Le billet d’Hubert – Allons mes amis, ayons du courage…

Il y a des billets de blog qui interpellent, celui là n’échappe pas à la règle. Les bêlants ont besoins de coups de pieds au cul, pour leur remettre les idées en place et, leur faire prendre conscience des priorités. Avant de vouloir le changement, c’est soi-même qu’il faut changer. Partagez si vous êtes d’accord..

Aujourd’hui, dans son dernier billet, notre ami Hubert nous parle de courage. C’est rare ne trouvez-vous pas, dans la société actuelle, que nous prenions le temps de parler du courage. Nous pourrions aussi parler de la grandeur, de sacrifice ou d’absolu.

Ce qui fait la différence, et c’était valable hier, cela l’est aujourd’hui et le restera demain, c’est le courage, notre capacité à affronter nos peurs et à aller consciemment au-delà et parfois même jusqu’au sacrifice.

Ce qui nous définit le mieux n’est certainement pas nos possessions, mais notre courage, notre tempérament. Voilà notre valeur. Savoir aussi, souvent même, se vaincre soi-même. À chacune et chacun ses montagnes intérieures à gravir. Péniblement. Difficilement. Mais le bonheur se trouve au bout de ce chemin.

Ce qui est bien avec le courage, c’est qu’il ne connaît ni origine sociale, ni origine ethnique, ni diplôme.

C’est d’ailleurs pour cela que l’on dit que si les nations sont vendues par les riches, elles sont sauvées par les gueux. Des gueux peut-être, mais courageux, et cela fait toute la différence, il en sera de même pour les prochaines étapes douloureuses que notre pays aura à affronter et saura, j’en suis persuadé, traverser.

N’ayons pas peur !

Charles SANNAT

Je terminais mon billet du 24 juin 2017, en citant : « L’écrivain et économiste Jacques ATTALI, qui nous explique comment « les politiques » n’ont plus de pouvoir et que celui-ci est entre les mains des «marchés». Va-t-il avoir raison ? Nous avons encore la faculté d’en décider, individuellement d’abord, puis collectivement. Ne ratons pas cette occasion. Ouvrons les yeux et agissons. » Oui, nous pouvons déjà agir individuellement. Mais pour ce faire, il faut… Du courage, comme le chante si bien La Grande Sophie…. Beaucoup de courage. Qu’il faut être « courageux » pour résister à toutes les formes que revêt le prôôôôgrès. Par exemple :

  • Le « courage » de ne pas se livrer « pieds et poings liés » à toutes les « z’applis » de GOOGLE qui sont pourtant tellement « indispensables ». Bien sûr, c’est impôôôôrtant de montrer à ses collègues de boulot, grâce à Google Earth, l’endroit où vous avez passé vos dernières vacances d’hiver.
  • Le « courage » de ne pas succomber à la tentation d’acquérir, à prix d’or, le dernier smartphone de la marque à la pomme. Mais si, vous savez bien, celle qui accumule une trésorerie record (250 millions de dollars) en « cachant » à l’appétit du fisc 99,69 % de ses profits.
  • Le « courage » de ne pas être dans la compétition du « j’ai le plus d’amis » sur FACEBOOK où il est tellement « tentant » de livrer des éléments personnels sans penser un seul instant qu’ils SERONT exploités de façon marchande par ces chers propriétaires des « réseaux sociaux » qui n’ont souvent de sociaux que l’appellation.
  • Le « courage » de ne pas acheter « le livre dont tout le monde parle » sur AMAZON alors qu’il vous est accessible chez un libraire… Si si, il en existe encore, et ils sont généralement très sympathiques. Des libraires qui vous « enrichissent » de leurs si précieux conseils en vous ouvrant à des lectures « inhabituelles », contribuant ainsi à vous amener à des idées nouvelles.

Tiens, comme c’est amusant, revoilà nos GAFA (Google, Apple, Facebook, Amazon). Selon une analyse de STATISTA, les GAFA ont généré 77,8 milliards de dollars de bénéfices. C’est 50 % de plus qu’en 2012. Augmentation des bénéfices de 50 % en 5 ans… Ça c’est de la croissance !!

Bien qu’en anglais ce clip d’APPLE nous montre, à la « sauce américaine », ce qui survient lorsqu’un employé d’un grand centre de données informatiques (un Data Center) déconnecte LE câble qu’il ne fallait pas. Imaginez-vous vivre dans un monde SANS applis ? Dans ce clip, APPLE nous montre à quel point notre société est TO-TA-LE-MENT soumise à la technologie Internet, mais aussi à quel point le dysfonctionnement ou, pire, l’arrêt total de celle-ci est « apocalyptique ». Quand je vous dis qu’il faut du « courage » pour vivre sans ces indispensables applications !!

Pour aller plus loin sur « le cas APPLE » et alimenter votre réflexion dans un autre domaine… Me prendrais-je pour un libraire ? Je vous propose cet intéressant développement de Master T, un habituel contributeur du site « Le blog A Lupus ». En effet, il « décortique » la dimension EXO, mais aussi ESO-TERIQUE de « cette innocente » pub d’APPLE.

Dans ma rubrique journalière « À garder en mémoire » du 12 janvier 2017, je vous ai alertés sur la décision du nouveau patron d’AXA de faire « ami, ami » avec les GAFA. C’est qu’il en faut du courage à Thomas BUBERL, le successeur de Henri de CASTRIES à la direction générale d’AXA, pour admettre que la survie de l’assurance française passe par les « bonnes alliances » et non par la lutte stérile avec ses concurrents assureurs. Vous comprenez bien, à travers cet exemple, que l’enjeu des assureurs est « de faire du volume »… Avec des produits basiques « grand public ». C’est un élément de plus qui conforte mon opinion sur le « produit préféré des Français ». J’en profite opportunément, matérialiste que je suis (je l’assume totalement, car dans la vie, il n’y a pas de repas gratuit), pour vous rappeler que j’ai écrit à votre intention un guide de 68 pages qui vous dévoile des informations essentielles pour vous permettre de répondre à cette question d’actualité : “Faut-il conserver son assurance vie ?”

Il faut aussi une bonne dose de « courage » pour ne pas se satisfaire de l’information « grand-guignolesque » de nos célèbres « merdias », en prenant le temps nécessaire pour lire des médias alternatifs. Bien sûr, on trouve aussi « n’importe quoi » sur Internet, mais en élargissant la pluralité de nos sources d’informations, nous acquérons un plus grand sens critique et plus d’objectivité. Mon ambition, à travers les différents billets publiés sur ce site, est de vous apporter une part « d’autres visions ».

Que de courage aussi pour « résister » aux arguments irrrrréfutables de cet « ingénieur en défiscalisation » qui va essayer de vous caser son produit miracle « réducteur d’impôts » et ainsi encaisser sa commission (12 % ce n’est pas mal, non ?).

Quel courage surtout pour oser contredire « votre banquier » quand celui-ci veut à tout prix vous persuader que seule la souscription de SON assurance de prêt lui permettra de faire avancer votre dossier plus rapidement.

Pour ce qui est de ces deux derniers exemples, et de tous les autres sujets se rapportant à votre patrimoine, pour être en mesure de vous passer de tous « ces conseillers qui vous veulent du bien », tout en ayant la satisfaction de comprendre de quoi il s’agit, je persiste à penser qu’il faut le courage de se dire « ce sont MES affaires et je fais en sorte d’acquérir les connaissances minimales pour avoir mon autonomie dans ce domaine particulier ».

Une autre forme de courage est le fait de manifester un mécontentement ou une réprobation, « à visage découvert ». J’en veux pour preuve l’édito de jeudi dernier de mon ami Charles. Il tire la conclusion, par l’exemple, qu’une pétition ne sert à rien, contrairement au courage de réellement « se mobiliser » par le fait d’écrire personnellement à qui de droit pour manifester son avis. Voici l’histoire en bref : Ségolène ROYAL est nommée ambassadrice de France pour les pôles arctique et antarctique…. Nord et Sud, pour ceux qui ont quitté les bancs de l’école depuis longtemps ! Même ceux qui sont contents de la voir partir loin, très loin… 80 000 € par an , ça fait cher le glaçon !! Et « notre insolent de service » de demander à ses lecteurs d’écrire directement au Président de la République pour lui suggérer, très poliment bien sûr, une véritable « glaciation » de cette rémunération, comment dire…royale ? Le courage des lecteurs a payé. Le chef de cabinet du président de la République leur a répondu, par écrit, que la mission d’ambassadrice de Ségolène « ne serait pas rémunérée »… Royal, non ?

Que dire du véritable courage, dont je vous ai fait par dans mon billet journalier « À garder en mémoire » du 12 juillet dernier, où je titrais « 500 Berbères défient le ramadan dans les rues en Algérie ». En « terre d’Islam », oser braver la religion d’État en s’opposant ouvertement à la pratique du ramadan, un des piliers sacrés de cette religion, est plus que courageux. Surtout lorsque l’on est Berbère.

Mieux encore, toujours en Algérie, le courage ABSOLU de près de 3 000 femmes d‘Annaba (anciennement appelée Bône, du temps de la présence française) pour dénoncer la campagne anti-bikini dont elles avaient été victimes sur les réseaux sociaux, pendant le mois du ramadan. L’information donnée par Le Provincial, journal local de Bône, est ÉNORME…comme le dit Fabrice LUCHINI. Rendez-vous compte, un groupe de plus de 2 800 jeunes féministes a décidé de réunir le plus de femmes possible pour se baigner sur les plages de la ville… En bikini !!

Tous autant que nous sommes, moi y compris, ne manquons pas une occasion de faire preuve de courage pour faire « bouger les choses ». Nous le pouvons. J’ai eu un immense plaisir d’apprendre récemment que le devenu célèbre « Yes we can » de Barak OBAMA, n’est qu’une « reprise » du cri de ralliement lancé en 1972 par César CHAVEZ, un syndicaliste latino dans le cadre de sa lutte pour défendre le droit de grève des ouvriers agricoles en Arizona. « Si se puede ». Cela sonne beaucoup mieux à l’oreille et au cœur de l’Andalou d’adoption que je suis devenu.

Gardons le plus souvent possible à l’esprit, ce magnifique message que nous a laissé Mohandas Karamchand Gandhi : « Soit le changement que tu veux voir dans le monde. »

Chers lecteurs, je vous aime et vous salue.

Source Insolentiae

Volti

21 Commentaires

  1. Du courage ? il en faut dans presque tous les actes de la vie, un exemple que j’ai mis tout à l’heure sur

    https://lesmoutonsenrages.fr/2017/07/24/vos-infos-news-et-liens-et-autres-du-24-juillet-2017/#comments

    J’ai toujours dit, et écrit ici même, que pour changer les choses il faut commencer par se changer soi-même ! mais c’est trop demander n’est-ce pas ? ce sont toujours aux autres que l’on demande de faire un effort et de changer ! https://lesmoutonsenrages.fr/wp-content/plugins/wp-monalisa/icons/wpml_scratch.gif, n’est-il pourtant pas dit “aide-toi et le ciel t’aidera” ?
    Qui accepte de changer son mode de vie ? qui accepte de ne plus acheter à tort et à travers ? qui délaisse les grandes surfaces pour le petit commerçant – quand il en reste encore près de chez soi – ? qui change sa façon de s’alimenter pour plus sain, du coup moins cher ? si, si, un corps nutri et non seulement nourri, réclame moins de nourriture et si l’effort est fait de consommer, voire supprimer la viande, quelle économie ! qui, avec un peu de volonté, supprime le tabac de sa consommation quotidienne et ainsi améliore grandement sa santé ? qui ?… qui ?… qui… ???
    je crois que je dois rêver tout haut ! la volonté de changement a dû disparaître avec les éternelles bonnes résolutions du premier janvier, on n’en prend même plus maintenant car elles ne sont jamais tenues ! et puis, on le sait bien, ce sont toujours les autres les fautifs, ceux qui ne changent pas ! voyez “l’oeil et la poutre”, c’est toujours d’actualité !
    “yes, we can !” avec un peu de volonté…
    quand je bute sur quelque chose en moi que j’hésite à changer, je me dis “yes I can !!” et cela me donne du courage.

  2. Plus que le courage, ce qui fait tristement défaut aux gens c’est une capacité d’analyse et d’auto-critique. Ne pas succomber à la bêtise ambiante et au suivisme ne relève pas vraiment du courage, mais plutôt du bon sens. Le courage est nécessaire, par exemple, pour affronter la disparition d’un être cher …

    M.G.

  3. Jean Dujardin wins the Oscar for Best Actor for The Artist at the 84th Academy Awards. Natalie Portman presents the award.
    https://www.youtube.com/watch?v=f1-hDJMVA7M

    Merci Hubert…

  4. Cet article ne parle pas de courage mais de “faire bouger les choses”.
    Il s’en dégage un drôle de sentiment d’une personne qui cherche à glorifier son action face à un manque de reconnaissance.
    Nous sommes très nombreux à avoir du courage mais chacun cherchera à atteindre ses propres objectifs et non ceux des autres.

    • @ Musashi = Très juste, d’autant que comme le dit Volti en intro, c’est bien plus le courage de nous changer nous-mêmes qui entrainera le changement.
      Par ailleurs, résister aux zappels du progrès comme le liste Sannat, pour beaucoup d’entre nous c’est pas très difficile quand même.
      Encore peu nombreux, certes, mais ça vient, ça bouge, même.

  5. Dans notre société de poules mouillées, le courage n’est pas légions ! Pourtant du courage il en faut pour se dissocier de la masse de moutons conformistes qui ne se posent pas de questions existentielles et qui se calque sur le moule rassurant d’une vie dénaturée.

    Même vacances prises au même moment, au même endroit.
    Même maisons et voitures payés à crédits.
    Métros, boulots dodos, enfants, mariages, télé et avec tout ça, plus de temps pour se lancer de vrais défis ou de trouver le courageux de devenir soi.

    Evidement c’est plus rassurant de ressembler à monsieur et madame tout le monde, pourtant “on” ne représente rien ni personne, tout au plus, c’est un ensemble de croyances, de conditionnements et d’instincts grégaires qui nous donne l’illusion d’être normal. Cependant, la normalité n’existe pas, demandez à n’importe quel psychologue honnête, il vous le dira !

    Pour moi le vrai courage c’est oser sortir des sentiers battus, c’est oser se lancer dans l’inconnu et se lancer des défis, c’est dire la vérité quand tout le monde est dans le mensonge, c’est rester vrai et authentique face à l’adversité, c’est ne pas craindre les échecs ou de ne pas être aimé pour rester soi !

    Mais avant tout, le courage, c’est laisser s’exprimer la lumière en nous, celle qui vit au plus profond de notre âme et qui attend notre bon vouloir pour apporter ses bienfaits à cette humanité qui ne sait plus qui elle est.

  6. @ Musashi, pour faire bouger les choses il faut d’abord de la volonté, puis du courage, en commençant par soi-même.

    • Un profil psychologique adapté suffit à faire bouger les choses, pas besoin de courage dans ce cas.
      Nous avons (presque) tous du courage pour faire bouger les choses qui nous concernent et donc notre volonté dépend de nos intérêts.
      “soi-même” ne peut changer que ce qu’il connaît, ce qu’il sait voir, ce qu’il sait comprendre, alors chacun change en son temps et avec ses propres capacités et toute la volonté du monde n’empêchera pas les erreurs ce qui est aussi en soi une forme de changement mais qui sera jugée négative par l’observateur idéaliste.

  7. Le courage consiste à vaincre sa peur et à agir.
    En situation d’urgence, il convient d’avoir les bons gestes, la bonne parole, la bonne attitude, tout en sachant que si des actes de violence ont lieu, nos propres actes de défense seront eux aussi répréhensibles (drôle de société où ceux qui sont sensés gérer notre sécurité vont juger notre capacité d’auto-défense).
    Mais le courage consiste aussi à exprimer et à vivre ses propres sentiments, à accepter ses émotions comme moteur de se vie, à propager de la joie et de la vie. Ce n’est pas si facile pour tous. D’autant que comme disait Beckett “il est difficile de crier tout à fait aussi fort dans l’accord que dans le désaccord”.

  8. pour avoir du courage, il faut commencer par avoir un minimum de muscles opérationnels!!
    Mais comme les 3/4 passent, du canapé au lit et du lit à la voiture, et de la voiture à leur chaise de bureau, etc…etc…. et bien les muscles sont atrophiés!
    Alors on a la flemme de faire à manger et on bouffe des surgelés, des snacks, des sandwich…
    Alors, le corps s’encrasse et s’est encore pire…. et on fini trop flemmard pour changer quoi que ce soit dans notre vie!!!
    Et même si on le voulait, ne serait-ce que l’effort que devrait produire notre corps nous en dissuade…
    Alors, changer de vie, n’en parlons pas!

  9. Charles Sannat confond courage avec prise de conscience de la sincérité de l’authenticité de l’honnêteté, du sens critique.
    Et c’est celui de rester en conformité entre ses actes et ses paroles.

    Ou est le courage de ne pas fonctionner avec des usines à gaz du type google ?.

    L’homme moderne est un hyper matérialiste et c’est ce qui le perdra, sans cela, il n’est rien !

    Car aujourd’hui ce qui le satisfait, demain ne le satisfera plus, les désirs de vouloir posséder toujours plus ne sont jamais assouvis, c’est une chaîne sans fin.

    Mais en réalité de quoi ai-je réellement besoin?

    L’homme moderne est en réalité un possédé, il est possédé par ses biens matériels.
    ————————

    L’homme qui, abandonnant tous ses désirs,va et vient, libre d’attachement, ne dit plus: « C’est à moi », ni « Je »; celui-là accède à la paix.

    C’est par l’attachement à l’acte que les ignorants agissent. Le sage doit agir tout pareillement,mais sans attachement,ne visant que l’intégrité de l’univers.

    Celui dont toutes les entreprises sont affranchies du désir et d’attentes intéressées, c’est lui que les gens avisés nomment un sage, lui dont l’agir est brûlé par le feu de la connaissance.

    Abandonnant tout attachement au fruit de l’acte,ne demandant et n’attendant rien, le Sage a beau agir, il n’est pas lié.

    Satisfait de ce qu’il reçoit par hasard, ayant surmonté les couples des contraires, exempt d’égoïsme, toujours le même dans le succès comme dans l’insuccès, il a beau agir, il n’est pas lié.

    La Bhagavad Gîta
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    A vrai dire, ces suggestions ne viennent pas seulement du mental, mais aussi du monde qui nous entoure.
    En fait, elle le font à jets continus.

    Notre mental est sans cesse influencé par les événements extérieurs.
    Nous lisons un livre et il suscite un flot d’idées qui influence notre conduite .
    Converser avec quelqu’un, c’est se soumettre à des suggestions.

    Tout arrive au mental sous forme de suggestion : la façon dont les gens vous regardent,les gestes de leurs mains, leurs intonations et bien d’autres incitations plus subtiles.

    La manière la plus simple de se débarrasser de tout ce qui encombre et secoue le mental est d’utiliser le pouvoir de l’auto-suggestion afin de contrecarrer les influences négatives.

    S Satyananda

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