Alerte rappel produit! Miettes généreuses de thon à l’huile d’olive – Le Savoureux

Regardez dans vos stocks..

Il s’agit du produit suivant :
Miettes généreuses de thon à l’huile d’olive

  • Marque : Le Savoureux
  • Numéros de lots  : 07/2021 et 09/2021
  • Code-barres : 3 263 670 343 410
  • Numéro d’identification vétérinaire : FR 29.046.500 CE
  • EAN  : 3175681037854
  • Dates de durabilité minimum (DDM) :  07/2021 et 09/2021
  • Motif du rappel : présence d’histamine

Que faire si vous avez acheté ce produit ?
Vérifiez vos placards et si vous y trouvez des boîtes de miettes généreuses de thon à l’huile, cherchez les numéros de lot et comparez les avec ceux du lot incriminé (donné plus haut).

Ne pas consommez pas ce produit au risque de déclencher une allergie aiguë : rougeurs et gonflement du visage, mal de tête, sensation de chaleur et de malaise, troubles digestifs… Si vous avez consommer ce produit et en cas d’apparition de ces symptômes, rendez vous aux urgences pour l’administration d’un antihistaminique : la guérison est ensuite très rapide.

Pour le rappel, il est demande aux clients concernés de rapporter le ou les produits en magasin, pour un remboursement. En cas de besoin, le service consommateur de la société Chancerelle est joignable au 0 230 140 200 ou via contact@chancerelle.com.

Auteur Séverine Bascot, pour ConsoGlobe

Volti

7 Commentaires

  1. Personne ne devrait consommer de thon. C’est un des poissons les plus riches en métaux lourds!!! Vive les sardines qui étant au début de la chaîne alimentaire sont très pauvres en métaux.

  2. Qu’a-t-on trouvé dans ces boîtes ?

    Tiens, à propos de sardines: je les fais habituellement crues, marinées au citron. La dernière fois, j’étais un peu pressée, aussi je les ai laissées mariner une demi-heure seulement. Quelle ne fut pas ma surprise en le dégustant, de voir un tout petit ver en sortir ?
    Bon, d’accord, c’est un peu de protéines en plus, mais quand même !!!

    • Attention aux dangereux vers parasites des poissons qui ne sont détruits que par la cuisson à chaud ou par la congélation (je conseille 48h). Donc pour les poissons marinés ou crus, il est utile de passer par une congélation préalable.

  3. Pas toujours Clegiru, car le citron “cuit” les aliments qui marinent dans son jus. Je mange des sardines et des anchois crus, principalement, ainsi que parfois d’autres filets de poissons, depuis très très longtemps. Simplement il faut les laisser mariner plusieurs heures, ce qu’à fait Biquette était imprudent.

    Tu as raison Laurence, car tous les gros poissons carnassiers sont chargés en métaux lourds, non seulement le thon mais aussi le saumon même d’élevage -j’allais écrire surtout d’élevage car en plus des métaux leur nourriture chargée bien souvent en antibiotiques et autres produits aussi charmants sont vraiment toxiques – il serait “recommandé” de ne pas en consommer plus d’une ou deux fois par semaine. Ils sont quand même nécessaires car contiennent beaucoup d’Omega 3, et même si certaines huiles en contiennent aussi on en mange moins..
    Outre les sardines, il y a aussi les maquereaux, les anchois, les truites, qui en contiennent pas mal d’où leur intérêt nutritionnel, avec en plus l’intérêt financier car ces poissons sont beaucoup moins chers..

    • Désolé Graine de Piaf, mais l’anisakiase s’attrape facilement avec des poissons cuits à froid au citron. Elle affecte les consommateurs de poisson à la tahitienne ( j’ai vécu dans le Pacifique) et de ceviche (preparation similaire) en Amérique du Sud.
      Après, c’est une question de chance si tu n’en consomme pas une ou plusieurs fois toutes les semaines.

      • J’en mange ainsi depuis des années et très souvent l’été surtout, l’hiver étant moins propice aux plats froids. Disons alors que je suis une chanceuse ainsi qu’une bonne partie de ma famille et des amis.

  4. Tous les poissons sont maintenant truffés aux radionucléides, merci Fukushima. Les espèces pélagiques du Pacifique ont à présent contaminé tout ce qui vit dans nos océans.
    Se méfier particulièrement des produits et conserves à base de poisson, pizzas/Paëlla/etc.. pour lesquels les centrales d’achats des industriels agroalimentaires et des supermarchés ont mis à profit les stocks à bas coût récupérés sur les marchés asiatiques.

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