Voisins solidaires, achats moins chers !


Chaque année, un foyer Français dépense en moyenne 8 700 euros pour se nourrir et plus de 1 700 euros pour se chauffer.

Pourquoi payer au prix fort son bois, son vin ou ses produits alimentaires quand on peut faire des économies en les achetant en commun ?

Pour réduire ces dépenses, le réseau social mon Pti’ Voisinage propose désormais d’effectuer ces achats entre voisins.
Un service d’échange de services est également proposé et tout ça gratuitement.

Fruits et légumes, viandes, vins, granulés de bois ou encore fuel : autant de postes de dépense qui peuvent être réduites jusqu’à 40 % en achetant en grand volume.
C’est l’idée de Mon Pti’ Voisinage, un réseau social lancé pour recréer de l’entraide et de la solidarité à l’échelle locale.

Mais le but n’est pas seulement de faire des économies : “En achetant groupé, les gens redeviennent acteur de leur consommation. Ils rencontrent les producteurs, ils négocient et se rapprochent de leurs voisins avec qui ils réalisent l’achat”, explique à We Demain Morgane Hemery, la responsable communication de la plateforme.

“Notre but est de recréer de l’entraide entre les gens, de les sortir des réseaux virtuels afin qu’ils se rencontrent dans la vraie vie.”

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Mouton Resistant

4 Commentaires

  1. Pour ceux qui habitent en campagne, mais qui ne sont pas du cru (oui je sais, faut suivre) ben, c’est pas compliqué, les gens vous font comprendre et savoir qu’eux payent pas le bois de chauffage, par exemple, et vous ben vous le payez plein pot parce qu’on vous connait pas… Alors c’est pas que je veux pas me rapprocher de mes voisins (outre qu’on cherche à partir vue qu’on habite la maison qui pue (j’en ai même fait un billet, tellement c’est abracadabrantesque tenez, si vous voulez ; https://jbl1960blog.wordpress.com/2016/01/27/la-maison-qui-pue/) Mais, ça donne pas envie…

    Et en même temps, la montée de La Marine est si soudaine ici, que l’on compte les personnes atteintes du syndrome du larbin ; https://jbl1960blog.wordpress.com/2016/01/29/le-syndrome-du-larbin/
    Et là encore notre souhait de partir est bien plus grand aujourd’hui au fur et à mesure que les jours passent, et que nous vieillissons aussi. On risque pas de déteindre en bleu marine, ça non, mais l’ambiance est tellement glauque…

  2. Dans ce coin il n’est pas question de ce genre d’expérience, que j’applaudis pourtant à deux mains, il ne règne que le chacun pour soi ! aucune solidarité, rien ! nous sommes 9 habitants et autant d’étrangers aux autres. “Bonjour bonsoir, il fait beau ou quel sale temps,” c’est tout !

    • Chez moi idem, 190 habitants et chacun pour soi. Faudra peut être un sale coup bien dur, pour que les gens comprennent..
      Ils ne se rendent compte de rien??

  3. Mignonne présentation et bonne idée. Ça va plus loin que les échanges de voisinage car il y a de l’information en plus.
    Dans mon village, il y a de tout. Les anciens vous font parfois sentir que vous êtes un étranger, mais les voisines sont souvent plus intelligentes. Cependant, il faut aussi se rendre indispensable. Ou presque, puisque chacun sait que le cimetière sont pleins de gens qui se croyaient indispensables. Mais ceci est une autre histoire.
    Ainsi, si on a besoin de toi et que tu réponds présente, tu peux en échange avoir besoin d’un service. Bien sûr, il ne faut pas demander la lune. Chacun fait ce qu’il peut.

    Pour les achats groupés, je le sens moins. En général, c’est l’hypermarché ou bien le marché. Pour cela, il faudrait réunir des familles. Et lorsque j’ai pris 90 kg de patates pour le voisinage et moi-même, je n’ai pas eu de prix.
    Manque d’habitudes ou de savoir faire, je suppose. Il faut y penser, négocier…

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