Le conseil mondial de l’OMS dicte très officiellement la conduite sanitaire des pays signataires dont la France

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Source France-Soir

Tribune : Inspiré du « Décryptage de la Pandémie de Covid-19 : un exercice d’ingénierie sociale machiavélique » d’après Amar − Septembre 2020 sur Saker francophone

Une des réflexions les plus fréquentes des internautes pour tenter de justifier les aberrations mortifères qui nous sont imposées par notre gouvernement est que les autres pays font comme nous et de citer le Canada [1], l’Australie ou la Nouvelle-Zélande ! Pourtant ces pays introduisent des méthodes totalitaires qui font frémir, et complètement dénuées, à l’évidence, de raison sanitaire sollicitant nos interrogations. Pourquoi ?

Les personnes normales, honnêtes, de bon sens ne peuvent pas croire que des puissances occultes dicteraient leur politique à notre chef d’état, aux italiens, espagnols ou belges qui imposent des lois liberticides ruinant leurs peuples et continuent malgré les échecs patents de leur politique sanitaire[2]. C’est vrai, ces puissances ne sont pas occultes, sinon occultées et le gouvernement mondial de la santé est une réalité que nous avons accepté et validé par des traités, cachés au peuple car non médiatisés.

Amar sur saker francophone qui nous inspire cette chronique nous donne les éléments d’information objectifs nécessaires pour comprendre enfin le comment et peut-être le pourquoi commente l’attitude de nos grands et honnêtes médecins :

« Monsieur Peronne fait radicalement fausse route comme d’ailleurs la plupart « des gens normaux » qui pensent que Boris Johnson s’est retrouvé à côté de la plaque ou encore qu’Agnès Buzyn et son Comité scientifique « se sont retrouvés dépassés ».

En réalité, les gouvernements de la planète n’ont commis aucune erreur même si c’est ce que l’on voudrait bien nous faire croire. Ils n’ont fait que suivre les consignes qui leur étaient données par le Conseil Mondial lequel est sous l’emprise totale des eugénistes et malthusiens tels que Bill Gates ou David Rockefeller ».

Le conseil mondial de l’OMS

 194 états dans le monde ont ratifié le Règlement Sanitaire International (RSI – 2005) de l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS).

Ce règlement prévoit : « en cas de crise sanitaire majeure, tous les états membres s’engagent à respecter toutes les consignes émanent du Conseil Mondial et à faire en sorte que toutes ces consignes priment sur les lois et les codes juridiques des états ».

Et il semble bien que ce soit exactement ce qui s’est passé et continue plus ou moins à se passer car quelques états ont néanmoins résisté comme la Suède [3], les Pays-Bas et la Bielorussie.

 Règlement sanitaire international (2005) (RSI)

Cet instrument contraignant de droit international est entré en vigueur le 15 juin 2007.[4]

« En réponse au développement exponentiel des voyages, du commerce international et de l’émergence de maladies et d’autres risques pour la santé, 194 pays à travers le monde ont convenu de mettre en œuvre le Règlement sanitaire international (2005). »

L’objet et la portée du RSI (2005) consistent à « prévenir la propagation internationale des maladies, à s’en protéger, à la maîtriser et à y réagir par une action de santé publique proportionnée et limitée aux risques qu’elle présente pour la santé publique, en évitant de créer des entraves inutiles au trafic et au commerce internationaux ».

Cette deuxième édition du règlement est publiée par l’OMS et téléchargeable. Elle contient le texte du RSI (2005), le texte de la résolution WHA58.3 de l’Assemblée mondiale de la Santé, la version actualisée des questions sanitaires de la Déclaration générale d’aéronef ainsi que des appendices dont la liste des États Parties, leurs réserves et autres communications.

Ainsi quand nous sommes surpris, scandalisés par des décision abruptes prises sans débats nationaux ou internationaux, nous ne devons pas nous étonner, ce qui ne veut pas dire ne pas résister. Par exemple le Parlement Européen a promulgué une loi extrêmement dangereuse le 10 juillet 2020 afin de légaliser la vaccination des individus en leur inoculant des OGM et des nanoparticules lipidiques dont on ne sait absolument rien et en contredisant le moratoire OGM précédemment adopté.

Comment organiser, planifier des crises dont l’oligarchie au pouvoir bénéficiera parfois de façon majeure (sauts qualitatifs) 

 La crise que nous vivons n’est pas tombée du ciel et Satan n’y est pour rien (sauf si on le croit incarné).  Les extra-terrestres non plus qui n’ont pas déversé une tonne de coronavirus sur Wuhan ni Bergame. Surtout que les croyants aux hommes venus d’ailleurs les croient suprêmement intelligents, et là vraiment, ils se seraient plantés largement car notre corona19 n’a pas réussi à tuer plus de 1,2 million de personnes (sur presque 8 milliards), moins que certaines grippes du passé (grippe  asiatique) qui n’avaient entraîné aucun confinement, ni arrêt des soins ordinaires, ni blocage de l’économie.

 L’homme en revanche y est quasiment pour tout

 « Les crises ne sont bien souvent rien d’autres que des zones d’incertitudes, de risques et d’opportunités dans lesquelles ceux qui maîtrisent les événements et le temps, réalisent de formidables sauts qualitatifs. Ce qui veut bien dire que les crises sont délibérément organisées et déclenchées à des fins précises et aux moments voulus ».

Dans la réflexion, la planification, l’organisation, le contrôle des médias, la manipulation génétique, la recherche d’armes biologiques et bactériologiques, la dissémination délibérée d’un virus ou derrière un lockstep économique et un lockdown [5] des populations, l’homme est partout. Il pense à tout. Qu’il s’agisse du conditionnement éducatif de nos enfants, de la manipulation des foules, de la répression et de l’intimidation des groupes de protestataires comme ce fut le cas en France avec les gilets jaunes ou qu’il s’agisse de terrorisme affectif, l’homme pense vraiment à tout. »

Telle est l’analyse convaincante de Amar dans saker francophone. Evidemment comme tous ces exemples semblent illogiques, nous avons tendance à ne pas y croire. Les dirigeants ont une méthode implacable pour nous faire prendre pour de l’incompétence ou de l’improvisation les non -sens quotidiens voire pluriquotidiens auxquels nous assistons.  Sans revenir sur tous les « gags » apparents du gouvernement, depuis des mois ne citons que le plus en mémoire chez chacun d’entre nous en raison du délire actuel chez les enfants [6], le port du masque d’abord inutile, voire interdit d’achat dans les pharmacies, puis impossible à porter (même notre Sibeth n’y arrive pas ) pendant l’épidémie, puis en sautant les étapes, devenu obligatoire en septembre alors que l’épidémie est terminée selon toutes les statistiques sérieuses et non la communication du gouvernement qui change d’indice au fur et à mesure que le précédent ne peut plus convaincre. On passe ainsi du nombre de décès au nombre d’hospitalisés, puis de malades, puis de contaminés (évalués sur tests PCR non fiables mais qu’importe) et même au nombre de consultants aux urgences pour angoisse covid). Ils sont très efficaces dans l’imagination du trompe-l’œil mais c’est leur véritable métier.

Non-sens par bêtise ? Non par stratégie connue depuis la haute antiquité : la dissonance cognitive

 Comment arrivons-nous à avaler tous ces mensonges contradictoires d’une heure à l’autre voire d’une chaine à l’autre si on zappe de désespoir ? « La naïveté des hommes est sans limite ». Et le baratin quotidien dont je vous ferai grâce ici pour soit disant « sauver des vies » [7].

« Qu’importe que ceux qui nous aiment et qui ne vivent maintenant que pour voir leurs petits-enfants grandir, meurent de solitude, de stress et d’angoisse, de soif, d’abandon ou de désespoir, l’important est que vous, vous ne soyez pas responsable de leur mort. » Et rentrez bien vous cela dans la tête ou sortez d’ici comme a dit Véran aux députés siégeant dans leur hémicycle le 3 novembre 2020. Une description éculée d’un malade en réanimation (comme déjà utilisée par Roselyne Bachelot [8] qui voulait nous vacciner de force par le H1N1). Curieux dans sa bouche, comme s’il n’était jamais entré dans une chambre de réa auparavant…Qui sait ?

Nous avons tous assisté à ces contradictions visibles ou volontairement cachés. D’un traitement manifestement efficace venu de Marseille et déjà utilisé dans le monde entier, l’hydroxychloroquine, reconnu en 2003  comme extrêmement efficace contre les coronavirus par le dr Fauci le directeur du CDC américain  à la décision infâme, liberticide et mortifère du dr Veran le 27 mars 2020, d’interdire le traitement des patients atteint de la COVID-19 par hydroxychloroquine.
 Il a basé son décret sur l’étude truquée de la revue « The Lancet » et alors que les responsables de cet article ont reconnu leur erreur/leur tricherie et la revue retiré l’article. Le gouvernement persévère et va jusqu’à bloquer les livraisons du produit à Marseille par Sanofi. Le labo demande au ministre des instructions pour livrer un médicament sur le marché en vente libre depuis 70 ans. Qui décide, Véran ou Sanofi ? En tous cas la dissonance bat son plein, le but est atteint. Et tant pis pour les malades. Il faut des morts pour alimenter la propagande de la terreur.

 Comment obtenir la soumission de la quasi-totalité des citoyens du monde ?

  Amar cite Nicholas Butler et son terrible constat :

 « Le monde se divise en 3 catégories : un très petit nombre qui fait se produire les événements, un groupe un peu plus important qui veille à leur exécution et les regarde s’accomplir, et enfin une vaste majorité qui ne sait jamais ce qui s’est produit en réalité ».

L’homme de pouvoir et de contrôle souhaite tout contrôler et surtout quand il s’agit de contrôler l’avenir et l’évolution démographique et génétique de notre espèce. L’opération COVID-19 pourrait effectivement bien être une pure opération d’ingénierie sociale, comme les évènements passés même relativement récents peuvent nous en convaincre.

Or on ne peut pas comprendre la crise de la COVID-19, sans le contextualiser dans le temps long, le voir comme l’étape d’un programme mondialiste plus global et plus complexe.

 Selon l’article d’Amar : « les auteurs de ce scénario morbide n’ont fait que se pencher sur la question du comment faire pour arrêter l’économie mondiale et imposer toutes sortes de restrictions et de mesures aux populations. Ils ne sont pas à l’origine de ce projet pour ce qui est de l’aspect économique, écologique et logistique, de l’exploitation et de la gestion de nos ressources. L’idée est née en 2005, dans le rapport Meadows réactualisé. C’est là où il était déjà question de LOCKSTEP à un horizon de 15 ans.

Il est intéressant de noter que le premier vice-président du Club de Rome a été David Rockefeller. Celui-là même qui a commandé le premier rapport Meadows et qui a été publié en 1972 ».

Muammar Kadhafi, paix à son âme, dans son extraordinaire et mémorable discours du 23 septembre 2009 à l’ONU, disait que « les virus étaient créés et propagés dans le monde pour que les entreprises pharmaceutiques fassent des profits grâce à la vente des médicaments.  Les médicaments et les vaccins ne devaient pas être vendus. Les médicaments ne se vendent pas.

 Annoncez la gratuité des médicaments et des vaccins dans le monde   et vous n’aurez plus jamais de virus en circulation car les virus sont créés pour que des vaccins soient mis au point pour que les grandes entreprises capitalistes en tirent profits ».

Manifestement la question ne date pas d’hier et c’est au moins utile de se remémorer les évènements y compris récents.

 Un exemple cité par Amar : le 11 janvier 2017, le docteur Antony Fauci  prophétisait  qu’il n’avait « aucun doute sur le fait que Donald Trump aurait à faire face à une pandémie avant la fin de son mandat ».

Les étranges prédictions de Fauci

Dans un rapport de l’OMS publié en septembre 2019 « Global Preparedness Monitoring Board » et dont un des auteurs est Antony Fauci, il est question de la dissémination délibérée d’un virus respiratoire mortel à des fins d’exercice sur la période septembre 2019-septembre 2020. Au paragraphe « Indicateurs de progrès », page 10, il est écrit : « Les Nations Unies (y compris l’OMS) organisent au moins deux exercices de formation et de simulation à l’échelle du système, dont un couvrant la dissémination délibérée d’un agent pathogène respiratoire mortel ». Il ne s’agit pas d’hypothèses complotistes mais bien de rapports officiels. Certains objecteront que c’est le rôle d’une organisation comme l’OMS d’anticiper des tragédies éventuelles, comme toutes les grandes entreprises, mais c’est aussi logique d’analyser ces rapports et de ne pas tomber dans la croyance à l’improvisation et à l’incompétence. Le Dr Douste Blazy rappelait il y a quelques jours qu’il avait initié dans les années 2005 un plan pandémie au ministère français de la santé. Et notre gouvernement pour s’exonérer de toute responsabilité dans la gestion de la crise prétend qu’il a dû improviser dans l’urgence ?

 La fin de partie n’est pas écrite

Si nous sommes dans un cas de figure décrit par l’OMS à travers ses publications et comme le publie également le Forum Économique Mondial sur son site, quel en sera l’issue in fine ? la victoire des oligarques ou celles des peuples enfin réveillés ?

 Qu’est ce que l’EVENT201 dont vous avez sûrement entendu parler ?

Le 18 octobre 2019, au Johns Hopkins Center for Health Security à New York, s’est tenu l’Event 201.Cette réunion s’est tenue en public, organisée en partenariat entre le centre John Hopkins, la fondation Bill et Melinda Gates et le Forum Économique Mondial, avait pour objectif de préparer l’exercice dont parle l’OMS dans son Global Preparedness Monitoring Board de 2019 [9].

 La simulation consistait à se préparer à la prochaine pandémie mondiale qui, selon les chiffres avancés lors de cette réunion, allait faire plus de 65 millions de morts sans compter les dégâts incommensurables qu’une telle catastrophe allait provoquer sur l’économie globale : soit une chute du PIB mondial de 11 points. Tout ceci est disponible sur les rapports officiels que vous pouvez consulter et n’est en rien issu de données complotistes. Allez vérifier.

En cas de crise sanitaire mondiale, tous les états membres doivent impérativement accepter de suivre les consignes du Conseil Mondial, dirigé actuellement par Madame Gro Harlem Brundtland [10].. Sa création est le résultat d’un travail conjoint entre l’OMS et le Groupe de la Banque Mondiale. Mais l’OMS et le Conseil Mondial ne sont absolument pas indépendants car dépendent-elles aussi d’autres structures pour les financer. Madame Brundtland ou Monsieur Adhenom Ghebreyesus, pourraient n’être que des hommes de paille car l’argent est roi.

Depuis que les États-Unis ont annoncé qu’ils ne financeraient plus l’OMS, la Fondation Bill et Melinda Gates en est devenue le premier contributeur.

La Banque Mondiale et ses visions

Le 28 juin 2017, la Banque Mondiale, banque censée aider les pays les plus pauvres de la planète, a eu l’incroyable idée d’émettre sur le marché des obligations des « Pandemic Bonds ». C’est-à-dire des bons obligataires à un horizon de 3 ans basés sur un risque de pandémie.

 Si vous êtes une banque, un fond de pension ou un fond d’investissement et que vous êtes au courant, -et en droit financier cela s’appelle le délit d’initié-, qu’il va y avoir une pandémie.

En quoi consiste ces pandemics bonds ?

 N’étant pas économiste je laisse à Amar ses explications que vous pourrez commenter à loisir.

« La Banque Mondiale vend pour X millions de dollars de bons à des fonds, des sociétés ou des états en misant sur le fait qu’il y aura une pandémie avant le 15 juillet 2020. Ceux-ci fonctionnent comme des contrats d’assurance avec des rendements allant jusqu’à 12%. Si une pandémie est déclarée avant le 27 juin 2020, alors les acheteurs de ces contrats perdent leur mise et une partie de l’argent collecté est reversé aux pays les plus pauvres de la planète (75 états). S’il n’y a pas de pandémie, les investisseurs récupèrent leur mise de départ et les intérêts en découlant ».

 Si on remet la crise du covid dans l’espace-temps on peut revenir aux ambitions avouées, répétées, déclarées d’eugénistes tel Bill Gates et David Rockfeller qui nous serinent depuis des années la nécessité de « sauver la planète » même si cela doit coûter des vies.  Trop d’humains sur cette planète bleue qu’ils semblent adorer comme une icône et dont le sort serait plus important que celui des humains qui l’habitent. Pourtant elle disparaîtra cette Terre, c’est écrit pas dans les astres, mais dans les analyses des astrophysiciens.  Revenons aux énormes campagnes de pub pour soi-disant sauver cette planète pour laquelle nous ne devrions plus nous chauffer, ni manger un bon beefsteak, bref nous sacrifier, pour ce nouveau Dieu de la Terre et non du Ciel cette fois-ci.

Le vaccin final et le projet « Trust Stamp » de Bill Gates

Les énormes manifestations menées par la supposée double petite-fille de Bill Gates, Greta Grunberg, et les discours eugénistes rémanents ne serait-ce que sur nos chaînes de tv par Laurent Alexandre ou/et jacques Attali qui nous a légué le président actuel entre autres, nous avaient bien fait entrer au fond de notre crâne qu’il fallait cesser de donner naissance à de charmants petits pour stopper l’envahissement de la planète par ses maudits hommes… Au nom de quelle nouvelle religion si ce n’est eugéniste et transhumaniste. Car pour les chanceux qui auront le droit de rester contempler les couchers de soleil, il faudra bien leur préparer des pièces de rechange. L’odieuse loi de bioéthique votée en première instance à l’assemblée un 1er août à 3 h du matin autorise l’avortement de fœtus à terme sous de vagues prétextes psychosociaux. Mais on commence à savoir et à comprendre pourquoi ces énormes propagandes pour l’avortement y compris tardifs -au lieu de développer la contraception-. De fait la fabrication des vaccins modernes nécessitent des grandes quantités de cellules fœtales issues d’avortements. Horreur me direz-vous, difficile à croire mais réelle. Ecoutez les vidéos de Mme le Pr de génétique, Mme Alexandre Henrion Caude, qui loin d’être complotiste est une scientifique de haut niveau mais qui accepte de nous informer lorsqu’on arrive à de tels délires.

Bill Gates et les eugénistes veulent coûte que coûte contrôler et vacciner toute la planète sous couvert d’avancées humanitaire et philanthropique. Il est facile d’aller écouter Bill Gates lui-même en tapant sur le net, d’autant que ses vidéos ne sont pas censurées par ses amis des GAFA dont le patron de face Book.

Des vaccins modifiés ont-ils déjà été massivement inoculés en Afrique et au Bangladesh ? En les futurs vaccins prévus contiendront possiblement non seulement l’ARN capable de modifier notre génome en temps réel mais aussi les nanoparticules censées interagir avec les réseaux d’intelligence artificielle auquel tous les vaccinés seront connectés. Impossible dans l’immédiat de prédire quels seraient les effets premiers et les effets secondaires.

Du point de vue juridique, il est prévu que les citoyens vaccinés n’auraient aucun recours possible pour se défendre car, aucune des sociétés qui développent et produisent des vaccins n’est passible de poursuite judiciaire en responsabilité devant un tribunal par le monde ni devant une quelconque juridiction. Immunité judiciaire sans limite mais qui n’est pas inéluctable. Aux peuples et à leurs avocats de se défendre et faire sauter cette abominable protection demandée et obtenue par les laboratoires qui prétendent pourtant sans relâche que leurs vaccins sont sans risques ! Le Nuremberg2 ou Nuremberg du Covid initié par l’avocat allemand Reiner Fuellmich et nombre de ses collègues de toutes nationalités, le recours par plusieurs associations contre la loi votée au parlement européen qu’autoriserait de commercialiser les vaccins OGM sans suivre les obligations imposées aux produits OGM sont témoins de la réaction débutante des peuples. Rien n’est perdu, réveillons-nous à temps et contre des milliards d’individus, les oligarques affolés ne pourront rien.

La COVID-19 est bien la crise majeure dont parlait David Rockfeller il y a quelques années.

Dans un article publié sur son site, Futurama,  présente la start-up « Neuralink » et ses travaux, les auteurs expliquent très bien la velléité du transhumanisme qui est celle de connecter l’homme à la machine, c’est-à-dire l’humanité à l’intelligence artificielle, via un « neural lace », c’est-à-dire un implant greffé au cerveau. On croirait entendre l’ancien urologue Laurent Alexandre lorsqu’il pète les plombs à la TV.

Le professeur Luc Montagnier a été le premier francophone à dénoncer le fait incroyable et étrange que dans le génome du SARS-COV2, on retrouvait des séquences génétiques du virus du SIDA et a expliqué que cette manipulation, ces insertions [11] et les dérives qui guettent l’humanité et s’inquiète que nous « vivions dans un monde de fou ».

La dissonance cognitive brise notre rationalité

Les gouvernements ne font pas d’erreurs, au plus fort de la contagion, quand ils affirment que les masques sont inutiles, ni au plus fort de l’été lorsque les hôpitaux sont vides, lorsqu’ils vous disent le contraire. Il faut porter le masque pour vous protéger et protéger les autres. Et ça marche ! Pas une erreur lorsqu’ils vous disent que vous devez porter le masque au travail entre collègues mais pas au restaurant avec les mêmes collègues. Et chacun de son commentaire sur l’illogisme (réel) de la mesure mais de leur bêtise. Pas bête ! Obéissants.

Dissonance cognitive = vos jugements entrent en contradiction les uns avec les autres, amènent à des situations de blocages et d’égarement. Chacun devient ainsi beaucoup plus vulnérable et beaucoup plus perméable à des consignes inacceptables, si votre raison fonctionnait normalement. Porter un masque entretient un climat de terreur car cette soumission visible renforce la croyance d’une menace invisible, amplifie angoisses, stress et impacte directement le système immunitaire affaibli à force d’anxiété. Notre réalité ne se construit qu’à partir de ce que nous renvoient nos sens. Lorsqu’ils sont biaisés par les mesures liberticides et la communication mensongère matraquée à longueur de journées y compris avec messages subliminaux sur la tv lors d’un polar, nos repères qui s’effondrent et nous nous en remettons volontiers au bon vouloir de l’autorité.

La stratégie de la peur et la Stratégie du choc

La peur est très mauvaise conseillère et encline à accepter des mesures liberticides et contraignantes. Les ingénieurs sociaux le savent et l’avaient rappelé dès le printemps citant l’ouvrage devenu classique de la canadienne Naomi Klein, « La stratégie du choc ».

Comment résister, comment en sortir ?

Première chose à faire : nous déconnecter de tous ces instruments de conditionnement que sont les médias conventionnels qui ne font que servir leurs propriétaires et leurs actionnaires principaux.

La seconde me parait plus difficile tant le pouvoir pervertit les êtres humains et conduit au fameux syndrome d’Hubris avec lequel les Prs Raoult et Chabrière nous familiarisent :  veiller à ce que n’arrivent jamais au pouvoir des humains avides et cupides. « Créer un système de protection qui procure une immunité et une sécurité sans faille aux personnes vertueuses qui ont à cœur le bien- être de l’humanité et de la nature » nous propose aussi Amar mais n’est-ce pas très utopique ?

Mais pourquoi pas. Le Nuremberg 2 des avocats allemands montre que l’on peut s’engager à beaucoup dans des combats difficiles mais pas perdus d’avance. Plus de 655 000 américains ont déposé une pétition à la Maison Blanche pour que le gouvernement américain ouvre une enquête sur les objectifs cachés de la fondation Bill et Melinda Gates et sur le GAVI. 

 Gardons espoir et battons-nous sur tous les fronts des plus limités aux internationaux. La bataille pour la réouverture des petits commerces montre un réveil d’une partie de la population et les pétitions et plaintes engagées contre le port du masque chez l’enfant à partir de 6 ans déjà gagnées à ce jour au moins dans une préfecture démontrent que rien n’est inéluctable à condition d’ouvrir les yeux, de dominer sa peur, et de s’unir.

L’exemple de la Suède qui n’a pas confiné, gardé ses écoles ouvertes et qui n’a pas plus de morts attribuées au Covid19 que nous, sans victimes de l’arrêt des soins, sans explosions de dépressions et une crise économique moitié moindre que la nôtre montre que le confinement aveugle n’était pas la solution mais un problème de plus aux conséquences bien plus mortifère que le virus.

L’avenir n’est pas écrit. C’est l’intensité de nos réactions contre les atteintes insupportables à nos libertés fondamentales qui décideront du résultat final. Ne soyez pas collabo des menées criminelles de notre gouvernement. Battez vous ; contactez vos maires et vos députés pour les informer de l’état réel du pays ; discutez avec vos voisins ; déposez des tracts montrant les dégâts des mesures prétendument sanitaires ; exigez que les médecins retrouvent le droit de soigner leurs malades y compris avec l’hydroxy chloroquine comme cela est autorisé dans tous les autres pays et même recommandé en autre en Chine, Corée, Inde, Maroc, Algérie, Malaisie, Barain qui souffre d’une mortalité par million huit à vingt fois inférieure à la nôtre.

Ne rien faire s’est se résigner au confinement quasi perpétuel car après celui en cours le gouvernement en a prévu au moins quatre autre d’ici décembre 2021 appliquant ainsi le programme de Ferguson exposé dans le rapport 9 de l’Imperial College[12]

[1] Malheureusement un de nos modèles depuis longtemps pour la santé qui a conduit à l’utilisation devenue obligatoire de l’EBM Evidence base medicine qui a rayé l’expérience clinique et rendus hégémonique l’usage des essais randomisés tirés au sort dont vous avez vu la tragique conséquence avec la négation de l’efficacité de la chloroquine.

[2] En Europe les états au comportement les plus totalitaires qui ont imposé le confinement aveugle à leurs populations (Italie, Espagne, France, Belgique) siègent tous dans le top 6 européen des plus fortes mortalités attribuées au Covid19

[3] Cf voir la liste des signataires 2e édition Auteurs :  Organisation mondiale de la Santé  Informations sur la publication Nombre de pages : 102 Date de publication : 2008   ISBN : 9789242580419

[4] La création et la présentation du Conseil Mondial a été officiellement annoncée par communiqué de presse par l’OMS le 24 mai 2018. « Son rôle est, en cas de pandémie, de réunir tous les dirigeants du monde et de leur donner les consignes à suivre pour endiguer la pandémie en cours sur leur territoire. Sa création est le résultat d’un travail conjoint entre l’OMS et le Groupe de la Banque Mondiale »

[5] Confinement

[6] Parfois aller un peu trop loin fait prendre conscience à des moutons pigeons jusque là et ce pourrait bien être le cas  avec le masque obligatoire pour les 6 ans et plus. Ne touchez pas à nos enfants.

[7] Et en tuer des milliers d’autres, voir nos rapports sur le confinement www.docteurnicoledelepine.fr

[8] Alors qu’au moment ou elle prétendait cela il n’y avait aucun malade correspondant à sa description

[9] Global Preparedness Monitoring Board A WORLD AT RISK Annual report on global preparedness for health emergencies https://apps.who.int/gpmb/assets/annual_report/GPMB_annualreport_2019.pdf

[10] Très connue pour avoir échappé à la mort lors de la tuerie d’Utoya en Norvège et dont le père, Gudmund Harlem, était redevable à la fondation Rockfeller qui a bien voulu financer ses études de médecine.

[11] Dont la probabilité qu’elle soit due au seul hasard est inférieure à 0,0001

[12] 16 March 2020 Imperial College COVID-19 Response Team Report 9: Impact of non-pharmaceutical interventions (NPIs) to reduce COVID-19 mortality and healthcare demand

https://www.imperial.ac.uk/media/imperial-college/medicine/sph/ide/gida-…

Auteur(s): Dr Gérard Delépine pour FranceSoir

Volti

2 Commentaires

  1. Bien.

    Le Conseil d’un ami m’a dis : envoie les tous faire caca..
    Si y’a possibilité d’en faire du Com post ..
    Vas Yhttps://lesmoutonsenrages.fr/wp-content/plugins/wp-monalisa/icons/wpml_rose.gif

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