Le cinéma anti-salafiste du gouvernement continue…

Haaaaaa qu’ils sont forts nos politiques lorsqu’ils s’agit de jouer avec les apparences! Mais oui nous nous occupons de votre sécurité, vous les sans-dents, pouvez continuer à nous faire confiance! La preuve? on continue à fermer les mosquées salafistes qui prêchent des discours de haine.Mais le média Sputniknews pose une question totalement justifiée pour le coup: Combien de mosquées faut-il fermer en France selon le gouvernement ? : “Quatre mosquées radicales fermées hier en région parisienne. Elles s’ajoutent à la vingtaine fermées depuis les attentats du 13 novembre et pour le gouvernement, «il y en aura d’autres». Pourtant, le Conseil Français du Culte Musulman estime que la fermeture des mosquées n’est pas une mesure efficace”.

648x415_beaumon-veron-doit-accueillir-premier-centre-prevention-radicalisation-franceMais ils peuvent en fermer 200 de ces mosquées, tant que ce sont les symptômes qui seront traités et non les causes, rien ne sera réglé! Tant que la vérité ne sera pas expliquée aux français sur l’Islam et ses différentes lectures, tant que les frères musulmans seront considérés comme étant les bienvenus par nos politiciens, ou que l’Islam de France sera financé par un pays adepte de l’islam radical… Mais toutes ces informations ont été expliquées et détaillées dans ce sujet que chacun devrait avoir lu au moins une fois.

Et il y a une autre mesure de financée avec notre argent, puisque c’est quand-même nous qui payons tout avec nos impôts, le centre de déradicalisation grand-luxe installé au domaine de Pontourny à Beaumont-en-Véron. Sur le site Boulevard Voltaire, nous avons une explication précise de ce qu’est exactement ce petit joyaux de la France:

C’est, en effet, au domaine de Pontourny que cette estimable institution doit s’installer. Dans un château bâti au XVIIIe siècle appartenant à l’Assistance publique, jusque-là occupé par un centre de formation professionnelle pour jeunes filles en difficulté.

Un domaine appartenant autrefois à la famille Gréban de Pontourny, que son dernier représentant, Alphonse Marie, décédé en 1896, a légué à Jean-Baptiste Turquet, en précisant que « le domaine doit avoir pour mission une œuvre charitable chrétienne avec obligation du culte catholique, un office par semaine ». En 1902, Jean-Baptiste Turquet en fait don, à son tour, à l’Assistance publique, aux mêmes conditions. Des conditions peu respectées en ce qui concerne le caractère chrétien de l’œuvre. Mais le dernier donateur pouvait-il prévoir ce qu’il adviendrait de son domaine au début du XXIe siècle ?

Le bénéficiaire d’un legs à titre particulier doit en respecter les conditions posées par le testateur. Quel que soit le temps écoulé, il appartient à l’actuel propriétaire de se conformer aux volontés de Marie-Alphonse Gréban de Pontourny. Qui n’a sans aucun doute pas donné son accord pour que, d’institution charitable chrétienne, son domaine devienne un centre d’hébergement… Suite sur Bvoltaire.net

Pour le côté technique, je vous propose cet article du journal Marianne qui explique plutôt bien les conditions de vie à venir de ces islamistes radicalisés qui pour le coup vont être chouchoutés à nos frais:

Au cours d’une conférence de presse cadrée jusque dans les moindres détails, les représentants de l’État et les élus locaux ont tenté de vendre la pertinence du projet de centre de déradicalisation de Pontourny à Beaumont-en-Véron, en Indre-et-Loire. Sans convaincre.
Le centre de déradicalisation du domaine de Pontourny à Beaumont-en-Véron, en Indre-et-Loire, accueillera six premiers pensionnaires dans les quinze prochains jours – Crédit photo : Xavier Frison

Pas sûr que le vénérable domaine de Beaumont-en-Véron, perdu entre champs et vignes du chinonais, en Touraine, ait déjà connu ça : une conférence de presse garnie d’une soixantaine de journalistes de plusieurs nationalités, assis devant une enfilade de tables habillées de nappes blanches où patientent, le sourire crispé, les représentants des pouvoirs publics au grand complet : préfet, comité interministériel de la prévention de la délinquance et de la radicalisation, député, sénatrice, maires des communes alentours, il ne manque personne. Ou plutôt, si : les 25 mystérieux pensionnaires “en voie de radicalisation” attendus pour l’ouverture du premier centre de déradicalisation géré par l’État ouvert en France.

Version “light” du radicalisé
Sans eux, on se contentera donc des discours officiels égrenés à la tribune. En bon maître de cérémonie, le préfet d’Indre-et-Loire, Louis le Franc, rassure son auditoire : les 25 jeunes attendus d’ici à 2017 – seulement 5 ou 6 d’ici quinze jours – seront une version “light” du radicalisé : entre 18 et 30 ans, homme ou femme, aucune condamnation passée, pas de procédure judiciaire en cours, pas de fiche S sur le dos et une séjour à Pontourny pour 10 mois basé sur le volontariat. Bref, “ce centre est une réponse de l’État à ceux qui veulent s’en sortir”, résume le préfet. Les objectifs du “Centre de prévention, d’insertion et de citoyenneté d’Indre-et-Loire” restent flous : “Il s’agit de faire retrouver à ces jeunes adultes leur capacité de discernement et de libre-arbitre”, avance Louis Le Franc. Le concept de volontariat, pour le moins contradictoire pour des jeunes en voie de radicalisation, interpelle tout autant.

 

Manifestation devant le centre ce 13 septembre. XF

La secrétaire générale du comité interministériel de prévention de la délinquance et de la radicalisation, une diplomate précédemment en poste à Istanbul à l’anglais délicieux, tente de dissiper les doutes : “Il faut savoir accepter l’ambivalence qui caractérise ces jeunes”, lâche Muriel Domenach. Un ange passe. On ne vas pas accueillir de terroristes ici”, explique le préfet, plus terre-à-terre. Et de fait, “il ne s’agit pas d’un établissement privatif de liberté”, confirme Pierre Pibarot, directeur général du groupement d’intérêt public “réinsertion et citoyenneté”, chargé de coordonner l’ouverture des douze prochains centres régionaux prévus sur le modèle de Pontourny.

L’ampleur toute relative du dispositif de sécurité pose questionLes pensionnaires pourront sortir du centre, passée une première phase de trois mois dans les murs du vaste domaine aux pierres de tuffeau caractéristiques de la région. Toujours dans un cadre pédagogique de réinsertion sociale et professionnelle. Mais comme on n’est jamais trop prudent, Francis le Franc énumère le dispositif de sécurité mis en place dans ce qui était précédemment un centre d’accueil pour mineurs isolés géré par la mairie de Paris, suite à un legs du bâtiment : Il y a 18 vidéo-caméras, qui filmeront 24h/24, dont 6 pivotantes. L’accès à internet avec les smartphones personnels seront-ils restreints ? “Pas du tout, mais essayez donc de passer un appel avec la faiblesse du réseau ici”, répond le représentant de l’État dans un large sourire. Si dans la salle de la conférence de presse les écrans affichent un mauvais réseau “Edge”, dans la cour, à cinq mètres de là, les heureux abonnés Orange accrochent une 4G tout à fait correcte. Pas de codes aux portes des chambres comme annoncé un temps, pas de forces de police spéciales présentes sur place, une “sécurisation des réseaux telecom” qui n’inclut aucun brouillage des téléphones portables : on a vu plus drastique. Sans parler de l’enceinte du domaine, d’une simplicité enfantine à escalader pour qui a déjà fait le mur en colonie de vacances.

Sur le fond, les futurs pensionnaires seront pris en charge par une équipe de 25 personnes, parmi lesquels des éducateurs, des infirmiers, des psychologues et des “spécialistes de très haut niveau” venus de l’extérieur. Au programme, une première phase avec une “plateforme de distanciation” axée sur les discours religieux, la citoyenneté, l’histoire, la géopolitique ou les médias numériques. Et même un “module de désengagement cognito-comportemental”. Ensuite viendra l’heure de “l’engagement citoyen“, avec l’apprentissage du vivre-ensemble et la réalisation d’actions citoyennes, y compris à l’extérieur. Troisième étape, une plateforme d’accompagnement médical et social avant la dernière phase, celle de la préparation à l’insertion sociale et professionnelle. Au milieu de tout cela, levée des couleurs une fois par semaine – “pour susciter le débat” – et “tenues uniformes, sans uniforme”. L’ensemble du dispositif, dont tous les intervenants rappellent le côté “expérimental” et leur “droit à l’échec”, sera évalué via un comité de pilotage.

Source et suite sur Marianne

Sécurité renforcée donc, technologie à tout va, 25 employés, mais strictement aucune information sur LE COÛT de cette mascarade! Car sans aucune garantie que cela fonctionne, et donc avec le risque que nos impôts soient une nouvelle fois dilapidés inutilement. De plus, nous avons officiellement 8250 individus radicalisés en France, que représentent ces 25 islamistes placés dans ce laboratoire Beaumont-en-Véron, un espoir?

Une nouvelle fois, nous somme en plein enfumage complet avec des solutions qui n’en sont pas réellement, et un entretien des amalgames ont les conséquences peuvent s’avérer désastreuses au final!

 

Benji

2 Commentaires

  1. le cout?

    c’est pas cher, c’est l’état qui paye
    LOL
    dixit hollandouille

    • fermer un centre, cela va les gener un peu certes, mais ils se retrouveront plus tard dans d’autres endroits, ce n’est que reculer un probleme. et ne pas le résoudre.

      et faut pas trop compter sur les musulmans pour les dénoncer, car de toute façon ils sont déjà dépasser par le phénomene

      il n’y aura que la fin de triste

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