Covid19: juteux profits à vaccination 2, 3, 4,… multi-doses? Témoignage

Par Daniel Vanhove via Mondialisation.ca

Suite aux prises de position incompréhensibles de voix qui s’affichent à ‘gauche’ et que l’on entend régulièrement à travers des articles, des interviews, et parfois via des chaînes dites ‘alternatives’ s’opposer aux politiques ‘de droite’, se déclarant ‘anticolonialistes’, ‘écolos’, ‘anticapitalistes’, ‘égalitaires’, ‘antiracistes’, ‘anarchistes’, etc… mais adoptant finalement, non sans fierté, le choix de la vaccination prônée par les gouvernements qu’ils disent combattre (appréciez les contradictions!), je reviens sur ce sujet évacué de mes préoccupations quotidiennes, tant les médias au service commandé du capital, nous polluent depuis des mois avec leurs ‘infaux’.

Dans toute société existe une majorité de citoyens qui ne demandent qu’à suivre les décisions de leurs gouvernements, et une minorité qui, à raison, s’en méfie. Et lorsqu’on se penche sur l’histoire moderne, où a-t-on jamais vu en Occident, un gouvernement se soucier du bien-être de sa population? Où a-t-on jamais vu un gouvernement travailler, à l’amélioration des classes les plus démunies? C’est exactement au contraire que l’on assiste: nos appareils d’État sont prédateurs et leurs fonctionnaires zélés inventent toutes sortes de mécanismes pour spolier les populations les plus précaires au profit de la caste la plus aisée. Secteur après secteur, le bien public acquis de longues luttes par nos parents, grands-parents et arrières grands-parents est dépecé au profit du privé. Cela n’est plus à démontrer, c’est sous nos yeux et explique les différences devenues d’une indécence absolue entre les toujours plus riches et les plus pauvres redevenus nombreux. De plus, ce sont ces politiques inéquitables qui fondent l’Union européenne infectée par les lobbies, dont il n’y aura d’autre choix que la démanteler ou à défaut, la quitter.

Dans la saga du ‘coronacircus’, les informations ont été biaisées dès le début, et les gouvernements ont tellement étalé leur incurie que cela a fini par interpeller de nombreux citoyens qui ont cherché d’autres sources que les communiqués officiels relayés et amplifiés par des médias de caniveau, pour essayer de comprendre ce qu’il en était et se faire leur avis.

Je n’ai pas la formation scientifique pour me permettre de dire la gravité ou non de ce qui nous a été présenté comme ‘épidémie mortelle’. Mais, force est de constater que des autorités scientifiques de tous bords nous ont dit tout et son contraire. Rien de tel pour confondre une population prise dès lors en otage et profiter de sa sidération pour faire passer des lois inacceptables. Je ne m’attarderai donc pas sur l’aspect médical de ce virus et laisse à chacun le choix de ses sources d’information. Je n’aborde ici que l’aspect politico-médiatique par lequel il est présenté et géré par les responsables qui, très loin de l’habituel ‘principe de précaution’ en ont pris la charge et dont je réfute la fiabilité.

Ainsi, faut-il revenir sur les faux chiffres claironnés dès le départ d’un virus qui allait décimer près de la moitié des populations; ou sur les chiffres falsifiés de décès attribués au ‘covid19’ pour alarmer les citoyens, sans autoriser l’autopsie des corps; ou sur l’usage abusif et répété en boucle du terme ‘cas’ qui ne dit rien sur la létalité toute relative du virus et de ses variants; ou encore sur l’utilité de masques en papier pour se prémunir de la mortalité d’un tueur foudroyant; ou sur les ‘gestes barrières’ dès qu’il s’agit des loisirs mais qui ne s’appliquent pas pour les besogneux qui utilisent les transports en commun pour aller bosser et faire tourner le système; ou enfin sur les clauses de non-responsabilité qui figurent en toutes lettres sur les-dits ‘vaccins’ des laboratoires qui au sens propre comme figuré s’en lavent les mains, etc, etc., dans une liste de mensonges avérés de la part des responsables gérant une ‘crise sanitaire’ qui paraît bien plus être une ‘crise de civilisation’?

Et faut-il revenir sur les mesures liberticides qui ont été prises par nombre de gouvernements contre leurs populations? C’est du jamais vu en temps de paix, au point que certaines institutions internationales ont fini par tirer la sonnette d’alarme, dénonçant une dérive grave d’Etats qui mettent en péril la notion même de ‘démocratie’ qu’ils manient pourtant fièrement à la moindre occasion! 

Dernière tentative des politiques pour imposer ce qui apparaît surtout être un juteux calcul financier dont il faudra démasquer ceux qui y auront participé en vue d’en tirer profit afin qu’ils soient sévèrement condamnés: le ‘pass-sanitaire’, à défaut du vaccin qui semble ne pas atteindre les objectifs que les bénéficiaires se sont fixés par leurs campagnes mensongères au point de vouloir maintenant l’imposer aux enfants! 

Et pour rappel, la loi du ‘pass-sanitaire’ que la majorité française veut imposer doit obtenir ce 05 août, l’aval du Conseil constitutionnel dont le président n’est autre que… Laurent Fabius. L’un des fils de ce dernier, Victor Fabius frère et associé de Thomas (ayant trempé dans des magouilles immobilières et des frasques de casinos qui lui ont valu des démêlés avec la justice française et un mandat d’arrêt aux Etats-Unis), est directeur associé de la société américaine McKinsey que le gouvernement Macron a sollicité pour le conseiller dans la crise Covid, dont coût, 2 millions d’euros par mois. Ce même cabinet est empêtré dans un scandale de santé publique aux USA, et pour cause: il s’agit de la crise des opiacés, médicaments dérivés de l’opium dont la prescription et la consommation devenue massive auraient causé entre 300.000 et 500.000 décès par overdose, d’après Mediapart. Siège également dans ce Conseil constitutionnel, Alain Juppé, un exemple de probité comme tout le monde sait. Tout va bien dans l’Hexagone…

Témoignage: pour raison personnelle, j’ai dû sortir du pays et traverser les frontières, tout en restant dans l’espace européen. Refusant le test PCR dont les manipulations ne permettent pas un diagnostic fiable, et refusant encore plus d’être cobaye pour ce qui nous est présenté comme ‘vaccin’ mais n’est encore qu’un ‘essai de thérapie génique’, j’ai opté pour ce qui me paraît l’abc en la matière et savoir si, à tout hasard, j’étais immunisé ou non contre ce virus annoncé ‘fatal’: une sérologie. Après 24h de délai, mes résultats sanguins sont tombés, attestant que j’étais bien immunisé et possédais les anticorps contre le ‘SARS-CoV2’. Autrement dit, mon organisme a été en contact avec une personne contagieuse et a réagi comme il se doit, en fabriquant les anticorps afin de lutter contre la contamination et ne pas tomber malade.

Premier (agréablement) surpris, inutile de vous dire combien je me suis félicité d’avoir choisi cette démarche (dont ni politiques ni médias ne parlent jamais, alors qu’elle me semble être la première à entreprendre avant toute autre décision). Je profite de ce témoignage pour dire aussi que je n’ai rien senti à aucun moment et ne sais donc pas quand ni par qui j’ai été contaminé. Et d’ailleurs, cela n’a rien d’intéressant, la vie en couple, en famille, en société étant un chassé-croisé entre individus, comme cela a toujours été le cas.

Je ne veux donner de conseil à personne et n’ai pas accès aux médias ‘mainstream’ pour attester de mon expérience. Je peux juste affirmer que je n’ai à aucun moment de cette sinistre période que nous traversons, cédé à la peur ni au chantage d’aucune sorte. Je répète que je ne mets pas en cause la présence de ce virus et des décès qu’il a provoqués, mais que c’est l’ensemble de sa gestion qu’il faut contester. J’ai depuis le début pensé que nous étions face à une énième imposture de même nature que le H1N1 il y a 10 ans, mais que les ‘complotistes’ de l’époque (car ce sont eux et non nous qui organisent tout cela) s’y étaient mal pris, alors que cette fois, ils l’ont mieux préparée. 

J’ai donc continué à vivre comme auparavant, mangeant et buvant de tout, rencontrant des amis qui avaient la même analyse des faits, sortant balader (sans masque!) dans la garrigue et les bois autour de la maison pour m’enivrer des parfums qu’ils dégagent et participent à l’immunité, et prenant pendant les mois d’hiver (suite aux conseils de médecins non soumis aux autorités) chaque jour un peu de vitamine D conseillée pour booster mon système immunitaire avant que ne revienne le soleil, en cette période de doute et de mélange des plans.

Nos sociétés changeront le jour où nous ne nous laisserons plus mener par des menteurs qui profitent de leurs positions pour nous asservir. Nos sociétés changeront quand, de renoncement en renoncement nous arrêterons de les laisser avancer par leurs ruses sordides.  Elles changeront quand nous n’aurons plus peur et oserons contester leurs versions officielles tissées de mensonges. Nos sociétés changeront quand nous nous comporterons en adultes et n’aurons plus besoin que l’on nous prenne la main pour nous dire où aller, comment faire et que penser. Et elles changeront surtout le jour où nous comprendrons que nous n’avons plus besoin d’eux et que nous sommes capables de nous organiser et gérer nos destins. Et la première chose à faire ce jour-là, sera de nous débarrasser des médias actuels, asservis au pouvoir corrompu à tous les niveaux – pas un mois ne passe sans qu’une nouvelle ‘affaire’ surgisse! Et ce sont ceux-là qui prétendent nous montrer la voie?! Ceux-là mêmes qui en 18 mois ont continué à supprimer du personnel médical et des lits de réanimation (– 800 lits rien qu’en Île-de-France entre mars 2020 et aujourd’hui, selon une enquête du Canard Enchaîné).

Ne vous laissez plus impressionner par ces mafieux au pouvoir, leur ‘système’ est plus fragile que vous ne le pensez, ne se maintient que par le relais de petits calculateurs complices, mais ne tourne que pas notre travail. Affranchissez-vous d’eux, gardez cette dignité qu’ils n’ont pas, et n’ayez pas peur de dire ‘NON’ à leurs plans abjects.

Daniel Vanhove 

La source originale de cet article est Mondialisation.ca

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