Agriculture. Il a sauvé ses courgettes d’un virus grâce à la musique….

C’est le très sérieux Ouest-France qui nous donne cette information, dénichée par notre lecteur 64Pax.

Un agriculteur des Bouches-du-Rhône a réussi à sauver ses cultures attaquées par un virus grâce à la diffusion d’une musique ciblée, toutes les nuits. La société Genodics, qui propose de soigner des plantes avec des protéines de musique, est déjà venue en aide à plus de 130 paysans.

Producteur dans les Bouches-du-Rhône, Gilles Josuan a bien cru la dernière heure de son exploitation venue quand le virus de la mosaïque s’est abattu sur ses pieds de courgettes. Mais il est parvenu à sauver ses cucurbitacées d’une façon atypique : il leur a diffusé de la musique tous les soirs, raconte Le Figaro.

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Des cultures décimées par un virus incurable

Le paysan provençal pratique la monoculture de courgettes : 40 ha sous serre et 50 en plein champs. Il y a une dizaine d’années, il s’aperçoit que ses cultures sont contaminées par le virus de la mosaïque. Cette maladie, transmise par les pucerons, provoque d’importants dégâts et aucun traitement n’existe pour lutter contre ce fléau. La seule solution préconisée par l’agriculture conventionnelle est l’arrachage.

Mais Gilles Josuan ne peut s’y résigner. Il commence à chercher sur internet pour tenter de trouver une solution alternative. « Je suis tombé sur le site de l’entreprise Genodics qui proposait de soigner les plantes avec les protéines de musique ! Je n’avais rien à perdre, j’ai voulu essayer », confie-t-il. J’ai vu la différence […] Après quelques ajustements de départ, nous sommes parvenus à sauver mes plants. »

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Une mélodie ciblée

La société Genodics, à l’origine de la méthode, précise qu’il faut utiliser une mélodie différente pour chaque pathologie. Le principe consiste à utiliser les vibrations de la musique pour lutter contre les maladies de certaines plantes (champignons, virus, bactéries…) afin de limiter l’usage des pesticides.

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L’Inra intéressé

La méthode, issue des théories du physicien mélomane Joël Sternheimer, semble fonctionner. Sur l’exploitation de Gilles Josuan, le virus est toujours là mais aujourd’hui, inhibé par la musique, il n’est plus nocif pour les légumes qui peuvent à nouveau être vendus. Le Provençal a appliqué la procédure à la lettre en diffusant, toutes les nuits, de 5 à 7 minutes d’une musique ciblée. Il récolte désormais entre 600 et 700 tonnes de légumes par an.

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Lire l’article complet

Source Ouest-France

Volti

10 Commentaires

  1. Graine de piaf
    lundi 13 novembre 2017 à 9 h 39 min

    http://www.lefigaro.fr/conso/2017/11/13/20010-20171113ARTFIG00015-un-paysan-sauve-ses-cultures-d-un-virus-devastateur-8230-grace-a-la-musique.php

    dommage que l’on ait oublié la musicothérapie pour les humains, pas tout à fait oubliée, mais peu reconnue n’étant pas assez rentable (suivez mon regard !) et pourtant… elle soigne mieux que les médocs allopathiques… et sans contre-indications et sans effets secondaires !

  2. L’article écrit : “qui propose de soigner des plantes avec des >>> protéines <<< de musique" Protéines ? Non ouest France à visiblement mal compris. Voici sur le site officiel pour l'explication : http://genodics.com/la-genodique-comment-ca-marche

    Ont peut y lire, toujours sur le site officiel, que : ” La diffusion de protéodies aux cultures de courgettes permet de réduire l’impact des virus de la mosaïque…”

    La vidéo d’un producteur de courgette :
    http://www.dailymotion.com/video/x4go81e

  3. CANON DE PACHELBEL
    Beaucoup connaissent cette mélodie, écrite par Pachelbel.
    Il a été découvert scientifiquement ceci :
    Cette musique relaxante a la particularité d’avoir huit notes correspondant exactement aux fréquences d’activité des huit acides aminés primordiaux chez l’homme. On sait aujourd’hui que chaque acide aminé possède sa propre fréquence qui se fixe en oscillation dans la cellule.
    Ces huit notes essentielles font partie de notre chaîne polypeptidique (chaîne de 10 à 100 acides aminés reliés) Son écoute pénètre notre corps et va stimuler dans la protéine d’activation de la GTPase. Cette activation permet aux circuits enzymatiques de réguler le métabolisme de la biosynthèse, toutes les réactions chimique de notre corps, gestion du chaud et du froid, digestion, rythme cardiaque, etc.
    Elle est extraordinaire dans sa composition où Pachelbel a voulu s’assurer qu’elle fasse du bien quelque soit le moment où on l’écoute, en lui attribuant de nombreux couplets sur des rythmes différents. Les basses ayant une fréquence de résonance choisie par Pachelbel , elles viennent réconforter le thème initial au niveau du rapport entre les fréquences. La protéine nourrie par cette musique produit un puissant anti-stress pour l’homme.

    • Avec un peu de retard, merci pour votre message. Il y a quelques semaines je regardais le film “Sils Maria” d’Olivier Assayas, Le morceau du générique de fin m’avait bluffé, et depuis je l’écoutais chaque soir avant de me coucher (à partir du film, car bien qu’ayant épluché le générique je n’arrivais pas à trouver ce morceau et pensais qu’il était de Haendel). Bref, en lisant votre commentaire j’ai voulu aller écouter ce fameux Canon de Pachelbel et c’est comme ça que je l’ai trouvé. Si vous avez d’autres liens intéressants sur la musique “revitalisante”… Merci encore https://lesmoutonsenrages.fr/wp-content/plugins/wp-monalisa/icons/wpml_bye.gif

  4. Très intéressant Passetec, merci.

  5. Bravo à lui. très belle expérience !
    On découvre l’importance des fréquences que l’on accorde aux fréquences des végétaux, animaux et bipèdes. Espérons que les labos en tous genres ne vont pas tomber sur le dos de ces chercheurs de vie !

  6. les chasseurs eux n’ ont que 2 notes:
    PAN PAN

  7. “Le paysan provençal pratique la monoculture de courgettes”
    Tant mieux pour lui si il a pu sauver ses courgettes.
    Mais si il avait fait la rotation des cultures et pratiqué plus de diversité ses légumes n’auraient peut être pas été attaqués par un virus car plus résistant.
    En général quand la courgette tombe malade ou que les courgettes pourrissent avant maturité, il faut polliniser les fleurs à la main, quand les insectes font défaut. C’est tout le problème de la monoculture et l’agriculture intensive.

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