« Ton père finira brûlé comme un nugget » : des familles de policiers vivent dans la peur (Témoignage)…

Les forces de l’ordre sont le garant de notre sécurité, s’attaquer à elles en toute impunité, démontre que l’exécutif n’est pas à la hauteur de sa mission. A l’heure où les malfrats peuvent “diriger” leur business, même en étant en prison. Où on construit des issues de secours pour permettre aux policiers de s’extraire en cas d’attaque, comme Les Ulis : le commissariat attaqué à coups de mortier. Ils n’ont pas le droit de riposter en légitime défense ? L’exécutif craint par dessus tout, les émeutes quand un individu est victime d’une intervention policière, comme à Nantes la semaine passée. Nuit d’émeutes à Nantes après la mort d’un jeune tué par la police. La police n’a pas bonne réputation, mais ce sont des fonctionnaires, que tout le monde appelle quand il y a problème. Et leur condition n’est pas enviable quand leur hiérarchie ne les soutient pas, leur demande de ne pas faire de vague, et que leur famille est en danger. Allons nous laisser les racailles dans les zones de non droit dicter leurs lois ? Macron préfère s’en prendre aux pauvres, c’est moins risqué.  Nous avons en France un corps d’armée très bien formé qui pourrait se charger de faire “le ménage”. La Légion. Partagez!  Volti

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Source Aphadolie via RT

L’agression d’un couple de policiers devant leur fille de trois ans à Othis n’est pas un phénomène isolé selon Perrine Sallé, qui milite dans une association de défense des familles travaillant au sein des forces de l’ordre.

Les familles dont les membres travaillent dans les forces de l’ordre et de sécurité sortent de l’ombre. Le 9 juillet, une mobilisation a été organisée à Paris pour soutenir les proches des policiers, militaires et CRS subissant les conséquences de l’impopularité de leur profession. « La haine de l’uniforme se propage aux familles. », déplore Perrine Sallé, ex-compagne de policier et porte-parole de l’Association femmes des forces de l’ordre en colère (Affoc), qui s’est confiée à RT France.

La mobilisation du Trocadéro s’est déroulée alors qu’un couple de policiers s’est fait passer à tabac ce 5 juillet devant leur petite fille de trois ans à Othis (Seine-et-Marne), car la policière avait contrôlé les agresseurs peu de temps auparavant. « On a recensé sept enfants harcelés et tabassés car ils sont fils ou filles de CRS ou de policiers. Ils se font injurier. Ils sont obligés de mentir sur la profession des parents. Les familles vivent dans une peur perpétuelle. », détaille Perrine Sallé.

Menaces, insultes, agressivité : les forces de l’ordre et leurs familles alertent

« Les enfants entendent : « Ton père, il finira brûlé comme un nugget. » », « Tu vas devenir orphelin. » ou encore « On va l’égorger comme à Magnanville », poursuit la militante. Comment réagissent les responsables scolaires ? « Il n’y a aucune réaction de la part des professeurs et un sentiment d’impunité de la part des délinquants. », estime encore la porte-parole de l’Affoc, qui poursuit : « Des enfants doivent partir en vacances anticipées, d’autres ont été déscolarisés. Il y a eu des hospitalisations de petits, qui tombent en dépression, ou sont victimes de terreurs nocturnes. »

Les compagnes de membres des forces de l’ordre, lorsqu’elles se font repérer, peuvent aussi être la cible de l’agressivité de délinquants. « On se fait insulter dans la rue. », témoigne Perrine Sallé. Lorsqu’elle est intervenue dans des discussions sur les réseaux sociaux pour défendre les familles de policiers, elle s’est aussitôt fait menacer de mort. « Mais quand on dénonce des injures sur les pages anti-flics, anti-uniformes, qui appellent au tabassage et au meurtre des familles, il n’y a aucune censure malgré les signalements. Pourtant certaines comptent jusqu’à 56 000 membres. », s’indigne-t-elle.

Au point que certains policiers, pour éviter qu’on les identifie, font expédier leur courrier libellé « Ministère de l’Intérieur » à une adresse différente de celle de leur domicile. Cette peur est rarement exprimée dans les médias, selon la militante. « Les policiers et les militaires sont soumis au devoir de réserve et ne s’expriment pas. », développe Perrine Sallé. « Puisqu’ils ne peuvent pas s’insurger, personne ne se rend compte de ce qu’ils vivent. », déplore-t-elle. « Leur hiérarchie utilise en outre des moyens de pression contre le forces de l’ordre qui ont envie de dire que ça se passe mal. Pourtant ce n’est pas pour entacher l’institution mais pour que la situation s’améliore. », estime-t-elle également.

« Si nous-mêmes familles sommes en danger et que ceux qui garantissent la sécurité sont menacés, comment penser qu’ils vont assurer leur mission ? », interroge la porte-parole. La jeune femme a écrit quatre fois au ministère de l’Intérieur, sans obtenir de rendez-vous. « Il faut faire comprendre que cette situation est à risque pour tout le monde et nous attendons de vraies mesures. », conclut-elle.

Source Aphadolie via :

https://www.facebook.com/FdFdOeC/

https://francais.rt.com/france/52309-ton-pere-finira-brule-comme-nugget-familles-policiers-vivent-peur

Voir aussi :

 

 

 

 

Volti

29 Commentaires

  1. Finalement c’est peut-être une bonne chose ce que vivent en ce moment nos forces de l’ordre, car quand ces hommes et femmes seront au pied du mur ou au bord du précipice, c’est selon, peut-être sortiront-ils de leur « devoir de réserve » et se retourneront-ils enfin contre la véritable racaille, cette mafia institutionnelle costard/champagne qui les épuise en les envoyant casser de l’honnête citoyen tout en les humiliant en leur ordonnant de tendre l’autre joue face à la vermine qui nous pourrit l’existence …

    Faites vos choix, dans ce monde rien ne va plus … M.G.

    • Historiquement, même quant elles furent malmenés par leurs maîtres, les forces policières françaises n’ont jamais pris le parti de défendre le peuple.
      Et je parle bien d’un temps, où les hommes avaient encore des couilles et des convictions…

      • Effectivement, mais ils ne peuvent pas (privatisation oblige, contrat de 5ans “renouvelables”)… et oui.
        Ils n’avaient pas plus “de couilles ou d’ovaires”, juste des contrats viables.
        L’argent est le nerf de la guerre, si tu veux parler des armées (air, terre, marine) parle des conditions de ces gens et pas de ton interprétation et de ton endoctrinement.
        l’armée est à l’image de cette france: homme du rang (lol), sous officier (sous merdasse), officier (pleutre). ^^

        Quant à ça: “Et je parle bien d’un temps, où les hommes avaient encore des couilles et des convictions…”, tu dois imaginer que jadis les pleutres et sous-merdes n’étaient pas maitre du monde. D’où germinal, William le Waleys et le reste. J’en doute.
        Courage à vous.
        https://lesmoutonsenrages.fr/wp-content/plugins/wp-monalisa/icons/wpml_wink.gif

        *Légende*
        Homme du rang, CAP,BEP,BREVET, sans diplômes ^^

        Sous officier, Bac! C’est une variable juridictionnelle.
        Observez le recrutement de “nos armées”, pas plus de 28ans…

        Officier, Hollande et Sapin ont été officier, no comment ^^

      • Dixit:”parle des conditions de ces gens et pas de ton interprétation et de ton endoctrinement.”

        Je ne parlai pas des armées*, mais uniquement des forces rattachées au ministère de l’intérieur (police, Crs, gendarmerie).

        Et de là, je fais un simple et froid constat historique.
        …un point c’est tout.

        Certes, l’histoire est toujours dérangeante pour la romance et ceux qui en tirent profit.
        En ce qui concerne la déliquescence sociétale de l’esprit d’honneur, de sacrifice, de courage, l’évidence est pourtant certaine et bien au delà d’une simple question de contrat.

        * historiquement eux au moins, peuvent revendiquer à leur actif un putsch raté .

  2. La police c’est aussi un gang de malfrat, combien se sont fait chopper avec des caches de drogue, combien obéissent aux ordres du pouvoir pour casser des vitrines lors des manifs citoyennes, combien ont protégé des antifa pendant qu’ils passaient à tabac des gens ne pensant pas comme le pouvoir, combien ont sans état d’âme gazé au visage des personnes agées et des enfants dans leur poussette, que des faits, cherchez et vous trouverez.

  3. Toute la police n’est pas composé de ripoux et heureusement ! Elle a l’obligation d’obéir aux ordres reçus d’en haut ! Tout le problème est là !
    D’abord faire le net par le vide à ce niveau puis, quant à la “racaille” je ne suis pas violente mais quand trop c’est trop je crois que j’emploierai le karcher comme dit l’autre ! où plus exactement tout le monde en bateau et oust dehors, retour au “pays” dès le premier délit, familles comprises et s’il faut employer l’armée pour les arrêter et les embarquer cela serait fait et ils ne pourraient riposter.
    jusqu’où allons nous subir la loi de ces gens-là, une partie de la population est déjà à genoux, va-t-elle servir d’essuie-pieds ?

  4. Ma période militante ne m’a guère donné une image sympathique de la police. Cela dit cette institution est aux ordres du régime quel qu’il soit. On peut regretter que ceux qui détiennent la force légale (armée, police) ne basculent pas pour foutre en l’air ce régime pourri mais il est piquant de voir que beaucoup de ceux qui le souhaiteraient sont d’acharnés défenseurs de la légalité républicaine lorsque les putsch ne vont pas dans le sens de leurs idées. Les forces de l’ordre en France, qu’elles soient vêtues de kaki ou de bleu marine, sont constituées de petits fonctionnaires dociles surtout soucieux de leur carrière et peu enclins à se rebeller contre un état qui tient les cordons de la bourse. Bien sûr leur frustration est immense face aux racailles gauchistes et allogènes fortes de leur impunité. C’est pourquoi ils passent volontiers leurs nerfs sur les rares manifestants désignés par leurs maitres sur lesquels ils peuvent en toute légalité se défouler. Imagine t-on des patriotes instaurer le chaos dans une ville à la suite de la mort d’un de leurs camarades ? inutile d’imaginer les consignes données aux pandores pour mettre fin au désordre. Lorsqu’un “jeune”, doux euphémisme illustrant la transformation du sens des mots ayant pour objectif de modifier la pensée employé même sur ce site sans être encadré de guillemets, (c’est dire l’ampleur des dégats) force en voiture un barrage en bousculant un policier et que ceux-ci tirent et le tuent, instantanément le feu aux poudres est allumé. Que son état de malfrat avéré recherché par la justice soit dévoilé cela ne calme même pas, au contraire, la rage des meutes incendiaires et les jérémiades des dames patronnesses protectrice de la racaille. Avec un peu de couilles et surtout une réelle volonté politique de tels débordements dont les gens modestes sont les premiers à faire les frais seraient étouffés dans l’oeuf.
    L’individu lambda est pris en tenaille entre les racailles et les forces de l’ordre qui constituent les deux mâchoires d’un même piège manipulé par l’état profond. Les racailles servent à instaurer une insécurité qui ne peut être combattue que par l’action (volontairement rendue peu efficace) des pseudo forces de l’ordre de l’état légitimant ainsi l’existence de ce dernier aux yeux du troupeau apeuré malgré toutes les turpitudes dont il se rend coupable.

    • Clap ! clap ! clap ! https://lesmoutonsenrages.fr/wp-content/plugins/wp-monalisa/icons/wpml_good.gif

    • Avec un peu de couilles et surtout une réelle volonté politique de tels débordements dont les gens modestes sont les premiers à faire les frais seraient étouffés dans l’œuf

      A trop attendre une hypothétique volonté politique les gens modestes finiront dos au mur, les coui**es entre les dents. Si les forces armées ne libèrent pas les peuples de l’oppression des pouvoirs, qui le pourrait ? Quelqu’un a une meilleure idée ?

      M.G.

      • Je pense que nous tournons en rond et que toute velléité de révolte authentique me parait improbable. Ceux qui devraient légitimement se rebeller sont anesthésiés par les médias. Tant que le Système sera en mesure d’assurer un minimum vital, même de mauvaise qualité, il n’y a rien à espérer. Ce minimum peut être assuré encore très longtemps et lorsque ce ne sera plus le cas, je crains qu’il ne sera trop tard.

      • Reçu de Christine G et ça fait plaisir à lire…
        «Le politiquement correct se radicalise au rythme où la société diversitaire se décompose»
        Dans une charge contre le multiculturalisme et le politiquement correct, le sociologue québécois puise dans l’actualité récente des exemples éloquents : suppression du mot «race» de la Constitution, passages piétons aux couleurs de la gay pride à Paris… Un entretien sans concession.
        http://www.lefigaro.fr/vox/societe/2018/06/29/31003-20180629ARTFIG00371-bock-cote-le-politiquement-correct-se-radicalise-au-rythme-o-la-societe-diversitaire-se-decompose.php

        • Comme c’est bien énoncé !

          le politiquement correct repose aujourd’hui sur une culture de la surveillance généralisée: tout ce qui entre en contradiction avec l’orthodoxie diversitaire est dénoncé et monté en scandale par des groupuscules à la psychologie milicienne qui se comportent comme des professionnels de l’indignation

          Bien sûr, il faut lire tout l’entretien, c’est une véritable perle dans le foutoir médiatique …

          M.G.

    • Comme l’état a était laxiste pendant des années, les cités sont devenues des poudrières et aucun politique ne veut être celui qui allume la mèche d’explosion.
      Depuis des années on parles des zones de non droits ou la république perd sa place petit à petit, au profit d’une autre idéologie qui s’adapte à la racaille qui détient la zone, au grand dam de ceux qui aimeraient vivre en paix.
      Si petit à petit certains hommes politiques parlent d’une hypothétique partition de l’état de droit ou de la France, ce n’est pas un hasard. Mais ils restent lâches et veulent. D’ailleurs que pourraient ils réellement faire ? Ils devraient alors agir comme ceux qu’ils critiquent et assaillent dans certains pays …

      • il n’a pas été laxiste mais à créer ces zones ce créer… dans beaucoup de ces citées les flics ont eu pour ordre de rester à l’extérieur de ces territoires (ordres préfectoraux)

    • Rossel, il y a moins de “dames patronnesses” qui soutiennent la racaille que de mâles haut placés ou non qui ont le bras plus long. Fais des comparaisons si tu consultes un peu sérieusement les informations et tu verras la vérité !

      • @ Graine de Piaf
        Visiblement votre acharnement à traquer le machisme nuit à votre appréciation des nuances. Lorsque j’évoque les “dames patronnesses” j’entends aussi bien M. Besancenot que Mme Taubira et si je compare la Castafiore à certains politiciens il est aussi bien question de M. Cohn-Bendit que de Mme Le Pen. Un peu de second degré que diable !

    • …Et n’oublions pas.
      Rien n’arrive par hasard en politique.

    • ROSSEL , très bonne analyse . (((clap))) (((clap)) ((clap))

  5. Mais on s’en FOOT de tout ça ! C’est le mundial… Le Mundial vous dis-je. Le reste on s’en foot.
    Heu yÔrait pas un rapport de cause à (non)effet ?
    Heu je vais réfléchir un peu là-dessus en regardant le TDF à la TV puis peaufiner ma réflexion en prenant le temps de bien “poser les choses” allongé sur le sable de la plage. C’est une bonne période pour faire le point.
    Après c’est la Rentrée et j’Ôrai pas le temps de faire la révolution. Trop pris par tous ces trucs de rentrée à faire dans l’urgence et à payer les taxes et impôts de la rentrée.
    Vivement l’Euro… heu de football bien sûr, pas l’Ôtre.. Heu yÔrait pas un rapport là aussi ? Attendez, je vais…

  6. Dans cet article .. on peut effectivement voir qu’il y a quelques agressions .. bien que nous soyons agressés perpétuellement et ce 24 H sur 24H par les gens qui font respecter la loi corrompue de quelques hommes ..
    ce sont ces gens qui disent vivre dans la peur .. et bien allons voir cette peur .. car nous c’est 24H/24H qu’on vit avec la peur de se faire arrêter , tabasser , crever un oeil , couper un bras ou un pied .. la peur de ne pas payer ses factures et de voir leurs sales têtes , la peur de conduire 3 jours après avoir fumer un pétard , peur de perdre son permis , peur de perdre son travail , peur de perdre tout en fait .. peur de les croiser et de se prendre une balle perdue ou de se faire défigurer … peur d’en avoir dans son entourage .. comment avoir bonne conscience en étant un flic ? ? sachant que l’on obéit à son bourreau ..

    • + 1000 …!!!
      Le respect se gagne il ne s’ordonne pas ,donc s’ils veulent être respecter pour leurs actes par les citoyens,qu’ils commencent par ne plus les traquer,matraquer,gazer pour le bon plaisir de leurs maitres mafieux.

      • @ Chrys
        A vous lire, en se croirait sous Pinochet. A trop vouloir démontrer, on tombe dans le grotesque et on se décrédibilise. Pour mener le troupeau, le Système utilise des moyens bien plus sophistiqués et efficaces que la force brute même si occasionnellement il use de la mandoline à ours. Quand on choisit de s’affranchir des lois en vigueur en cherchant à s’imposer physiquement, même pour d’excellentes raisons, il est dans l’ordre naturel des choses que l’état en place cherche à imposer sa loi. Ne pas vouloir accepter cette éventualité traduit un manque de virilité. De même il serait sain et légitime que les cocus permanents se rebellent. Malheureusement tout est programmé pour leur ôter toute idée de révolte. Lire “Réflexions sur la violence” de Georges Sorel.

    • comment avoir bonne conscience en étant un flic ?
      flic en france c’est un peut comme être collabo en temps de guerre … une vocation

      tous près à jouer les cowboy sur le bords de la route mais confronter à un vrai danger ça vient pigner.
      quand leur mission ne sera plus la répression de citoyens mais leur protection on pourra s’attarder sur un éventuel respect en attendant ils ont signé ils ont été en école et savent donc avant d’entrée en fonction quelles seront leurs mission alors qu’ils se démerdent. Et pour les revendications ; ils sont armés donc qu’ils s’en prennent directement à leurs donneurs d’ordres

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