La Bourse de New York a fini en baisse de 1,92% mercredi, en conséquence d’un regain d’inquiétudes sur l’état de l’économie américaine et par l’absence d’avancées au Congrès sur le renforcement du soutien à l’activité.
Ainsi, le Dow Jones a cédé 525,05 points à 26.763,13, l’indice S&P-500, plus large, a perdu 78,65 points, soit -2,37%, à 3.236,92. Et enfin le Nasdaq Composite a reculé de son côté de 330,65 points (-3,02%) à 10.632,99. points.
On a pu observer une croissance de l’activité du secteur privé aux États-Unis qui a fortement ralenti au mois de septembre. Cette tendance révèle que la “première économie” du monde perd de l’élan en cette fin de troisième trimestre avec la persistance politique de la crise sanitaire.
D’ailleurs concomitamment à cela, les géants du numérique et des hautes technologies comme Apple (-4,19%), Salesforce (-4,76%), Amazon (-4,13%), Alphabet (-3,48%) ou Netflix (-4,19%) ont encore fois accusé des baisses spectaculaires, confirmant la correction observée ces dernières semaines. Tesla d’Elon Musk a, de son côté, chuté de -10,34%.
Cette réaction des marchés américains est inquiétante, dans la mesure où les institutions US font beaucoup, depuis la crise, pour porter l’économie américaine à bras le corps.
Étant donné que le Trésor et la Fed ont quasiment fusionné et sont pilotés depuis mars 2020 par BlackRock, on s’aperçoit que tous les acteurs institutionnels se sont démenés de toutes leurs forces pour maintenir le système en vie. Et malgré leur volonté, ce dernier montre des signes inquiétants de mort imminente.
Rappelons- le, le premier gérant d’actifs au monde s’est vu confier pour le compte de la Réserve fédérale, plusieurs programmes d’achats d’actifs, notamment sur les obligations d’entreprises. Ainsi, la puissance publique (et privée) américaine a cette fois, réussi à trouver les armes de destruction massives, pour tenter de sauver le système. Mais néanmoins, cela ne semble pas être suffisant.
« Ouvrons les vannes à fond ! »
Ces deux responsables suggèrent que de nombreux emprunteurs potentiels ont besoin de subventions, ce qui nécessiterait un nouveau financement du Congrès. L’économie nationale US est donc de façon officielle totalement subventionnée, et cela peu importe la nature ou la santé de l’entreprise. Zombie ou non-zombie tout le monde a le droit à sa dose.
Les deux hauts responsables économiques américains ont justifié leurs déclarations aux législateurs US en affirmant que les programmes de prêts d’urgence, destinés à soutenir l’économie frappée par le coronavirus fonctionnaient largement comme prévu. Mais cependant, ils ont également indiqué que cet effort (c’est-à-dire davantage de dépenses publiques) serait nécessaire pour soutenir une (hypothétique) reprise.
Le secrétaire au Trésor, Steven Mnuchin, a déclaré qu’il ne prévoyait pas de nouveaux changements qui faciliteraient l’accès aux programmes de prêts établis conjointement avec la Réserve fédérale.
« Je pense malheureusement que nous ne pouvons pas faire grand-chose de plus », a-t-il déclaré mardi à la commission des services financiers de la Chambre.
Les responsables de la Réserve fédérale ont intensifié leurs appels à des dépenses publiques supplémentaires pour éviter une reprise économique inégale et prolongée après la pandémie de coronavirus.
La reprise avancerait plus vite « s’il y avait un soutien venant à la fois du Congrès et de la Fed », a déclaré mercredi le président Jérôme Powell au cours de la deuxième des trois journées de témoignage au Congrès.
La menace du chômage, toujours présente
Les demandes d’allocations chômage se sont maintenues à un niveau historiquement élevé de 870 000 la semaine dernière, ce qui suggère que le marché du travail continue de se remettre lentement de la pandémie de coronavirus. Les demandes d’emploi sont en baisse significative par rapport à un sommet de près de 7 millions en mars, mais elles ont stagné à un peu plus de 800 000 au cours des dernières semaines.
Pour information et pour vous donner un aperçu de la situation, c’est un peu plus de quatre fois les niveaux enregistrés avant que le coronavirus ne touche le pays de l’oncle Sam ce printemps. Les économistes abondent tous dans le sens de la FED et expliquent que sans un rapide nouveau coup de pouce budgétaire, l’emploi et la consommation vont être de nouveau impactés et que par voie de conséquence cela va stopper la timide reprise de l’économie américaine.
Néanmoins ce consensus porté par Wall Street n’est pas partagé par le Congrès qui semble avoir du mal à s’accorder avant l’élection présidentielle. En effet, le climat politique aux États-Unis dans cette campagne présidentielle est de plus en plus tendu.
La guerre à mort entre républicains Trumpistes et les démocrates semble si violente qu’elle a un impact concret sur les marchés. Le mois de septembre a été très mauvais pour Wall Street et on a observé un net recul de la bourse pendant ces trois dernières semaines,
Des antagonismes entre Steven Mnuchin, la présidente de la chambre des représentants, la démocrate Nancy Pelosi, mais aussi Mark Meadows secrétaire général de la Maison blanche témoignent de cette incertitude politique aux États-Unis.
Ce cirque politique (magnifiquement illustré par les démocrates hystériques) se déroule sous nos yeux alors que dans le même temps la situation économique aux États-Unis est catastrophique. D’ailleurs Mnuchin et Powell le savent, c’est pourquoi ils crient à l’aide. Ils savent qu’il est important que le système du roi dollar survive encore quelques mois. Jusque-là l’économie US n’a survécu que parce que les autorités ont injecté des milliards de dollars (à des niveaux encore jamais vus jusqu’alors) et parce que Wall Street a bien voulu continuer de croire (c’est son intérêt à court-moyen terme).
En vérité, nous sommes encore dans l’antichambre d’une nouvelle ère ou aucune logique ne peut permettre d’expliquer les mouvements des marchés. Bien malin celui qui sera capable de dire quelle bulle éclatera en premier et quelle secousse engrainera avec elle toute la chute d’un système.
Le compte à rebours est lancé, la plupart des experts pensent que rien ne va bouger jusqu’à l’élection du 5 novembre 2020.
Ils ont sûrement raison… En attendant, attendons !
Marc Gabriel Draghi
Quelqu’un croit-il encore sincèrement que l’économie américaine, et même l’économie en générale, fonctionne sur des critères de réalités et selon les règles « naturelles » du marché de l’offre et de la demande ?
L’économie est un jeu pour les meneurs occultes et vicieux, en même temps qu’une source de leur enrichissement et de leur pouvoir. Rappelez-vous de Gordon Gekko dans « Wall Street » ou de ses deux frères milliardaires s’amusant à parier 1 dollar dans le film de john Landis « Un fauteuil pour deux » : Pour eux, vous n’êtes qu’un jeton dans leur partie de poker permanente, un pion dans leur partie d’échecs.
Aujourd’hui, c’est l’heure parfaite de l’Univers.
C’est pour ça que pour ces « joueurs de poker », c’est l’heure du bluff, du nouveau-leurre.
Ne sentez-vous pas, dans l’air, comme une sorte de transition insidieuse que l’on tente de vous vendre entre l’Ouest et l’Est, ses acteurs politiques et économiques, ses médias, son cinéma (aussi pitoyable d’ailleurs que celui d’hollywood ce qui est normal puisque les mêmes producteurs sont derrière), et surtout sa « Pax Russia » qui semble suivre son chemin doucement mais surement, comme précédemment l’ont suivi avec une grande réussite les « Pax » Romana, Britannica et Americana, pour le plus grand bonheur de « Satan » et ses agents qui ont renversé le monde et ses valeurs depuis le début de leur règne, souhaitent qu’il en soit toujours ainsi, car pour eux la société c’est le malheur, c’est la misère, le néant, la mort, ils la veulent ainsi.
Il ne faut pas oublier que le « satanisme inconscient » chez certains esprits non encore sevrés de toutes les « Pravda », confondant systématiquement le mal avec le bien, et plus nombreux que jamais à notre époque de désordre étendu à tous les domaines, n’est véritablement, au fond, qu’un instrument au service du « satanisme conscient » des représentants occultes et de leur agenda mondialiste : nous n’en nommerons aucun, mais tout le monde en connait, du moins de nom ; ils sont derrière les grandes puissances financières, derrière les partis politiques ; ils fondent des sociétés secrètes ; ils suscitent des guerres, fomentent des révolutions « pour libérer les peuples », et l’humanité paie cher les prétendus services qu’ils lui rendent…
Aussi, est-il possible de savoir depuis quand et comment un tel mal a pu s’installer et s’emparer de nos Sociétés ?
En répondant à cette questions, peut-être arriverons-nous à trouver une solution pour que cela change.
Lien : https://livresdefemmeslivresdeverites.blogspot.com/2017/07/lebienetlemal.html
leur système économique n’a plus rien à voir avec le nôtre !
Nôtre seul problème, mais il est conséquent, est que les deux systèmes fonctionnent avec la même monnaie !
Q à 95%
.I.
Q. Ihihiihihiihihi !!! de – de 50 !
Pour rappel, pour eux nous ne sommes que des enfants, des Qàgnon Niveau CE1, CE2 !
Ce qui me fais le plus rigoler, c’est que les gens écoutent encore de grands économistes.
Il y a loin entre les oreilles et la boite a comprenette. Tout va par trois.
PS: La politique et l’économie, deux arnaques qui vont de paire. la troisième se nomme finance et elle agit sur les deux première, le quatrième est le couillon qui produit et se fait entuber.
et c est valable aussi pour sannat ?