Faire sauter le verrou de la prison étatique et fiscale !…

Faire sauter le verrou, ou cisailler le cadenas qui libèrera des chaînes, oui mais, qui va oser s’attaquer à la citadelle ?

Inutile d’aller chercher des paradis fiscaux à des milliers de km, nous en avons un en plein centre de Paris, dans les locaux même du ministère de l’économie et des finances de Bercy : « l’Empire du mal » qui échappe à tout contrôle (ici).

Parfaitement informé de la situation, M Bruno Le Maire, à la tête de ce ministère, préfère quant à lui taper  communiquer sur les défaillances d’un groupe industriel privé (Lactalis) et personne ou presque n’en n’a parlé ; la couverture dans la presse a été nulle, totalement nulle : les Bercy Papers n’ont pas eu de suite … c’est l’omerta du système !

Seulement, cela, ce n’est pas la démocratie !

C’est juste un système de fonctionnement oligarchique du pouvoir aux mains d’une caste qui vit très confortablement, à vos frais, dans l’entre soi, se reconnaît seulement entre ses membres, se fixe ses propres règles dérogatoires et ne rend aucun compte ni ne subit les aléas des élections car, quelque soit leur résultat (présidentielles ou législatives), ils sont toujours là et continuent à profiter du système mis en place en leur faveur !

Évidemment, le citoyen, dans ce contexte, n’est qu’un instrument au service ou à la disposition de l’administration dans le cadre d’une organisation pyramidale autoritaire.

Non seulement la Vème République a organisé un déséquilibre manifeste entre un exécutif tout puissant et un Parlement réduit, sauf au niveau du nombre de ses membres, à un rôle de presque figuration mais le travail législatif des députés est devenu insignifiant et LREM n’est plus que Le Rassemblement des Eunuques Muets.

 Les lois sont préparées à Bercy, puis fignolées dans les cabinets ministériels par des personnes inconnues des français, qui n’ont jamais été élues et ne rendent compte de leur mission à personne et qui n’ont, de ce fait, aucune légitimité !

Et savez-vous que, l’été dernier, lorsque la loi de moralisation de la vie publique a été « discutée », l’opposition a demandé que les hauts fonctionnaires soient aussi concernés par cette loi. L’Assemblée Nationale, dominée par LREM, a rejeté cette proposition.

Sans commentaire !

Comme le dit si bien Eric Verhaeghe sur le site « décider & entreprendre » (ici) : le législateur est devenu la meilleure marionnette de l’administration !

Et les médias, à la fois complices et complaisants, reprenant les bulletins des services de presse de l’Elysée et de Matignon, sont en train d’enfumer la population en essayant de lui faire croire que Macron allait « sauver » Mme Merkel, qu’il avait repris en main l’Europe et en était devenu le chef implicite … les allemands n’ayant plus qu’à obéir !?!

Et on n’en finit pas de vous annoncer :

– que ça va mieux au niveau économique et que c’est grâce à Macron qui réforme à tout va alors qu’il … ne réforme rien,

– qu’il va en Chine et y vend 184 Airbus ; cette affirmation n’étant rien moins qu’une  farce médiatique (Ce sont des contrats complexes négociés sur des années par des spécialistes de l’ingénierie financière et Macron, tout frais qu’il est, n’y est absolument pour rien) !

– qu’il invite 140 chefs d’entreprises étrangères au château de Versailles dans une opération « choose France » pour les inciter à investir en France … comme si la démarche d’une implantation passait par un entretien avec un président. Il s’agit là d’une vision complètement délirante du monde économique car les chefs d’entreprises n’obéissent pas à ce genre de motivations pour investir et surtout pas au fait qu’ils ont été invités à déguster des petits fours dans le palais du Roi Soleil ! Ce qui entre en ligne de compte c’est la fiscalité, la réglementation sociale, la complexité des règles administratives et les moyens de communication et pour les trois premières nous sommes très mal placés et pas du tout concurrentiels.

– qu’il remet ça avec « France is back » dans une opération de com’ non dénuée de narcissisme, devant l’aréopage des participants de Davos avec pour « solution à la mondialisation » toujours plus de réglementations !

Car, Macron est sur tous les fronts et la grandeur de la France, si chère au cœur des français, est de retour !

Loin de céder à la Macronmania, il faut être conscient que nous avons affaire à une vaste opération de propagande dans laquelle Macron et ses acolytes sont les grands prêtres d’une messe médiatique à laquelle s’ajoute un culte évident de la personnalité (Macron le conquérant !) ayant pour but, avec le soutien d’une presse subventionnée, aux ordres et ayant idéologiquement pris parti dès avant les élections de persuader la population de leur action !

Il s’agit avant tout d’un mode de gouvernance par slogans afin de rassurer la population, qui doit croire que tout va bien, afin qu’elle se tienne tranquille bien aidé en cela par le fait que les français sont, en général, persuadés que l’administration est bienveillante et les protège ; ce que l’on peut traduire par la notion bien française de culture de l’Etat et qui au niveau de l’administration se traduit par le culte de l’Etat.

Or, Macron  n’a rien fait, strictement rien, il continue juste, en bon fonctionnaire à empiler les réglementations, sans remettre en cause le modèle étatiste français et si cela va un peu mieux c’est seulement parce que nous profitons faiblement de la croissance enregistrée aux USA et en Europe !

La réalité est que les français sont dans une véritable  prison fiscale avec un système pervers et sournois complètement verrouillé avec :

– des impôts invisibles tels la CSG et l’IRPP à la source, la TVA payée par un tiers ; le calcul étant que le débiteur de l’impôt n’est pas celui qui le paie ! La CSG est l’archétype de l’impôt invisible car personne ou presque ne connaît avec précision le montant de la CSG qu’il paie !!!!

– des taxes à la consommation sur les biens et services dont on ne peut pas se passer telles les taxes cachées dans les cotisations des mutuelles obligatoires d’assurance malade, l’alourdissement de la fiscalité sur le fuel, les carburants, le gaz, la discrète CSPE sur les factures d’électricité pour subventionner les énergies dites renouvelables car, sauf à ne pas avoir de voiture, ne pas avoir d’électricité et ne pas se chauffer on ne peut pas y échapper !

– la Loi Sapin II qui permet de bloquer vos avoirs bancaires et vos contrats d’assurance vie.

On s’aperçoit que tout le système est calculé pour que vous n’ayiez pas d’autre choix que celui de vous soumettre et de payer et surtout de ne pas pratiquer l’évitement ou la résistance fiscale.

Tout cela n’est pas fait par hasard ! Simplement on ne vous en donne pas les véritables raisons !

L’administration a mis en place un système complexe et clientéliste par le biais de prélèvements sociaux et fiscaux et de redistribution ; lequel vise deux buts :

  • d’une part assurer le contrôle de la population,
  • d’autre part assurer des flux financiers constants pour permettre à ce système de continuer à fonctionner,

car l’Empire du mal, et 5.6 millions de fonctionnaires représentant une charge de 286 mds € (13% du PIB), ne peut laisser aucune place à l’improvisation et, faute de vouloir réformer le système, il faut bien trouver un moyen de le faire durer, coûte que coûte !

Car, et c’est là le vice du système, avec des dépenses publiques et une dette en augmentation constante, il n’y a qu’une seule issue : une fiscalité en augmentation constante ; simplement l’astuce, pour éviter de la rendre insupportable, est de la rendre aussi peu visible que possible !

En effet, malgré ce qui a été annoncé, aucune réforme structurelle, aucune révision du périmètre de l’Etat, aucune réduction des dépenses, aucune réduction des effectifs de la fonction publique ne sont prévus ; et les prélèvements fiscaux qu’on vous avait promis de baisser continuent de monter … (c’est l’inversion hollandienne !).

Le déficit prévisionnel (sauf dérapage … probable) pour 2018 sera de 80 mds € et il est probable que nous allons continuer « sur ce rythme » et que nous accumulerons, sur les 5 ans du mandat de Macron, une dette supplémentaire de 400 mds € pour atteindre 2.600 mds de dettes et 120% du PIB.

Et si les taux remontent à simplement 4 ou 5% nous aurons alors une explosion de la dette et, Macron, désigné « homme de l’année » en 2017, pourrait bien devenir « l’homme du siècle » pour le record de la dette et de la spoliation !

La crise de 2008 était une crise du surendettement, les politiciens se sont contentés d’augmenter le ratissage fiscal et pour le supplément d’emprunter sur les marchés !

La France est le seul pays de l’UE à n’avoir entrepris aucune réforme structurelle et forcément, à un moment ou un autre, il faudra bien en payer les conséquences !

Le compteur de la dette tourne et il tourne de plus en plus vite (pendant que la dette allemande diminue). Cela veut dire que votre épargne et votre patrimoine localisés en France sont en danger car, évidemment, en cette occurrence, on oublie de vous dire que vous êtes associés à cette dette. La France est comme une banque dans laquelle vous détenez un compte débiteur arrêté, pour l’instant, à -33.500 € (2.200 mds/65 millions) !

Il faudra alors, pour utiliser le langage technocratique de l’Empire du mal, mobiliser l’épargne des français ; c’est à dire vous prendre vos économies ; à seule fin de sauver le système créé par cette nomenklatura et dont elle profite largement !

L’Etat et son administration, cette oligarchie technocratique, ne sont pas là pour vous protéger, ils sont là pour vous contrôler, ainsi que votre patrimoine. Au nom de la lutte contre le terrorisme, toute la population a été fichée à des fins essentiellement fiscales et désormais, sous des prétextes prétendument honorables, le pouvoir veut aussi contrôler le dernier média libre (Internet) afin de vous protéger de la désinformation (Fake news) car le pouvoir n’admet pas de concurrence : lui seul sait ce qui est bon pour le peuple et a le droit de lui mentir !

Vous êtes juste en état de servitude inconsciente, en liberté surveillée avec un système fondé sur le principe de « l’autorité de l’Etat » qui permet, au moyen d’un raisonnement biaisé, de faire n’importe quoi !

Nous dérivons de l’Etat de droit vers un système hégémonique qui veut se perpétuer et qui est persuadé que plus il produit de réglementations meilleur est le monde !

Hollande avait promis une simplification des relations avec l’administration. Effectivement il y a simplification : ils décident et vous obéissez ; on ne peut pas faire plus simple !

Le dernier avatar est ce 80 km/h sur route décidé sans aucune justification et malgré l’opposition de la population et si le pouvoir a, in fine, reculé sur l’aéroport de NDDL c’est parce qu’il a peur d’une opposition frontale et violente (voir les bonnets rouges) et a fait le calcul qu’il n’y avait que des coups à prendre dans cette affaire ! Le fond du dossier n’est pas en cause …

Si nous voulons garder un espace de liberté, il faudra donc liquider cette hégémonie technocratique ; en sachant qu’on ne peut pas attendre de Macron, un fonctionnaire tenant de l’étatisme dirigiste, qu’il s’attaque au système qui l’a créé !

Il est nécessaire de repenser le rôle de l’État et de son administration de telle manière qu’il soit ramené à ce qu’il doit être et non pas à ce qu’il est actuellement : un monstre qui contrôle tout et tout le monde et toujours d’avantage !

La seule vérité intangible est que seule la liberté individuelle assure la promotion sociale car l’Etat peut tout mais il peut aussi et surtout faire n’importe quoi ! Si vous vous trompez c’est vous qui paierez pour vos erreurs mais si l’Etat se trompe c’est vous qui paierez pour ses erreurs et il n’y a jamais de responsable !

Il faut sortir de cette culture de l’Etat tout puissant, de l’hyper réglementation, du culte de la dépense publique et des impôts, et de cette ENA qui créé cette « élite » de technocrates se prenant pour les maîtres du monde et enfin de ces politiciens, tous pétris des mêmes principes puisque en général eux-mêmes issus de cette ENA, et dont la différence se situe simplement dans le degré d’autorité qu’ils veulent nous appliquer …

Il faut aussi rééquilibrer d’urgence les pouvoirs constitutionnels ; notamment en supprimant le poste de premier ministre et en rendant le président politiquement responsable devant l’assemblée.

Si nous persistons dans la voie actuelle, nous deviendrons les esclaves d’une oligarchie technocratique, d’une nomenklatura qui aura définitivement pris le pouvoir et confisqué la démocratie ; ce sera alors la mise en coupe réglée d’un pays entier au profit d’une caste !

Vous ne pourrez pas dire après qu’on ne vous a pas avertis !

Bien cordialement à tous !

Dominique Philos pour Témoignages-Fiscal

Vous pouvez lire sur le sujet : Les Intouchables d’État – Bienvenue en Macronie », par Vincent Jauvert, Robert Laffont, 264 p., 19 euros.

Voir:

Histoire ronflante d’un capital dormant

LES CHAROGNARDS DU DARKFISC

Volti

8 Commentaires

  1. C’est évident!https://lesmoutonsenrages.fr/wp-content/plugins/wp-monalisa/icons/wpml_good.gif

  2. Bonjour à tous,
    On ne peut être que d’accord avec cet article. La question est : que faire, comment faire? Nous sommes tous dans l’attentisme. Je pense qu’un premier pas serait à faire par les journalistes des grands médias, mais ceux-ci sont muselés. Notre éducation gnan-gnan qui nous soumet à la peur du gendarme ne nous autorise pas plus non plus à faire le coup de poing, apparemment seule méthode qui marche (cf les bonnets rouges)

  3. Nous sommes déjà en technocratie, il faut même oser dire en dictocratie, mais ce fait échappe à notre perception car dès l’enfance on nous a collé de puissants filtres devant les yeux. Le filtre éducatif, un outil de contention intellectuelle destiné à imprimer au plus profond de nos entrailles le contrat qui nous liera au système pour le reste de notre vie, bornant définitivement notre libre arbitre et toute réflexion subversive ; le filtre médiatique, le plus diabolique, celui qui interpelle notre subconscient, nous rappelant sans cesse les lignes principales du contrat –  »obéis, travaille, copule et surtout consomme pour appartenir au meilleur des monde » – saturant nos sens pour colmater la moindre brèche de lucidité qui pourrait laisser filtrer une lueur de savoir dans nos esprits ; vient ensuite le filtre répressif, un élément extrêmement dissuasif, tissé de textes iniques et liberticides auxquels nous-nous plions par peur du gendarme et du qu’en-dira-t-on social. Des règles conçues pour maintenir la masse dans les clous du système et castrer les esprits en phase d’éveil, désignés comme dangereux et nuisible pour la société.

    Dans ce simulacre de démocratie Macron n’est qu’un imposteur de plus, le bras armé d’un petit monde occulte, tout comme les précédents monarques qui ont glissé leur séant dans le fauteuil au pouvoirs magiques, tout comme la prêtresse du lucre qui prendra la relève pour maintenir la « populace » française sous contrôle. Le contrôle fait partie du jeu. Un jeu d’ego, de puissance et de domination auquel se livre une petite caste d’individus, jeu dans lequel nous ne sommes que rouages d’une mécanique qui nous échappe, corvéables, sacrifiables et remplaçables. Ce jeu n’a de règles que celles qui s’appliquent à ceux qui ne les écrivent ni ne les comprennent : nous ! Plus le jeu avance plus les règles se durcissent et plus nos entraves mentales et physiques se resserrent.

    Aujourd’hui l’échappatoire est mince pour espérer ne pas assister en spectateur désincarné à la fin de notre civilisation, mais elle existe. Il suffit tout simplement de décider d’ôter ces filtres qui nous conditionnent pour quitter la partie, et faire chuter la citadelle …

    M.G.

  4. Bonsoir à tous.
    “et si le pouvoir a, in fine, reculé sur l’aéroport de NDDL c’est parce qu’il a peur d’une opposition frontale et violente (voir les bonnets rouges) et a fait le calcul qu’il n’y avait que des coups à prendre dans cette affaire ! ”
    C’est ce que je tente de faire comprendre autour de moi. Dans un système dictatorial qui ne se cache même plus il n’y a aucune illusion à se faire sur les pétitions et la ré-écriture de notre constitution , deux procédés qu’on nous ressert régulièrement . Idem en ce qui con-cerne les élections .
    Nous sommes un peu dans un numéro de cirque de dompteur de fauves : un kéké de 50kg tout mouillé tient en respect des fauves de cinq fois son poids avec un simple fouet et un string panthère . Cherchez l’erreur .
    Là où on nous conduit, il n’y aura plus de droit à la propriété , à la vie privée, au libre choix et à tout ce qui touche nos dernières libertés . L’accepter ou le refuser est un choix personnel . Mais tout sera fait pour nous forcer à rester dans le rang , par la tromperie, l’illusion, la menace….
    Plus le temps passe et plus les portes se ferment autour de nous, comme pour les fauves qui se retrouvent prisonniers d’une cage au milieu d’une arène avec toujours le minable petit kéké et son string ridicule . Il suffirait juste qu’ils prennent conscience que d’un coup de mâchoire ils peuvent l’expédier ad- patres . Mais visiblement, coincés entre bfm et hanouna, la prise de conscience n’est pas à l’ordre du jour.
    On ne peut pas réveiller les gens contre leur volonté, alors il reste la solution ultime « Camerone/ Bazeilles » ou « Fort Alamo » pour ceux qui préfèrent une version exotique .
    C’est mon choix et c’est pour ça que samedi je serai à la manif nationaliste à Ajaccio. Parce que ce gouvernement de pourritures n’écoute que ceux qui gueulent plus fort que lui , les soumis ….il les écrase . Peu importe où cela nous conduira et les difficultés que nous allons rencontrer , rien n’est pire que la soumission . Alors que ceux qui veulent me voler ma terre, m’imposer une religion , m’obliger à penser « correcte » , m’écraser de lois iniques …..viennent .

  5. “dictature” n’est pas un mot trop fort pour qualifier l’hégémonie mondiale de la finance sur nos vies et, plus que jamais, son usage dans nos propos(et dans leurs actes) est totalement justifié.

    Alors qu’il se vante d’être le seul système économique qui favorise la démocratie sur Terre (postulat à la base mensonger, puisque de nombreuses dictatures ont été installées puis soutenues par des pays «démocratiques» dont, en tête, les USA…), le capitalisme financiarisé, par ses agissements à l’encontre des puissances publiques qui se sont massivement endettées afin de le sauver de ses propres abus, nous prouve aujourd’hui qu’il n’en est rien.

    Ce qui distingue les démocraties des dictatures, c’est la liberté politique et la séparation des pouvoirs, jumelées à l’existence d’un rituel électoral qui permette aux peuples d’exercer, de temps à autre, leur «souveraineté». Comme l’exprimait un slogan de Mai 68, la dictature c’est “Ferme ta gueule” et la démocratie, c’est “Cause toujours”…

    il est désormais criant que nos soi-disant démocraties sont placées sous l’autoritarisme des «marchés», pilotés par une nébuleuse de rapaces que personne n’a élus tandis que nos dirigeants, «élus démocratiquement», leur obéissent au doigt et à l’œil et, pour ce faire, se mettent à nous dire ouvertement “Ta gueule et cause toujours”.

    pour l’instant,les mougeons s’accommodent très bien:

    > Le mensonge et la crédulité s’accouplent et
    engendrent l’opinion.”
    Paul Valéry

    faites du crédit,acheter nos produits et on vous dira ,merci,
    de ne rien d’avoir compris

  6. tous mouvements politiques,n’est présent que pour diviser et non pas pour rassembler et chacun de cela veulent nous imposer un modèle pour et sur nos vies,qu’ils ne connaissent pas ..

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