Ukraine: Un témoin, chirurgien, a la parole: un nouveau Slaviansk…

J’ai entendu ce matin à la radio, que la propagande pro-russe allait bon train sur la toile, et le présentateur de citer (sans les nommer) parmi la demi douzaines de sites, (sic) le nouveau site de la voix de la Russie “Sputnik“et ses moyens considérables (re-sic). Il est de bonne guerre de se servir des outils à disposition, pour inciter les peuples à adhérer aux décisions prises par les gouvernements, en matière de sanctions ou d’interventions plus ou moins logiques, et nos médias ne dérogent pas à la règle. Donc,  informez vous partout, regardez des deux côtés et faites vous votre propre opinion, sur les véritables enjeux de ces conflits où, (est il utile de le préciser) ce sont nous les peuples qui en subissont les conséquences. Les décideurs eux, loin des massacres  des morts, et des exactions commises, se contentant au pire,  de fournir de la chair à canons. Souvenez vous de l’ignoble mensonge, des armes de destructions massives de Sadam Hussein, qui a permis la guerre en Irak. Et après on nous qualifie de conspirationnistes??

Michael Kowalenko

Comme promis, je publie mon interview avec Michael Kowalenko, qui a sauvé des civils, des membres de l’armée et des gardes nationaux nazis.

Propos recueillis par Andrej Omeltschenko

Le 15 février, à minuit, le sang doit cesser de couler en Novorussie, sang versé dont la photo ci-dessous est devenue pour beaucoup l’amer symbole. Le portail d’information et d’analyse „NewsBalt“ a pu trouver et parler avec l’homme de la photo, qui tient dans ses bras une petite fille morte. Michael Kowalenko est médecin, il vit maintenant en Russie, mais nous ne voulons pas indiquer la région où il vit, car les Bandéristes recherchent le héro chirurgien..

 Michael Georgiewitch, cette photo est célèbre. Dans les médias ukrainiens, on a pu lire que c’est la photo d’un père qui fuit avec sa fille devant les séparatistes. Êtes-vous l’homme de la photo ?

-– Oui, c’est moi. Je ne sais pas d’où vient la photo. Et les grenades qui ont tué cette petit fille venaient de Karatschun. Il y avait là-bas une batterie ukrainienne qui canonnait régulièrement la ville. C’est de là-bas qu’on a tiré.

– Quels sont les événements représentés sur la photo?

– Cela se passait à Pâques. Je revenais de l’église avec ma femme. L’approvisionnement en eau de la ville était déjà coupé. Dans ce quartier de maisons privées, quelques puits avaient été forés et tous les voisins venaient y chercher de l’eau. La milice a apporté un générateur (il n’y avait plus d’électricité non plus). On a entendu deux explosions. On tirait sur la place où les gens venaient chercher de l’eau. Un milicien est arrivé en courant, une petite fille dans les bras. Quelqu’un a crié: «Le médecin est ici !» Le soldat m’a donné la petite fille. De ma maison jusqu’à l’hôpital, il y avait 500 mètres. J’ai couru jusque là. Lorsque je l’ai déposée sur la table d’opération, j’ai compris que la petite fille était morte. Elle était blessée aux hanches, à l’abdomen, à la tête. Plus tard, quand j’ai observé cette photo, j’ai compris que la petite fille était déjà morte. Sur le moment, dans la hâte, je ne l’avais pas vu.

– Qui a tiré?

– Une montagne, le Karatschun, domine la ville. La seule montagne dans notre région. C’est là qu’était postée la batterie ukrainienne, qui mitraillait la ville en permanence. C’est de là qu’on a tiré. Les traces aussi montrent exactement d’où venaient les tirs. A Slaviansk, la milice n’a jamais tiré sur la ville, j’en mets ma main au feu.

– Beaucoup d’Ukrainiens, qui sont pour l’ATO [Action anti-teroriste, NdT], croient que les milices se tirent elles-mêmes dessus.

– On peut faire croire beaucoup de choses à un être humain. Moi-même j’ai dû convaincre des patients incurables qu’ils allaient guérir. Ils m’ont cru.

– Ils ont guéri?

– Non. Ils sont morts. Mais ils y croyaient.

– Michail Georgiewitch, quelles impressions, quels souvenirs vous sont restés du commencement de la guerre?

– Jusqu’à Pâques, j’avais l’impression que tout pourrait encore se régler. On tirait un peu à la périphérie de la ville, mais il n’y avait pas beaucoup de victimes. L’horreur a commencé le 2 mai. Le 2 mai, exactement, la colonne militaire qui contrôlait Karatschun a bombardé le village de Semenowka – c’est une petite localité, si on la compare à Donetsk, environ 200 maisons. Les habitants ont bloqué la rue pour empêcher la colonne d’arriver à Karatschun. Ils ont convenu avec le commandant de l’unité que les soldats tireraient en l’air puis diraient à leurs supérieurs: nous avons tiré toutes nos munitions et nous avons dû nous retirer. Et l’unité de l’armée régulière ukrainienne a tiré quelques coups en l’air, puis ils ont tout simplement commencé à tirer sur les gens. Ce jour-là, j’étais justement de garde à l’hôpital. Ça a été le premier vrai carnage. Seize personnes blessées par balle nous ont été amenées. De telles blessures, aussi nombreuses, c’était inhabituel pour nous, médecins. Trois personnes avaient reçu des balles dans la région abdominale. Un autre dans la cage thoracique. Nous l’avons perdu. Les autres étaient blessés aux jambes. Ce jour-là, nous avons perdu quatre personnes. Les autres ont survécu. Après ce carnage, une partie des habitants a fui en ville. Une partie est restée. Il y avait un certain équilibre entre la milice et les troupes ukrainiennes. La milice a pris position au pied de la montagne. L’armée ukrainienne était sur la montagne.

Dans l’étape initiale, il y a eu quatre attaques. Il y a eu quatre blessés civils. Des miliciens ont aussi été blessés. On nous amenait aussi les gardes nationaux nazis. Nous les avons soignés. Il y avait beaucoup de bombardements sur les zones d’habitation. Ma maison aussi a été bombardée. Cela fait très peur lorsque tu entends des explosions pendant que tu es en train d’opérer un blessé, et à l’hôpital, les explosions sont si fortes que tout le bâtiment tremble. Les militaires se préparent à ce genre de choses, d’une certaine manière. Ils savent comment se cacher, comment se comporter. Mais nous pas. Mon infirmière est morte à trente mètres de l’hôpital. Une maison a été bombardée par un avion. Maintenant, j’ai déménagé dans un logement à proximité de l’aéroport. Ce n’est qu’au bout de six mois que j’ai cessé de sursauter quand j’entends un avion.

Il y avait beaucoup de travail?

– Pendant un temps, je ne suis pas du tout sorti de l’hôpital. Il fallait constamment un chirurgien parce que des blessés arrivaient régulièrement. Nous n’avons pas séparé les gens entre ceux-ci et ceux-là. Nous les avons tous opérés. Il est arrivé que sur un lit il y ait un milicien et sur le lit voisin un garde national nazi.

-– Michail Georgiewitch, comment avez-vous décidé d’aller en Russie?

– Le 17 mai, lorsque la milice a perdu la ville, je suis aussi parti. Trois ou quatre jours plus tard. D’abord à Kharkov, ensuite en Russie. En plus, nous avons appris que la milice s’en allait le jour où elle est venue. Ils sont entrés et nous on dit : « Docteurs, nous quittons la ville maintenant. Ceux qui le veulent peuvent venir avec nous. Montez dans les voitures. »

Nous avons brûlé tous les dossiers médicaux. La milice de Slaviansk était composée presque exclusivement de locaux. Slaviansk est une petite ville comparée à Donetsk, 120 000 habitants. Pouvez-vous vous représenter ce qui se serait passé pour leurs familles si l’armée ukrainienne avait appris qu’ils avaient été blessés par balle? Après le départ de la milice, la ville a été calme pendant toute une nuit. Un silence absolu, lumineux. Personne, ni civils, ni soldats ukrainiens. Vers midi, les premiers soldats ukrainiens sont apparus dans la ville. Les gens se sont évidemment cachés. Pendant ce temps, j’étais à l’hôpital et j’ai observé comment deux véhicules blindés sont arrivés puis sont repartis. La nuit, ils sont partis. Le lendemain, ils sont revenus pendant la journée, et repartis la nuit. Ce n’est que le troisième ou quatrième jour qu’ils sont restés dans la ville. Ils ont ainsi établi une ceinture de blindés et ils passaient la nuit derrière.

– Pourquoi avez-vous décidé de partir?

– C’est personnel. On a tiré sur moi personnellement. Avec des canons, avec des fusils. On peut le formuler comme ça: le gouvernement ukrainien a tout fait pour me tuer personnellement. Ils ne m’ont pas tué, parce que je suis habile. Pas parce qu’ils ne se sont pas assez donné de peine – ils se sont donné beaucoup de peine – mais parce que j’ai eu la chance de m’en tirer. Et vivre dans un pays dans lequel le gouvernement me tire personnellement dessus, je ne le peux tout simplement pas.

– Vous avez pensé qu’ils se trouvaient en territoire ennemi? Est-ce qu’ils avaient peur?

– Oui, ils ont encore peur. Mon ami m’a raconté. Après 18h ou 19h, la ville est vide. Personne ne va dans la rue. Ils patrouillent dans la ville. Mon ami était dehors tard, il était en route pour rentrer chez lui avant le début du couvre-feu. Et tout à coup, à peu près à dix mètres de lui, des tirs de mitrailleuse. Sans sommation. Il a sauté sur le côté : «Mais que faites-vous? » Et eux : «Tournez et faites un détour.» Cela veut dire que si un civil s’approche d’eux, ils ont peur.

– Qu’avez-vous entendu sur les actes de vengeance sans comparution au tribunal?

– Des gens ont disparu. Un de mes amis a disparu. Il ne faisait pas partie de la milice. C’était seulement un petit entrepreneur. La plupart des petits entrepreneurs ont financé la milice. En août, sa femme a téléphoné, en larmes, elle a raconté que son mari n’était plus là depuis trois jours et que personne ne pouvait le trouver. Donc rien que parmi mes connaissances, il y a déjà deux cas comme ça.

– Michail Georgiewitch, est-ce que Strelkov leur a monté la tête ou est-ce que le peuple s’est levé tout seul?

– Strelkov est arrivé dans la ville qui était déjà prête pour un soulèvement. C’est pourquoi tous les gens de Strelkov sont tous des gens du coin. C’était un véritable soulèvement populaire. D’abord les gens étaient armés de fusils de chasse, quelques-uns avaient des fusils mitrailleurs Schmeisser allemands, ou des PPS [fusils mitrailleurs russes, NdT]… Pourquoi est-ce que les gens ont commencé à s’armer? Il y avait des manifestations de masse. Et après ces énormes assemblées, des gens ont commencé à disparaître. En plus, tous voyaient les photos de Korsun-Schwetschenkowa. Comment les bus étaient incendiés, comment les gens étaient battus et tués. Jusqu’à une période récente, j’étais sceptique à propos de ce Maïdan, je le prenais plutôt avec humour, comme le dernier, celui de 2004. Jusqu’à ce que la véritable boucherie commence. Tout à coup, le Secteur Droit, le Tribzub, etc. [mouvements nazis, NdT], sont sortis comme des diables de leurs boîtes. Nous n’avions jamais entendu parler de ces organisations auparavant. Là, j’ai eu peur. Pour la première fois.

– La raison de la résistance n’était probablement pas qu’on les a forcés à écouter les informations en ukrainien?

– Nous avons entendu pendant plusieurs années, de la part de Kiev, qu’au Donbass ne vivent pas des humains, mais des Donbassjane, qu’avec ces Donbassjane, on ne peut parler que le langage de la violence, que Lvov est la capitale culturelle. Désolé, mais tout, leur théâtre, etc. a été construit par les Autrichiens et ils n’ont même pas de troupe. Et le Théâtre académique de Donetsk a monté le Hollandais volant, et ce spectacle a fait fureur dans le monde entier. Cela n’a paru nulle part dans la presse ukrainienne. Toute l’Europe était enthousiasmée par ce Hollandais volant. Tout cela a aussi joué un rôle. Pour nous, c’était clair qu’on ne tiendrait aucun compte de nous. Comme nous disions : «Le gouvernement des vainqueurs est arrivé au pouvoir en Ukraine». Pas l’Ukraine tout entière, mais celle des vainqueurs.

Tout ce que j’ai observé en Ukraine est parfaitement décrit dans les ouvrages de Feuchtwanger, de Remarque. Je me sentais parfois comme un personnage de ces romans. Sauf que, dans L’obélisque noir [de Erich-Maria Remarque, NdT], par exemple, les personnages vivent dans une situation où la junte a déjà perdu.

On peut dire que vous avez affronté les nazis les yeux dans les yeux, même le blessé. Est-ce qu’ils ont peut-être changé d’avis après avoir vu les résultats de leur défense de la patrie, après avoir vu les enfants et les civils morts, lorsque les chaînes de télévision ukrainiennes n’étaient plus là?

– Je ne me rappelle pas qu’ils aient changé d’avis. Vous savez, je crois que le sujet, ce n’est pas le téléviseur. Je pense que ce sont des médicaments psychotropes ou quelque chose comme ça. Les nazis que j’ai vus donnaient l’impression d’être sous l’influence de préparations quelconques. Peut-être du groupe des phénamines. Probablement que c’était une sorte de pharmacologie de combat. Elle abaissait le seuil de la peur, celui de la douleur, augmentait la tension musculaire et la rapidité de réaction.

Une fois, j’ai opéré un combattant de la garde nazie, qui avait une blessure mortelle. Il s’est comporté de manière extrêmement inadéquate. Il était irrité. Agressif. Il ne ressentait absolument aucune douleur. Il se levait, s’asseyait. On ne peut pas décrire l’expression de son visage. Des yeux de verre, une perception totalement acritique de l’environnement… Peut-être que c’est subjectif, peut-être que je me trompe.

Je pense que la brutalité apparaît dans le processus. Quelqu’un s’y abandonne, l’autre non. Prenons Khatyn. Il s’avère maintenant que ce sont les Ukrainiens qui l’ont fait. En URSS, cette question était occultée. Mais maintenant, il est connu que Khatyn est un exploit ukrainien. C’est aussi comme ça ici. Ce sont les mêmes personnes, avec le même comportement.

– Pourquoi si peu de gens ont-ils rejoint la milice les premiers temps?

– On ne les a pas pris. Une connaissance est allée au point de rassemblement avec une carte d’identité militaire, un officier. On lui a demandé: «As-tu des enfants? ». Il a dit qu’il en avait deux. On ne l’a pas pris. On a pris des jeunes, célibataires, qui étaient dans l’armée.

Avez-vous entendu dire que les hôpitaux dans les territoires occupés par la junte sont pleins de femmes violées, dont aussi des jeunes filles mineures?

– J’en ai entendu parler. Je ne l’ai pas vu moi-même. Mais je le crois, parce que j’ai vu ces gardes nationaux nazis.

– Michail Georgiewitch, peut-on dire que le gouvernement ukrainien pratique un génocide sur la population du Donbass?

– Comment voyez-vous cela: une ville paisible, où la milice populaire est constituée par les habitants de la ville, est tout simplement bombardée par le gouvernement? Au lieu de discuter avec les habitants, d’envoyer un négociateur? Pourquoi est-ce que cela n’a pas été fait? Pourquoi ensuite les bombardements ont-ils commencé?

Et les bombes au phosphore? J’ai vu ces brûlures. Six personnes avec de telles brûlures ont été amenées chez nous. J’ai vu tout cela et je suis prêt à le confirmer sous serment.

Est-ce que Porochenko a envoyé un négociateur? Peut-être pour demander: «Que voulez-vous?» Le peuple voulait se sentir un peuple. Personne n’a parlé avec nous. Et la guerre a commencé.

– Vouliez-vous que ces tirs d’artillerie, que la même guerre commence dans le centre de l’Ukraine et dans l’Ouest ? Pour leur faire sentir ce que vos compatriotes ressentaient? Pour qu’ils comprennent que tuer des civils, c’est mal?

– En aucun cas! Ce qui se passe maintenant en Ukraine – c’est exactement le fascisme. Comprenez-moi bien. Le Donbass est un endroit où on n’a pas distingué les gens en fonction de leur caractéristique nationale. Où un Russe, un Ukrainien, un Tatar, un Arménien, un juif et un Ouzbek buvaient du cognac ensemble, à la même table. Nous avons fait la fête et discuté de religion. Une image merveilleuse.

– Et comment se fait le passage à une vie paisible ?

– Mes amis en Russie m’ont aidé pour le déménagement. Lorsque nous sommes arrivés, il s’est avéré que l’hôpital ici cherchait à la fois un chirurgien et un médecin généraliste. Ma femme et moi avons été engagés. Nous nous habituons lentement à la vie dans la paix. Personnellement, ce n’est que depuis quelques semaines que j’ai cessé de sursauter la nuit lors des feux d’artifices des mariages. Je souhaite à tous la paix et une vie tranquille.

Traduction du russe par http://anjamueller.livejournal.com/92379.html

Traduit de l’allemand par Diane, relu par jj pour le Saker Francophone

Voir aussi:

Deuxième jour de manifestation devant la banque centrale ukrainienne à Kiev

Lettre ouverte à Imran Hussein, par un musulman français (1/2)

Lettre ouverte à Imran Hussein, par un musulman français (2/2)

 

Volti

47 Commentaires

  1. Le président à Kiev a caché son nom juif pour prendre celui de sa femme et l’objectif de cette guerre est de trouver un nouveau territoire pour les juifs, et donc il faut supprimer les habitants actuels !
    Voir les articles de Fulford : http://changera.blogspot.fr/

    • Selamat Jalwa !
      Nous sommes de retour !
      Beaucoup de choses se passent dans votre monde !
      Nos alliés terrestres ont commencé la phase initiale de transfert de fonds, à différents points-clés.

      Toujours à fond dans ses délires le Fulford…
      Avec ses conférences galactiques,
      on est pas sortis du trou…
      Pendant ce temps là, Charles-attend………

      • Cette article n’est pas de Fulford, il faut fouiller vers Fulford :
        http://changera.blogspot.fr/2015/02/fulford-la-cabale-perd-ses-financements.html
        Il parle de l’origine caucasienne de la majorité des juifs de l’ancien Khazarian situé en Ukraine, qu’ils veulent récupérer !

        Ces articles viennent des sites alternatifs américains !

        • Ca fait sérieux les conférences galactiques?…
          J’ai pas mal lu ce qu’il publie, mais franchement,
          entre les dragons blancs, la cabale et tout le reste,
          c’est un mélange de vérités et d’intox, qui doit en ravir
          pas mal, vu les liens qui dirigent sur son blog.
          La reprise d’articles d’où qu’ils viennent, n’est pas un
          gage de vérités absolues..

          • +1 voltigeur

            Le meilleur moyen pour faire avaler des mensonges est de les agrémenter de quelques vérités, le tout dans une succulente soupe émotionnelle.
            C’est constamment le cas avec les articles de Fulford, qui ne sont rien de moins que de la littérature New Age, ravissant les chercheurs de vérité en manque de science-fiction.
            Pour obtenir du fantastique, même pas besoin de se tourner vers ce genre d’informateur, il suffit de regarder en soi.

          • Ces gens maitrisent l’art du sophisme.

            En mélangent habilement le vraisemblable, cela fait tomber beaucoup de gogos dans les mains des manipulateurs.

            • Et après, on vient te parler de sectarisme, de
              communautarisme, sophisme, catastrophisme,
              et tous les “ismes” possibles pour meubler l’espace…

                • Pas besoin d’etre bizounours pour s’apercevoir que tu a un problème récurrent avec la religion juive.

                  Cela commence a devenir pénible de voir tes propos quasi antisémites en permanence.

                  • Je dénonce les Juifs chaque fois qu’un article aborde un sujet dont les Juifs sont la cause… et effectivement, les sujets sont actuellement très nombreux!
                    Il y a une explication eschatologique à cela mais là encore, je me marre de voir ces millions d’Athées qui ne se posent même pas la question de la légitimité de l’envahissement de la Palestine par les Juifs, à partir du moment où ils supposent que la Bible, ce ne serait qu’un ensemble de fables et de légendes…

                • Ouvertement anti-sémites ce blog, il pourrait
                  dénoncer le sionisme, plutôt que de dire “juifs”, ce
                  qui en l’occurrence les met tous dans le
                  même panier…

                  • Ils sont tous à mettre dans le même panier! à quelques très très rares exceptions…. Car le silence complaisant de ces juifs, qui se disent “non sionistes” lorsqu’ils sentent venir l’éventualité d’un possible retour aux “zeures sooooombres de l’histoaaaaare” en raison des exactions de leur coreligionnaires, est plus que complice…

                    • Estimes toi heureux d’etre encore ici car avec ce que tu viens d’écrire, ailleurs tu aurais été viré sur le champ.

                    • Mon propos est de témoigner de la vérité, même si elle est dérangeante et politiquement incorrecte.
                      Il semble en effet que sur ce blog, contrairement à bien d’autres qui prétendent pourtant vouloir poursuivre le même but, la liberté d’expression puisse s’exprimer.

                      Par contre, relis toi Thiery92, tu ne sais que te faire l’avocat de cette bien-pensance contemporaine si habilement établie depuis près de 70ans par ceux là-mêmes qui ont mis l’humanité en esclavage. Alors qu’ils sont responsables de la majorité des maux de l’humanité qui sont dénoncés dans ce blog.. mais en aucun cas, tu n’apportes de contradiction argumentée à mes commentaires.

  2. Au sujet de la propangande… Je tombe régulièrement sur des gens qui se “moquent” si on peut dire ça comme ça, de la propagande russe… Et j’aime bien taquiner en disant “pourquoi est-ce que les médias russes seraient plus propagandistes que les médias occidentaux, US, etc” ? évidemment c’est affligeant quand on me répond “il suffit de lire et de se renseigner un peu”. C’est vraiment consternant, mais que peut-on faire quand les gens ont été systématiquement éduqués à ne rien remettre en cause ?

    • Mieux vaut en parler aux indécis, c’est eux qui font pencher la balance dans un sens ou dans l’autre, lors des élections.

      • pas faux… mais sur de tels sujets peu sont ceux qui n’ont pas d’avis, justement… c’est à ca que ça sert, la propagande, a éviter la neutralité

        • C’est parfois dans la douleur qu’on ouvre les yeux. Beaucoup sont tellement lobotomisés que je ne vois hélas aucun signe d’ouverture d’esprit au-delà de leur petit monde. Je ne m’inquiète pas pour ces gens-là. Il y a urgence d’ouvrir les yeux. Tout le monde ne le fera pas, quelle que soit l’énergie que ceux qui voient clair pourront donner pour y parvenir.

          C’est un exemple trouvé dans un article écrit par un américain, qui parle du Titanic qui va couler, que je reprends ici en version allégée :
          Tu es le seul à bord qui sait fabriquer des canots de sauvetage. Vers quel groupe de voyageurs vas-tu te tourner pour en construire d’urgence avant que le Titanic coule :
          1 – ceux qui ne savent rien faire de leur dix doigts et sont paniqués ?
          2 – ceux qui ont compris que le bateau va couler et son prêts à t’aider ?
          3 – Ceux qui rient de toi et sont sûrs que le Titanic ne peut pas couler ?

    • Consternant la suffisance des imbéciles.
      Dis leurs de lire autre chose que le journal de Mickey!..

  3. Tiens donc,
    Katyn serait une exaction ukrainienne.
    Si cela se confirme, que dire du comportement des Polonais!

  4. En Ukraine des innocents sont les principales victimes, pire contre tout respect des lois de la guerre, les hôpitaux sont pris pour cibles, comme si il n’y avait pas assez de misère en ce moment!

    http://autonomes.blogspot.fr/2015/02/hopitaux-en-ukraine-ils-sont-les-cibles.html

    C’est honteux !

  5. Encore un peu de propagande “pro-russe” pour la peine..
    Steiner ‏@Steiner1776 · 3 min.
    #NAF captured a #US supplied counter mortar system worth 118.000 $ in #Debaltsevo pocket #Ukraine
    https://pbs.twimg.com/media/B-R7gPNIgAAfnhh.jpg:large
    https://pbs.twimg.com/media/B-R7gngIEAAmAyh.png:large
    https://pbs.twimg.com/media/B-R50LoCUAAbK_J.png:large

  6. La défaite de Debaltsevo, un véritable désastre pour l’armée et le gouvernement “néonazi de Kiev, un petit “Stalingrad” pour imager . (pertes humaines et destructions et saisies de matériels impressionnants)
    C’est également une défaite majeur pour l’OTAN, qui avait
    suréquipé et encadré l’armée Ukrainienne .
    Les “FORCES Armées de Novorussia” découvre de plus en plus
    l’implication occidentale et de l’OTAN, au vue de leurs découvertes sur le terrains, à l’exemple de moyen de communications satellitaires et véhicules Humvee américains

    https://http://www.youtube.com/watch?v=kjf95WiAo3g&feature=youtu.be

    https://http://www.youtube.com/watch?v=DHqMP70DVaI

  7. Bon, serieux. les Français seront les feux arriere de l’europe. Fini le temps ou c’etait les lumieres. 🙂

    http://lesakerfrancophone.net/allemagneinterview-dun-membre-du-parti-eurosceptique-allemand-afd/

  8. Les Forces Armées Novorussiennes remercient chaleureusement les états unis pour la fourniture des nouveaux radars portables anti mortiers, mais leurs demande de ne plus en envoyer, ils sont équipés. https://lesmoutonsenrages.fr/wp-content/plugins/wp-monalisa/icons/wpml_yahoo.gif
    http://fortruss.blogspot.de/2015/02/naf-thanks-united-states-for-new-lcmr.html

  9. Les FAN remercient également le canadiens et l’OTAN pour leur équipement, notamment les bottes thermiques.
    Ils apprécient aussi certains équipement mais pas les gilets tactiques dont les poches ont une tendance a se déchirer quand ils rampent et a se remplir de terre.

    http://fortruss.blogspot.de/2015/02/naf-thank-you-to-canadians-and.html

    Si comme moi vous comprenez le cheyenne mais refusez de le parler autrement que sous la torture, je vous conseille ce blog qui regroupe en une page la majeur partie des sources d’info russe.

    http://fortruss.blogspot.fr/

  10. Pour l’instant personne n’a percuté sur ce “détail” ??????
    je cite :

    On peut dire que vous avez affronté les nazis les yeux dans les yeux, même le blessé. Est-ce qu’ils ont peut-être changé d’avis après avoir vu les résultats de leur défense de la patrie, après avoir vu les enfants et les civils morts, lorsque les chaînes de télévision ukrainiennes n’étaient plus là?

    – Je ne me rappelle pas qu’ils aient changé d’avis. Vous savez, je crois que le sujet, ce n’est pas le téléviseur. Je pense que ce sont des médicaments psychotropes ou quelque chose comme ça. Les nazis que j’ai vus donnaient l’impression d’être sous l’influence de préparations quelconques. Peut-être du groupe des phénamines. Probablement que c’était une sorte de pharmacologie de combat. Elle abaissait le seuil de la peur, celui de la douleur, augmentait la tension musculaire et la rapidité de réaction.

    Une fois, j’ai opéré un combattant de la garde nazie, qui avait une blessure mortelle. Il s’est comporté de manière extrêmement inadéquate. Il était irrité. Agressif. Il ne ressentait absolument aucune douleur. Il se levait, s’asseyait. On ne peut pas décrire l’expression de son visage. Des yeux de verre, une perception totalement acritique de l’environnement…

    Donc on peut en conclure que comme les combattant du Daesh, les combattants ukrainiens sont sous l’effet de drogues de combat. Eventuellement du captagon.

  11. a propos de l’ukraine.

    http://fr.sputniknews.com/international/20150220/1014825130.html

    Le gars chocolat chenko va avoir des gros problemes.
    Il a interet a porter un gilet pare balle.

Les commentaires sont clos.