L’image du jour…

Pour illustrer la colère et le désespoir des courageux gilets jaunes présents et,… à venir, si une réponse politique n’est pas donnée rapidement. Merci pour l’image. Partagez ! Volti

Ce qui nous attends :

Banque : les premiers distributeur de billets à reconnaissance faciale mis en service

Internet : plus de 250 000 micro-travailleurs en France payés « quelques centimes » par clic

Prêt personnel : de plus en plus de taux trompeurs

BNP Paribas : le virement instantané facturé de 1 à 5 euros

Immobilier : le pouvoir d’achat des ménages risque de baisser, selon le Crédit Agricole

Volti

3 Commentaires

  1. L’égaliser le vol et la malhonnêteté. Je me suis souvent poser cette question, pourquoi être honnête dans un monde de malhonnêtes lorsqu’on voit que beaucoup de ceux qui ont réussie l’on fait aux détriments des autres ou de la Nature et nous savons combien le profit tient rarement compte des valeurs, de la morale ou de l’ensemble de l’humanité.

    Un exemple: Il n’est plus tolérable que les autorités censées protéger les citoyens et l’intérêt général continuent à couvrir les pesticides chimiques et cela pour préserver les intérêts à court terme des multinationales de l’agrochimie.

    Ce décalage entre la raison et le profit pousse certains à aller à l’encontre du bon sens et du bien fondé à l’œuvre dans la Nature. Alors que ces mêmes autorités sont censées nous protéger, il n’en est rien, le mal continue de gangrener notre monde pour faire toujours plus de profit et cela malgré les sirènes qui nous informent d’un danger imminent. C’est de la folie pure ! Du suicide ! De l’irresponsabilité ! De l’aveuglement ! De la complicité et de l’intérêt malsain !

    Mais une chose est sûre, l’avenir sera respectueux ou il ne sera pas ! Il est temps que l’humanité fasse le bon choix, hélas les autorités qui prennent des décisions pour tous et qui protègent les intérêts dénués de consciences pourraient bien nous entrainer au bort de l’abime si nous continuons à leur laisser les rennes de notre avenir.

  2. Bonjour,

    On remarque aussi que ce sont toujours les mêmes qui se plaignent.
    Comme par hasard.

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