Coronavirus : A qui profite la crise économique mondiale ?

Certainement pas aux “gueux” qui clopent, et roulent au gasoil. Partagez ! Volti

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Par Ciel Voilé via Kla.Tv

Volti

2 Commentaires

  1. « Coronavirus : A qui profite la crise économique mondiale ? »
    Ce qui est certain, c’est que ce n’est ni au « peuple » ni même au Pays.
    Tentons une approche à l’aide d’allégories et de symboles.
    Commençons par rappeler qu’il y a quelques années, une expression aurait pu nous mettre la puce à l’oreille quant à son aspect néfaste. Il s’agit de ce dispositif économique européen appelé le « serpent monétaire ».
    Cette expression est née en 1972, c’est-à-dire tout juste quelques mois avant la fameuse loi dite « loi de 1973 » ou encore « loi Pompidou-Giscard-Rothschild », qui modifiera le statut de la Banque de France et précisera notamment les conditions autorisant l’État à emprunter à la Banque de France. c’est le début d’un racket légalisé par tous les gouvernements de l’époque et leur successeurs jusqu’à aujourd’hui, et qu’on appelle plus communément « LA DETTE ».
    C’est aussi, à cette époque qu’a été mis en place le dernier maillon de la chaîne du projet inique européen dont le piège allait définitivement (?) se refermer avec les traités de de Maastricht et surtout celui de Lisbonne qui, avec l’aide de Sarkozy et de ses élécteurs abrutis, « s’asseyait » tranquillement mais surement sur le « NON » des français au référendum sur la ratification du traité établissant une constitution pour l’Europe.
    Plus de la moitié des français étaient encore lucides à cette pèriode. Depuis, le téléphones portable est passé par là.
    Le symbole du « Serpent » n’est pas qu’un dispositif économique dans l’histoire récente, l”antiquité lui a donné un grand rôle.
    Tout le monde connaît la légende biblique du serpent et de la pomme, mais personne ne sait comment cette histoire a été inventée. Dans l’original du livre fameux, cette histoire n’existe pas. Elle a été introduite dans la version grecque faite deux siècles avant notre ère, on ne sait par qui, quoique l’on nous dise qu’elle fut faite par 70 docteurs, d’où son nom de Version des Septante. Il s’agissait de cacher sous un langage équivoque un épisode se rapportant à la vie sexuelle. L’original disait brutalement que l’ardeur sexuelle, qui régnait dans toute la nature, tourmentait les hommes.
    Le serpent, animal rampant (ancien emblème de l’homme pervers), symbolise ce qui est bas, lâche, vil.
    Satan est souvent appelé en grec διάβολος, le détracteur ou l’accusateur, d’où on fait le « Diable ». Dans l’ Apocalypse, il s’appelle aussi le « Dragon », le « Serpent » ; on sait que, dans le symbolisme, le dragon, c’est l’antiféminisme.
    N’est-ce pas l’Archange Saint Michel (à figure de Femme) qui, à la fin des temps, doit remporter la victoire finale du Bien sur le mal, en terrassant Satan représenté par un dragon ?
    « Satan » c’est le détracteur de la femme, son éternel calomniateur, parce que perpétuellement il lui attribue sa nature, ses vices, ses fautes. La marque du « démon » est de prendre toutes choses à rebours. Et, lorsque toutes les valeurs sont inversées, un « monde » devient un « démon ».
    « Kâna el-insânu hayyatan fil-qidam. » (« L’homme fut serpent autrefois. »), nous rappelle une expression arabe.
    On représenta par les deux serpents du caducée les deux aspects du pouvoir de l’homme : le Roi, le Prêtre. Ensemble, mêlant la force à la ruse, ils vont torturer l’humanité.
    Le caducée est un des attributs du dieu Hermès. Précisons que « Hermès », est le nom générique des prêtres égyptiens qui sont venus, dans le cours des siècles, jeter le voile du mystère sur toutes les antiques vérités. C’est ainsi que le mot « révélation » qui est le mot consacré par les religions, a une signification contraire à celle qu’on suppose : il veut dire « re-voiler » et n’a été employé que par les « Hermès » qui ont caché la science, qui l’ont voilée, puis re-voilée sous de nouveaux symboles, et c’est alors qu’ils l’ont imposée au peuple. Le mot propre, que nous devrions employer, est « dévoiler ».
    Pour imiter la Déesse Hygie, « Hermès » prétendra guérir, et le caducée sera le symbole de sa médecine, celle qui tue, à l’égale, aujourd’hui, de celle d’un certain « lobby pharmaceutique » : votre mauvaise santé est la garantie de ses profits.
    « Hermès » représente aussi l’argent, les transactions commerciales ; il fait de la science un commerce, du temple un marché. Il est le Dieu des voleurs en attendant Mercure qui l’imitera ; aussi, fait de la religion une affaire et, en même temps, un privilège qu’il veut garder pour lui et ceux qui le soutiennent.
    « Hermès » a changé plusieurs fois de nom et de religion depuis, mais « il » est toujours là aujourd’hui, et ses « réseaux » sont puissants.
    Comme les femmes ont comparé l’homme vil, qui les attaque lâchement, au serpent, Hermès appelle le serpent le plus spirituel de tous les êtres ; il symbolisait pour lui la Sagesse et la Perfection Divine et représentait la Régénération et l’immortalité de l’âme.
    Aussi, le « diable » est assurément fort habile, mais pourtant il ne peut jamais s’empêcher d’être ridicule par quelque côté !
    Les dégénérés ont fait du serpent une divinité qu’on adore.
    Le serpent, l’homme vil, a mille noms. En Egypte, c’est Æpophis, symbole du mal et des ténèbres, adversaire de la grande Déesse Séti ; c’est aussi Typhon (anagramme de Python) qui personnifie les fléaux de la Nature et les maux du corps et de l’âme.
    En Syrie, c’est Nahash. C’est celui-là qui est le héros de la légende d’Adam et Eve.
    Chez les Perses, le méchant est représenté par le serpent Ophinéus.
    Dans les tablettes chaldéennes, on mentionne le vaisseau d’Ea, Déesse de la mer, qui serre le cou du serpent à sept têtes. Dans les Védas, Indra lui tient la tête basse sous les flots écumants.
    Chez les chinois, c’est Kong-Kong, à la face d’homme et au corps de serpent, qui détruit l’humanité par ce grand cataclysme moral dont la symbolique a fait un déluge universel, quand on a tout caché sous des allégories.
    Les Druides représentaient le serpent (l’homme méchant) par Hu.
    D’autres oiseaux sont symboliquement représentés comme ennemis et destructeurs des reptiles : le combat de l’aigle et du serpent se retrouve au Mexique mais aussi dans la tradition indienne, où l’oiseau mythique Garuda, « roi des oiseaux » et « véhicule » de Vishnou, combat contre le Nâga ; Krishna, incarnation de Vishnou, danse sur les sept têtes du Nâga. Les Dravidiens de l’Inde avaient une tradition semblable.
    L’oiseau et son ennemi symbolisent l’opposition entre le Ciel et la Terre, entre l’ange représentant les états supérieurs et le démon assimilé aux états inférieurs, entre le monde céleste et le monde infernal.
    Remarquons néanmoins qu’il existe quelque exception où, sous un aspect bénéfique, le serpent s’unit à l’oiseau, tel que le Quetzalcóatl des anciennes traditions américaines.
    Un 25ème degré dans les Mystères fut créé par des chevaliers qui, étant en Palestine lors des Croisades, avaient trouvé des Israélites captifs des Musulmans et les avaient délivrés. Ceux-ci, en reconnaissance leur firent connaître la tradition du « Serpent d’airain », qui s’était perpétuée en Judée. La révélation de cette tradition qui leur fut faite est l’origine de la fondation de l’Ordre des Templiers.
    Au Louvre, on peut voir Minerve assise et menacée dans sa sagesse et dans sa dignité par des serpents qui s’élèvent autour d’elle.
    Certains, encore aujourd’hui, parlent de « reptiles », dirigeant la terre en gardant les humains dans l’ignorance. Un terme, évidemment, à prendre au sens figuré et non au sens propre.
    Néanmoins, le serpent a toujours eu des enemis bien plus fort que lui. La Déesse égyptienne Thoth était de ceux-là.
    Thoth était représentée par la tête d’Ibis, et cet oiseau lui était consacré.
    L’Ibis était un oiseau sacré parce que sa spécialité était de faire la chasse au serpent qui personnifie l’esprit du mal, le mensonge, la fausseté et la ruse.
    https://livresdefemmeslivresdeverites.blogspot.com/2017/07/introduction-livres-de-femmes.html

  2. Dans tous symboles, il y a deux aspects que je dirais positif et négatif, faute de mieux.
    Tu parles du caducée: il représente aussi la kundalini, qui est en effet l’énergie sexuelle mais transcendée. Ce “serpent” est lové au creux de notre bassin. Lorsqu’il se déploie (par des exercices particuliers ou spontanément), il se divise en une branche centrale, et en deux “serpents” qui passent par tous les chakras et les ouvrent.
    (Si cette montée de la kundalini n’est pas spontanée, il faut être très prudent et éviter de le faire seul la première fois car elle est très puissante.)
    Bref, mais le sujet n’est pas là.

    Je suis contente d’entendre, dans cette vidéo, que le corona n’est pas la cause de l’effondrement économique. Il en est le prétexte.

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