Explosif: l’efficacité des vaccins Pfizer et Moderna contestée par une étude publiée sur British Medical Journal. Ces vaccins ne seraient efficaces qu’à 29 % et non à 95 %

Merci à mon correspondant.

Source Médias Presse Info

C’est une véritable bombe médiatique qui explose aux visages des laboratoires Moderna et Pfizer : une étude scientifique parue dans le prisé British Medical Journal et signée par Peter Doshi, associé à l’Université du Maryland et qui s’occupe de la recherche sur les services de santé pharmaceutique, remet en cause l’efficacité de leurs vaccins anti-covid.

Au fur et à mesure que les jours passent depuis la sortie du vaccin Pfizer et maintenant aussi du vaccin Moderna, les nouvelles concernant leur efficacité et les effets secondaires possibles qu’ils pourraient avoir s’approfondissent de plus en plus.

Le professeur Doshi a analysé les données sur la demande d’agrément des deux sociétés pharmaceutiques, découvrant que leur efficacité est bien en deçà des données publiées. Mais déjà le 26 novembre dernier dans un précédent article, il soulevait certaines questions au sujet de l’efficacité alléguée du vaccin.

À l’époque, avec les données des deux vaccins, Peter Doshi avait pu déceler des différences évidentes qui modifiaient considérablement leur efficacité soutenue par une grande partie de l’ensemble de la communauté scientifique. Le British Medical Journal et le Lancet avaient vivement critiqué les vaccins anti-Covid : « Il y a un manque de transparence sur les données. On ne sait pas s’ils fonctionnent ou non et il n’y a pas assez de personnes âgées, immunodéprimées et d’enfants inscrits pour comprendre leurs effets sur une période moyennement longue. J’ai posé des questions sur les résultats des expériences sur les vaccins Covid-19 de Pfizer et Moderna, parce que tout ce que l’on savait étaient les protocoles d’étude et des communiqués de presse », avait déclaré le professeur.

Cinq semaines après le premier article, Doshi a eu la possibilité de consulter plus de 400 pages de données présentées à la Food and Drug Administration (Fda) avant l’autorisation d’urgence et après les avoir analysées, il a écrit quelques considérations importantes dans le section Opinion du British Medical Journal :

« l’efficacité des vaccins aurait été compromise d’une certaine manière parce que ceux-ci ont été réalisés en partie sur des patients ‘suspects de covid’ et sur des covid asymptomatiques non confirmés. »

Cela l’aurait conduit à évaluer une efficacité beaucoup plus faible que celle estimée jusqu’à présent :

« bien en dessous du seuil d’efficacité de 50% pour l’autorisation fixé par les autorités de régulation ».

Par conséquent, selon ce qui a été écrit dans le magazine faisant autorité, ce ne serait pas 95% mais bien en dessous, entre 19% et 29%.

Si ces données avaient été présentées et analysées, il n’y aurait donc pas eu d’autorisation des autorités compétentes. Mais il y a plus :

« Même après élimination des cas survenus dans les 7 jours suivant la vaccination (409 sous vaccin Pfizer vs 287 sous placebo), ce qui devrait inclure la plupart des symptômes dus à la réactogénicité du vaccin à court terme, celle-ci [l’efficacité] reste faible et atteint 29%. Les seules données fiables, écrit le professeur Doshi, pour comprendre la capacité réelle de ces vaccins, sont les cas d’hospitalisation, les patients en réanimation et les décès ».

De toute évidence, à partir de ces réflexions, des investigations plus approfondies seraient nécessaires.

« Le rapport de 92 pages de Pfizer, par exemple, ne mentionne pas les 3 410 cas de ‘Covid-19 suspecté’, ni leur publication dans le New England Journal of Medicine, de même pour les rapports sur les vaccins Moderna. La seule source qui semble avoir signalé cela est la révision du vaccin de Pfizer par la Food and Drug Administration. Nous en avons besoin pour comprendre la réelle efficacité des données brutes, dit Doshi, mais aucune entreprise ne semble les avoir partagées. Pfizer dit qu’il rend les données disponibles sur demande, mais celles-ci sont toujours sujettes à examen, et Moderna dit que ses données pourraient être disponibles, encore une fois sur demande, une fois l’étude terminée. »

Données en main, on parle de fin 2022 étant donné que le contrôle prend deux ans. Il en va de même pour le vaccin Oxford / AstraZeneca qui publiera ses données à l’issue de l’étude.

Conclusion, les gouvernements « vendent » des vaccins anti-covid, improprement nommés ainsi puisque ce sont des thérapies géniques à ARN messager, sans en connaître ni la réelle efficacité ni les vraies conséquences à court ou long terme sur la santé. Mais Big Pharma est content…

Francesca de Villasmundo 

C’est une véritable bombe médiatique qui explose aux visages des laboratoires Moderna et Pfizer : une étude scientifique parue dans le prisé British Medical Journal et signée par Peter Doshi, associé à l’Université du Maryland et qui s’occupe de la recherche sur les services de santé pharmaceutique, remet en cause l’efficacité de leurs vaccins anti-covid.

Au fur et à mesure que les jours passent depuis la sortie du vaccin Pfizer et maintenant aussi du vaccin Moderna, les nouvelles concernant leur efficacité et les effets secondaires possibles qu’ils pourraient avoir s’approfondissent de plus en plus.

Le professeur Doshi a analysé les données sur la demande d’agrément des deux sociétés pharmaceutiques, découvrant que leur efficacité est bien en deçà des données publiées. Mais déjà le 26 novembre dernier dans un précédent article, il soulevait certaines questions au sujet de l’efficacité alléguée du vaccin.

À l’époque, avec les données des deux vaccins, Peter Doshi avait pu déceler des différences évidentes qui modifiaient considérablement leur efficacité soutenue par une grande partie de l’ensemble de la communauté scientifique. Le British Medical Journal et le Lancet avaient vivement critiqué les vaccins anti-Covid : « Il y a un manque de transparence sur les données. On ne sait pas s’ils fonctionnent ou non et il n’y a pas assez de personnes âgées, immunodéprimées et d’enfants inscrits pour comprendre leurs effets sur une période moyennement longue. J’ai posé des questions sur les résultats des expériences sur les vaccins Covid-19 de Pfizer et Moderna, parce que tout ce que l’on savait étaient les protocoles d’étude et des communiqués de presse », avait déclaré le professeur.

Cinq semaines après le premier article, Doshi a eu la possibilité de consulter plus de 400 pages de données présentées à la Food and Drug Administration (Fda) avant l’autorisation d’urgence et après les avoir analysées, il a écrit quelques considérations importantes dans le section Opinion du British Medical Journal :

« l’efficacité des vaccins aurait été compromise d’une certaine manière parce que ceux-ci ont été réalisés en partie sur des patients ‘suspects de covid’ et sur des covid asymptomatiques non confirmés. »

Cela l’aurait conduit à évaluer une efficacité beaucoup plus faible que celle estimée jusqu’à présent :

« bien en dessous du seuil d’efficacité de 50% pour l’autorisation fixé par les autorités de régulation ».

Par conséquent, selon ce qui a été écrit dans le magazine faisant autorité, ce ne serait pas 95% mais bien en dessous, entre 19% et 29%.

Si ces données avaient été présentées et analysées, il n’y aurait donc pas eu d’autorisation des autorités compétentes. Mais il y a plus :

« Même après élimination des cas survenus dans les 7 jours suivant la vaccination (409 sous vaccin Pfizer vs 287 sous placebo), ce qui devrait inclure la plupart des symptômes dus à la réactogénicité du vaccin à court terme, celle-ci [l’efficacité] reste faible et atteint 29%. Les seules données fiables, écrit le professeur Doshi, pour comprendre la capacité réelle de ces vaccins, sont les cas d’hospitalisation, les patients en réanimation et les décès ».

De toute évidence, à partir de ces réflexions, des investigations plus approfondies seraient nécessaires.

« Le rapport de 92 pages de Pfizer, par exemple, ne mentionne pas les 3 410 cas de ‘Covid-19 suspecté’, ni leur publication dans le New England Journal of Medicine, de même pour les rapports sur les vaccins Moderna. La seule source qui semble avoir signalé cela est la révision du vaccin de Pfizer par la Food and Drug Administration. Nous en avons besoin pour comprendre la réelle efficacité des données brutes, dit Doshi, mais aucune entreprise ne semble les avoir partagées. Pfizer dit qu’il rend les données disponibles sur demande, mais celles-ci sont toujours sujettes à examen, et Moderna dit que ses données pourraient être disponibles, encore une fois sur demande, une fois l’étude terminée. »

Données en main, on parle de fin 2022 étant donné que le contrôle prend deux ans. Il en va de même pour le vaccin Oxford / AstraZeneca qui publiera ses données à l’issue de l’étude.

Conclusion, les gouvernements « vendent » des vaccins anti-covid, improprement nommés ainsi puisque ce sont des thérapies géniques à ARN messager, sans en connaître ni la réelle efficacité ni les vraies conséquences à court ou long terme sur la santé. Mais Big Pharma est content…

Francesca de Villasmundo 

Volti

19 Commentaires

  1. Et s’ils sont suffisamment malins, ils ont rajouté de l’huile de vidange dans les vaccins pour soutenir la filière automobile !

  2. Je le savais … pas etonnant
    PS: double copier coller de l’article 🙂

  3. “” C’est une véritable bombe médiatique qui explose aux visages des laboratoires Moderna et Pfizer : une étude scientifique parue dans le prisé British Medical Journal “”

    l’””article”” de Peter Doshi n’est pas une etude scientifique publié par le British Medical Journal ,,,,, c’est une article d’opinion = OpEd….

    https://blogs.bmj.com/bmj/2020/11/26/peter-doshi-pfizer-and-modernas-95-effective-vaccines-lets-be-cautious-and-first-see-the-full-data/

    posté sur le blog du BMJ et dans le catagorie « »opinion » ».

    https://lesmoutonsenrages.fr/2021/01/16/vos-infos-news-et-autres-du-16-janvier-2021/#comment-793096

    • Ciao Matiouw 🙂

      Et alors ?
      Il ne vont pas poster un article de conspi, les articles doivent être valider, n’importe qui ne peuvent pas publier ! Le type a quand même mener une étude pour arriver à sa conclusion, il ne balance pas des chiffres comme ça ! Au moins voici une étude, une vraies et non ce que les firmes de vaccins on publié comme communiquer de presse dont ils s’appuient tous pour dire de façon biaisée qu’il n’y a pas de risque.

      C’est un début, vu que jusqu’à lors, il n’existait aucune étude sur les vaccins Covid* !

      (*) Pardon thérapie génique au fait 😉

      Akasha.

      • c’est une opinion posté sur le blog du BMJ ,,,
        c’est pas de toute une etude,,,

        les postes n’ont aucune obligation d’etre validé ,,, par qui que ce soit et encore moins par les pairs (peers)) ,,,

        une scientifique qui lire et recherche une sujet et poste une ^^article^^ d’opinion , n’est pas une etude scientifique ,,,

        • Donc tu insinue qu’il balance des chiffres comme ça, qui lui sort de son esprit, donc qu’il ment, ensuite qu’une prestigieuse maison scientifique laisse poster des inepties sans les vérifier ? Mouai, j’avoue ne pas trop être d’accord !

          Il s’agit bien d’une étude et enfin une des premières à paraître hors de celles fournies par les firmes pharmaceutiques aux médias !

          Donc si je te suis bien, celles fournie par les firmes comme article commercial sont des études dignes de foi, et un scientifique qui fournis une étude neutre n’en est pas une ? Hiiiiiii !

          Akasha.

  4. petit problème de sourçage dans l’article original de Francesca de Villasmundo :

    le lien ‘étude scientifique’ redirige vers l’article du 26 novembre 2020 de Peter Doshi dans le BMJ, alors que les données sur lesquelles s’appuie Francesca de Villasmundo viennent de celui-ci https://blogs.bmj.com/bmj/2021/01/04/peter-doshi-pfizer-and-modernas-95-effective-vaccines-we-need-more-details-and-the-raw-data/, qui date du 4 janvier 2021.

    https://lesmoutonsenrages.fr/wp-content/plugins/wp-monalisa/icons/wpml_wink.gif

  5. Tout dépend de ce qu’on veut dire pas “efficacité”. Ils sont très efficaces pour faire gagner une fortune aux labos, et pour éliminer une partie de la population.
    Le second point me fait même rire (bof, y a plus grand chose pour rire alors…): comment et pourquoi avoir cru des labos alors qu’on sait pertinemment qu’ils trichent, histoire d’arriver les premiers sur le marché et de se faire… beaucoup de sous ?
    Vous croyez qu’ils fabriquent des vaccins pour qu’ils soient efficaces (= protègent vraiment) ?? https://lesmoutonsenrages.fr/wp-content/plugins/wp-monalisa/icons/wpml_unsure.gif

  6. C’est juste un vaccin pour les voitures alors ?
    , vu qu’il y a du PEG, antigel pour voitures…

    Ils se sont trompés de contrats ?
    https://lesmoutonsenrages.fr/wp-content/plugins/wp-monalisa/icons/wpml_scratch.gif

Les commentaires sont clos.