Pour « sauver la planète », l’industrie tue les campagnes. Reporterre..

Extrait d’un commentaire chez LHK: “Le seul problème qui vaille la peine d’être dénoncé : le capitalisme a pris le pouvoir total sur la planète et il la façonne à son seul profit. Baleines, charbon, pétrole, nucléaire, éolien, .. Pas une population n’a choisi, seulement consommé l’offre industrielle.
Quand ça nous va on prend, quand ça nous va pas on subit.
” Partagez ! Volti

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Source Reporterre via Liliane Held Khawam

Au nom de la transition énergétique, les campagnes s’industrialisent à grande vitesse. L’autrice de cette tribune raconte la métamorphose de la Haute-Marne, autrefois vivante et dorénavant colonisée par les éoliennes, les méthaniseurs, les plantations de biomasse…

Il est minuit, ma maison vrombit, mon cœur est écrasé, mon crâne résonne. Les fenêtres fermées, les boules Quies ne font qu’empirer les choses. Où aller ? Au fond des bois ? Les infrasons des éoliennes industrielles ne connaissent pas les frontières. Elles sont partout. Mon corps est à bout.

Seules deux vallées ne sont pas encore attaquées à proximité de chez moi. Les mâts des éoliennes et les méthaniseurs poussent aussi vite que tombent les forêts ! Il n’y a plus de refuge. La campagne s’industrialise.

J’ai passé le week-end chez moi, face aux collines, dans mon village de 70 habitants, la maison dans laquelle mes enfants ont grandi, qu’on a restaurée ensemble. J’avais beaucoup à faire, je n’ai rien fait ou presque, je n’ai pas eu besoin de regarder la météo pour savoir d’où venait le vent. Mon corps n’avait qu’une tension, fuir ce lieu inondé par un poison vibratoire. Du sud au nord, en passant par l’ouest, plus de 70 éoliennes industrielles de 150 mètres. À l’Est, six, 183 m de haut, diamètre 150 m, bientôt 29. Partout, des centaines en projet ou prêtes à sortir de terre. Du haut de la colline, j’ai dit adieu aux couchers de soleil il y a neuf ans, et récemment aux levers. Adieu à la nuit pure. Les promenades sur le plateau rendent fou.

Les bois qui n’ont pas encore été rasés sont dépouillés depuis qu’on ne parle plus de forêts, mais de biomasse

À 200 m de la maison, deux fermes, « normales » il y a peu, incarcèrent désormais douze mois sur douze quelques centaines de vaches sous les tôles. Ventilateurs, tanks à lait, robots de traite, engins qui désilent, mélangent, transportent, paillent, distribuent, curent, et retransportent. Les bruits de moteur sont incessants. Vaches à méthane ou vaches à lait, toutes ont le même sort, les riverains aussi !

Marie, une riveraine, est à bout, sur sa petite route de campagne. Sept jours sur sept, les tracteurs passent pour alimenter le méthaniseur voisin en fumier collecté dans un rayon de 60 km, les prés ont été retournés pour planter le maïs qui servira à nourrir le méthaniseur et les vaches prisonnières qui fournissent la manne. La paille aussi voyage. Sous la canicule, les vaches enfermées hurlent, tapent nuit et jour dans la ferraille qui les enferme, l’ensilage pue.

Où aller ? Au fond des bois ? Quels bois ? Ceux qui n’ont pas encore été rasés sont dépouillés depuis qu’on ne parle plus de forêts, mais de biomasse. De mes fenêtres, je vois clair au travers des collines. Plus de sous-bois, des champs de troncs. Le long des chemins, les arbres trop jeunes, condamnés à ne pas devenir des chênes centenaires, s’alignent, en attendant d’être déchiquetés avec beaucoup d’énergie, recollés en pellets, voire transformés en carburant ! Il y a quelque temps, un bûcheron s’inquiétait : « Dans dix ans, il n’y aura plus rien ! » Sur les photos aériennes, une bande boisée au bord des routes, pour tromper le peuple, mais c’est une coquille vide. Dix ans, c’était optimiste. Qui ose encore signer les pétitions contre la déforestation de la forêt amazonienne ? Le poumon vert de la France, ça ne compte pas ?

Officiellement, on n’a plus le droit de retourner les prairies [pas pour leur flore et leur faune, on s’en moque, mais comme pièges à carbone, fixateurs de sol…] Jamais on n’en a retourné autant que depuis les débuts de la « transition énergétique » ! Pour le maïs des méthaniseurs, le colza des carburants… Qui ose encore signer les pétitions contre l’huile de palme ?

« C’est une violence inouïe ! » m’a dit ce citadin reconverti à l’agriculture bio. Pour moi, c’est un viol. Un viol de ce pays qui m’a vue grandir, que mes ancêtres paysans ont soigné, que j’ai parcouru jusque dans ses moindres recoins… Un viol de mon droit au silence, ce bien le plus précieux. Depuis bientôt dix ans, hormis quelques nuits glaciales sans vent, pas une heure sans bourdonnement de moteur ou d’éolienne, dans ma maison dont les murs tremblent de cette maladie galopante.

Je bondis en lisant une phrase de l’association NégaWatt : « Nous avons également de vastes zones peu peuplées qui permettent l’installation [d’éoliennes]. » Ben voyons ! Nos élus comptent aussi remplir ainsi la « diagonale du vide ». Mais le vide n’est pas vide, nous y vivons, la nature y vit. Nous ne sommes pas un territoire à coloniser ! Pour eux, nous sommes une poignée de sauvages qui empêchent l’expansion de projets, qu’ils n’osent plus appeler « progrès », mais ont rebaptisé « transition énergétique », et font passer pour une « reconversion écologique ». Nous préférions être abandonnés : au moins, on nous laissait tranquilles !

On n’a pas le droit d’avouer que quelque chose cloche dans ce qui est présenté comme la seule issue

L’écologie, c’est ce que nous avions, avant. Du silence, de vraies nuits, des forêts gérées avec sagesse en mode cueillette, avec respect pour leurs bêtes, grandes et petites. Celles qui ne peuvent pas fuir crèvent désormais au soleil de vastes étendues rasées, les autres ne savent plus où aller. L’écologie, ce n’est pas ce monde industriel qui se cache derrière des noms aguicheurs.

Ce monde, on nous l’impose sans démocratie, avec le plus profond déni de notre citoyenneté, des enquêtes publiques, qui sont des mascarades, les rares refus préfectoraux étant cassés par les tribunaux administratifs. Les enquêtes surviennent sans annonce claire, il faut surveiller les sites préfectoraux, qui ont changé de page sans l’annoncer clairement, supprimé les dates, lieux, natures d’activité ; certains se retrouvent avec des éoliennes derrière chez eux sans jamais en avoir entendu parler. Lors des plaintes, les promoteurs sont juge et partie, seules leurs conclusions sont retenues. La notion de conflit d’intérêts disparaît, les directives régionales sont piétinées, les lois faites sur mesure pour faciliter l’invasion…

Nous sommes dépossédés de notre territoire, sans droit à la parole, sans droit de nous défendre, la proie de lobbies qui manipulent le pouvoir. On nous accuse de « retarder la transition énergétique » avec nos vaines rébellions ; retarder, c’est tout, on se défend, mais on se fait quand même dévorer ! La démocratie est bafouée.

Ceux qui pleurent à cause du bruit, des acouphènes, du cœur qui s’emballe au rythme des pales osent rarement témoigner. Ils ont honte, ce ne serait pas politiquement correct, il faut accepter de souffrir pour « le bien de la planète ». On n’a pas le droit d’avouer que quelque chose cloche dans ce qui est présenté comme la seule issue. Ils ont peur, aussi. Alors que l’électrosensibilité peine à se faire reconnaître, on se gausse de la sensibilité aux infrasons, trop méconnue, qu’on fait passer pour une maladie psychique.

On assiste à un parfait écocide, discret, se cachant sous de pseudo « 
bonnes intentions »

« Les opposants retardent la transition énergétique. » Mais qui se penche sur nos vies brisées, nos investissements et nos projets tués ? Les vergers que nous ne plantons plus, la maison devenue invivable et invendable, nos promenades quotidiennes, les circuits de randonnée, le panorama d’une ville touristique… L’âme de nos campagnes, notre silence, notre sommeil, notre santé, notre capacité de concentration et celle des enfants des écoles, notre efficacité au travail, les étoiles, le noir de la nuit, nos forêts, nos prairies, la liberté des vaches, le relief, écrasé, ce qu’on n’a plus la force de faire. Tout est tué brutalement ou à petit feu.

Et les ressources ! Que de pétrole pour nourrir avec l’ensilage et l’enrubanné de l’an dernier des vaches qui il y a peu broutaient dehors, là où on cultive le maïs qu’elles ingurgiteront l’an prochain ; pour ériger ces monstres blancs trois fois plus hauts que nos collines, qui, ici, ne fonctionnent qu’à 18 % de leur capacité, de façon intermittente et aléatoire ; pour couper, transporter, déchiqueter nos trop jeunes arbres, cultiver le maïs et le colza. Pour fuir ! Que de sols détruits ! Nous sommes assez près de notre terre pour constater au quotidien cette tromperie que les citadins ne voient pas !

Si au moins tout cela servait à autre chose qu’engraisser sur nos deniers des lobbies et ceux qui leur ouvrent grand les portes.Nous sommes sacrifiés sur l’autel d’une idéologie capitaliste qui veut vendre les engins nécessaires à son accomplissement. Jamais nous n’avons vu autant de machines, entendu autant de moteurs dans nos campagnes, nos forêts, planer sur nos têtes… La « croissance verte » tue l’idée de décroissance, autant que nos territoires, pour justifier ses objectifs.

On assiste à un parfait écocide, discret, se cachant sous de pseudo « bonnes intentions », ou pire, sous une injonction de « sauver la planète ». Mais on s’est trompé de ministère, la production d’énergie pour le confort humain, ce n’est jamais de l’écologie, c’est de l’industrie !

Comme chaque fois que le vent vient du nord-ouest, ma maison vrombit plus que les autres jours. Mon corps ne sait où aller, je pleure. Dans quelques mois, le vent d’est sera lui aussi un poison. Arrêtez la torture ! Laissez-nous vivre ! VIVRE !

Blandine Vue est docteur ès lettres, diplômée en sciences du langage, lauréate de la Fondation Nicolas Hulot pour ses activités pédagogiques de terrain. Elle a publié plusieurs ouvrages, dont Histoire des paysages (éd. Errance) et un roman, La Colonie (éditions L’Harmattan).

Source : Reporterre via LHK

Voir : Éoliennes, la face noire de la transition écologique. Fabien Bouglé

Des éoliennes, à quel prix? LHK

Que penser des éoliennes? Le point de vue de René Longet

Volti

25 Commentaires

  1. Continuez a vous en foutre. Vouss avez bien raison. Plus vite cela sera fini pour vous, mieux cela sera.

    • Et le pire est… en marche !!

      Regardez les PLU ou pire les PLUi !

      Tout est organisé pour vider les campagnes, pour tuer les campagnes !

      Il faut combler les trous, empiler les gens les uns sur les autres et ne plus autoriser les zones constructibles en milieu rural, car nous sommes les méchants qui consommons de l’espace !

      Des villages entiers se retrouvent en zone agricole ou naturelle et plus aucune activité n’y est autorisée !

      Aurons-nous encore le droit de respirer ?

  2. La transition énergétique n’est qu’un leurre pour engraisser quelques individus sans scrupule.
    C’est un bon prétexte à tout massacrer. Il en est de même pour le Linky, le même langage, les conséquences tout aussi désastreuses.
    Plus d’endroits où aller se réfugier. Je pensais à des zones montagneuses, pentues, mais il peut très bien s’y implanter une antenne relais, quelques éoliennes sur la crête…

    Je ne vois vraiment qu’une “solution”: réduire drastiquement notre consommation d’énergie, pour faire tomber la demande. Est-ce vraiment une solution ? je ne sais pas. Mais s’il n’y a plus assez de demande, va-t-il y avoir encore un tel développement destructeur ?

    • Oui, à cause des voitures électriques et de tout ce que les imbéciles se dépêchent d’acheter, le tout connecté ! on n’a pas le luc sorti des ronces, en plus on s’y enfonce bientôt jusqu’au cou !
      J’ai froid, et pourtant je ne mets pas en route le chauffage, j’attends encore et encore car la facture d’Avril sera salée si j’en crois les futures augmentations d’Ennedis ! des voisins chauffent à 24° minimum chez eux hiver après hiver, les économies d’énergie ? c’est pour les autres, les moins que rien qui se préoccupent de la Planète, les c*** quoi ! les sans-dents qui n’ont pas de sous aussi !

      • Oui, c’est plus une question d’argent, me concernant aussi, que de préservation de la planète. Sachant que, même avec des sous, je ne chaufferais pas à 24°. Bien que… on s’y habitue !

  3. Et en plus les éoliennes ne sont pas rentables. Elles n’enrichissent que les exploitants et les industriels, sur le dos des contribuables.

    • c est un gros résumé ,relativement inexacte ,c est un peu plus compliqué que ça ….on ne va pas rentrer dans les détails ,ça va encore me retomber sur le dos …..https://lesmoutonsenrages.fr/wp-content/plugins/wp-monalisa/icons/wpml_wacko.gif

      • Pardon mon ami,
        il est vrai que j’aurai pu parler de l’intérêt bien compris des municipalités dans cette histoire, ou de l’intérêt des paysans proprios des terrains… et d’autres choses.
        Mais vois-tu, tout ceci ne rendrait point mon jugement lapidaire inexact, pour autant.
        https://lesmoutonsenrages.fr/wp-content/plugins/wp-monalisa/icons/wpml_bye.gif

    • Oui, l’éolien c’est de l’arnaque. Il y a une très bonne vidéo sur le sujet, je ne sais plus comment elle s’appelle. Elle montre bien les conflits d’intérêts, les enseignes qui se mettent au vert soudainement alors qu’elles sont polluantes au possible, les dégâts des éoliennes sur l’environnement (des tonnes de béton dans le sol, les oiseaux qui se massacrent, les pales qui tournent sans vent…

      • avant l installation d une éolienne ,il y a une procédure qui permet aux représentants d une ville ou d une commune, à des propriétaires ou des locataires de terrains d empécher le projet ,,, comme d hab on passe direct ,ici , à la conclusion

        • A l’intar du monde agricolehttps://lesmoutonsenrages.fr/wp-content/plugins/wp-monalisa/icons/wpml_cool.gifdans quelques années, dés lors que les subventions ne sauront plus assurés par l’état, tout ses brasseurs d’air seront ferraillés.

          C’est une certitude…économique.

  4. Voila
    A partir de la j’ai arreter
    ” et il la façonne à son seul profit. Baleines, charbon, pétrole, nucléaire, éolien, .. Pas une population n’a choisi, seulement consommé l’offre industrielle.”
    Ils possedent + de 50% des richesses Mondiales,pourquoi se feraient ils chier pour le reste vus que cela est à leur portée via les Politiques corrompues à leur service.
    Le controle des populations en cours sera du niveau MONDIAL via les satélites et autres gadget ,que rechercher de + ??????

  5. La tronche de GRETA ,c’est Mona Lisa en mer,la Joconde qui a le mal de mer .
    Pauvre greluche sans amour ,bisous la belle….

    • Une jeune Greta qui a le droit de sécher le lycée, de brailler ses convictions dans la rue en appelant les jeunes à se révolter sans jamais se faire arrêter pour trouble de l’ordre public, une lycéenne à laquelle des ONG offrent de beaux voyages en bateau , devant laquelle on déroule le tapis rouge et à laquelle on ménage des entrevues avec des chefs d’état et des célébrités, tout cela est hautement suspect . Quels intérêts sert-elle ? Quand nos lycéens à nous se mettent en grève pour une bonne cause et défilent dans la rue en criant leurs convictions , ils se font enfumer par des grenades lacrymogènes très toxiques, mutiler aux flashballs, et les forces de l’ordre les terrifient en les faisant se mettre à genoux dans la cour du lycée, les mains derrière la tête, comme de futurs fusillés .

  6. Les Français se méfient du solaire promu par les contrats d’EDF qui s’alliait à des escrocs qui faisaient pour vous les démarches et vous installaient en quelques heures des panneaux hors de prix pour plusieurs dizaines de milliers d’euros avec un crédit sur vingt-cinq ans, vous laissant vous débrouiller seuls avec les fuites de votre toiture souvent abîmée par l’opération et le renouvellement à vos frais, avant la fin du remboursement du crédit, des panneaux qui perdaient de leur efficacité d’année en année . De plus, le compteur enregistrant votre production d’électricité dirigée vers EDF tombait assez vite en panne, bien qu’il fût sous garantie, personne ne venait vous le changer ( l’entreprise d’installation ayant disparu) et EDF recevait votre électricité pendant des mois sans rien vous rembourser .
    L’interdiction d’importer de Chine des panneaux bien moins chers n’a rien arrangé . Et pourtant, l’augmentation du nombre de panneaux solaires sur les toits des particuliers, des bâtiments publics et des entreprises, panneaux reliés à plusieurs grosses batteries serait moins nocive pour la santé et pour les cultures que les éoliennes . La voiture au moteur à air comprimé existe depuis longtemps, avec un compresseur italien chargé par l’énergie solaire .

    • tout à fait de ton avis pour la première partie de ton commentaire ,des panneaux solaires installés depuis dix ans dans ma rue et qui n ont jamais été branchés,des compteurs qui ne sont pas assez puissants et qui disjonctent quand il y a plein soleil …..des gens qui sont sur endettés à l age de la retraite car le rapport est loin d être à la hauteur du montant des annuités

      • – Tout dépendait du choix de l’entreprise et du matériel posait.
        …Il en va ainsi, dans tous les domaines.

        Le solaire individuel est une bonne solution, mais faut-il pas choisir des margoulins, évidemment !

  7. https://youtu.be/K7wbDr_P8NU
    Qui peut contredire cette personne? (avec un discours intelligent. )

  8. Conférence a l’université de Lausanne par Claude Bourguignon.

    https://youtu.be/WoKondfFWnE

      • ACTUELLEMENT pour faire un athlète-champion de classe mondial, il faut :
        -un beau spécimen,
        -un beau terreau,
        -un bon coach,
        -une bonne nourriture calibrée,
        -et….un bon dopage!https://lesmoutonsenrages.fr/wp-content/plugins/wp-monalisa/icons/wpml_cool.gif
        ….Gloire bien éphémère qui pour beaucoup finira par un infarctus avant 50 ans.
        Il en va de-même pour toute organisme surexploité.

        -profit éphèmère maximum immédiat par vampirisation,
        -ou profit moindre mais durable et transmissible aux enfants.
        Il faut choisir.
        …Et assumer après !https://lesmoutonsenrages.fr/wp-content/plugins/wp-monalisa/icons/wpml_whistle3.gif

      • Simple question,
        pourquoi les exploiteurs-agricoles français, friands d’intrants chimiques, se suicident-ils ?

        …Peut-être que le coup des intrants et leurs mises en œuvre(technologique, humaine, crédit, conséquences, etc…) est volontairement sous estimé …et pas si miraculeuse que cela?

        – De plus,
        face à la concurrence mondiale, est-il envisageable que la viabilité du business-plan économique de l’exploiteur-agricole français soit morte sans subvention nationale ou européenne ???

        Oups ! lire “exploitant-agricole”, au lieu “d’exploiteur-agricole”.

        – Signé: Le front de libération des paysans.

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