à certains individus, les réceptifs à son discours d’amour et que la grosse majorité était juste inadapté intellectuement et sentimentalement (comme maintenant)pour capter son message.
            Ce n’est pas pour autant qu’il ne pouvait pas continuer de souhaiter du bien aux personnes qui ne le comprennaient pas.

  7. Pour ceux qui voudront, voici la version PDF de ce texte sublime, mais vous le savez, je suis absolument pas objective concernant Zénon ► https://jbl1960blog.files.wordpress.com/2022/05/karmapolis-de-zenon-mai-2022-pagination-jbl-le-260522.pdf

    Ce PDF étant en hommage à Alain Gossens, vous avez 2 liens en référence.

    J’ai choisi de le présenter dans mon billet avec des illustrations différentes du PDF ► https://jbl1960blog.wordpress.com/2022/05/26/karmapolis-de-zenon-mai-2022-dans-une-version-pdf-originale-de-jbl1960/ et bien sûr, comme à chaque fois, vous avez une conclusion en forme d’analyse…

    Dans lequel j’ai inclus des captures d’écran du PDF que vous pourrez retrouver dans ma page spéciale entièrement dédiée aux écrits de Zénon ► https://jbl1960blog.wordpress.com/les-chroniques-de-zenon/

    Ainsi que dans ma BIBLIOTHÈQUE PDF ► https://jbl1960blog.wordpress.com/les-pdfs-realises-par-jbl1960/

    https://lesmoutonsenrages.fr/wp-content/plugins/wp-monalisa/icons/wpml_rose.gif

Les commentaires sont clos.