Si l’on savait vraiment d’où vient notre nourriture… (vidéo)

Pourquoi ce court métrage? Parce qu’il y a beaucoup de gens, qui achètent sans trop se poser de questions. Ca m’a fait penser à cette phrase qui en dit long “il faut manger pour vivre, et pas vivre pour manger“. L’interview de l’auteur Morgan GASTANAGA vous en dira plus sur ce petit film, qui pose les grandes questions.

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En quelques décennies, notre production alimentaire est devenue un business comme un autre, au détriment de notre santé et de notre environnement. Nous sommes de plus en plus ignorants sur les origines et les transformations de notre nourriture. Nous l’achetons de plus en plus emballée, préparée, travestie par une présentation et un goût alléchants… Et pourtant, ce qui devrait être notre médicament comme le disait avec sagesse Hippocrate, une partie de notre alimentation est devenue un véritable poison qui détruit le vivant sur Terre.

Savons-nous vraiment d’où vient notre nourriture ? Le court-métrage intitulé “Cybopath”, réalisé par Morgan GASTANAGA nous donne à réfléchir sur ce que nous ingérons tout les jours pour faire fonctionner notre organisme.

[vimeo width=”500″ height=”400″]https://vimeo.com/117051581[/vimeo]
Quelques questions au réalisateur : Morgan GASTANAGA

Pourquoi avez-vous réalisé un court-métrage sur l’origine des produits alimentaires ?À la base, je ne cherchais pas forcément à faire un court-métrage engagé sur quoi que ce soit, je voulais simplement faire un film. “Cybopath” est ma première réalisation. Je suis très intéressé par la culture manga et comics et j’ai eu envie de faire un film qui parlerait d’un personnage qui se retrouverait investi pour la première fois des pouvoirs d’Anthony CHU, le héros du comic de “John Layman” (Tony CHU détective cannibale). Tout a commencé comme ça, une fois que l’on connaît la particularité de ce personnage, les idées vont très vite, mais ce que je voulais faire avant tout, c’était de voir comment réagirait le personnage de mon film. Comment faire lorsque l’on se prend la simple vérité dans la bouche, comment va-t-il réagir face à toutes ces images qui vont le submerger et lui révéler la simple vérité.

Il faut savoir que je ne suis pas végétarien, j’aime manger, de tout, mais je suis conscient du grand n’importe quoi que les humains sont capables de faire, c’est pourquoi j’essaye à mon niveau de faire attention. Je ne mange pas certain produit comme “Petit Navire” à cause de leurs techniques de pêche destructrice, j’évite au maximum d’acheter des produit affilié “Monsanto”, mais parfois sans le faire exprès, on en utilise ou bien l’on en mange, c’est ce que je trouve dramatique. Je ne vais pas râler chez un ami qui m’a préparé un poulet qui ne sera pas fermier, chacun fait les efforts qu’il peut à son échelle. Toutes les images qui alimentent les “flashs” dans le film, je savais que ça existait, le problème, c’est que c’est comme ça, c’est la vie d’aujourd’hui. Alors tout le monde me dit que j’ai voulu faire un film engagé, mais à la base, ce n’était pas le cas.

Quelles réactions avez-vous reçues ?…../….

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Auteur Christophe Magdelaine pour Notre-Planète-Info

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Volti

4 Commentaires

  1. Bonjour,

    C’est bien un des problèmes auxquelles nous sommes confrontés chaque jour hélas !
    Entouré de mal bouffe industrielle, des quotas et pseudo études sur des produits génétiquement “modifié” à la base.
    Je regardais il y a peu un documentaire sur la tomate et voir que les industrielles ne s’ennuie même plus à utiliser de la terre pour les faire pousser.

    Que les graines sont créé à la demande dans des laboratoires qui proposent de nouvelles variétés résistante, dopé en vitamines ou je ne sais quoi et que l’on retrouve à auchan sur un nom falsifié pour tromper le consommateur.

    C’est grave, mais je me pose la question depuis un moment. Celui qui veut faire des tomates à l’ancienne, déjà la difficulté de se trouver des graines “saines”, une serre qui enferme une petite profondeur de terre pour éviter les eaux de pluies polluer et la remonté depuis les sols.
    Et même encore à ce niveau là, il y a l’eau qui elle aussi est infesté par la pollution et autres résidu que nos stations de pompage n’arrivent pas à éliminer.

    Et pour combler le tout, si on ne veut ajouter aucun engrais, ni pesticide, l’air véhicule de nos jours tellement de saleté que les plantes finissent par tomber malade.

    Aujourd’hui, si on veut vraiment contrôler ce qu’on veut manger, faut s’accrocher !!

  2. Si l’on savait vraiment d’où vient notre nourriture…

    Je sais pas pour vous, mais la mienne vient du supermarché.
    Parfois vous avez de ces questions, franchement…

  3. Le plus grand problème de tous les jours c’ est le blé.
    Si si!, verra qui vivra.

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