Ça commence ? Deux entreprises en grève..

Ce sont deux grosses entreprises, les chantiers navals de St Nazaire, où les ouvriers demandent une hausse de salaire. Vu le prix d’un navire et ce qu’il rapporte… L’usine GM & S dans la creuse, mise en redressement judiciaire une nouvelle fois. L’équipementier automobile, dépend des commandes de PSA..

Saint-Nazaire: Malgré un carnet de commandes plein, les chantiers navals STX bientôt à l’arrêt?

La grève d’une partie des salariés pourrait entraîner le blocage de la chaîne de production…

Décidément, il y a toujours quelque chose qui ne va pas sur les chantiers navals STX de Saint-Nazaire. Alors que le carnet de commandes déborde, la tension entre la direction et les salariés reste forte.

Pas sur la même longueur d’onde

Après cinq semaines de mouvements sociaux (grèves, blocages, débrayages… etc.), la réunion de négociations de ce lundi n’a rien donné. « La direction nous répond à côté ! Leurs propositions ne correspondent pas du tout à ce que les salariés attendent », explique Sébastien Benoît, délégué CGT.

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Creuse: La Région veut que l’usine GM&S, occupée par des salariés en colère, redémarre au plus vite

L’institution régionale appelle les constructeurs à prendre leurs responsabilités pour la survie du site de l’équipementier automobile…

« Il faut que l’entreprise redémarre », a martelé le président socialiste de la région Nouvelle-Aquitaine Alain Rousset, ce lundi, en amont de la réunion de crise sur l’avenir du site de l’équipementier GM & S installé à la Souterraine, dans la Creuse. Le conseil régional a voté une nouvelle garantie pour un prêt auprès de la banque Thémis, portant à 1,116 million d’euros l’effort de la Région, qui veut donner le temps au site industriel de trouver un repreneur.

Le 2 décembre 2016, l’entreprise, qui emploie environ 280 employés, a été placée une nouvelle fois en redressement judiciaire. En cause les constructeurs PSA et Renault, les principaux clients du sous-traitant, qui auraient progressivement diminué leurs carnets de commandes. Le tribunal de commerce de Poitiers pourrait placer l’usine en liquidation judiciaire le 23 mai, si la situation n’a pas évolué favorablement.

« Si la colère ne justifie pas tout, il faut la comprendre »

Désespérés, les salariés occupent leur usine depuis le 11 mai et ont détruit une partie du matériel industriel. Ils ont même annoncé avoir « piégé » le site. « Si la colère ne justifie pas tout, il faut la comprendre et nous la comprenons », a commenté Alain Rousset, ajoutant On voit que les salariés ne sont en rien responsables de la situation : la qualité des pièces, la productivité et le début de diversification de l’activité du site ne sont pas en cause. »

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Source 20Minutes

Volti

Un Commentaire

  1. Ouais ben ça tombe bien puisque Macron voulait baisser les salaires des Français et si ces s****s de salariés continuent d’être trop gourment et d’en faire qu’à leur tête, l’entreprise délocalisera au Maroc pour embaucher des autochtones à moindre coût. https://lesmoutonsenrages.fr/wp-content/plugins/wp-monalisa/icons/wpml_cool.gif

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