Agriculture industrielle : produire à mort …

Pour finaliser la réflexion sur l’agriculture industrielle, un article d’Aphadolie ..

Synopsis

Depuis des millénaires, c’est elle qui nous nourrit. Elle a même longtemps rythmé les vies d’une grande partie de nos aïeux.

Et voilà que depuis une soixantaine d’années, l’agriculture prend un nouveau visage : celui d’une machine industrielle de toujours plus tournée vers l’efficacité immédiate, la production de masse et les rendements sur le court terme.

Au passage, elle s’est délestée d’une partie pourtant essentielle de son activité : la préservation de la terre.

Saurons-nous réinventer une agriculture pour les siècles à venir ?

Avec François Léger, enseignant-chercheur à Agro Paris Tech.

Source Aphadolie

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Volti

6 Commentaires

  1. Produire à mort, et produire la mort ! l’image fait froid dans le dos, et c’est pourtant la triste réalité.
    Après ça il faudrait qu’on plaigne les agriculteurs ? Ils ne comprennent pas ce qu’ils font ? Là, c’est moi qui ne comprend pas. Ils sont pourtant à même de comprendre que leurs cochonneries vont dans la plante, et qu’on mange la plante, non ?
    Pas plus de cervelle que celle des huîtres ! Et encore, les huîtres passent leur temps à filtrer nos saletés !

  2. On nous a toujours raconté que les agriculteurs protègent la terre, (ecomme les chasseurs protègent la faune ha ha…).

    Ici en Ariège, ce sont les “néo-ruraux” qui ont commencé à protéger la terre, à démarrer l’agriculture bio, les systèmes d’échange local, de monnaie locale. Les paysans du coin, ils jettent encore leurs vieilles machines à laver dans le fossé, le tas de fumier au-dessus du ruisseau avec le jus qui s’écoule dedans, les sacs d’engrais ou d’aliments chimiques. Ils se chamaillent pour un bout de terrain, ils faut qu’ils possèdent tout, même si ça reste en friches. Pour que des jeunes s’installent, il faut en vouloir.

    • Oui, c’est bien vrai, et c’est valable partout;
      Ces paysans du coin fournissent aussi l’essentiel des bataillons de chasseurs car sur leurs terres et celles des autres ils ont tous les droits.
      Des grocs arrièrés et fiers de l’être.
      *grocs: gros-cons, de la famille de l’autre.

      • pou info , vous descendez certainement d’une famille paysanne ! vu le niveau ,vous ne distinguez pas les paysans actuels qui ont un niveaux d’étude je pense bien supérieur au votre. C’est tellement tendance de penser comme vous : les paysans sont pollueurs, ils prennent les subventions de l’Europe ,etc…
        Pour la question de la chasse , vous serez enchanté quand vous croiserez un sanglier avec votre voiture et que vous laisserez un billet de 5000€ pour la réparer!

  3. En réalité cela serait si simple, et tous nous pourrions manger sain sans surproduction, ogm, etc.
    Les paysans ils les ont arnaquer à un tel point qu´ils ne peuvent pratiquement plus faire demi tour. Bref, pour la pluspart des paysans. Faut quand-même dire qu´au début l´industrie des pesticides etc.. , ont venduent leurs poisons aux paysans leur disant que ce n´est pas dangeureux. Puis on suivit les ogm´s. Et pour avouer, nous non plus nous ne savions grang chose sur tout ça, seul avec le temp cela s´est propager que les pesticides, ogm etc. c´est de la merde.

    Personellement, ce genre d´article me rappelle toujour une phrase qu´ils ont dite sur le control de la population lors d´une conférence en 1969 et que Lawrence Dunegan a enregistrer.
    Ils ont dis: nnous allons faire pousser notre propre nourriture et nous allons jeter nos déchets sur le reste du monde pour le polluer !

    À lire dans ce pdf traduit par ? de l´anglais.
    La version original en anglais existe aussi sur internet. Même en audio.

    http://www.nouvelordremondial.cc/doc/Le_Nouvel_Ordre_des_Barbares.pdf

    Heureusement ce monde ne peut durer comme il est gérer. Le début sera dur dur, mais tout sera de nouveau comme il y a cent ans. Du moins je l´èspère.

  4. L’agriculture est une branche industrielle du système capitaliste. L’unique but est de produire des marchandises pour faire des profits et ce à n’importe quel prix, même en empoisonnant à petit feu les consommateurs. Et ce sans remord. Le retour à la terre des bobos ne règle pas le problème. Il ne fait que le perpétuer à plus petite échelle, dans le cadre du système capitaliste.

    Si l’on regarde au niveau mondial, l’agriculture ou plutôt l’agro-industrie est contôlée par quelques trust, monopoles reliés au capital financier: Nestlé, Danone, Unilever, etc. Au nom du plus haut profit possible, on nous dicte ce que l’on doit manger, tant pis si c’est du poison en autant que ça nous rapporte!

    Le 100ème anniversaire de la Révolution d’Octobre est dans quelques jours. Il faut apprendre de l’Histoire.

    Il faut redevenir révolutionnaires.

    Travailleurs français réveillez-vous!

    Travailleurs français, l’avenir vous appartient!

    Vive la révolution socialiste!

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