Le délitement de la France en deux exemples

Scènes de rue.

Jeudi, en plein Paris, non loin du ministère de Bercy, sous une espèce de passage couvert, nous avons compté onze tentes de SDF.

Samedi, sous le même passage mais sur le trottoir d’en face, nous avons vu, vers 5h50 du matin, un sans-abri totalement nu, sans le moindre semblant de vêtement ou de sous-vêtement, qui a quitté sa couette pour aller pisser contre un pilier.

Il y a plusieurs mois déjà, à Neuilly-sur-Seine, un matin, nous sommes tombé sur une scène emblématique. Il y avait un magasin de costumes, ayant définitivement fermé ses portes pour problèmes d’approvisionnement dus aux confinements.

Juste devant ce magasin, était couché un sans-abri. Nous ne nous rappelons plus s’il avait une tente ou de simples cartons.

Un SDF dormant dans la rue, devant un commerce mis en faillite : tout un symbole.

Rien que ces 18 derniers mois, de combien se sont enrichis les plus fortunés qui gouvernent la France ?

Sellami

Guido

Guido est juriste.

A propos Guido

Guido est juriste.

7 Commentaires

  1. apparemment il y en a encore trop dans les assiettes, et le samedi ils sortent pour la promenade digestive.

  2. « Français divisés, pardonnez-vous de toute votre âme ! » (derniers mots de Jehanne d’Arc marchant au supplice)
    La légende de sainte Geneviève (422-512), jette une lumière inattendue sur cette division des français, devenue depuis une « atomisation ».
    Cette légende nous dit : « cinq ou six mois après la défaite d’Attila, Mérovée, roi des Francs (Saliens), vint assiéger Paris, encore au pouvoir des Romains. Le siège durait depuis quatre ans quand Mérovée s’en rendit maître. »
    Alors, comment se fait-il que Geneviève régnait à Lutèce quand Attila s’en approcha et qu’elle y exerçait une autorité morale suffisante pour intervenir dans les faits de guerre et pour protéger la ville ? Et comment cette ville dans laquelle règne une femme gauloise est-elle assiégée par Mérovée, 3ème roi de France ?
    C’est évidemment qu’il y avait séparation des pouvoirs : le spirituel (féminin) et le temporel (masculin). C’est qu’il y avait deux Frances : celle des Saliens masculinistes, dont Mérovée est le petit roi et qui n’a qu’un tout petit territoire à l’Est, et celle des Ripuaires féministes, qui reconnaît le pouvoir spirituel et qui est allié à ceux qui occupent le reste de la Gaule, y compris Paris. Voilà ce qui va nous expliquer l’histoire de France, qui ne sera qu’une lutte de sexes : les masculinistes et les féministes : l’une qui veut la Vérité et le Bien, l’autre qui veut l’erreur et le mal ; l’une qui va produire des persécuteurs, et l’autre des persécutés.
    Les historiens masculins ne nous parleront jamais que des Francs Saliens (les masculinistes), ils tairont ce qui concerne les peuples féministes de la Gaule. Et toute cette primitive histoire de France ne sera que l’histoire du petit parti des révoltés saliens, affranchis de la morale, de la raison, du devoir et de la soumission au Droit divin de la Déesse-Mère, ce qui nous est révélé par cette phrase : « Qui t’a fait roi ? »
    Il y a donc une autre histoire de France à faire, celle des peuples légitimes de la Gaule, vaincus, après de longues luttes, par les révoltés illégitimes.
    Et cette histoire fut si glorieuse que, malgré tous les efforts faits pour la cacher, nous trouvons encore assez de documents pour la reconstituer.
    NB : Le mot Paris signifie « Bar-Isis », ou « Vaisseau d’Isis », le mot égyptien « Bar » ayant le sens d’enceinte, réceptacle, de tout objet capable de contenir en son sein, vaisseau, etc.. Et selon W. von Bûlow, la rune BAR signifie la montagne qui cache et protège, mais en même temps engendre et manifeste la naissance, le Fils. Nicolas de Damas au 96ème livre de son histoire appelle en effet BARIS la montagne d’Arménie où l’arche de Noah s’était reposée.
    « Bar-Isis » est donc la traduction en druidique savant du mot vulgaire « Lutèce » qui avait exactement la même signification. La racine LO ou LU désigne en celtique les EAUX, les Rivières ; et TEC, en celte comme en latin et en grec, signifie « abri », « cachette », « couvert », « arche », « vaisseau » (dans le sens de ce qui contient).
    Lutèce, dit Court de Gébelin, était donc mot à mot « LIEU DÉFENDU PAR LES EAUX. » C’est-à-dire par Marie. Les Eaux sont en effet la manifestation extèrieur du principe féminin symbolisé encore par ISIS, la femme divine ; donc Lutèce et Bar-Isis désignent le même objet dans deux dialectes différents, et le souvenir en a été conservé par le vaisseau qu’on voit encore aux armes de Paris, et qui « fluctuat nec mergitur ».
    Plus est claire et nette la vision du passé et plus le présent s’éclaire.
    Lien : https://livresdefemmeslivresdeverites.blogspot.com/2017/07/celtesetlatins.html

  3. depuis 18 mois il y a énormement de personnes issues de ce bon peuple qui ont profité du pognon dilapidé par manu …..on a payé un peu plus de gens à rien foutre ….comme, un restaurateur que je connais qui a gagné plus pendant cette période ,qu à travailler ….
    il y aurait 1 million d emplois à pourvoir en ce moment ,……le symbole que notre civilisation est en train de s effondrait , on a appris à ce bon peuple à attendre tout des autres sans rien donner en échange , mais voilà les autres diminuent en nombre …..

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