Une cité perdue au coeur des Pyrénées

Il existe de nombreuses légendes de cité mythique à travers le monde « l’Atlantide, Ys, Kitej » et bien d’autres encore, mais savez-vous qu’il existe une légende équivalente et méconnue dans le sud de la France ? Il s’agit de la ville de Pyrène, du même nom que la déesse pyrénéenne. Plusieurs auteurs de l’antiquité nous parlent d’une cité sur le territoire des Sordes (Pyrénées-Orientales). Je vous propose de partir sur les traces de la cité perdue, afin d’élucider l’énigme de son existence et de sa localisation. La ville à t-elle réellement exister ou s’agit-il simplement d’une fable mythologique ? Nous allons présenter les différentes sources antiques de cette histoire, mais également la légende du héros Héraclès qui rencontre la belle déesse des Pyrénées, ainsi que le peuple qui était censé vivre sur cette région. Les peuples du Languedoc auraient donné le nom d’une déesse à leur ville de la même façon qu’Athènes chez les Grecs. Si Pyrène à réellement exister, quel était le peuple bâtisseurs ? Quelles sont ses origines et pourquoi la ville a disparu dans les méandres de l’histoire ? Je vous proposerais plusieurs localisations possibles pour la ville ainsi qu’une théorie personnelle sur la question, qui fera intervenir les peuples et les grandes migrations sur la région pyrénéenne pendant la période antique. Afin de comprendre l’énigme de la cité endormie, il nous faudra prendre une vue d’ensemble sur la zone maritime de la Méditerranée occidentale, dans ce que j’appelle l’espace maritime Tyrrhéniens.

ArcanaMdM

5 Commentaires

  1. Excellente et très intéressante vidéo !
    En filigrane on notera à quel point tout au long ne notre histoire la population européenne a été fabriquée par de nombreux croisements ethniques et culturels…
    Nous avons dans nos gènes les traces de ces multiples croisements. La notion de “pureté ethnique” est donc une vaste fumisterie sauf peut-être pour quelques coins perdus d’Amazonie, d’Australie ou de l’Himalaya…

    Elle est pas belle ma région ??https://lesmoutonsenrages.fr/wp-content/plugins/wp-monalisa/icons/wpml_heart.gif

  2. Oh oui quelle est belle, ta région ! https://lesmoutonsenrages.fr/wp-content/plugins/wp-monalisa/icons/wpml_good.gifhttps://lesmoutonsenrages.fr/wp-content/plugins/wp-monalisa/icons/wpml_heart.gif

    Encore une vidéo très intéressante et bien documentée, avec des images et des photos de toute beauté ! J’accroche encore sur des liaisons “mal t’à propos”. Dommage car la qualité est là sur tous les plans !
    * Eh oui, je suis de cette génération où l’oreille se rebiffe parfois lorsqu’elle entend:” il s’en va(t) à” tel endroit… par exemple, ou bien “il a pu(t) arriver à”….

  3. c’est con !!!

    Je suis allergique aux gestes Thaï-Shi de ce pauvre garcon, qui pourtant a une diction absolument parfaite !

    Imaginez un type qui vous explique un truc super intéressant en faisant des gestes de karaté ou judo ou je sais pas quoi….. Il a un probleme de circulation dans les mains ?

    C’est bête car le sujet est intéressant et la recherche bien menée !
    C’est comme Bern en fait…. Il est parfait, jusqu’à…… ce qu’on le voie…. :/

    nan desolé le mythe du contenu désolidarisé du contenant ne tient pas la route 😛

    Cela dit, je reste un adorateur de ces sujets 🙂

    Good night and good luck !

  4. Le nom grec du feu est Pyr, d’où Pyramis, en égyptien Pyramide. Les Pyramides étaient des Temples sacrés dans lesquels on se cachait et qui étaient construits de façon à en rendre l’accès impossible à ceux qui n’étaient pas initiés.
    Le mot Pyr est phrygien.
    Dans l’Edda, Livre Sacré des anciens celtes et écrit par la grande Déesse Voluspa (celle qui voit l’universalité des choses), le feu est nommé fyr ou fur ; les Grecs, dit-on, prononçaient pyr comme nous prononçons pur.
    Il existait en Orient des Temples du feu qu’on appelait Pyres. Il s’agissait du feu symbolique représentant l’Esprit.
    C’est parce qu’il y avait des Temples du feu sur les montagnes qui séparent l’Espagne de la France qu’on les a appelées Pyrénées, et non parce qu’elles furent embrasées. Ces montagnes servirent de refuge aux femmes persécutées ; partout où elles étaient, celles-ci établissaient ce que, symboliquement, on a appelé le culte du feu, du Feu sacré.
    Pyrénée fut le surnom de la Vénus adorée dans les Gaules, et, du reste, la mythologie nous dira que Pyrène, fille du roi Babrycinus, donna son nom aux montagnes de l’Ibérie.
    La femme, pour échapper à l’homme, se cachait sur les montagnes élevées, d’où l’on pouvait voir venir l’ennemi, ou dans des cités bâties au milieu des lacs, ou bien dans des lieux fortifiés , à l’embouchure des fleuves. Ces lieux de refuge des femmes étaient interdits aux hommes. Un retranchement sacré s’appelait Mound, d’où le mot « Mundus » (pur) donné à ceux qui étaient dans le retranchement, et « in-mondus » (impur – immonde) à ceux qui étaient dehors.
    Les habitants actuels de l’Egypte appellent en arabe les Pyramides « Heram ».
    Or nous savons que c’est le nom de Myriam qui, lu à l’envers, dans ses lettres hébraïques, a fait « Hiram » : Hiram doit se lire de droite à gauche comme lisent les Hébreux et non de gauche à droite suivant L’usage des Européens : Hiram alors devient Maria ou plutôt Myriam. Le heth – H – final en hébreu se prononce A.
    L’Egypte a gardé le souvenir de Myriam et l’a glorifiée sous le nom de Hathor. Rappelons que la loi d’Israël, « Ha-Thora », est devenue le surnom de la Déesse Hathor qui en fut l’auteure (Ha-thorah, la Loi, en hébreu)
    C’est parce que les pyramides appelées « Heram » étaient consacrées à la Déesse, qu’on a appelé « Harem » par dérision les lieux où on enferma les femmes livrées aux plaisirs des hommes.
    Lien : https://livresdefemmeslivresdeverites.blogspot.com/2017/07/revolution-religieuse-en-egypte.html

  5. Mouais…

    Ben en attendant que vous trouviez les ruines, il fait bon y vivre…

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