Biosphère: industriels et scientifiques veulent en repousser les limites… Par Liliane Held Khawam..

Après l’article La volonté de contrôler la biosphère, l’expérience de Biosphère II. CNRS, on continue sur la lancée, avec les moyens mis en œuvre pour repousser les limites de la biosphère. Deux courtes vidéos pour comprendre. Partagez ! Volti

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Par Liliane Held Khawam

La présence d’eau et la photosynthèse sont un élément et un mécanisme essentiels de la biosphère. Cette image composite rend visible en fausses couleurs (verts) les zones terrestres les plus végétalisées et les zones de concentration en plancton (Advanced Very High Resolution Radiometer instrument). Wikipédia

Le rôle de la bio industrie est central dans la volonté de contrôler l’ingénierie de la biosphère. Le Larousse définit ainsi la bio-industrie : « Ensemble des activités industrielles mettant en œuvre des procédés biotechnologiques ».

Voici 2 vidéos pour tenter de comprendre quelques enjeux du moment.

Liliane Held Khawam

Volti

5 Commentaires

  1. Ce sera un échec.

    Géoingénierie : dernier mirage avant la fin du monde
    https://www.youtube.com/watch?v=DOUTXdsWU3Y

  2. La nature sera toujours la plus forte. Il n’y a que les industriels bornés qui ne l’ont pas compris.

  3. Le giec n’est pas une organisation scientifique mais une organisation politique ainsi que son nom l’indique.
    Et dans quasiment tous les documents ils parlent de consensus et ceux qui lisent devraient regarder la définition de consensus.

    Accord et consentement du plus grand nombre, de l’opinion publique : Consensus social.
    Procédure qui consiste à dégager un accord sans procéder à un vote formel, ce qui évite de faire apparaître les objections et les abstentions.

    https://www.larousse.fr/dictionnaires/francais/consensus/18357

  4. “Le GIEC ne fait pas de recherche. Il évalue la connaissance scientifique sur la base des articles publiés et établit un rapport qui synthétise cette connaissance et les incertitudes. Il n’y a pas de « modèle du GIEC » ou de « chercheurs du GIEC ». Cependant, la communauté scientifique des climatologues se positionne par rapport aux rapports du GIEC et leurs échéances. Ainsi, une inter-comparaison des différents modèles de climat existant dans le monde est organisée et ses résultats sont utilisés pour les rapports du GIEC.”

    http://variances.eu/?p=1715

  5. Tant qu’on met “bio” dans les mots, on pense que ça va passer, ce sera “pour le bien commun”. Il faut remettre les pieds sur terre (tant qu’il y a une terre). Ce n’est en fait qu’une tentative d’aménagement pour continuer à tout massacrer pendant ce temps.
    Et on se focalise encore et toujours sur le CO2 qui est indispensable, et non sur bien d’autres choses qui, elles, sont bien plus polluantes. Sans se demander qui est dessous, bien évidemment.
    Presque je croirais que c’est pour nous éliminer… Euh… vous croyez ? https://lesmoutonsenrages.fr/wp-content/plugins/wp-monalisa/icons/wpml_whistle3.gif

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