Macrongate : le petit roi et son mépris du droit…

Comment continuer à accorder de la confiance à un président, qui met en place un système à son profit payé par le contribuable ? Saigner les français ne lui suffit plus, son arrivisme le pousse à un comportement très peu protocolaire. Des questions que l’on pourrait se poser. Par qui ce scandale a-t-il été révélé ? Ce pourrait-il que le petit monarque ne soit plus aussi soutenu par ceux qui l’ont poussé jusqu’au poste suprême ? Que va faire la justice, qui a été jusqu’à présent, très accommodante avec les malfrats de la ripoublique ? On ne compte plus les affaires étouffées ou classées sans suite. Protégé par son immunité présidentielle, faudra t-il attendre la fin de son mandat ?  D’ici là, des fusibles vont sauter pour calmer le jeu, le protéger et faire oublier ses frasques. Merci à Rik22 pour l’image rajoutée dans l’article “classé sans suite” Partagez ! Volti

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Source Vududroit.com via Arretsurinfo.ch via Crashdebug

J’espère qu’avec cette affaire les Français comprendront que le monde bancaire et politique et la mafia on beaucoup de choses en commun…, mais en politique on ne joue pas au même niveau, quand il s’agit de mettre 65.000.000 de Français(es) en esclavage pendant plus de 40 ans, les enjeux ne sont pas les mêmes…. Je parle bien sûr de la loi Rothschild…. Ce qui est à vrai dire d’un autre niveau que l’affaire Benalla… Et qui n’est rendu possible (et depuis si longtemps….) qu’avec la complicité active de nos chers médias nationaux….L’Amourfou

La presse nous rapporte ce qu’aurait déclaré, en garde à vue, celui que beaucoup appellent désormais « le gorille à Manu ». La première chose qui frappe, c’est l’étonnant culot dont il fait preuve.

La seconde, c’est qu’il est clair qu’il a été dûment chapitré et que la stratégie de la Macronie sera de semer la confusion en espérant continuer à profiter de la complaisance dont elle a bénéficié d’une partie du haut appareil judiciaire. C’est la raison pour laquelle il est utile sinon indispensable de revenir sur un certain nombre d’aspects essentiels de la partie qui se joue aujourd’hui. D’autant plus essentiels qu’ils constitueront les enjeux du débat judiciaire. Or, avec un exécutif aujourd’hui plaqué au sol et un législatif transformé en cirque, la justice est le seul des trois pouvoirs dont on puisse espérer qu’il sera capable de rester à peu près debout.

Gare au « gorille »

Le jour du déclenchement du scandale, après avoir vu la vidéo des faits, nous avions établi la nature des infractions qui devaient être reprochées à Alexandre Benalla et le caractère inadmissible de la protection dont il avait bénéficié après ses exactions. Le feuilleton qui se déroule désormais nous apporte une révélation toutes les heures sur le statut et les avantages délirants, et manifestement indus, dont bénéficiait le « gorille ». Chacun de ces faits doit faire l’objet d’une analyse juridique qui permette d’en caractériser l’aspect pénalement répréhensible, et d’en identifier les auteurs.

Dans la mesure où les événements que nous allons étudier ont fait l’objet de décisions prises par des fonctionnaires dans le cadre de structures hiérarchiques, rappelons les principes de responsabilité qui gouvernent cette matière.

Tout d’abord, en application de l’article 28 de la loi sur le statut de la fonction publique, le fonctionnaire est tenu à un devoir d’obéissance. Assorti d’un devoir de désobéissance si l’ordre qui lui est donné est manifestement illégal. L’article 122–4 du Code pénal exonère le fonctionnaire auteur d’une infraction accomplie sur ordre à la condition qu’il n’en ait pas connu le caractère illégal. Apparemment accordés à la demande d’Emmanuel Macron, les avantages dont a bénéficié Monsieur Benalla ont fait l’objet pour chacun de décisions administratives. Tous les fonctionnaires impliqués sont donc responsables et il est indispensable qu’ils en répondent.

Viens chez moi, j’habite chez un copain

Premier exemple, la rémunération exorbitante (environ 10 000 euros par mois) perçue par l’homme de main, selon Le Parisien. S’agissant de fonds publics, il est clair qu’il ne peut y avoir d’arbitraire dans la fixation de la rémunération des collaborateurs de l’Élysée. De ce que l’on comprend aujourd’hui, le montant était directement lié, non pas à l’utilité de la mission, mais à la faveur du prince. Celle-ci ne saurait servir de support à une décision régulière. Les chiffres qui circulent dans la presse sont effectivement complètement excessifs, et peuvent encourir les foudres de l’application de l’article 432–15 Code pénal relatif au détournement de fonds publics. Le président de la République et ses collaborateurs, et notamment son chef de cabinet, sont responsables du maniement des fonds publics dont ils sont dépositaires. Les engagements de dépenses doivent être conformes à l’intérêt public et non pas le fruit de faveurs voulues et dispensées par le chef de l’État. Emmanuel Macron sera protégé par son immunité présidentielle. Ce n’est pas le cas de son directeur de cabinet qui a dû signer le « contrat de travail » et saisir le comptable public de l’engagement des dépenses correspondant à la rémunération. Il est indispensable qu’il en réponde dans le cadre d’une procédure judiciaire. Ceci n’a rien de fantaisiste, on apprend par un télescopage du calendrier, que Maryse Joyssains, maire d’Aix-en-Provence, vient d’être condamnée pour avoir promu indûment son chauffeur et fourni à ses proches des emplois de complaisance !

Deuxième exemple, le logement de fonction. Accordé, rappelons le, le 8 juillet dernier, alors même que les communicants de l’Élysée, empêtrés dans leurs mensonges, nous affirment que le « gorille à Manu » était puni. Dans la fonction publique, concernant les logements de fonction, en application du décret du 9 mai 2012, il existe deux régimes de « concession de logement ». D’une part, celle par « nécessité absolue de service » qui impose au fonctionnaire une disponibilité totale, et ne donne pas lieu à perception d’une contrepartie, c’est-à-dire d’un loyer. D’autre part, une concession avec paiement d’un loyer, pour les fonctionnaires qui sans être assujettis à la nécessité absolue sont tenus d’accomplir un service d’astreinte. Il est clair que Monsieur Benalla, au statut complètement flou, ne rentre dans aucune des catégories. Et que l’on ne nous parle pas de sécurité, celle-ci est assurée dans le cadre de la loi républicaine par le Groupe de sécurité de la présidence de la République (GSPR), composé de fonctionnaires formés. Qui a pris la décision d’attribuer ce logement ? Quelle modalité a été choisie ? Quelle est la justification de cet avantage en nature ? Monsieur Benalla est-il assujetti au versement d’un loyer en application des stipulations du décret du 9 mai 2012 ? Si cette attribution, ce qui est fort probable, est contraire à la réglementation, l’article 432–15 du Code pénal trouvera encore à s’appliquer. Même motif, même punition pour celui qui a signé sur ordre le contrat de bail.

Aux armes, etcaetera 

Parlons maintenant de la pseudo-sanction infligée au faux policier après ses exploits place de la Contrescarpe. Il apparaît d’ores et déjà que les soi-disant mise à pied et rétrogradation sans salaire n’ont jamais été appliquées. Qu’en est-il de la rémunération? Le bruit court qu’elle aurait quand même été versée, contrairement à ce qui a été dit. Et pourquoi donc ? À la demande de qui ? Encore le 432–15 ? Cela devient une habitude. Il serait bien de s’en expliquer devant un juge d’instruction.

Il y a également l’attribution au « gorille » d’un permis de port d’armes. Autorisation invraisemblable, mais manifestement sur ordre du château après un premier refus circonstancié de la préfecture de police. Tout simplement parce que les conditions juridiques n’étaient probablement pas réunies. Qu’à cela ne tienne, le prince cède à son homme qui rêve depuis longtemps d’être « enfouraillé ». Comme le démontre la lecture des «Macronleaks », il en avait formé la demande pendant la campagne présidentielle. La valeur juridique de cette nouvelle autorisation mériterait d’être regardée de près. Son grand ami Vincent Crase, le salarié du parti LREM, s’est quant à lui passé de l’autorisation légale puisqu’il parade, place de la Contrescarpe, avec un flingue bien visible sur les photos et les vidéos. Sous les yeux des policiers vrais et faux mélangés que ça n’a pas l’air de gêner. Port d’arme prohibé, et de première catégorie, excusez du peu. Là aussi, il serait intéressant de savoir pourquoi et comment des civils aussi douteux que nos duettistes peuvent se promener ainsi armés jusqu’aux dents. Cela relève des investigations d’un juge d’instruction.

Et ça continue encore et encore…

Nous avons ensuite l’hérésie d’attribuer un pass d’entrée donnant accès à tous les locaux de l’Assemblée nationale et notamment à l’hémicycle (!) à notre homme de main qui ne pouvait bien sûr y avoir droit… Il serait intéressant que François de Rugy, le président de l’Assemblée nationale, vienne s’expliquer sur ce manquement gravissime, qui serait de nature à éclairer sur le dispositif qu’Emmanuel Macron commençait à mettre en place pour privatiser à son profit les services de sécurité de l’Élysée.

On parlera aussi de la fulgurante montée en grade d’Alexandre Benalla (il était réserviste) dans la gendarmerie. Plusieurs fonctionnaires de police ont déjà été mis en garde à vue et  mis en examen. Trois d’entre eux, aux grades conséquents, ont trouvé tout à fait normal de trahir leur secret professionnel et de mettre à la disposition d’une personne visée par la justice des éléments strictement confidentiels. Encore bravo !

La liste devrait normalement s’allonger. Alors à ce stade, à tous ceux qui, par cupidité, arrivisme ou lâcheté, ont prêté la main aux dérives voulues par le chef de l’État, on rappellera l’existence d’un autre article du Code qui les concerne tous. L’article 433-1 du Code pénal, celui qui réprime tous ceux qui ont pris des mesures pour faire échec à l’exécution de la loi. Tous les faits, toutes les manœuvres, tous les ordres qui viennent d’être décrits ci-dessus en relèvent.

Mais que fait la justice ?

Depuis déjà un moment, la justice s’est laissée déshonorer par les agissements de la juridiction d’exception du Pôle financier flanquée du Parquet national financier (PNF). Outil politique acharné à fausser l’élection présidentielle, d’abord contre Nicolas Sarkozy puis contre François Fillon. Outil dirigé plus récemment contre le Rassemblement national. Il semble symétriquement avoir servi d’étouffoir dès lors que des choses très gênantes pouvaient être reprochées aux amis du Parti socialiste ou à la Macronie. Que sont devenus Kader Arif, Bruno Leroux, Faouzi Lamdaoui ? Où en sont les affaires Ferrand, Collomb, Las Vegas, les irrégularités financières grossières de la campagne électorale du candidat Macron ?

En allant au fond des choses, le parquet de Paris et les juges d’instruction du même tribunal ont l’occasion de commencer à reconstruire une crédibilité et une légitimité lourdement entamées auprès de l’opinion. Il serait vraiment opportun de la saisir. Pas sûr que l’histoire repasse les plats.

Quant au président de la République, il pourrait apparaître comme l’auteur initial, et par conséquent le responsable, de tout ce que le scandale vient de mettre au jour. Sachant que ce n’est probablement pas fini. À l’abri de son immunité, il va peut-être enfin faire un peu l’expérience du fait que la politique est d’abord et avant tout un rapport de force.

Son inconséquence l’a singulièrement isolé et il pourrait faire l’expérience de l’ingratitude des hommes, et de leur capacité à rapidement chercher des passerelles pour quitter le navire.

Source(s) : Vududroit.com via Arretsurinfo.ch

Source Crashdebug

Voir :

 

 

Volti

20 Commentaires

  1. Benalla, un ver de plus dans un fruit déjà pourri.
    Il serait temps pour les citoyens de ce pays de couper l’arbre dans son entier …

    M.G.

  2. Le pinoclown sans son masque :

  3. Ce type là (Benalla), il respire la haine, il a joué des “circonstances”, pour défouler toute la hargne qui l’habite, les expressions de son visage sur toutes les photos en attestent.

  4. Le fameux “J’y peux rien, c’est les ordres” du lâche fonctionnaire n’est qu’une excuse.

    Ce type de fonctionnaire(…nombreux!) se réfugie derrière un mensonge.
    Il est le premier et souvent le seul responsable des conséquences de l’application de son acte.
    D’autant plus que “nul n’est sensé ignorer la loi” , encore moins un fonctionnaire en charge de l’appliquer.
    Mais, la hiérarchie fait tout pour cacher ce fait…jusqu’au problème bien sur!

    Sans compter que la hiérarchie adore les ordres oraux qui ne laissent pas de trace..https://lesmoutonsenrages.fr/wp-content/plugins/wp-monalisa/icons/wpml_whistle3.gif.

  5. Rétropédalage de Alain Gibelin….. pressions en amont ? Plus on remue le gros tas de fumier, et plus ça sent mauvais. Terrain miné ?

  6. Il y a de l’abus dans ce qui est raconté. LREM a fait une demande d’achat d’armement pendant la campagne. mais je doute que la réglementation ai été transgressée pendant la campagne.

    apres tout. faites vos propres recherches. https://wikileaks.org/macron-emails/?q=benalla&dupl=1&mfrom=&mto=&title=&notitle=&date_from=&date_to=&nofrom=&noto=&count=50&sort=0#searchresult

  7. un agent des services secrets marocains? :

    https://fr.sott.net/article/32835-Revelation-Alexandre-Benalla-un-agent-des-services-secrets-marocains
    https://www.algeriepatriotique.com/2018/07/20/revelation-alexandre-benalla-agent-services-secrets-marocains/

    Nous avons mis la main sur ce document, daté du 13 octobre 2017,
    et étonnant à plus d’un titre.
    « une mission de coordination de la sécurité, avec les forces militaires
    et le groupe de sécurité de la présidence de la République (GSPR). »
    Une mention qui indique, de manière officielle, qu’Alexandre Benalla, un privé qui pourtant n’a pas le statut de policier,
    était au moins au même niveau que le GSPR dans la hiérarchie élyséenne…

    http://www.lepoint.fr/politique/pourquoi-benalla-detenait-illegalement-un-port-d-arme-23-07-2018-2238519_20.php#xtor=CS3-190

    logement de fonction après travaux de plus de 80m2?
    https://www.lejdd.fr/politique/alexandre-benalla-logement-secret-defense-la-liste-des-avantages-du-collaborateur-de-macron-sallonge-3717557

  8. Séquence lavage de cerveau pour le bon peuple.
    Pendant ce temps là le CPF se fait massacrer dans l’hémicycle et tous les amendements favorables aux salariés passent a la trappe. Le cinéma fonctionne.

    https://www.youtube.com/watch?time_continue=190&v=KMeOEa4nwx4

    • Si vous ne comprenez pas ce que cela veut dire, en clair ce n’est pas un tube de vaseline, c’est une citerne grand format.

      Au lieu d’heures de formation, c’est en euros que cela sera exxprimé. Donc au lieu d’avoir une formation qui tient la route vous aurez droit a 500 euros de formation annuel. Ce qui veut dire que vous perdrez les deux tiers de vos droits,
      donc le gouvernement va récupérer des milliards qui dorment d

      • dans les caisses du fongécif.

      • ça fait quelque mois déjà que ça avait été mis sur le tapis et personne n’avait réagit et tous les principaux médias y allaient en coeurs pour nous dire que l’ancien système était incompréhensible et que libellé en euros ça serait bien plus lisible pour tout le monde … J’avais dit à l’époque que cela serait aussi la porte ouverte à l’explosion des tarifs de formations … le double fist en marche

        mais encore une fois ce gouvernement n’a pas besoin d’écran de fumée pour détruire le droit sociale il le fait et au mieux 3 clampins vont descendre dans la rue en criant mais pas trop fort qu’ils sont pas content. Le cirque autour du bouche trou de la soubrette c’est autre chose

        • t’inquiètes pas il y en a d’autres en cours. et ce n’est pas caché. mais personne ou presque ne surveilles le journal officiel, ne regardes les séances a l’assemblée et au sénat.
          donc tout le monde y va de la boucle médiatique .
          La technique de goebbels fonctionne a merveille.

  9. Spécial dédicace du Grand Georges (Brassens) qui chante “Gare au Gorille” ► https://www.youtube.com/watch?v=faL2qm-F1jM

    Pour le petit roi qui ne pouvait que montrer son mépris du droit, car comme le disait le roi de l’argot et du sabot, le Père Peinard en 1896 : En dernier ressort, c’est une douzaine de crapules qui gouvernent la France : des ministres comme Rouvier, Bailhaut ou Dupuy, des distributeurs de chèques comme Arton ou des banquiers comme Rothschild, (Et oui, déjà) ► https://jbl1960blog.wordpress.com/2018/07/23/textes-choisis-anarchistes-du-pere-peinard-en-version-pdf-gratos-offerte-par-la-mere-peinarde/

    La City of London Inc ; Le cœur de l’Empire est devenu un État souverain en 1694, aujourd’hui, la ville-État de Londres (City) est le centre financier mondial et le kilomètre et demi carré le plus riche de la planète ► https://jbl1960blog.files.wordpress.com/2018/04/la-city-de-londres-au-cc593ur-de-lempire1.pdf

    Aussi, vous pensez s’ils vont craquer à 2 m du bol de sangria !

  10. Le ministre et le préfet a la commission d’enquete.

    Oui je sais, ce n’est pas gentil pour les anes.

  11. Alain Gibelin s’est fait engueuler par sa hiérarchie !

    Conséquence : Alain Gibelin a écrit une lettre pour dire qu’il s’était trompé en répondant aux questions de la Commission d’enquête !

    Mort de rire !

    Marine Le Pen :

    “J’ai posé deux fois la question de manière très claire. Monsieur Gibelin a répondu deux fois de manière très claire. Mais surtout Guillaume Larrivé, qui est le co-rapporteur de cette commission, à la fin, a résumé ma question, la réponse de monsieur Gibelin et les conséquences que pouvait avoir cette réponse et monsieur Gibelin n’a pas exprimé la moindre réserve. Il n’a pas dit que ce n’était pas ce qu’il avait dit, il n’a pas dit qu’il avait mal compris la question” a déclaré la présidente du Rassemblement national sur LCI sur le “rétropédalage” d’Alain Gibelin.

    Le directeur de la direction de l’ordre public et de la circulation a fait savoir ce mardi matin qu’il avait mal compris la question de la députée hier lors de son audition, et qu’il revenait sur ses propos sur la présence d’Alexandre Benalla à des réunions à l’Elysée entre le 4 et le 18 mai, période à laquelle il était censé être suspendu.

    “Il y a un rétropédalage dont le moins qu’on puisse dire c’est qu’il est étonnant parce que ceux qui sont auditionnés sont auditionnés sous serment. J’ai envie de vous dire que ce rétropédalage, il est encore plus inquiétant presque que la réponse première de monsieur Gibelin. Ce rétropédalage laisse penser qu’il y a eu une pression et qu’on continue à vouloir dissimuler, protéger monsieur Benalla.”

    https://www.lci.fr/politique/en-direct-affaire-benalla-emmanuel-macron-violences-1er-mai-aucune-autorisation-de-la-prefecture-le-1er-mai-l-elysee-maintient-sa-version-2093676.html

    • M. Benalla doit connaitre beaucoup (trop) de choses, et il me semble évident qu’en Hauts Lieux, si on l’arrose autant financièrement et à coup de promotions, c’est pour le museler, le “fidéliser”, pour acheter son silence….

      Le rétropédalage n’est pas dû à une simple engueulade de sa hiérarchie, M. Gibelin a été interrogé vers 21 heures hier soir, et ce matin, la Présidente (la blonde qui appartient à LREM…) a reçu un courrier : subitement, en sortant à 11 heures du soir, il indique qu’il n’avait pas compris les questions croisées, posées à plusieurs reprises ? Il a dit la vérité sur le moment, il était sous serment, et je n’ai aucun doute là dessus. De mon point de vue, c’est maintenant qu’il ment, et il n’est plus sous serment….. On a dû le menacer de l’éjecter de son poste, le virer, s’il mettait en cause le Palais qui donne une tout autre version.

  12. bonsoir

    toujours pas compris ?

    gouverne —-ment

  13. Les Tuches étaient déjà à l’élysée. https://lesmoutonsenrages.fr/wp-content/plugins/wp-monalisa/icons/wpml_yahoo.gifhttps://lesmoutonsenrages.fr/wp-content/plugins/wp-monalisa/icons/wpml_yahoo.gif

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