incertitudes scientifiques au sujet des dangers des vaccins covid

 
4 septembre 2020
“Il est possible que les populations qui recevront la première série de vaccins verront leur immunité s’affaiblir et devront être stimulées par des vaccins COVID-19 améliorés de deuxième génération.”
 
30 janvier 2021
“La nécessité de répondre à la demande immédiate de vaccins permet d’appliquer un nouveau cadre modèle pour le développement des vaccins. Cela a permis de réduire les délais de développement, qui sont habituellement de 10 à 15 ans, à 1 ou 2 ans.”
“Il serait difficile d’établir des recommandations appropriées pour les vaccins récemment développés contre le SRAS-CoV-2. Bien que l’administration de vaccins ait été associée à des manifestations auto-immunes chez certaines personnes génétiquement prédisposées, il a été démontré que les vaccins ne présentent pas un danger plus important que les infections naturelles elles-mêmes.” [note perso : Sauf que ce qu’on aurait voulu entendre, c’est qu’il a été démontré que les vaccins présentent un danger MOINS important… non ?
12 janvier 2021
“Le vieillissement provoque de nombreux changements physiologiques au sein du système immunitaire qui entraînent un déclin progressif de la capacité du système immunitaire à produire des réponses adéquates aux vaccins.”
 
31 janvier 2022
“Récemment, un nombre croissant de flambées d’herpès zoster a été observé en étroite association temporelle avec la vaccination. (…) Dans notre série de cas, on observe une nette tendance à la réactivation du virus varicelle-zona après la vaccination par ARNm par rapport au vaccin vectoriel Le dérèglement immunitaire provoqué par le vaccin pourrait jouer un rôle dans la réactivation d’une infection latente par le virus varicelle-zona.”
 
“Les patients sous traitement immunosuppresseur ont été exclus des premiers essais cliniques de vaccins. Ainsi, seules des données limitées et incomplètes sont actuellement disponibles concernant l’impact potentiel de l’immunosuppression sur la réponse immunitaire ou l’efficacité des vaccins contre le SRAS-CoV-2.”
 
15 avril 2021
Les vaccins COVID-19 entrent dans un territoire immunitaire inexploré. Le corps de certaines personnes n’est pas fait pour les vaccins.
Les vaccins actuellement autorisés n’ont pas été conçus pour les personnes immunodéprimées ou immunosupprimées, dont le système immunitaire a été affaibli par des conditions sous-jacentes, des expositions environnementales, des médicaments ou des virus tels que le VIH, et n’ont pas été testés de manière approfondie sur ces personnes.
Ghady Haidar, médecin spécialiste des maladies infectieuses liées à la transplantation à l’université de Pittsburgh, m’a dit que son équipe n’avait pas détecté d’anticorps chez environ 46 % des patients atteints d’un cancer du sang qui avaient reçu les deux doses du vaccin Pfizer ou Moderna. Deux études de l’Université Johns Hopkins n’ont trouvé aucune trace d’anticorps chez 26 % des personnes atteintes de maladies rhumatismales ou musculo-squelettiques (un groupe qui comprend la polyarthrite rhumatoïde et le lupus), et 83 % des receveurs de greffes d’organes, après leur première dose du vaccin Pfizer ou Moderna. Dorry Segev, chirurgien spécialisé dans les transplantations et auteur des deux études, m’a dit que son équipe publierait bientôt des données montrant que ces pourcentages baissent après la deuxième dose de vaccin, jusqu’à moins de 50 % environ dans le groupe des transplantés.
S’il est confirmé que certaines personnes sont moins protégées par les schémas vaccinaux actuels, elles auront probablement d’autres options pour se protéger. Haidar, de l’Université de Pittsburgh, a noté que les personnes qui ne produisent pas d’anticorps en réponse au vaccin contre l’hépatite B, par exemple, recevront parfois une deuxième série de trois doses du vaccin. Un neurologue qui traite les personnes atteintes de sclérose en plaques à l’Université Duke affirme : “Faites-vous vacciner, mais comportez-vous comme si vous ne l’étiez pas”.
 
27 décembre 2021
“Des programmes de vaccination sont mis en place dans le monde entier, mais la plupart de ces vaccins ont été approuvés sans que des études approfondies aient été menées sur leurs effets secondaires et leur efficacité. Récemment, des phénomènes auto-immuns d’apparition récente après la vaccination par le COVID-19 ont été signalés de plus en plus fréquemment (par exemple, thrombocytopénie thrombotique immunitaire, maladies hépatiques auto-immunes, syndrome de Guillain-Barré, néphropathie à IgA, polyarthrite rhumatoïde et lupus érythémateux systémique).
Le mimétisme moléculaire, la production d’auto-anticorps particuliers et le rôle de certains adjuvants vaccinaux semblent contribuer de manière substantielle aux phénomènes auto-immuns.
Nous résumons ici les preuves émergentes concernant les manifestations auto-immunes survenant en réponse à certains vaccins COVID-19.”
“Des études antérieures ont suggéré que les vaccins contre la grippe et l’hépatite A pouvaient provoquer une hépatite auto-immune. De nouvelles preuves ont révélé quelques cas d’apparition de maladies hépatiques auto-immunes après l’administration du vaccin COVID-19.”
“Des études antérieures ont montré que le syndrome de Guillain-Barré était associé aux vaccins contre la rage, l’hépatite A et B et la grippe. Des preuves émergentes ont indiqué que le syndrome de Guillain-Barré pouvait survenir après la vaccination par le COVID-19.”
“A notre connaissance, c’est la première fois que l’on passe systématiquement en revue les manifestations auto-immunes d’apparition récente après l’administration du vaccin COVID-19. Bien que les informations sur le risque de maladie auto-immune comme conséquence de la vaccination soient controversées, nous nous contentons de proposer notre compréhension actuelle des manifestations auto-immunes associées au vaccin COVID-19.En outre, il n’existe pas de critères généraux pour le diagnostic de la maladie auto-immune induite par le vaccin, qui doit être évalué au cas par cas.”
“Conclusion : A la lumière des informations discutées ci-dessus, des preuves émergentes ont indiqué que la nouvelle apparition de manifestations auto-immunes, y compris le TIV (Thrombocytopénie immunitaire thrombotique induite par un vaccin), les maladies hépatiques auto-immunes, le syndrome de Guillain-Barré et la néphropathie à IgA, semble être associée aux vaccins COVID-19. Les mécanismes plausibles par lesquels les vaccins COVID-19 entraînent des manifestations auto-immunes comprennent le mimétisme moléculaire, la production d’auto-anticorps particuliers et le rôle de certains adjuvants vaccinaux. D’autres études sont nécessaires pour élucider les mécanismes biologiques sous-jacents et identifier la causalité exacte.”
“Les infections agissent comme des déclencheurs environnementaux pour provoquer des maladies auto-immunes déclenchées par des vaccins. La réactivité immunitaire croisée déclenchée par la similitude entre certains composants du vaccin et des protéines humaines spécifiques pourrait amener le système immunitaire contre les antigènes pathogènes à attaquer des protéines similaires dans la population sensible et conduire à des maladies auto-immunes, un processus connu sous le nom de mimétisme moléculaire. Les vaccins contre la grippe, l’hépatite B et le virus du papillome humain ont été soupçonnés de déclencher une auto-immunité par mimétisme moléculaire.”
 
8 janvier 2021
“Outre le mécanisme de mimétisme moléculaire, les vaccins à ARNm peuvent donner lieu à une cascade d’événements immunologiques conduisant finalement à l’activation aberrante du système immunitaire inné et acquis.”
“Les patients qui sont déjà affectés ou prédisposés à des troubles auto-immuns ou auto-inflammatoires devraient faire l’objet d’une évaluation attentive des avantages et des risques de la vaccination par l’ARNm COVID-19. Selon les données épidémiologiques, ces sujets peuvent développer l’infection de manière asymptomatique et il convient de noter que la présence de cellules autoréactives et d’auto-anticorps réagissant de manière croisée contre leSRAS-CoV-2 peut même se révéler naturellement protectrice vis-à-vis de l’infection. Jusqu’à preuve du contraire, l’administration d’un vaccin à base d’acide nucléique peut au contraire exposer ces personnes à des effets secondaires immunologiques indésirables.
De plus, le vaccin à ARNm COVID-19 pourrait stimuler différemment les cellules dendritiquesmyéloïdes ou plasmacytoïdes, créant un déséquilibre dans les voies de cytokines en aval qui jouent un rôle crucial dans l’auto-immunité et l’auto-inflammation.”
 
“Selon des rapports récents, la vaccination avec le ChAdOx1 nCov-19 (développé par Oxford et AstraZeneca) peut entraîner une thrombocytopénie catastrophique induite par le vaccin. Ce trouble se présente comme une thrombose étendue dans des sites atypiques, principalement dans la veine cérébrale, parallèlement à une thrombocytopénie et à la production d’auto-anticorps contre le facteur plaquettaire 4 (PF4).
Il est important de noter que le COVID-19 a été associé à de nombreuses manifestations auto-immunes, notamment la production d’auto-anticorps pathogènes et l’apparition de maladies et de troubles auto-immuns. Comme la vaccination ChAdOx1 nCov-19 conduit à la synthèse de protéines spécifiques du SRAS-CoV-2, elles peuvent déclencher une production d’auto-anticorps PF4 par des phénomènes de mimétisme moléculaire.”
 
Xelnaga

 

xelnaga

8 Commentaires

  1. C’est clair : on risque beaucoup moins à NE PAS être “waxxxxiné” qu’à l’être….. c’est vraiment une confirmation de ce dont on s’était douté au départ. En revanche, s’assurer qu’on a bien des taux acceptables de vitamines, de zinc, et autres contribue certainement beaucoup à ce qu’on soit naturellement protégé. Et quand c’est naturel, ça dure.
    .
    Voilà déjà au moins 20 ans, voire 30, il avait été noté que ceux qui sont abondamment vaccinés, comme les jeunes Étatsuniens, sont étonnamment fragiles à la moindre infection. Leur système immunitaire est “paradoxalement” très insuffisant. Trop d’asepsie tue !
    .
    Là, le cas est différent : c’est le supposé remède qui tue ! L’hypothèse affirmant que ce genre de situation est volontaire reste plausible.

  2. @Jclaude

    Dès l’épisode de la grippe espagnole, le constat que tu évoques avait été établi. Les populations qui, déjà, à l’époque, étaient couvertes en vaxx ( personnel soignant et militaires) avaient contracté le virus sous des formes nettement plus sévères que les populations non vaxx dont la caractéristique était de résider dans des contrées reculées, notamment aux USA…….
    C’est une règle, plus on sollicite l’immunité acquise et plus l’immunité innée s’affaiblit. Or cette dernière se caractérise par un spectre de défense infiniment plus large que la première. Pour donner une pertinence de défense aux vaxx, il faut vaxxiner avec discernement et non pas à tout va comme c’est le cas maintenant.
    Trop de vaxxins nuit au principe de la vaxxination….

    • La pandémie de grippe espagnole n’a pas été stoppée par un vaccin, le premier vaccin contre la grippe datant de 1930.

      • Relisez bien, je n’ai pas parlé d’un vaxx contre le virus de la grippe espagnole mais de la moindre résistance immunitaire à ce virus par les gens vaxxinés ( vaxxins de l’époque). Capito ?

  3. C’est a gerber ce qu’ils disent, ses scientifiques collabos !
    ( pas des autres qui ne manipulent pas leurs propos hein )

    Sa me coupe méme l’appétit de devellopper…

    Beurrrkkkk !

  4. ce n’est pas ce qu’on appelle communément des vaccins
    1) ce virus n’a pas pu etre séquencé entierement ce ne sont que quelques nucléotides et le reste a été completé par un ordinateur
    2)il a suffi au dr Campra Madrid de l’université de Almeria en Espagne d’e faire l’analyse fouillée au microscope optique ,electronique,spectroscopie etc.. pour découvrir qu’il contenait du GRAPHENE qui est hautement toxique je joins ici la page de ceux qui les premiers ont fait cette découverte c’est un site espagnol, si vous etes interessé vous devrez trasuire avec un traducteur de pages toutes les preuves sont la
    https://www.laquintacolumna.net/

  5. Nous avons toutes les preuves depuis des mois, toutes les analyses, les compositions approximatives des lots, les résultats chiffrés des conséquences, morts et effets secondaires… même si ceux-ci sont sous-évalués… Et nous savons pertinemment que ces injections font partie du plan.

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