Maladie de Lyme, l’épidémie silencieuse (et surtout, comment la soigner)

Après réception d’un e-mail concernant cette maladie, j’ai pu apprendre qu’elle n’était pas reconnue en France et que pire, le seul traitement qui se montrait efficace contre cette maladie venait d’être interdit, pourquoi? Car le Tic Tox est un remède phyto-aromathérapique, et qu’au final, comme la cancer et bien d’autres maladies, c’est avant tout une histoire de gros sous…

Un article s’imposait donc, pour tenter d’aider l’auteur de l’e-mail en question, mais bien plus de monde qui pourrait être concerné et qui se seraient perdus dans les méandres d’internet à la recherche d’une solution.

Commençons par un article très détaillé sur le sujet:

La maladie de Lyme est un syndrome bien complexe devant lequel la médecine officielle est démunie. Il Erythema_migrans_-_erythematous_rash_in_Lyme_disease_-_PHIL_9875s’agit d’une maladie endémique induite par certaines tiques porteuses d’un micro-organisme spiralé, le Borrelia burgdorferi. Les troubles ont été identifiés pour la première fois à Lyme dans le Connecticut, puis dans d’autres États d’Amérique. Cette affection se développe dramatiquement  en Europe depuis quelques années et cet été, si vous battez un peu la campagne, il n’est pas impossible que vous croisiez la route d’une tique infectée. Alors lisez plus bas le protocole de soin naturel que je vous propose.
La maladie de Lyme étant devenue un véritable fléau aux Etats-Unis et au Canada, nous publions, en dessous de ce texte, une version anglaise de cet article. See english version below.

Cette maladie tire son nom d’un petit village du Connecticut où ont été identifiés les premiers cas au milieu des années 70. Pour la petite histoire, il y avait à l’époque tout près de ce village un laboratoire de recherches bactériologiques de l’armée américaine… Depuis il a été fermé. Faut-il y voir un lien de cause à effet ? On ne le saura sans doute jamais. Toujours est-il que cette maladie transmise par les tiques portées par des animaux sauvages, daims et chevreuils entre autres, a progressé de manière fulgurante aux Etats-Unis. Elle s’étend désormais en Europe et en Australie de façon alarmante.

Arte diffuse un documentaire affligeant

Alors faut-il avoir peur de la maladie de Lyme ? Surtout pas :
« Les tiques ont beau ressembler à des monstres, la médecine moderne a la maladie de Lyme sous contrôle ». Telle est la conclusion sans appel d’un documentaire diffusé le 3 mai dernier sur Arte !

Pendant 50 minutes, ses auteurs ont tenté de répondre à la question : « danger réel ou imaginaire ? ». Ils ont donc tranché, allègrement. Pas de panique : la maladie, disent-ils, est bien connue, bien traitée. Ceux qui prétendent le contraire seraient des mystificateurs, des charlatans et des imposteurs ! Ou dans le meilleur des cas des « experts autoproclamés » dont les théories scientifiques « ne sont pas défendables ». Moi, après avoir vu ce documentaire foutraque,

je vous le dis : il y a vraiment de quoi s’inquiéter !

Des charlatans, et des caisses noires?

L’Allemagne, où cette enquête a été menée, est un laboratoire avancé pour étudier le phénomène. Avec plus d’ un million de malades traités en 2010 selon la sécurité sociale allemande, c’est le pays le plus touché en Europe après l’Autriche. Et outre-Rhin, la maladie de Lyme fait l’objet d’un vrai business. Avec ses charlatans, sûrement, et ses profiteurs. Comme l’industrie pharmaceutique qui, selon la responsable de la Fédération Allemande de la Borréliose s’engraisserait à coups d’antibiotiques sur le dos des malades.

Selon cette femme très combattive qui a connu le calvaire de la maladie, il y aurait même dans ce pays « une cagnotte » de l’industrie pharmaceutique qui rétribuerait médecins et experts pour « continuer à minimiser la maladie de Lyme ». L’intérêt de ces grandes manœuvres ? Soutenir le business de tests diagnostiques réputés peu fiables et d’antibiothérapies coûteuses prescrites à tout va.

Plus de 3 millions de malades ?

Comparée à Allemagne, où cette maladie infectieuse transmise par les tiques fait des ravages, la France serait, selon les autorités sanitaires, un Eden. Il n’y aurait dans notre pays que 12 000 à
15 000 nouveaux cas par an selon les estimations officielles. L’Institut national de veille sanitaire (INVS) dénombre pour sa part 5 500 cas déclarés. C’est tout ! Et encore, certains médecins vous diront qu’on exagère, comme en Allemagne, qu’on fabrique une maladie chronique qui plonge nombre de personnes dans la peur « à partir d’une maladie facilement identifiable ».

Pourtant, selon le Pr Christian Perrone, chef du service des maladies infectieuses de l’Hôpital Raymond-Poincaré de Garches, qui l’étudie depuis de longues années, plus de 5% des populations, au minimum, seraient touchés, soit, en France, plus de 3 millions de personnes.

Plus qu’une maladie, un calvaire !

À part dans l’Est de la France, où la maladie est endémique, les médecins connaissent très peu la maladie de Lyme, sinon pas du tout. Ceux qui l’ont voient souvent 3 ou 4 médecins avant qu’enfin, on évoque Lyme. On fait des tests, on ne trouve rien et un jour ou l’autre, on finit par se retrouver chez le psychiatre avec des antidépresseurs… entrant ainsi dans une spirale infernale dont on sort rarement indemne.

C’est un peu l’histoire de la syphilis, qui autrefois était considérée comme une maladie mentale, avant qu’on ne découvre qu’elle était due à une bactérie. Et le parallèle n’est pas gratuit : la bactérie de la syphilis appartient à la même famille des spirochètes que les borrélies de la maladie de Lyme.

Des bactéries organisées et intelligentes?

Les borrélies, dont on connaît bien maintenant les nombreuses sous-espèces, sont des bactéries d’un genre très particulier. Ce sont des spirochètes, qui se caractérisent par une forme spiralée. Grâce à cette configuration, et à leurs capacités motrices bidirectionnelles, elles sont capables de déjouer toutes les stratégies du système immunitaire. Elles sont capables de prendre une forme particulière, dite « forme L » : une stratégie redoutable propre aux bactéries les plus intelligentes qui leur permet de se cacher dans des kystes sphériques dans tous les tissus et tous les organes.

De cette manière, elles échappent aux antibiotiques et aux globules blancs. A partir de l’intestin de la tique qui suce le sang humain, les borrélies remontent dans son système digestif puis s’insinuent dans le derme, entre les cellules de peau et les fibres de collagène. Elles provoquent des dégâts sur la peau (dermo-borréliose), s’en prennent très rapidement aux articulations (arthrite de Lyme), en particulier du genou, aux nerfs (neuro-borréliose) et peuvent même atteindre le cerveau et en dernier ressort le cœur.

Les symptômes :
un inventaire à la Prévert

La maladie évolue classiquement en trois phases, mais ce n’est pas toujours aussi évident. Une phase peut manquer ou passer inaperçue. Et les différents symptômes  certains experts allemands en répertorient jusqu’à 160 ! – peuvent parfois se mélanger, sans qu’il y ait de symptômes spécifiques qui permettraient de reconnaître immédiatement la maladie. Ce qui rend le tableau clinique de cette infection multiforme complexe, et le diagnostic difficile.

La phase primaire se caractérise par la survenue d’un érythème (rougeur) cuisant, grossièrement circulaire et centré sur la piqûre de la tique. Mais il peut aussi ne pas apparaître, cela dépend de l’espèce de borrélie (c’est toutefois le plus souvent le cas en Europe). Il survient de 3 à 30 jours après la piqûre. Puis, dans la 2ème semaine de son apparition, il pâlit en son centre et disparaît en quelques jours voire quelques semaines. Cette phase s’accompagne souvent d’un état fébrile avec frissons, courbatures, douleurs articulaires, ou maux de tête.

La phase secondaire correspond à la dissémination de la bactérie dans l’ensemble du corps. Elle débute quelques semaines à quelques mois plus tard. Les symptômes observables ici sont :

  • Des signes cutanés : souvent semblables à l’érythème chronique de la phase primaire, sous forme de nodule situé au niveau d’un pavillon d’une oreille ou d’un mamelon.
  • Des signes neurologiques : méningites, névrites (inflammation des nerfs) souvent très douloureuses avec des maux de tête et une sensibilité cutanée exacerbée.
  • Des signes rhumatologiques : atteintes de plusieurs articulations, dont souvent le genou, qui deviennent enflées, chaudes, rouges et douloureuses. Ce rhumatisme évolue par poussées espacées de périodes de rémission d’environ un mois.

La phase tertiaire, tardive, survient des mois, voire des années après l’infection. Elle se remarque par :

  • Des manifestations neurologiques et lésions démyélinisantes proches de la sclérose en plaques.
  • Des signes rhumatologiques proches de ceux de la polyarthrite rhumatoïde.
  • Des signes dermatologiques : plaques violacées évoluant vers la sclérose associée à des arthrites et des neuropathies.

Diagnostic difficile, analyses trompeuses

Le diagnostic de la maladie n’est pas aisé, aussi bien à cause de sa mauvaise connaissance tant par les malades que par les médecins, mais aussi en raison des très nombreux aspects qu’elle peut présenter. On a vite fait de diagnostiquer une mononucléose ou une fibromyalgie, et ce ne sont que deux exemples, là où plus probablement se cache une borréliose. Et ce qui ne facilite pas les choses, c’est que beaucoup de malades ne se souviennent d’aucune piqûre de tique, ce qui rend le diagnostic encore plus difficile.

Il est d’ailleurs très probable que la maladie soit transmise par d’autres voies que la piqûre de tique comme la transfusion sanguine, la grossesse, et l’on suspecte aussi les piqûres de moustiques, d’araignée et même d’aoutats?

Des tests de dépistage made in USA

Dans tous les cas, votre médecin demandera des analyses de sang : ce sera surtout la sérologie de Lyme (test ELISA et Western Blot) qui recherchera les anticorps contre la Borrelia burgdorferi (avec dosage des IgG et des IgM) qui permettra le diagnostic lorsqu’il est positif.

Mais il existe un nombre important de faux négatifs, ne serait-ce que parce que la Borrelia burgdorferi, si elle est dominante aux Etats-Unis où la maladie fait aussi des ravages, est plutôt minoritaire en Europe. Chez nous, on retrouve plus souvent Borrelia afzelii, bactérie dermatrope (qui cible la peau) et Borrelia garinii neurotrope. C’est ainsi qu’on estime qu’il y aurait de 30 à 55% de faux négatifs à la maladie. Ainsi, une sérologie positive est un élément affirmatif, mais une sérologie négative ne peut pas permettre d’éliminer formellement une maladie de Lyme.

Les antibiotiques :
nécessaires mais pas suffisants

Le traitement classique de la maladie de Lyme consiste en une antibiothérapie (les médecins allemands ont raison) puisque la maladie est due à une bactérie. La durée du traitement (21 à 30 jours généralement, jusqu’à 2 mois) et les doses (souvent moyennes ou fortes) dépendent de l’ancienneté et de la gravité de la maladie. Le traitement antibiotique sera d’autant plus efficace qu’il est précoce.

Ce traitement ne parvient cependant pas à guérir tous les cas de maladie de Lyme, surtout lorsqu’elle est diagnostiquée tardivement. Car la bactérie demeure souvent tapie dans des sites difficilement accessibles aux antibiotiques, comme les hématies, les lymphocytes, ou des points enkystés. Et elle pourra ressurgir ultérieurement et provoquer de nouvelles pathologies semblables à celles évoquées dans la phase tertiaire.

Tic Tox : les médecines alternatives dérangent

Face à une médecine conventionnelle relativement peu efficace, et face à une prévalence, en France, largement sous-estimée, les traitements naturels, une fois n’est pas coutume, sont largement plébiscités. Les huiles essentielles et les alcalinisants en tête.

Le plus connu de ces traitements naturels, le Tic Tox, vient d’en faire les frais. Ce produit mis au point par Bernard Christophe, un pharmacien spécialisé en phyto-aromathérapie depuis de longues années, était jusqu’à il y a peu l’un des rares à pouvoir endiguer la borréliose. Il était vendu par le laboratoire Nutrivital, jusqu’à ce qu’il soit interdit à la vente, au début de l’année, par l’Afssaps. Motif officiel : le Tic Tox ne bénéficie pas d’une autorisation de mise sur le marché (AMM) délivrée par l’Afssaps et celle-ci lui est refusée parce que le remède contient, certes, de l’huile essentielle de sauge, mais en dessous des normes considérées comme toxiques.

Ce qui n’est pas « officiel » est étouffé

Mais le scandale va beaucoup plus loin. Cette opération de démantèlement du laboratoire Nutrivital (non seulement la vente du Tic Tox est interdite mais également sa fabrication et son utilisation), s’inscrit clairement dans une démarche visant à supprimer une approche alternative de la borréliose.

Bernard Christophe travaille depuis longtemps sur la maladie de Lyme, c’est l’un des spécialistes français dans ce domaine. L’homme est excessif, certes, notamment quand il s’en prend à l’antibiothérapie qu’il juge en échec et qui selon lui, « rend le patient plus malade qu’il ne l’était », mais il met le doigt sur les déficiences des méthodes officielles et sur l’étonnante absence d’une véritable recherche de solutions de la part des autorités médicales.

Devant l’incroyable manque de fiabilité du test ELISA, Bernard Christophe s’est tourné vers un test allemand, le test All-Diag (de Mikrogen) beaucoup plus fiable car tenant compte des souches de bactéries européennes et pas seulement des souches américaines comme le test ELISA dont les seuls résultats font souvent foi chez les médecins.

Comme par hasard, l’Agence régionale de santé (ARS) a ordonné, en début d’année, la fermeture manu militari du laboratoire strasbourgeois du Dr Schaller, qui proposait ce test depuis 2007. Ce laboratoire est bien connu de nombre de patients qui ont fait appel à lui pour un diagnostic sûr. Il n’a maintenant plus l’autorisation d’exercer. Le texte préfectoral motivant cette décision pointe un « diagnostic de la maladie de Lyme par biologie moléculaire non validé, non conforme aux recommandations officielles en vigueur ».

Procès Bernard Christophe/ Viviane Schaller, du nouveau

La juge du tribunal correctionnel a demandé un report d’audience au 13 mai 2013 “pour complément d’information”. Voici ce que nous écrit Bernard Christophe à propos de ce report : “Pour nous, Viviane Schaller et moi-même, cela semble être un début de revirement. Mme le Président a demandé le report de cette affaire et il me semble qu’elle a compris, au vu de mes arguments, que je n’étais ni charlatan, ni escroc, et que cette affaire méritait donc des compléments d’informations pour pouvoir dégager la vérité et ainsi pouvoir juger cette affaire qui, à mon sens, n’aurait jamais dû atterrir dans un tribunal correctionnel. Visiblement les arguments dits « scientifiques » des seuls « experts » strasbourgeois n’ont pas convaincu Mme le Président car il y a d’un côté deux « experts » et de l’autre des dizaines de milliers de malades qui souffrent depuis des années et même décennies du déni de la maladie de Lyme ou borréliose de Lyme chronique, déni que je dénonce également depuis bientôt 15 ans.”

Un prix Nobel l’a dit tout haut

Déjà en 2008, dans son livre « Les combats de la vie ? Mieux que guérir, prévenir », que j’ai eu le bonheur d’écrire avec lui, le professeur Luc Montagnier, prix Nobel de médecine, balayait le déni officiel qui pèse sur cette maladie et affirmait la réalité de cette maladie et de sa forme chronique.

La bactérie incriminée induit selon lui « un double méfait » :
« Une maladie aiguë, d’une part, se manifestant de façon visible par des arthrites, des troubles cardiaques et des fatigues qui ne durent pas. D’autre part et malheureusement aussi, une infection chronique pouvant perdurer plusieurs années et laissant parfois des séquelles neurologiques (paralysies faciales) ou cutanées (atrophies). »

Selon Luc Montagnier, la borrelia crée un stress oxydant dans l’organisme à l’instar de ce qui se passe dans bien des infections froides, silencieuses. Et elle peut s’associer facilement à d’autres agents pathogènes. En 2008, il relevait déjà ce danger tout en insistant sur la nécessité d’aller contre le dogme médical qui veut qu’on utilise les antibiotiques avec parcimonie : « La Borrelia peut s’associer à un autre agent connu pour être à l’origine de la maladie dite des griffes de chat*, une Bartonella Henselae . 

L’association de ces deux micro-bactéries entraîne une maladie chronique plus grave, avec des réactions auto-immunes fortes. Un traitement composé de plusieurs antibiotiques et administré en longue durée est nécessaire pour se débarrasser de cette infection. Souvent la forme chronique est ignorée et le médecin non averti prescrit simplement une cure-flash d’antibiotiques pour 15 jours, poussant ce faisant le germe à s’installer durablement sous une forme masquée.
Grave erreur ! Alors qu’il faudrait continuer le traitement jusqu’à disparition de tous les signes de la présence du germe »

Une épidémie mondiale, comme le Sida

Comme le Pr Perronne, comme d’autres, de plus en plus nombreux, le Pr Montagnier poursuit ses recherches sur la borréliose. Avec des avancées importantes et un constat : la maladie s’est maintenant généralisée : « Le monde entier est infecté. Pas comme le Sida, mais presque », a-t-il affirmé début mars dans un entretien avec une journaliste de LaNutrition.fr tout en regrettant qu’il y ait encore « un débat pour dire que l’infection chronique n’existe pas ». Et de mettre lui aussi le doigt sur le plus gros problème : « C’est sous-estimé par les médecins et en plus les tests sérologiques ne sont pas très fiables ».

Le Nobel estime qu’il faudrait utiliser les tests moléculaires comme la PCR (Polymerase chain reaction), technique permettant d’amplifier des séquences spécifiques d’ADN ou d’ARN et de détecter ainsi les bactéries, même cachées.

Comment se faire dépister,
comment se soigner ?

Le seul laboratoire en France compétent pour le faire étant désormais fermé, le plus sûr est de traverser le Rhin pour obtenir un diagnostic sûr. Quoi qu’on en dise, les Allemands connaissent et maîtrisent beaucoup mieux que nous – ce n’est pas difficile – cette infection. Quant au traitement, officiellement, il passe par une antibiothérapie longue que seul un médecin averti pourra vous prescrire. C’est là un challenge : trouver un thérapeute qui n’a pas peur de la Sécurité sociale. Ou alors, là aussi, mieux vaut aller en Allemagne. Ce n’est pas si loin, et ce n’est qu’un petit investissement au regard des conséquences pénibles de la borréliose.

Si vous choisissez cette voie de traitement, il est important de prendre des pro-biotiques en complément et de ne pas laisser s’installer des champignons et autre candidose en réaction. D’où l’intérêt d’être conseillé par un naturopathe en parallèle du médecin.

Le protocole de prévention et d’attaque

D’abord les mesures préventives

Vous vous promenez dans les bois, une tique se laisse tomber d’un arbre, et toc ! Vous tombe dessus. La sale bête étant munie d’une vrille perce immédiatement un petit trou dans votre peau (sous anesthésie), rentre la tête, et verrouille son ancrage avec les pattes. Là, elle peut à loisir se gorger de votre sang jusqu’à ce que vous vous aperceviez éventuellement qu’une petite boule émerge de votre peau.

Donc, lorsque l’on compte se promener ou travailler dans une zone à tiques, s’enduire d’une huile de massage comme l’huile Weleda à l’arnica. En tout état de cause, à chaque retour de promenade, bien explorer la surface de la peau, surtout celle qui n’était pas protégée par les vêtements. À noter qu’il faut éviter d’appuyer sur le ventre du parasite rempli de votre sang, car cela le ferait régurgiter dans votre système sanguin avec l’éventuel Borrelia si la tique est infestée. Il convient toujours de désinfecter l’endroit avec une huile essentielle telle que l’HE de girofle.

Rappelez-vous qu’il existe en pharmacie des kits de « démonte-tiques », sorte de mini pied-de-biche avec lequel on dévisse la tique dans le sens anti-horaire – ce qui permet d’extraire la tête avec le corps. Sinon il repousse…

Autre méthode : enduire abondamment la tique d’huile d’olive plusieurs fois par jour. Elles s’asphyxient en 24 heures, se dessèchent et tombent d’elles-mêmes sans douleur pour le porteur.

Nota : Tout ceci est valable pour les chiens et les chats
En traitement d’attaque

La plupart des traitements officiellement proposés sont des antibiotiques et des corticoïdes ; ils sont décevants, inefficaces et même dangereux puisqu’ils ne font que faire retrancher le parasite dans des organes de plus en plus profonds et de plus en plus vitaux sans jamais l’éliminer. En effet, tous les médicaments du type stéroïde, corticoïde ou immuno-suppressifs sont contre-indiqués.

  • Stratégie symptômatique durant les poussées

Le Borrélia produit en permanence des neurotoxines qui s’accumulent dans les graisses. Plus la maladie est ancienne et plus la charge de toxines est élevée. Généralement, ce sont les organes les plus faibles qui sont atteints en premier lieu. La première chose à faire est d’éliminer un maximum de toxines, ce qui aboutit à faire régresser rapidement les symptômes pénibles de la poussée.

Donc, premier geste :
Charbon activé : 1 cuil. à soupe matin et soir dans de l’eau froide pendant 15 jours. Le charbon crée en plus une barrière au niveau intestinal dans le trajet migratoire classique du Borrelia : tissus graisseux – bile – intestin – sang – nerfs. Il faudra réitérer la cure d’adsorption des toxines à chaque fois que des symptômes se manifesteront, et ce tant que le parasite ne sera pas complètement éradiqué.

  • Le traitement curatif d’éradication

La méthode Jim Humble : le chlorite de sodium
Cette technique, bien que combattue par la médecine officielle (concurrence oblige), a sauvé des dizaines de milliers de vies (malaria, maladies infectieuses graves). De par mon expérience de près de cinq années, c’est le seul traitement avec lequel j’ai obtenu des résultats définitifs. Il est néanmoins nécessaire d’être très attentif dans les réactions du corps face aux dosages, car c’est très puissant…..

C’est pour cela que le traitement doit être progressif pour surveiller à quel moment précis, éventuellement,  l’organisme se rebelle par des nausées ou des vomissements. Si cela commence à se produire, stopper tout et prendre du bicarbonate de sodium (pharmacie) – dissoudre 50 g par litre d’eau, et prendre 3 à 4 ½ verres dans la journée, ce qui neutralise le produit. Reprendre le traitement le lendemain en baissant la dose (nb. de gouttes).

  • Détail de la procédure

Se procurer un flacon de Chlorite de sodium (Sanchlor) chez Apoticaria  (voici le lien)

  • Commencer par une goutte du produit à mettre
    dans un verre.
  • Y ajouter 5 gouttes de jus de citron.
  • Laisser 2 min pour la réaction chimique donnant naissance
    à l’ion dioxyde de chlore.
  • Ajouter ensuite de l’eau (non chlorée) et éventuellement
    du jus de fruit (pour le goût) et boire cela le matin et le soir.
  • Le lendemain, passer à 2 gouttes de chlorite et 10 gouttes
    de citron matin et soir.
  • Le surlendemain passer à 3 gouttes de chlorite et 15 gouttes de citron  (5 gouttes de citron par goutte de chlorite).
  • Rajouter 1 goutte de chlorite chaque jour jusqu’à 6 gouttes
    et rester à 6 gouttes .

On peut monter jusqu’à 12 gouttes, mais prudemment en ayant sous le coude le bicarbonate. Mais le mieux est de rester ou redescendre à 6 gouttes ou même moins pendant 6 à 8 mois pour être sûr de la stabilisation en profondeur.

Comment ça marche ?

L’ion ClO² très électro négatif est un micro-explosif. Il passe dans le sang et s’associe à l’hémoglobine des globules rouges qui le confond avec de l’oxygène, et le transporte dans tout l’organisme. Les globules rouges se retrouvent tels des Kamikases bardés de dynamite. Toute rencontre avec un élément non conforme (bactérie ou virus pathogène, poison, toxine….) déclenche une micro explosion grillant « l’ennemi ». Au bout d’une douzaine d’heures, le dioxyde de chlore se transforme en chlorure de sodium NaCl inerte, et c’est pour cela qu’il faut réitérer les prises matin et soir.

  • Et en complément :

Argent colloïdal : 1 cuil. à soupe 3 fois par jour.
Voir notre article sur l’argent colloïdal

Le dioxyde de chlore et l’argent colloïdal sont à ma connaissance deux antiparasites organiques universels qui fonctionnent quand rien n’a marché auparavant.

La solution phyto

C’est l’autre volet des traitements et pas le moindre. Car les plantes, en particulier sous forme d’huile essentielle, montrent une certaine efficacité. A elles seules, à moins d’être prises immédiatement après une piqûre, elles ne suffisent pas, elles ne guérissent pas mais elles s’avèrent être efficaces pour stabiliser l’infection et pour faire taire ses symptômes.

J’ai demandé à mon ami Sylvain Bodiot, naturopathe et aromathérapeute dont je vous conseille d’écouter l’émission mensuelle sur Radio Médecine Douce (ici), de me donner son protocole pour la maladie de Lyme.Voici sa prescription, pour vous :

Faites réaliser par votre pharmacien, le mélange suivant :

  • HE Cinnamosma fragrans  10 ml
  • HE Cinnamomum camphora ct cinéole 5 ml
  • HE Eucalyptus radiata ssp radiata 3 ml
  • HE Melaleuca alternifolia 3 ml
  • HV de noisette 30 ml

> Appliquez sur les avant bras et le thorax (8 à 10 gouttes) pendant 15 jours chaque mois (du 1er au 15) Puis prendre par voie orale et pendant 20 jours (1 gélule 3 fois par jour) la synergie d’huiles essentielles ci-dessous (à faire aussi réaliser par le pharmacien)

  • HE Eugénia caryophyllus 25 mg
  • HE Citrus lemon (z) 25 mg
  • HE Origanum compactum (25 mg)
  • Exc QSP 1 gélule gastro résistante n°2  N° LX

Cessez le traitement totalement pendant 7 jours puis le reprendre, le tout pendant 4 mois : En complément, n’oubliez pas de prendre le plus possible d’antioxydants, de la propolis, de l’extrait de papaye fermentée, de la vitamine C Acérola en cures prolongées pour remonter le système immunitaire et contrecarrer le stress oxydant. Prenez aussi de l’Echinacéa purpurea en teinture mère du 1er au 10ème jour de chaque mois.

Un remplaçant du Tic Tox

Il faut citer ici une synergie d’huiles essentielles qui existe depuis plus de vingt ans et qui a fait ses preuves dans la lutte contre les virus et les infections microbiennes. Cette synergie est aujourd’hui employée avec succès par de nombreux patients infectés par les borrélies. Elle n’est pas interdite à la commercialisation (notamment parce que son fabricant ne fait aucune allusion à la maladie de Lyme dans ses documents de vente). Elle a pour nom Alternativ’aroma et mélange, dans une base d’uile végétale de Perilla frutescens bio, des huiles essentielles de :

  • Cinnamomum camphora bio,
  • Melaleuca quinquinervia bio,
  • Trachyspermum ammi,
  • Laurus nobilis bio,
  • Origanum compactum bio,
  • Cinnamomum zeylanicum bio,
  • Eugenia caryophyllus bio,
  • Citrus paradisii bio,

Si vous souffrez de la maladie de Lyme, cela ne vous coûtera que quelques euros pour vérifier si les symptômes dont vous souffrez sont atténués par la prise de ce mélange.

*Cette maladie dite “des griffes de chat” s’exprime par une fièvre et des ganglions apparaissant à proximité de la griffure avec une tendance à la suppuration.

Source: Alternativesante.fr

Vous pouvez également vous diriger vers cet article qui tente là encore de proposer des solutions à tenter, ainsi que ce livre sur le sujet.

Bien évidement, l’équipe du blog n’étant pas composée de médecins, nous nous devons de vous rappeler qu’un traitement trouvé sur internet ne remplace pas un spécialiste ni un médecin diplômé, et que de ce fait, ne prenez pas cet article au pied de la lettre, etc…

 

Benji

39 Commentaires

  1. Article intéressant, bien qu’une série d’informations me fasse bondir !

    N’enlevez surtout jamais une tique en l’endormant avant, avec de l’huile d’olive ou de l’éther, cela ferait régurgiter la tique qui vous transmettrait à coup sûr une maladie, si celle-ci est porteuse. C’est d’ailleurs doublement un mauvais conseil, en ce sens qu’une tique qui reste accrochée moins de 24h a moins de chance d’avoir eu le temps de transmettre quoi que ce soit.

    Ensuite, s’il faut à tout prix enlever la tête de la tique, ce n’est pas parce qu’elle repousse ! comme l’indique l’article… mais parce qu’il y a risque d’infection si elle demeure coincée dans la peau. D’où l’intérêt de l’enlever avec une pince tire-tique spéciale (pour le faire sur mon chien et moi-même, c’est très efficace et sans douleur).

    Enfin, la tique ne tombe pas des arbres… elle peut effectivement se laisser tomber d’un arbuste, tout au plus, mais elle préfère de loin attendre qu’un garde-manger la frôle pendant qu’elle tend patiemment ses pattes de devant dressées, prête à s’agripper à la moindre source de chaleur de passage. Il faut donc éviter de marcher trop près des buissons et hautes herbes pendant les promenades, et bien regarder son corps en rentrant (la tique met du temps avant de mordre !)

    En tout cas, nous sommes tous d’accord pour dire que c’est un sacré fléau…

    • Bonjour Kimberlight,

      Le fourré de prédilection est : les fougères (d’autres aussi, mais moins)

      Ne surtout pas l’enlever en l’endormant !
      Ce n’était pas la directive jusqu’il y a 10-15 ans !! L’éther était considéré comme le plus efficace, alors !

      La pince à tique n’existait pas avant non plus, seule la pince à épiler faisait l’affaire, le bistouri en cas d’extrême !

      La tique met du temps avant de mordre ? En l’espace de deux heures 8 étaient déjà occupées à se goinfrer, étaient-elles plus voraces avant que maintenant ?? Pourtant bien emmitouflé, le moindre interstice est suffisant pour l’invasion !!

      Pour les personnes piquées d’avant ces 10-15 ans, c’est plutôt rappé!! Les symptômes et les dégâts sont depuis longtemps bien ancrés.

      • @eaglefeather : … »La pince à tique n’existait pas avant non plus, seule la pince à épiler faisait l’affaire, le bistouri en cas d’extrême »

        tout à fait, pour mon fils la pince tire tiques existait
        déjà mais je ne le savais pas quand j’ai essayé d’enlever avec éther et pince à épiler, la tête du tique était malgré tout restée dans le cou de mon petit garçon qui avait 3 ans à l’époque! j’ai dû aller en urgence chez le dr qui m’a dirigé à l’hopital, c’est une amie qui m’avait conseillé cette pince par la suite ( pas le milieu médical).


    • Il est impossible d’éviter d’avoir des tiques qui vous sucent, même dans votre jardin, comme pour moi, 3 ou 4 fois par an !!!
      Aussi il faut chaque jour (de mars à novembre, même que dans votre jardin ) vérifier que vous n’avez pas une minuscule tique ( point noir attaché de moins du mm parfois ) qui a commencé à vous sucer en vous irritant localement, ce qui vous fait gratter en enlevant la tique et en y laissant la tête, sans le savoir, et donc avec risque d’être infecté sans le savoir .
      Aussi il faut l’enlever, le plus vite possible, mais le pince tire-tique est trop gros pour arracher une si minuscule tique et donc s’il ne marche pas, je prends des ciseaux pointus et fins et j’arrache la tique minuscule avec sa tête (si la tête reste ( 0,1mm, à voir avec grosse loupe ), il faut charcuter sa peau autour pour l’enlever sans hésiter, en enlevant la chair à laquelle la tête de tique est attachée ( dixième de mm ), puis on désinfecte avec grand soin avec alcool, bétadine, ou biseptine, huiles essentielles variées, pour rendre le biotope de votre peau invivable à ces bactéries dès le début.
      Ainsi depuis des années j’ai évité l’infection en ne laissant aucune tique grossir sur moi !!
      Si vous avez une tâche rouge grossissant, allez voir le médecin et demandez lui un traitement préventif antibiotique de 2 semaines anti-bactérie à tiques !!
      Vous éviterez ainsi les calvaires sur des années vécus par certains, avec toutes sortes de symptômes, même votre cerveau envahi qui déraille !!

      • Autrement tu l’endors avec un coton imbibé d’éther, elle se décroche toute seule.

        EDIT: je viens de lire le commentaire de Kimberlight, je ne savais pas mais je l’ai fait de nombreuses fois sans tomber malade pour autant.

        • Et elle dégurgite avant de dormir ses bactéries en vous refilant la maladie Lyme, en s’accrochant avec ses mandibules solidement même en dormant !!!
          Pour éviter de se faire contaminer, il faut les enlever immédiatement au début toutes petites moins du mm point noir !!
          Et il faut désinfecter la plaie sans la tête longuement avec du Dakin (ClO2 d’eau de Javel ) pendant des heures pour bloquer les bactéries !!!!!

      • Lire la complexité de la maladie de Lyme qui ouvre la porte à d’autres maladies !!
        http://www.lyme-sante-verite-2.sitew.fr/fs/Root/5co6w-Directives_Dr_Burrascano_en_francais.pdf

        INFORMATIONS GENERALES
        QU’EST-CE QUE LA MALADIE DE LYME ?
        J’ai une vue d’ensemble de ce qu’est réellement la
        maladie de Lyme. Traditionnellement, Lyme définit une maladie infectieuse causée par le spirochète, la Borrelia burgdorferi (Bb). Techniquement, cette considération
        est juste, mais
        médicalement la maladie représente souvent beaucoup
        plus que cela, notamment lorsqu’elle se manifeste
        sous des
        formes disséminées et chroniques. A l’inverse, je
        considère la maladie de Lyme comme une affection résultant d’une
        morsure de tique infectée. Ceci inclut l’infection
        par la Borrelia burgdorferi, mais également les nom
        breuses co-
        infections qui peuvent être évoquées. En outre, sou
        s la forme chronique de Lyme, d’autres facteurs peu
        vent provoquer
        un dysfonctionnement du rôle immunologique, les inf
        ections opportunistes, les co-infections, les toxin
        es biologiques, les
        déséquilibres métaboliques et hormonaux, le décondi
        tionnement, etc. Je me réfèrerai à l’infection par
        la Borrelia b. sous
        le nom de « Borreliose de Lyme» (BL), et emploierai
        la désignation « Lyme » et « maladie de Lyme » pou
        r me rapporter
        au sens plus large que j’ai décrit ci-dessus.
        PRINCIPES GENERAUX
        Vous pouvez généralement considérer la BL sous troi
        s catégories : aigue, précocement disséminée, et ch
        ronique. Plus
        le traitement est commencé tôt après le début de l’
        infection, plus le taux de succès est élevé. Cepend
        ant, puisqu’il est
        plus facile de traiter la maladie dans sa forme pré
        coce, cette catégorie de BL doit être prise TRÈS au
        sérieux. Les
        infections non traitées referont surface inévitable
        ment, en général sous une forme de Lyme chronique,
        avec ses
        terribles problèmes de morbidité et les difficultés
        liées au diagnostic et au traitement ainsi que le
        coût élevé dans tous
        les sens du terme. Ainsi, tandis que la majeure par
        tie de ce document se consacre au patient chroniqu
        e, plus
        problématique, une grande attention est portée sur
        les phases primaires de cette maladie où la surveil
        lance et les soins
        les plus stricts doivent être apportés. Une questi
        on très importante réside dans la définition de la
        «
        maladie de Lyme
        chronique
        ». En me basant sur mes données cliniques et le de
        rnier compte rendu édité, j’offre la définition sui
        vante.
        Pour être reconnu malade chronique de la BL, ces tr
        ois critères doivent être présents :
        1. Maladie existant depuis au moins une année (c’es
        t approximativement à ce moment-là que le déficit i
        mmunitaire
        atteint des niveaux cliniques significatifs).
        2. Avoir des problèmes neurologiques majeurs persis
        tants (tels que l’encéphalite l’encéphalopathie, la
        méningite, etc.)
        ou des manifestations arthritiques actives (synovit
        e active).
        3. Avoir toujours une infection active à la Borreli
        a b. (Bb), indépendamment de la thérapie antibiotiq
        ue antérieure (si tel a
        été le cas). La Lyme chronique est une maladie tout
        à fait différente des phases primaires, principale
        ment en raison de
        son effet inhibiteur sur le système immunitaire (On
        a prouvé que la BL in vitro inhibe et tue cellules
        B et T, et diminuera
        le taux des CD-57, cellules tueuses naturelles). En
        conséquence, l’infection par Borrelia b. est non s
        eulement
        entretenue et libre d’avancer, mais le problème des
        co-infections surgit également.
        Les tiques peuvent contenir et transmettre une mul
        titude de microbes pathogènes potentiels à l’hôte.
        La présentation
        clinique de Lyme reflète donc quels sont les pathog
        ènes présents et dans quelles proportions. Apparemm
        ent, dans des
        infections précoces, avant que les dommages s’étend
        ent au système immunitaire, si la charge bactérienn
        e des co-
        infecteurs est basse, et que la Lyme est traitée, p
        lusieurs des autres microbes transmis par les tique
        s peuvent être
        contenus et éliminés par le système immunitaire. Ce
        pendant, chez le patient chronique, en raison des d
        éfenses
        diminuées, les composants individuels de la co-infe
        ction sont à présent suffisamment actifs de sorte q
        u’ils s’ajoutent
        aussi aux manifestations de la maladie et doivent ê
        tre traités.
        En outre, beaucoup d’infections latentes qui peuven
        t être apparues avant la morsure de tique, par exem
        ple le virus de
        l’herpès, peuvent être réactivés et venir ainsi alo
        urdir la maladie. Une conséquence malheureuse est
        que les essais
        sérologiques peuvent devenir moins sensibles pendan
        t la progression des infections, vraisemblablement
        en raison de
        la diminution de la réaction immunologique sur laqu
        elle ces tests sont basés. En outre, des complexes
        immunitaires se
        créent, emprisonnant des anticorps de la BL. Ces an
        ticorps complexés ne sont pas détectés par les séro
        logies. Il n’est
        alors pas étonnant que la séronégativité du patient
        se convertisse en séropositivité dans 36% des cas
        après le début du
        traitement antibiotique et au cours du rétablisseme
        nt. “

  2. J’ai pu suivre cette émission télévisée sur la maladie de lime récemment. Etais d’ailleurs très étonnée que France Télévision n’ait pas reçu de consigne de LA TOURAINE visant à interdire ce qui expliquait noir sur blanc que la FRANCE n’avait rien à cirer de cette maladie. Elle peut pourtant avoir de très graves conséquences sur notre organisme lorsqu’il est touche par Lime. Très peu de subventions pour la recherche dans ce domaine etc…

    En allant à la cueillette de Trompettes de la Mort dans une forêt de Dordogne, la tique du chevreuil m’a adoptée ! J’étais pourtant vêtue pour éviter tout contact avec ces bestioles ! Les premiers symtomes ont été une forte fièvre durant une semaine, (plus de 40) puis une intense brûlure à l’endroit où la tique s’était incrustée. La sensation de brûlure intense a duré un long mois. Ensuite d’autres longs mois à me traîner manquant de force, d’énergie alors que j’en débordais avant. Ce n’est que deux ans après que j’ai vu un médecin et que je lui ai signalé ma mésaventure. L’analyse pour savoir si j’avais encore des traces de cette maladie dans le sang s’est avérée négative. A la question de ce médecin qu’avez-vous fait à part désinfecter ? j’ai répondu qu’à part des compresses bien imbibées de vinaigre de cidre, rien.

    En écoutant le témoignage de cette femme Pilote d’avions dans l’émission sur Lime, me suis dit qu’après tout, voir un médecin ou pas en FRANCE pour cette infection due à une tique, était du kif kif au même.

    DU FRIC la FRANCE en a eu. Elle en a encore mais une partie de cet argent va partout, sauf là où il faut ! Le téléthon ne devrait pas exister pas plus que les restos du coeur. C’est à l’ETAT et à lui seul de subventionner la recherche pour la santé et la FAIM en France.

    J’ai aussi fait connaissance avant hier de la TAXE dite d’ARCHEOLOGIE. Elle est scandaleuse ! où va tout ce fric ?

    IL est grand temps que les truands qui nous gouvernent soient virés et VITE !

    Merci aux M.E pour cet article consacré à LIME. Cette maladie devrait être connue de tous les Français. Y compris la madame de la Santé du gouvernement socialiste. Mais elle préfère se battre pour que TOUS les PETITS Français se fassent vacciner contre la MENINGITE C ! Dangereuse et perfide bonne femme.

    TOURAINE ? Nom de Jeune fille, or madame est toujours mariée, mais s’appeler Madâme Marisol REVEYRAND de MENTHON, çà fait pas très socialiste pour REUSSIR à gravir les marches qui conduisent au poste de Ministre de la Santé.

    • Les tiques savent se faufiler sous les pantalons épais, et trouver les endroits les plus riches en sang sur votre peau !!

      Il est impossible de ne pas en avoir sur soi chaque année, pour moi !!

      Il faut absolument les enlever le plus vite possible, moins d’un jour, pour moi, détectée par une légère irritation qui fait que je regarde avec grand soin avec loupe voire microscope un point noir de moins du mm pour l’enlever avec grand soin en charcutant si nécessaire ma peau, puis désinfection forte sur des jours Dakin aussi !!

      Sinon on se fait infecter sans le savoir, la tique grossissant sur des jours et des semaines et on risque de vivre un calvaire sans fin !!

      Un traitement antibiotique puissant et long est celui qui élimine la bactérie une fois installée, le plus vite possible sur fièvre, rougeur douteuse !!

      Il faut le demander au docteur avec force, même s’il insinue que vous vous êtes trop gratté, ou autre erreur, même sans analyse qui risque d’être négative et fausse !!

      Une rougeur avec point noir central, peut être du à une araignée avec son venin, comme cela m’est arrivé, très rare, différent, car le venin agit très vite moins d’une heure, point central de peau morte noire, alors que la bactérie de tique prend plusieurs jours pour se développer en zone rouge infectée.
      Mais dans le doute il vaut mieux demander le traitement antibiotique tout de suite, de force au docteur, en montrant les témoignages vécus sur internet, avant que la bactérie puisse tout vous envahir.

  3. Bonjour,

    Il n’y a hélas pas qu’en France que le déni envers cette maladie, existe ! Dernièrement (4 mois), en consultation chez mon médecin traitant (de famille), et toujours à la recherche de l’exact atteinte dont je souffre (c’est une autre histoire), je lui fais allusion à la borréliose.
    M- (médecin) Il n’y a pas de foyers critiques en Belgique donc impossibilité de la contracter !
    E- Mais ce n’était pas en Belgique mais en France, dans les Ardennes (Givet/Vireux proxi Chooz) une région incriminée.
    M- Ah, mais ce n’est pas une tique qui peut vous infecter !
    E- Je n’en n’avais pas qu’une, mais huit, et de plus c’était en 1973. Méconnue (volonté) du corps médicale, les symptômes ont échappés.
    M- Mais non, mais on fera une prise de sang à la prochaine visite !

    • 1973, pas de chance si infecté, la bactérie a eu le temps de se balader partout avec toutes sortes de symptômes, articulations, etc.., même la folie si elle aime votre cerveau !!!

      Avec toutes sortes de symptômes variables, la formation logique des médecins les poussent à nier et à vous traiter de malade imaginaire, car ils ne savent pas comment réagir et soigner !!

      Depuis 1973, pour moi, à raison de 3 à 4 minimum par an ( surtout dans mon jardin plus qu’en forêt, de plus partout en France, de Paris au Var ), j’en ai eu plus de 100 !!!
      Mais j’ai fait très attention de les enlever le premier jour, moins du mm, point noir minuscule !!

      Donc faites attention, avec grand soin, comme moi, car inévitable les tiques !!!!

  4. A toutes fins utiles,

    Je signale qu’une transmission de la maladie peut s’effectuer directement de la mère au fœtus !

    Le risque est considérable dans toute l’Europe centrale, mais plus particulièrement en zone forestière et taillis en Belgique, en Suisse et en France où seul le littoral méditerranéen en réchappe.


    • ” seul le littoral méditerranéen en réchappe” est totalement faux, les tiques se multiplient partout même dans mon jardin proche de la Méditerranée, avec chats, chiens, dans les voitures en vacances, sangliers, renards, rats, écureuils, oiseaux, qui se baladent sur toute la France et font voyager les tiques avec leurs bactéries partout en France et en Europe !!

      Donc le risque existe partout sans zone épargnée du tout !!!

      Mon jardin m’a refilé plus de tiques que les taillis et forêts !!!

      • Je ne serai pas aussi affirmatif. Bizarrement, bien qu’habitant dans la campagne, je n’ai jamais eu de problème depuis que j’ai déménagé il y a 15 ans. J’étais à 30 km d’ici avant et mon chien avait de nouvelles tiques chaque jour. Une fois arrivé ici, il n’en a plus jamais eu une seule. Je pense que le fait qu’à côté de mon ancienne adresse il y avait une ferme et des vaches qui broutaient dans des champs n’y était pas pour rien.

        • En bord de mer dans le Var il y a des tiques dans mon jardin sans vaches à des dizaines de km, mais chiens, chats, rats, écureuils (gros réservoirs) sangliers, renards, etc.. autant qu’en région parisienne dans un autre jardin !!!
          j’ai pas de chien pour tester mais je teste sur moi de force !!!

          Donc vous avez beaucoup de chance et profitez de votre coin exceptionnel sans tiques, et priez pour que cela continue !!

          • Elles arrivent avec les animaux sans doute. Sans chair animale, pas de survie pour les tiques…?
            « Un hiver pas assez froid ne tue pas la vermine » disent les vieux paysans par ici.

            • Des animaux, rats, souris, mulots, écureuils, chats, sangliers, hérissons, oiseaux, etc.. il y en a partout !!

              Donc il y a des tiques partout avec pleins de bactéries connues et aussi très inconnues, restant à découvrir !!!

              • Désolé pour vous, mais il n’y en a pas partout !!!

                • Des rats, mulots, etc.. il y en a partout mais ils sont très doués pour se cacher, et rester invisibles sauf lorsque vous dormez la nuit, et ils résistent à tout sachant éviter les poisons les plus puissants.

    • Je pensais que c’était fini, mais vous m’apprenez que cette dictature continue d’un seul test imposé, déclaré infaillible à perpétuité interdisant tout autre test !!

      Merci à Viviane Schaller pour sa lutte acharnée pour la vérité et sauver des malades avec le test interdit .

      Donc préventivement si belle rougeur, ou autres symptômes, liés à une tique, faites la cure antibiotique préventive vite, sans analyse avec un test non efficace.

      Il est très probable qu’il existe des bactéries inconnues encore.

  5. Je souffre de neuroborreliose depuis une dizaine d’années. C’est difficile, il y a des jours passables, mais des jours tout-à-fait pénibles.
    La méditation me permet de limiter les douleurs, mais la perte de mes facultés cérébrales est incontestable.
    Dommage que je n’ai pas rencontré le docteur Richard Horowitz plus tôt !

    • Essayez la cure antibiotique comme certains avec de bons docteurs.

      Un psy ne va pas changer grand chose à la bactérie qui se balade dans votre cerveau.

      • Des médecins, j’ai en vus de nombreux, qui tous se disaient “experts”. En quoi ? Je me le demande encore !
        On m’a tout trouvé (mais jamais Lyme), et même aussi que j’étais en bonne santé, juste un peu fatiguée.
        C’est sur le forum de Lyme que j’ai eu connaissance de l’existence d’Horowitz. J’ai lu son bouquin.
        J’ai de la chance, il vient en Belgique en septembre.
        Il ya un peu plus de 10 ans, c’était juste une cure de 7 jours d’antibio. Evidemment, tout-à-fait insuffisant, mais je ne le savais pas.
        Aujourd’hui, je prends Tictox et pépins de pamplemousse.

        Un psy, j’en ai encore jamais vu, et je n’y tiens pas vraiment.

  6. C’est cette FEMME hors du commun qui a vécu un véritable calvaire durant des années que j’ai suivie lors d’une émission télévisée. Elle est vraiment à citer en exemple.JUDITH ALBERTAT; Elle ne s’est jamais avouée VAINCUE ! “ALLEZ CONSULTER UN PSY” lui a dit son médecin, las d’entendre la liste de ses maux, de ses douleurs indescriptibles ! BRAVO à cette FEMME. RESPECT ! pour tout ce qu’elle a entrepris.
    Maladie de Lyme
    “Judith Albertat, le parcours de soin épique d’une patiente atteinte de la maladie de Lyme
    Le 15/03/12, par Pryska Ducoeurjoly

    Il aura fallu dix ans à Judith Albertat pour parvenir au diagnostic de la maladie de Lyme ! Ballotée de spécialiste en spécialiste, elle raconte dans un récit autobiographique une descente aux enfers commune à de nombreux patients, mais également sa remontée avec l´aide des thérapies alternatives et de la naturopathie, combinées à l´approche allopathique classique.

    Judith Albertat est une battante. Plutôt une combattante. Malgré un état de santé chaotique et dégradé, elle n´a cessé de chercher la cause de ses maux multiples et variés, qui l´ont ballotée de spécialiste en spécialiste, de service en service. Il lui aura fallu plus de dix ans pour découvrir le nom de sa pathologie : la maladie de Lyme, une affection chronique qui serait largement répandue, bien plus que les 5 % de la population officiellement annoncés (voir notre interview de Bernard Christophe).

    Dans son essai autobiographique qui sort cette semaine, « Maladie de Lyme, mon parcours pour retrouver la santé », Judith Albertat, ancienne pilote instructeure aujourd´hui reconvertie en naturopathe, décrit une situation qu´ont vécue tous les patients atteints de la borréliose de Lyme : incompréhension du corps médical, consultations à répétition, diagnostics erronés, médicalisation à outrance, atterrissage en lambeaux chez un psychiatre.

    « Vous devriez aller voir un psy »

    – See more at: http://www.ouvertures.net/judith-albertat-le-parcours-de-soin-epique-dune-patiente-atteinte-de-la-maladie-de-lyme/#sthash.OwPX4LiU.dpuf

  7. j’ai cru
    qu’on parlait de la maladie des mimes

    l’épidémie politique,en somme,silencieuse
    elle aussi..
    https://lesmoutonsenrages.fr/wp-content/plugins/wp-monalisa/icons/wpml_scratch.gif

  8. Un article que j’avais mis de côté il y a bien longtemps. Si l’auteur se reconnait et souhaite le retirer, il n’a qu’à le signaler, ce sera fait dans les meilleurs délais.
    Il s’agit d’un témoignage qui, je pense, peut donner des idées intéressantes:
    http://www.medicinales.fr/Maladie-de-Lyme

    La lecture des courriels de détresse sur ce site, me consterne .
    De retour en métropole depuis trois ans , je suis piqué par des tiques entre 10 à 15 fois par an. je traite systématiquement ces piqûres EXCLUSIVEMENT par un mélange d’huiles essentielles.
    CE QUI EST PRIMORDIAL, c’est, lorsqu’on va dans la nature de veiller, chaque soir à vérifier s’il y en a une de fixée quelque part. En effet , le risque d’infection par la bactérie spirochète borellia est fonction directe de la durée de la présence de la tique après la piqûre.
    Dans mon cas, si je ne repère pas le parasite, j’ai remarqué que je me réveillais systématiquement la nuit, avec une difficulté à me ré-endormir. notre corps est réactif et signale d’un manière ou d’une autre les dysfonctionnements.
    Je procède comme suit : J’enlève immédiatement la tique et j’applique le mélange d’huiles essentielles distribué par le laboratoire VALNET ( en pharmacie) sou l’appellation ” TÉGAROME”. trois à quatre applications par jour ou plus, sur la peau autour du point de piqûre et, l’affaire est réglée en deux ou trois jours au plus. je continue ultérieurement s’il reste une grosseur au lieu de la piqûre jusqu’à disparition totale.
    Ce que j’indique ci-dessus , ne constitue nullement une prescription, mais la manière dont je procède depuis 3 ans.
    Intoxiqué par des “médicaments ” chimiques !! j’ai cessé depuis 1970, d’utiliser quelque médication chimique que ce soit, y compris les antibiotiques, les antalgiques ou les vaccinations.
    Je n’utilise que l’homéopathie uniciste et parfois l’aromathérapie lorsque je ne trouve pas “LE MÉDICAMENT HOMÉOPATHIQUE EFFICACE” rapidement. Mais, chacun doit savoir que si l’homéopathie ne présente quasiment pas de danger , l’utilisation d’huiles essentielles présente de TRÈS nombreux risques du fait de très grande concentration des molécules naturelles actives qu’elles contiennent. Leur dilution dans de l’huile de noisette ou du miel est une précaution STRICTEMENT INDISPENSABLE ” POUR TOUS CEUX QUI NE CONAISSENT PAS OU NE DISPOSENT PAS DE TOUTES LES INFORMATIONS INDISPENSABLES POUR POUVOIR S’EN SERVIR, SANS DANGER.
    En ce qui me concerne, je n’ai pas développé la maladie de lyme jusqu’à présent , malgré une cinquantaine de piqûres. Le “petit pieds de biche” appelé tire-tic est très pratique avec l’habitude, mais, il ne faut pas les enlever n’importe comment sinon la tête reste attachée avec les risques afférents. il faut les faire tourner dans le sens inverse des aiguilles d’une montre pour les enlever, pour tenir compte de la manière dont elles se “fichent” dans notre peau comme une vrille ( C’est moins difficile pour elles de réaliser cette piqûre en tournant, que si elles piquaient la peau perpendiculairement.
    Pour ceux qui ont laissé la tique en place longtemps ou qui ne se sont pas aperçu qu’ils étaient piqués, la manière de procéder pour se débarrasser des symptômes de la borréliose (symptômes très bien décrits dans les courriels) est plus difficile.
    Compte tenu du fait que je vis dans un milieu forestier et du nombre de piqûres que je subis chaque année, je me suis préparé à attraper la borréliose.
    Voici le traitement que je m’appliquerai: pour l’essentiel j’utiliserai des huiles essentielles chémotypées , issues de l’agri bio .
    Il existe quatre types de molécules chimiques naturelles qui sont tout à la fois bactéricides, viricides, fongicides et parasiticides. Ce sont les molécules suivantes: Thymol; carvacrol, eugénol , et cinamaldéide. On les trouve dans différentes plantes .
    Pour ma part j’utiliserai uniquement l’huile essentielle d’Origan compact ( origanum compactum, par voix interne, ( pendant un certain temps) suivant les indications fournies, par le petit livre parfois diffusé en pharmacie : auteurs A. ZIRI ET, D. BAUDOUX, intitulé ” HUILES ESSENTIELLES CHÉMOTHYPÉES et leurs synergies” page 52 ” le conseil du professionnel ”
    Les capsules oléoaromatiques permettent de préserver les qualités des H.E. pendant leur traversée de l’estomac .
    au final, je prendrai une dose HOMÉOPATHIQUE DE BORELLIA 15CH ( ISOTHÉRAPIE ) pour terminer le traitement.
    Il existe certainement un traitement homéopathique spécifique mais je ne le connais pas.Il faut trouver pour cela un médecin homéopathe uniciste compétent ce qui n’est pas évident .
    Si vous sortez du cabinet d’un homéopathe avec un sac de granules, ça veut dire qu’il n’est pas en mesure de déterminer lequel sera efficace ??? !!
    Ce qui précède ne constitue pas une prescription mais ma contribution à la réflexion compte tenu de mes expériences personnelles.
    Bon courage . I y a toujours plus de solution que de problème. il suffit de chercher et non de croire .
    gerlac.

  9. Trés bon site sur la maladie de lyme 🙂

    http://www.tiquatac.org/index.php

  10. UN VRAI TRAITEMENT POUR LA MALADIE DE LYME (sur mon blog)
    http://altitudes06.canalblog.com/archiv … 75771.html

  11. J’avais déjà mentionner ce labo qui produit un anti-tiques naturel, à partir d’Huiles Essentielles solubilisées, donc sans alcool (qu’il ne faut, comme l’éther ne jamais utiliser ur une tique ! régurgitation immédiate assurée) c’est le M.580 Ticks-Off, qui anesthésie la Tique, l’endort pour la retirer et désinfecte la plaie (anti-viral et anti-bactérien) Je l’utilise depuis cet été, c’est efficace et sans réaction. (enfants et animaux) mieux que le tire-tique qui est archaïque et présente quand même des risques si on loupe la bestiole un tant soit peu…

    Ils ont aussi une préparation pour la maladie de lyme, mais il faut leur demander, Une de mes amies l’a utilisée, multi synergie d’Huiles Essentielles très efficace, elle a eu des améliorations dès les premiers jours ! Il faut dire qu’ils sont spécialistes des HE, et c’est les seuls à avoir une formulation contre toutes les maladies tropicales…

    voici le lien pour leur site ; http://willy-muller.info

  12. Je me suis renseigné auprès de mon amie, pour la maladie de Lyme, il faut leur demander (par email sur leur site http://www.willy-muller.info) le M.589. Ils n’ont aucun souci de commercialisation, ou d’autorisation, car ils sont situés en Suisse (en zone franche) sur la frontière et expédie de france pour la france. Il est à noter qu’en Suisse, les mutuelles remboursent ces produits et formulations, c’est quand même dingue, la france est vraiment manipulée par big-pharma-chi-mique

    • La même en couleur pour la leishmaniose, un curatif existe en espagne, le labo originel qui a mis le traitement au point était basé dans le département des Alpes-Maritimes à Sophia Antipolis, depuis ils sont partis à l’étranger…

      France, pays “des lumières”, toi qui connait si bien l’obscurité des coursives d’états, repose en paix.
      https://lesmoutonsenrages.fr/wp-content/plugins/wp-monalisa/icons/wpml_cry.gif

  13. Pour lutter contre tiques, puces, etc…. un produit naturel : Ka terre de Diatomée

    http://www.encyclo-ecolo.com/Terre_de_diatom%C3%A9es

    http://www.forum-melodie.fr/phpBB3/viewtopic.php?f=8&t=1776

    Et c’est bon aussi pour les Moutons https://lesmoutonsenrages.fr/wp-content/plugins/wp-monalisa/icons/wpml_wink.gif

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