Rappel de faits: Les Etats-Unis stérilisent la population des pays en développement

768106-sterilisation-equipements-chirurgie-base-preventionComment empêcher que le nombre de pauvres ne prennent trop d’ampleur? En les stérilisant. Une aberration, une véritable folie qui revient à lutter contre l’humanité elle-même. Et la lutte contre celle-ci n’est pas nouvelle, ce qui est nouveau, c’est de financer la stérilisation de masse qui malheureusement ne peut être niée non plus comme nous le montrent les articles éjà publiés dans les médias. En Indes, les femmes acceptant de se faire stériliser sont récompensées avec un pactole mirobolant de 1400 roupies, soit 18 euros comme nous le rappelle le journal 20minutes dans un articles sur les stérilisations de masse, dans le Rajasthan, toujours suivant un article de 20minutes, ils ont même organisé une loterie avec une voiture Nano à gagner (la moins chère de la planète, 3000 euros) pour inciter les femmes à se faire stériliser. Au Kenya, un agent stérilisant a été trouvé dans les vaccins contre le tétanos. Et si l’on se réfère à l’encyclopédie en ligne Wikipedia qui vaut ce qu’elle vaut, l’on peut y trouver nombre de renseignements et de références sur le sujet:

 

Au Canada:

Deux provinces canadiennes, l’Alberta et la Colombie-Britannique, ont aussi mis en place de tels programmes, à des fins eugéniques, comparables au programme américain (à l’exception du versant pénal, concevant la stérilisation en tant que châtiment, qui n’existait pas au Canada). La province d’Alberta vota l’Alberta Sexual Sterilisation Act (Loi d’Alberta de stérilisation sexuelle) en 1928. Entre 1928 et 1972 environ 3 000 stérilisations ont été opérées, de manière obligatoire ou prétendument « volontaire », sur des individus d’âges et d’ethnies différents. La loi de 1928 n’autorisait la stérilisation qu’en cas d’accord du sujet ou de son tuteur, en fonction de la compétence de celui devant effectuer l’opération. Un amendement de 1937 autorisa la stérilisation forcée des handicapés mentaux, sans leur accord ni celui de leur tuteur. La province d’Alberta accrut encore l’ampleur de son programme de stérilisation après la Seconde Guerre mondiale. En 1972, date de clôture du programme, cinquante personnes avaient été opérées de force.

Les femmes, les jeunes et les minorités formaient la majorité des cibles du programme. Les mineurs étaient souvent considérés comme « handicapés mentaux », ce qui les plaçait sous la dépendance d’adultes, et les privait donc de leur consentement.

Les métis et les Amérindiens ont été largement visés, quel que soit leur âge par ailleurs (formant 2,5 % de la population, ils représentaient 6 % de la population détenue dans des institutions psychiatriques, et, à la fin du programme, 25 % des victimes). On leur imposait souvent le statut de « déficient mental », les privant de droits civiques et les assujettissant à la stérilisation contrainte. Les femmes, en particulier jeunes, pauvres et célibataires, formaient aussi une grande partie des victimes ; on les soupçonnait de prostitution ou, à tout le moins, de mauvaises moeurs, actes qui favoriseraient, selon les théories en vigueur, la « dégénérescence » morale. Si leur sort personnel était considéré comme au-delà de toute rédemption, du moins n’auraient-elles pas de progéniture « décadente ».

Aux Etats-Unis:

Les États-Unis ont été le premier pays à mettre en place un programme officiel de stérilisations contraintes, dans le cadre d’une idéologie eugénique alors en vogue, représentée par Madison Grant et d’autres. Ils ont stérilisé contre leur gré plus de 64 000 personnes des années 1900 aux années 1970. Le programme visait d’abord les retardés mentaux et personnes sujettes à des troubles psychiques. De plus, certains États visaient aussi les sourds, les aveugles, les épileptiques et les victimes de malformations congénitales. En outre, les Amérindiens ont aussi été victimes du racisme d’État, et nombre d’entre eux ont été stérilisés contre leur gré, sans même en être informés, lors de séjours en hôpital (en maternité, etc.)[réf. nécessaire]. D’autres stérilisations, à une moindre échelle, ont eu lieu en prison et dans le cadre pénal, en visant la criminalité. Au total, plus de 65 000 personnes ont été stérilisées dans 33 États différents dans le cadre de programmes semblables.

Israël:

Entre 2000 et 2005, le gouvernement Israélien a reconnu avoir procédé à l’injection forcée de Depo-Provera (acétate de médroxyprogestérone), un contraceptif, sur des milliers de femmes éthiopiennes juives, les Falashas. Ces injections étaient conditionnés à l’autorisation d’entrée sur le territoire et étaient masqué sous le nom de “vaccin”.

Au Pérou:

Au Pérou, le président Alberto Fujimori (1990-2000) a été accusé de génocide et de crimes contre l’humanité en raison du programme de stérilisation mis en place24. Le Pérou avait alors mis en place un programme de stérilisations forcées contre des Amérindiennes (essentiellement des Quechuas), au nom d’un « plan de santé publique », présenté le 28 juillet 1995. Le plan était financé principalement par l’USAID (36 millions de dollars) et, loin derrière, le Fonds de population des Nations Unies (UNFPA). Le 9 septembre 1995, Fujimori présente un projet de loi modifiant la « loi générale de la population », afin d’autoriser la stérilisation. Des méthodes de contraception sont aussi légalisées, toutes sortes de mesures auxquelles s’opposent fortement l’Église catholique ainsi que l’Opus Dei. En février 1996, l’OMS elle-même félicite alors Fujimori pour son plan de contrôle démographique.

Suède:

Des années 1930 aux années 1970, la Suède a stérilisé 62 000 personnes sur une population totale de plus de six millions d’habitants. La stérilisation était une condition préalable pour pouvoir conserver la garde des enfants, toucher une aide sociale, ou être libéré de prisons ou d’institutions psychiatriques. Actif principalement des années 1930 jusqu’au milieu des années 1950, bien qu’il continuât par la suite, ce programme eugénique souleva la polémique en 1997. La législation eugénique fut votée en 1934 et abolie en 1976. Une enquête gouvernementale publiée en 2000 estima que 21 000 personnes avaient été stérilisées de force, 6 000 stérilisées avec un accord formel (qu’on ne pourrait pas considérer comme « consentement éclairé »), tandis que les motifs de 4 000 autres cas de stérilisation restaient indéterminés. L’État suédois paya par la suite quelques indemnités aux victimes.

Nombre de pays sont concernés, même la Suisse. Vous pourrez trouver plus de détails et l’ensemble des références directement sur la page Wikipédia est dédie au sujet, survolant même les faits de stérilisations dans d’autres pays:

Parmi les autres États ayant instauré de telles pratiques, on compte l’Australie, la Norvège, la Finlande, l’Estonie, la Slovaquie, l’Islande, et quelques pays d’Amérique latine (dont le Panama). Au Royaume-Uni, le secrétaire d’État (Home Secretary) Winston Churchill mit en place une clause instaurant la stérilisation contrainte dans le Mental Deficiency Act de 1913. Mais l’écrivain G. K. Chesterton mena une campagne victorieuse pour son abolition.

Au Japon, de telles pratiques, ainsi que parfois des avortements contraints, ont été menées dans les colonies de lépreux, longtemps après que des traitements médicamenteux contre la lèpre furent découverts. Un certain nombre de témoignages font aussi écho d’infanticides.

L’Union soviétique imposa la stérilisation forcée à des ouvrières déportées de Roumanie dans des camps de travail après la Seconde Guerre mondiale (alors que la Roumanie devait fournir de la main-d’œuvre à la Russie, selon une clause de la convention d’armistice. La Tchécoslovaquie stérilisa de force des Gitanes entre 1973 et 1990. Bien que la politique ait été officiellement abolie après 1990, certains médecins continuèrent ce programme (la dernière victime recensée a été stérilisée en 2003).

L’Inde et la Chine ont aussi mis en place des programmes de stérilisation à des fins de contrôle démographique, mais il n’y a que cette dernière qui ait invoqué de possibles motifs eugéniques. L’état d’urgence proclamé en Inde entre 1975 et 1977 comprenait un volet planning familial commençant en avril 1976. Dans ce cadre, la vasectomie et la ligature des trompes ont été commises sur des milliers de victimes, soit de force soit contre de l’argent. On accusa principalement Sanjay Gandhi, le fils de la Premier ministre Indira Gandhi, d’un programme considéré comme un échec.

Récemment, des cas de stérilisations forcés auraient lieu au Mexique.

Si la voix de la Russie a dénoncé la stérilisation de masse à des fins eugénistes par les Etats-Unis, ce n’est pas en oubliant que la Russie elle-même a également des précédents, mais pour souligner que les Etats-Unis ont fait ce choix à grande échelle et impose cela à d’autres pays sur la planète.

Pandémies fictives, lois sur la vaccination obligatoire – ce ne sont que des préparatifs de la stérilisation totale de la population « inutile » de la Terre.

En 1989 une étude Memorandum-200, œuvre du conseiller à la sécurité nationale américaine Henry Kissinger datant de 1974, a été rendue publique. L’étude était consacrée à l’augmentation de la population dans le monde et aux conséquences que celle-ci pourrait avoir pour la sécurité des Etats-Unis et des intérêts américains dans le monde.

En guise de solution le Memorandum-200 proposait de réduire la population des pays en développement ce qui permettrait aux Etats-Unis d’accéder aux ressources naturelles de ces derniers.

Le plan secret de Kissinger a été immédiatement mis en œuvre. Dans les années 1980-1990 la stérilisation est devenue le moyen de contraception le plus populaire en Amérique latine. Plusieurs organisations et agences proposaient la stérilisation mais seulement quelques-unes étaient brésiliennes. Fédération internationale de planification familiale, Pathfinder Fund américain, Association pour la contraception chirurgicale volontaire — toutes les organisations opéraient sous l’égide de l’Agence des États-Unis pour le développement international (USAID). En 1989 le gouvernement brésilien, jadis fervent partisan du programme de stérilisation ayant pour l’objectif affiché la lutte contre la pauvreté, a déclaré que ce programme était devenu « excessif et superflu ». Selon certaines données presque 90% de femmes brésiliennes d’origine africaine ont été stérilisées dans le cadre de ce programme.

Depuis 2011 une vaste campagne de stérilisation a été lancée au Rwanda en visant 700 000 hommes. S’étalant sur trois ans, elle est intégralement financée par l’USAID. La campagne est certes volontaire mais « à chaque fois qu’une campagne de stérilisation a des dimensions considérables, elle aboutit à une coercition », fait remarquer le président de l’Institut américain de recherche sur la population (Population Research Institut) Steven Mosher. Il considère que « les conséquences pour la vie familiale et le développement économique du Rwanda seront assez tangibles » et qu’il s’agit du « meilleur moyen » de prévenir le SIDA. Il oublie cependant que les lois américaines interdisent à financer des avortements forcés et des stérilisations.

Il ne s’agit que des plusieurs exemples de ce qui se passe un peu partout dans le monde. Dans une guerre pour les ressources la fin justifierait les moyens surtout si l’augmentation de la population compromet l’avenir économique des pays développés, dirait Kissinger. Mais il ne faut pas oublier que la stérilisation forcée est constitutive d’un crime contre l’humanité, si elle est pratiquée de façon importante et systématique. Ses auteurs devront alors être jugés par la Cour pénale internationale.

Source: La voix de la Russie

Il y a également un fait à ne pas négliger, c’est que si vous ne passez pas sous le bistouri d’un médecin eugéniste pourtant soumis au serment d’hypocrite d’Hippocrate, vous n’êtes pas pour autant hors de danger, la stérilisation peut également passer via un autre moyen: l’alimentation qui vous est vendue chaque jour:

LA SURVIE de l’espèce humaine est-elle menacée par les produits chimiques qui ont envahi notre vie quotidienne ? C’est l’hypothèse défendue par de plus en plus de scientifiques du monde entier. Après avoir refait leurs calculs des dizaines de fois, ils ont tous fait le même constat alarmant : depuis cinquante ans, la production de spermatozoïdes, chez l’homme, a diminué de moitié et le nombre de cancers des testicules a augmenté d’autant en vingt ans en France.

Au banc des accusés : les pesticides, phtalates, bisphénol… des substances chimiques présentes quasiment partout et qui, selon de nombreuses études, agissent directement sur notre organisme en perturbant notre système hormonal.
La réalité est tellement inquiétante que la secrétaire d’Etat à l’Ecologie a préconisé hier des mesures de précaution pour les femmes enceintes et les jeunes enfants.

* Dans les jouets et les crèmes hydratantes. Accusés de mettre en danger le système reproducteur masculin, les phtalates sont des additifs couramment utilisés pour assouplir les matières plastiques. Il y en a dans le film alimentaire et les emballages comme les bouteilles de lait, mais aussi dans les crèmes cosmétiques, les déodorants, le savon, où ils améliorent la pénétration du produit dans la peau… Depuis 2005, six de ces phtalates sont interdits par l’Union européenne dans les jouets. Les grands fabricants, comme Playmobil, Lego, Mattel, Chicco, Vulli ou Smoby, les ont bannis de leurs modèles.

* Dans les biberons et les bouteilles d’eau. Un vulgaire tube à essai est à l’origine de cette découverte par des techniciens de laboratoire. Ils se sont aperçus qu’il avait la capacité de faire se multiplier les cellules cancéreuses ! Le plastique contenait en fait un élément qui agissait comme des hormones, le bisphénol A. Cet oestrogène synthétique est utilisé pour concevoir le polycarbonate des bouteilles en plastique et des biberons. Au printemps, le Canada l’a classé comme substance toxique. Mais les Etats-Unis et l’Europe ne l’estiment pas dangereuse car les doses utilisées sont très faibles. Des biberons sans bisphénol sont désormais disponibles sur Internet sous les marques Green to Grow ou Medela (www.brindilles.fr) et dans les magasins bio.

* Même à des doses très faibles. Diffusé mardi prochain à 21 heures sur Arte, « Mâles en péril », un documentaire choc, fait froid dans le dos et les arguments présentés par les scientifiques risquent de provoquer une vive réaction chez les industriels. « Leur thèse consiste à dire que les doses de produits utilisés sont si faibles qu’elles sont inoffensives, explique Thierry de Lestrade, coauteur du film. Mais les scientifiques que nous avons rencontrés estiment que même des doses très faibles de produits chimiques peuvent avoir des effets très puissants, notamment lors de la construction du foetus ou lorsqu’on y est exposé sur une longue période. »

Source: Le Parisien

Et dire que certains en sont resté à l’eugénisme du régime nazi….

Et pour ceux qui aimeraient des noms, je vous en donne un de très connu et d’actuel quand à la stérilisation des masses: Bill Gates:

[youtube]https://www.youtube.com/watch?v=KUsSPKzvFo4[/youtube]

Benji

32 Commentaires

  1. Continuez a voter pour les meme vous aurez toujours les memes choses.

  2. Cherchez “Bill Gates vaccin contraceptif” … https://lesmoutonsenrages.fr/wp-content/plugins/wp-monalisa/icons/wpml_yes.gif

  3. La surpopulation est un problème.

    • Merci GROS, tu es le seul à évoquer ce problème bien réel !!

      Toi, t’as trop regardé “Utopia

      Excellente série, qui fait réfléchir …

      Maintenant, je ne dis pas que ces solutions sont bonnes … Je n’ai pas de solution …
      Que faire ? Laisser les gens se reproduire comme des lapins ?
      (Même le Pape est contre, choqué qu’il a été au cours de son voyage aux Philippines … C’est dur des fois d’être confronté à la réalité hors de son palais doré …)

    • C’est vrai que dans un monde finit on ne peux pas se multiplier à l’infini. Il faut responsabiliser les populations du tiers mmonde.Si ce n’est pas fait nous allons vers la guerre, les famines et une sources incroyable de conflits. Il faut être pragmatique.

  4. On retrouve (comme par hasard) toujours les mêmes noms dans les malheurs de l’humanité (Rockfeller, Rothschild…pour ne pas les nommer…), que les peuples en prennent conscience, il est grand temps…

    Le luciférisme a bien des monuments:

    http://vigilantcitizen.com/sinistersites/sinister-sites-rockefeller-center/

    De ces complots, il en restera surement quelque chose :

    http://michelduchaine.com/tag/baron-rothschild/

    Ils sont pervers jusqu’aux os :

    http://bistrobarblog.over-blog.com/article-un-programme-de-vaccination-bidon-pour-recuperer-de-l-adn-123770990.html

  5. Les machines sont là, peu à peu elles remplacent l’humain dans les tâches les plus diverses… Le travail fourni par ces machine est de plus en plus complexe. La fin totale du travail humain est proche.

    Chaque année l’espérance de vie augmente de trois mois dans nos pays développés,… Dans le futur, la seule occupation des humains sur Terre sera de consommer.
    Utopie , dystopie ?? La seule variante qui nous fera pencher d’un coté ou l’autre de la balance sera le nombre.

    Sur cette même Terre la quantité de ressources naturelles est limitée.
    La production d’énergie quant à elle pause problème par son impact environnemental.

    Si l’humanité avait un minimum d’intelligence collective elle prendrait elle même la décision qui s’impose.
    Limiter la population est un impératif absolu pour la pérennité de l’espèce. Cela s’appelle du malthusianisme.

    Cette limitation de population peut se faire de différentes manière:

    – Soit en douceur –> limitation des naissances, contraception, stérilisation.

    – Soit de manière forte –> extermination de masse, guerre, épidémie, …

    Les obstacles à cette nécessaire remise en question sont nombreux:
    – L’obscurantisme religieux, le mythe de la croissance infinie, la culture populaire rétrograde, bêtise collective.

    Notez que le Pape lui même a récemment plaidé pour une reproduction raisonnée, ce qui est un scoop en soi.
    Nous n’avons pas d’autre choix. Cette stérilisation forcée, est un moindre mal, personnellement je suis d’accord avec ce procédé.
    Un enfant par femme et dans cinquante ans nos problèmes civilisationnels sont réglés.

    • Merci Niakine, ça complète ce que je disais plus haut en réponse à GROS

      Toi aussi, t’as trop regardé “Utopia

      Excellente série, qui fait réfléchir …

      Maintenant, je ne dis pas que ces solutions sont bonnes … Je n’ai pas de solution …
      Que faire ? Laisser les gens se reproduire comme des lapins ?
      (Même le Pape est contre, choqué qu’il a été au cours de son voyage aux Philippines … C’est dur des fois d’être confronté à la réalité hors de son palais doré …)

      J’adore ton analyse :

      Si l’humanité avait un minimum d’intelligence collective elle prendrait elle même la décision qui s’impose.
      Limiter la population est un impératif absolu pour la pérennité de l’espèce.

      Malheureusement, l’intelligence n’est pas très répandue …

      Cette limitation de population peut se faire de différentes manière:
      – Soit de manière forte –> extermination de masse, guerre, épidémie, …

      T’inquiètes ! On y arrive …

      Les obstacles à cette nécessaire remise en question sont nombreux:
      – L’obscurantisme religieux, le mythe de la croissance infinie, la culture populaire rétrograde, bêtise collective.

      Pas mieux !!

        • Je suis d’accord boco la nature à toujours régulée les populations animales par la sélection naturelle et pour les humains se sont les maladies qui nous régulent.

          Mais avec les progrès de la médecine, la durée de vie d’un individu à fortement augmenté et on va bientôt atteindre les 10 milliards d’humains malgré que les occidentaux font moins d’enfants. La question qui ce pose désormais, c’est comment la nature va nourrir 10 milliards d’individus ? sans compter que cela peut entrainer une grande misère pour beaucoup de population.

          Je suis d’accord de dire qu’un individu doit choisir s’il veut avoir des enfants ou ne pas en avoir mais ce choix doit être consenti librement par chacun et non imposé ou forcé. Personne n’a à décider pour l’autre de ce qu’il veut pour sa vie. Par contre pour certain pays comme l’Inde où des enfants sont tués à la naissance faute de pourvoir les nourrir, des moyens de contraceptions pourraient être apporté à ces femmes désespérés, comme le stérilet qui a un coût moindre, sans passer pour autant par la stérilisation.

            • Hélas, je regrette de vous contredire mais l’ampleur du problème est telle qu’aucune solution light ne peut être mise en place. La limitation drastique des naisssane devrait être appliquée depuis bien longtemps.

              Au fait, je pense sincèrement que cette prise de conscience arrive bien trop tardivement, je crois qu’ il aurait fallu agir avec détermination à l’époque de la décolonisation. L’éducation réclame du temps et des moyens importants, la contraception ne peut être envisagée qu’avec des populations éduquées, la stérilisation forcée à grande échelle je n’y crois pas un instant.

              Le réchauffement climatique est déjà en marche, malgré l’urgence aucun gouvernement n’a mis en place des mesures adéquates. Les crises socio-économiques successives ne sont que les prémices,… C’est une évidence: nous allons vers une extinction de masse. Quelle forme prendra-t-elle ? Je n’en ai aucune idée.

              Maintenant de là à fantasmer sur le fait qu’un gouvernement civilisé et puissant aurait la volonté , l’audace,et les ressources nécessaires pour le faire il n’y a qu’un pas que je ne franchirait pas. En effet je me refuse à penser qu’une entité aussi puissante soit-elle puisse avoir la détermination de planifier, organiser et contrôler un génocide d’une telle ampleur.

  6. Même, et surtout, la France est concernée, en particulier les femmes.

    Qui n’a pas, lors de la visite médicale annuelle – que les entreprises imposent à leurs collaborateurs –, entendu le médecin lui demander si sa vaccination contre le tétanos est à jour ?

    Pour ma part c’était un rituel auquel je me préparais, mais dont je ne comprenais pas l’acharnement (ces médecins ont sans doute des directives de la Kommandantur). Comme j’évitais tout vaccin et piqûre depuis mon passage au service militaire, où j’avais vu 7 appelés sur 500 crever après la première vaccination TABDT, je répondais à la toubibe (c’était toujours une grognasse) que je venais juste de me faire poinçonner.

    Le vaccin contre le tétanos est une idée de pauvre d’esprit, très mal chiadée par les euthanasistes. Figurez-vous que le microbe tétanique serait, selon leur science, anaérobie, et que son antidote, lui, est forcément injecté dans le sang, un milieu vachement bien oxygéné.
    Sachant cela, si vous expliquez au médecin que l’antidote n’a aucune chance de rencontrer le microbe pour lui faire sa fête, et que donc le vaccin ne peut pas servir à ce que qu’imaginent les gens gentils, il vous explique qu’il faut avoir foi en la science.

  7. Faire face au défi de la surpopulation est une chose. Soutenir ceux qui s’en occupent actuellement en est une autre.

    Certains seraient donc prêts à être empoisonnés et stérilisés pour laisser la terre à ces gens. Ils vous en sont reconnaissants… ou pas.

    J’entends parler de la régulation du tiers-monde. Vous pensez que ce programme ne vous concerne pas ? Pour le moment, on peut pointer du doigt leur taux excessif de natalité. Mais qu’ils soient noirs ou blancs, ces grands propriétaires ont besoin d’esclaves. Des hommes sans terre, sans famille, sans racine, abêtis, et corvéables à merci. On a droit à nos cocktails chimiques quotidiens, internationalement autorisés. Les cancers, l’obésité et la sénilité explosent.
    C’est sûrement la faute aux africains/philippins, ou je ne sais quelle autre population pauvre, qui se reproduisent comme des lapins. Des nuisibles lorsqu’ils sont en trop grand nombre. Ils pourraient se faire petit pendant qu’on exploite leurs ressources.

    De toute façon, la mondialisation ne laisse pas trop le choix à long terme. Alors, si vous êtes consentants, c’est pas plus mal. Avant de mourir, n’oubliez pas de travailler. Il faut au moins justifier son droit d’exister. Vivement le clonage humain et l’élevage en batterie. J’espère que vous ne vous réincarnerez pas là-dedans. Ou pire, en petit noir anonyme et irresponsable, au milieu d’un monde stérile.

    • Et si l’augmentation de la population mondiale était un leurre pour justifier ce genre d’horreurs ? cela ne serait pas la première manipulation…

      • Ca c’est pas con !
        Etant donné qu’on ne peut pas tout vérifier … /s

      • Un prétexte comme un autre. Il suffit d’écouter nos amis politiques (agents des grands propriétaires) pour entendre les meilleures intentions du monde justifiant leurs actions ô combien utiles. Je n’arrive même plus à discerner une mesure qui aille dans le bon sens, ou qui ne cache pas d’obscurs intérêts… Quitte à ne rien faire de ce qui est attendu, il vaudrait mieux qu’ils ne fassent rien du tout. Laissez des mafieux gérer une nation et vous verrez sa croissance… L’Etat n’a jamais récolté autant d’argent et n’en a jamais eu aussi peu à redistribuer. Ils vous emprisonneront pour défaut de paiement et laisseront les autres bandits vous détrousser. Un Thévenoud peut rester député et voter des lois qui vous soumettront à l’Etat de droit.

        Ecoutez ce qu’ils disent, regardez ce qu’ils font. Ils ne valent pas mieux qu’un Ben Ali qui file avec ses lingots dès que le vent tourne.

        Ils ne feront rien pour arranger les problèmes de surpopulation, de réchauffement climatique, de djihadisme, de crise, etc, mais les utiliseront comme prétextes à d’autres desseins.

        • La télé nous montre des villes énormes, des banlieues/bidonvilles, avec en commentaire le fait que la population augmente partout. Quelqu’un parle de la désertification des campagnes ? que cela soit en Inde, en France et ailleurs, la population rurale qui vit de ce qu’elle produit dérange nos grands seigneurs qui préfèrent les citadins dépendants des supermarchés. C’est simple ! alors oui la population s’accroît dans les villes, mais elle se raréfie dans les campagnes. Et en ce qui concerne la durée de vie qui s’allongerait sans cesse, je n’en vois pas les heureux bénéficiaires autour de moi… Si les maisons de retraite croulent sous la demande, c’est surtout par ce que plus personne ne prend ses vieux à la maison, c’est passé de mode https://lesmoutonsenrages.fr/wp-content/plugins/wp-monalisa/icons/wpml_cry.gif

          • L’argent est dans les villes. Il attire les foules comme le feu attire les papillons.

            Autrefois, les ressources de certaines régions suffisaient à leur développement. La mondialisation et le progrès ont rendu obsolète nombre de ces ressources. De plus, le territoire constituait un réseau d’échanges économique au maillage relativement dense. Cette densité n’est plus nécessaire grâce aux nouvelles infrastructures et modèles économiques (des melons de Nouvelle-Zélande, really ?). Il suffit de quelques noeuds, de quelques pôles d’activité. C’est une délocalisation/centralisation/extériorisation des services, justifiant notamment la redéfinition des régions.

            C’est un cercle vicieux où la disparition d’activité dans les campagnes incite à leur désertification en population et services. Il faudrait les réhabiliter par des mesures d’implantation groupée et complémentaires. C’est un processus lent nécessitant le réaménagement des populations dans ces zones délaissées. Mais avec la crise et la disparition des services locaux (écoles, hôpitaux, commerces), ce n’est pas à l’ordre du jour, sauf pour l’établissement de quelques communautés autonomes altermondialistes. L’aménagement national du territoire est laissé en friche libérale. Il y a surpopulation autour des pôles d’intérêt.

            Pour ce qui est des vieux, les familles explosées ont du mal à s’occuper de leurs propres enfants, sans compter que chacun se doit de travailler à temps plein. Fini le temps des familles nombreuses où quelques uns rapportaient assez pour l’ensemble. Cela n’empêche pas de s’occuper de ses parents ou grand-parents tant que possible, mais souvent au prix de nombreux sacrifices selon leur état de santé (vive Parkinson, Alzheimer…). Souvent, la dernière solution est de les accueillir chez soi. Ce que font de nombreuses populations, notamment dans le tiers monde où la famille est le dernier refuge. Avoir une famille nombreuse, c’est aussi moins de chance de se retrouver seul et abandonné. Les charges familiales peuvent être réparties. Sans mentionner le chacun pour soi de rigueur, essayer de concilier travail, vie privée, enfants, et toutes les innombrables sollicitations du monde moderne, pour des individus isolés est loin d’être une chose aisée.

            Pour en revenir à la surpopulation, cela me fait penser à la Mongolie. Le pays est immense, la population faible. C’est un cas remarquable où l’exode rurale a rendu sa capitale Oulan-Bator surpeuplée avec ses bidon-villes et sa pollution. Elle est la seconde ville la plus polluée du monde (selon l’OMS) avec seulement 1,1 millions d’habitants, soit un tiers de la population mongole. Quel avenir pour ces gens ? Quel emploi ? Avec le changement climatique, les troupeaux meurent et ils n’arrivent plus à vivre dans les steppes. La répartition de la croissance ne profiterait qu’à 10% de la population. Les ressources minières ne profitent qu’aux étrangers et à leurs complices.

            Les raisons de cette exode sont expliquées ici :
            http://www.monde-diplomatique.fr/2013/03/GENTE/48813

            « Le problème, selon Jacques Legrand, professeur à l’Institut national des langues et civilisations orientales (Inalco) et spécialiste de la Mongolie, tient à ce que, « au début des années 2000, beaucoup de nomades étaient des néoéleveurs, dont les familles étaient citadines depuis deux ou trois générations, après les sédentarisations de l’ère socialiste. A la chute du système, en 1991, ils sont retournés à la campagne. L’économie s’était écroulée pratiquement d’un coup, les usines avaient fermé, les circuits commerciaux disparu. Mais ils avaient perdu le savoir-faire nomade. Quant à l’Etat, il n’était plus capable de faire face. » Ce mode de vie exige en effet de bien connaître le milieu naturel propre aux quatre stations de pâturage où l’on conduit son troupeau au cours de l’année. Il requiert aussi une parfaite intégration dans son univers social : lorsque l’herbe se fait rare, il faut négocier avec les autres familles pour pouvoir emmener ses bêtes au-delà de ses aires de pâturage habituelles.

            Legrand cite d’autres causes à cet exode sans précédent : le passage à l’économie de marché dans l’élevage, qui pousse les pasteurs à se regrouper près des axes de communication ; la volonté de se rapprocher des zones de commercialisation après l’effondrement de tous les secteurs agricoles, ou encore l’arrivée de sociétés étrangères, italiennes notamment, pour créer une ambitieuse filière cachemire. Celle-ci, portée à l’échelle quasi industrielle, eut des conséquences négatives, les chèvres arrachant la racine des herbes qu’elles mangent. « Ces facteurs, explique Legrand, ont pour point commun d’aller à l’encontre des principes du pastoralisme nomade, cette façon de rester au même endroit tout en tournant sur une aire suffisante pour faire vivre son troupeau, fondée sur la très grande dispersion des populations. »

            A cela, il faut ajouter le fait que, « en vingt ans, une série de réformes touchant tous les secteurs de la vie ont entraîné la diminution des aides sociales, ainsi que la privatisation des entreprises, de la couverture médicale, de l’enseignement, de la terre, etc. Avec l’apparition du chômage, la déstructuration des classes moyennes et la polarisation croissante entre riches et pauvres, la société mongole a connu des transformations lisibles, en particulier, dans l’organisation de la capitale », explique l’ethnologue Gaëlle Lacaze, de l’université de Strasbourg. »

            Le cas mongol dit plusieurs choses. La disparition des circuits commerciaux, comme pour notre chère crise, a poussé les populations à retourner dans les campagnes. Mais qui, aujourd’hui chez nous, serait prêt à délaisser ses habitudes pour un tel retour à la terre ? Il existe évidemment un autre confort dans la vie rurale, et une façon de concilier le meilleur des mondes, mais sans argent et connaissance adaptée c’est une aventure risquée. Surtout que tout se paie chez nous. L’accès à la terre se paie. Toute technologie est basée sur une obsolescence programmée qui demande un renouvellement perpétuel. De nombreux mongols n’ont pas su réussir ce virage. Nous avons la chance d’avoir un pays à la nature bien plus clémente et fertile, mais pour combien de temps ? Les changements climatiques commencent à se faire sentir de manière abrupte.

            L’exploitation industrielle a fait du tord aux mongols. N’en est-il pas de même chez nous ? L’agriculture intensive a pollué tous les cours d’eau et quantité de terres. Peu de pays ont autant d’atouts que le nôtre. Il faut en finir avec l’exploitation libérale et aménager le territoire de manière publique et durable. La recherche d’indépendance alimentaire et énergétique doit être une priorité. A l’image des mongols, le pays ne sait plus subvenir à ses besoins de lui-même. Il est dépendant d’un système financier qui s’effondre sous son propre poids. La crise américaine de 1929 en est une illustration. Toute activité s’arrête et plus personne ne sait comment faire pour vivre sans lien monétaire. Comment faire du troc quand vous n’avez rien de valeur en dehors de l’argent, et que vous ne produisez rien de vous-même dans une ruche stérile ? La surabondance permet aussi la surpopulation citadine. Les populations primitives vivent en équilibre autarcique, en harmonie avec leur milieu. Je peux croire au mythe du bon sauvage, mais je ne crois certainement pas au mythe capitaliste de notre civilisation. Il faudrait cesser de travailler en échange d’une monnaie de singe. Il faut redonner au travail une dimension collective dont le sens va dans l’intérêt de la communauté. Pour cela il faut une volonté nationale, exprimée par des représentants authentiques. La seule volonté internationale exprimée aujourd’hui est libérale et mondialiste, et n’est autre qu’une volonté esclavagiste globale. C’est la volonté des malins et margoulins sans foi ni loi, la volonté des prédateurs.

            Il y a bien une volonté populaire contraire à cela. Mais c’est la volonté des baleines qui prévaut. Celle des mammifères géants qui gobent des tonnes de zooplancton en suspension hasardeuse, porté par les courants de l’Histoire. Pour rompre la chaîne alimentaire, il faut cesser d’être une proie facile. Un mouton enragé est une proie moins engageante qu’une autre, mais reste un mouton. Il faut prendre en taille et développer ses défenses. La rage se répand. Il faut maintenant la transformer en une détermination collective, plus qu’une colère aveugle.

  8. https://lesmoutonsenrages.fr/wp-content/plugins/wp-monalisa/icons/wpml_mail.gif La surpopulation n’est qu’un faux problème, exhibé comme un chiffon rouge par le système et vous foncez dessus direct https://lesmoutonsenrages.fr/wp-content/plugins/wp-monalisa/icons/wpml_wacko.gif; …c’est notre mode de vie le problème en 1er lieu et pas le nombre, car si l’on vivait autrement, en harmonie avec la nature et la création on pourrait vivre sans problème jusqu’à 20 milliards dans des conditions plus qu’optimales (et là c’est sans les villes autonomes sur les océans, car là tu peux encore multiplier par 3)https://lesmoutonsenrages.fr/wp-content/plugins/wp-monalisa/icons/wpml_yes.gif.

    Tenez pour vous aider à relativiser : La population actuelle (7 milliards) pourrait tenir en se mettant côte-à-côte (et encore moins serré que dans le métro aux heures de pointe) sur une l’ile comme la réunion. https://lesmoutonsenrages.fr/wp-content/plugins/wp-monalisa/icons/wpml_whistle3.gif

    Sur la surface du Texas chaque personne aurait 100 m² pour vivre ! …alors vous trouvez toujours qu’il y a surpopulation là ? …il faut relativiser les mecs là ! https://lesmoutonsenrages.fr/wp-content/plugins/wp-monalisa/icons/wpml_cool.gif

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