Témoignage d’enseignants suisses. La vidéo du week-end. Merci de partager!

Source Liliane Held Khawam

Un reportage réalisé par le Collectif Romand Éducateurs Enseignants pour témoigner leur vécu, ainsi que celui des enfants et des parents durant cette crise. La vérité est derrière le masque, écoutez ceux qui osent s’exprimer!
collectifromand.ens.edu@gmail.com

Complément

En ce moment des enseignants suisses sont licenciés sans préavis! Voici un article traduit par une lectrice qui m’aide régulièrement et fait le lien avec la Suisse alémanique. Je l’en remercie!

Critique des mesures comme motif de licenciement : l’enseignant Markus Häni n’est plus autorisé à enseigner depuis jeudi dernier

https://corona-transition.org/massnahmen-kritik-als-kundigungsgrund-lehrer-markus-hani-darf-seit-letztem?var_mode=calcul – Publié le 3 mars 2021 par RL.

Traduction (Jeanne):

Parce qu’il a exercé son droit à la liberté d’expression, le professeur a perdu son emploi. L’Antifa pourrait également y avoir contribué.

Quiconque s’exprime publiquement contre les mesures Corona risque également de perdre un emploi sûr en apparence.

La semaine dernière, le professeur de lycée Markus Häni a lui aussi fait cette expérience. Il a pris la parole lors de la manifestation à le week-end dernier à Wohlen et a critiqué les mesures. Depuis jeudi dernier, le professeur de latin n’enseigne plus à l’école cantonale de Wohlen.

Matthias Angst, recteur de l’école cantonale de Wohlen, a déclaré à Tele M1 qu’il s’agissait d’un licenciement ordinaire avec libération immédiate.

« En ce qui concerne les raisons, il faut retenir qu’elles ne se limitent pas au dernier week-end. Il y a un processus beaucoup plus long au départ », a déclaré M. Angst.

Häni confirme ces déclarations à Corona-Transition. Mais il dit aussi : « Mon discours a évidemment été le déclencheur de ma démission ».

Antifa incité contre Häni

Ce qui n’a jusqu’à présent guère retenu l’attention des médias : Déjà à l’approche de la manifestation de Wohlen, l’Antifa Wohlen s’était emporté contre Häni.

Sur Instagram, on m’appelait « merde brune », « boue d’épuration pour l’usine de biogaz de la Kanti (lycée) » et aussi « nazi et coronanégationniste » », dit Häni. Cela s’est produit immédiatement après la diffusion des prospectus de la démo, sur lesquels figurait également Häni.

Le groupe a également appelé à l’envoi de courriels de colère pour faire pression sur l’administration de l’école et le directeur. Pendant la démonstration, l’Antifa a attiré l’attention à plusieurs reprises par des actions perturbatrices, a-t-il dit.

« Ils provoquaient constamment avec des huées. Ils m’ont aussi fait un doigt d’honneur à plusieurs reprises », a souligné M. Häni, qui s’est adressé directement à l’Antifa lors de son discours d’ouverture, en disant : « Je ne connais pas encore vos visages, mais je serais heureux de boire une bière avec vous et de parler de vos problèmes. Mais vous n’aurez pas ma haine et ma colère. » Entre-temps, Häni a également appelé la police. « Je me sens menacée et c’est pourquoi j’ai déposé une plainte contre des inconnus », raconte Häni à Corona-Transition.

Pas surpris

Häni n’est pas particulièrement surpris par ce licenciement.

« Mais il est vrai aussi que je ne m’y attendais pas. Je savais que je prendrais un risque avec mon discours à Wohlen », dit le professeur de lycée, qui est déjà très actif politiquement depuis environ un an. Häni est membre du conseil d’administration des « Amis de la Constitution » et président de l’ »Alliance d’action Argovie-Zurich pour une politique de la couronne raisonnable ».

Häni est extrêmement préoccupé par la tension qui règne actuellement au niveau du climat politique.

« Si, en tant qu’enseignant, je ne peux plus exercer mon droit à la liberté d’expression sans perdre mon emploi, alors nous avons un sérieux problème ». Cela, a-t-il dit, est le signe que les tendances totalitaires ont maintenant pris le dessus et c’est très inquiétant.

Plus d’honnêteté

Le professeur de lycée s’interroge également sur le rôle que doivent jouer les enseignants dans une situation politique aussi difficile que celle que nous vivons actuellement.

Dans les écoles, on parle toujours du « modèle de rôle » et de la « responsabilité » des enseignants. Mais je me demande à quel point il est exemplaire de se contenter d’acquiescer à tout ce qui vient des autorités et de répandre constamment la peur et la terreur ».

C’est un point dont Häni a également fait écho lors de son discours à Wohlen. Lors de la démonstration, il a dit:

« Je demande donc à tous les parents, éducateurs et autorités : Aimez-vous vraiment vos enfants ? Alors, nom d‘un petite bonhomme de neige, enlevez leur cette peur du virus, enlevez leur cette mauvaise conscience d’être des monstres causant des maladies. Qu’ils redeviennent des enfants innocents, sauvages, déraisonnables et curieux, et épargnez-leur le masque sur leur bouche et la vue de votre propre masque ».

Häni lui-même pense que les gens – et les enseignants en particulier – devraient à nouveau écouter davantage leur cœur.

Le professeur de lycée plaide pour plus d’honnêteté. « La seule façon de combattre la peste est l’honnêteté », a déjà dit Albert Camus, explique Häni en citant cet écrivain dans son discours.

Les enseignants de l’école cantonale de Wohlen ont été consternés par ce licenciement. « Une collègue a dit que c’était le bordel », dit Häni. Certains de ses élèves ont également fait preuve d’une grande incompréhension à l’égard de la décision de la direction de l’école.

Défendre la constitution

Pour l’avenir, Häni espère que les gens deviendront désormais plus actifs. « Il s’agit maintenant de nous mettre debout et défendre nos libertés constitutionnelles contre plus grave. »

Häni est convaincu que l’ambiance va bientôt basculer. « Je ne suis pas un prophète. Mais je suis convaincu que le gouvernement ne s’en sortira pas avec ces mesures liberticides qui coûtent la vie à d’innombrables personnes et les font tomber dans la précarité.

Markus Häni n’est que le dernier cas en date d’une série de licenciements d’enseignants :

  • Florian Mächler, professeur de musique, a été licencié sans préavis.
  • Rahel Fabris, enseignante, a été licenciée sans préavis.
  • Prisca Würgler, enseignante, a été licenciée sans préavis
  • Lucia Ramsauer, institutrice de maternelle, a été menacée de licenciement immédiat, puis libérée et finalement licenciée pour l’été.
  • Mathias Erni, professeur de gymnastique et de sport à l’école Fischenthal ZH, licencié sans préavis
  • Silvia Dresti, professeur de français professionnel à la Berufsfachschule Uster (bfsu.ch). Motif : Lorsque l’obligation de porter des masques pendant les cours a été introduite, elle avait déclaré dans ses cours qu’elle ne forcerait personne à porter des masques. Suspendu depuis le 8.12.20, résiliation régulière au 31.8.21.
  • Roger Gasser, professeur de musique, suspendu et licencié sans préavis.
  • Tanja Rolli, enseignante, licenciée sans préavis

Source LHK

Volti

5 Commentaires

  1. 07/03/2021 – le poids des mots et le choc des analyses (pour une fois on est dans les clous en matière de couvre-feu. Cela faisait 79 jours consécutifs que l’on était out)
    https://wp.me/p4Im0Q-4H1
    – On aurait découvert que le groupe sanguin « A » serait une cible prioritaire du Covid 19-135€. Petit à petit on va pouvoir définir l’enveloppe idéale dudit et l’épure à sion (ou à soi, ou plutôt aux autres) va pouvoir faire une solution finale à la pandémie et supprimer toutes les …. Contraintes qu’elle impose au gouverne-ment (pour qu’il nous en impose quelques-unes en rémission de nos pêchers suppressifs délits)

  2. Bravo à ces courageux enseignants qui risquent et assument un licenciement, un renvoie, des brimades pour ne pas porter le masque et qui ne marchent pas dans cette dictature sanitaire. Si tout le monde faisait ça, on sortirait vite de cette mascarade de la peur.

    Ce monde est tombé bien bas et tout ça est la conséquence d’une société qui ne pense plus depuis trop longtemps et qui s’est laissé porter, qui a mis sa vie, son pouvoir entre les mains d’un autre. Il est temps de dire stop.

  3. Je ne supporte pas ce traitement que l’on fait aux enfants. Et j’en veux terriblement aux parents qui sont complices de cette maltraitance, soit par négligence, par intérêt (que faire des gosses quand on travaille ?), ou pour n’importe quelle autre raison.
    Bien sûr, un parent ne peut rien faire seul. Il faut de la solidarité et ça…

    J’ai expliqué à des jeunes ados comment ils devaient faire. Mais pour eux aussi, c’est trop tard, ils sont dans le moule. Individualisme, obéissance sans chercher à comprendre, peur des ennuis……je ne sais pas.

    Quant aux enseignants qui protestent, à juste titre, leur est-il venu à l’idée de dire, tous ensemble, stop, on ne veut plus porter les masques et on veut des enfants sans masque ? Tu n’es pas d’accord, le dirlo ? On démissionne (ou tous en congé maladie mais là, il faut trouver les toubibs complices) ! Quand l’animal se trouvera sans plus aucun prof, il va alerter sa hiérarchie.
    Il y a aussi le droit de retrait (pour travail dans des conditions dangereuses). Le temps que la justice intervienne…

  4. encore une vidéo à charge des décisions gouvernementales,pour entretenir la propagande, et toujours pas de gros titres n y articles cinglants sur notre pauvre jeunesse ” obéissante “qui s entretue pour un bout de trottoir ou un regard en coin ,encore moins sur les attaques contre la police …..elle est où la pseudo dictature ???

  5. Bravo les enseignants et enseignantes suisses.
    Il faut qu’ils comprennent que le but de toute cette mascarade est de vacciner tout le monde et même si le virus n’existe pas.
    Les mondialistes ont un plan et ils l’appliquent.
    Ouvrons les yeux et révoltons nous!

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