Il n’y aurait aucun rapport avec l’attaque contre Charlie Hebdo: Un commissaire de police de Limoges se suicide dans son bureau

French_Police_p1230006Image libre de droits, source: Wikipedia
Le numéro 2 du service régional de police judiciaire de Limoges s’est donné la mort dans son bureau, dans la nuit de mercredi à jeudi, en se tirant une balle dans la tête.

Il  travaillait sur une mission de la police judiciaire dans le cadre de l’affaire Charlie Hebdo. Ce suicide intervient un peu plus d’un an après la mort d’un autre responsable du service régional de la police judiciaire de Limoges. En novembre 2013, le numéro 3 de ce service s’était lui aussi donné la mort et c’est le commissaire décédé la nuit dernière qui l’avait découvert. sic…

Les policiers, déjà durement éprouvés par les événements de ces dernières heures, sont sous le choc. « Nous sommes tous abattus. C’était quelqu’un de très humain et de proche des gens », a témoigné Pascal Cayla du syndicat Alliance police nationale.

Une autopsie doit être pratiquée ce jeudi après-midi et une enquête a été ouverte.

Source: Le Populaire via MétaTV

Benji

12 Commentaires

  1. Toute cette histoire n’est un complot pour nous pousser (par tous les moyens…) a croire que c’est un complot!!

  2. ne s’agit il pas de l’enquête de l’incendie et non celle actuelle ?

  3. « Nous sommes tous abattus. C’était quelqu’un de très humain et de proche des gens », a témoigné Pascal Cayla du syndicat Alliance police nationale…. cela pue a FOND le fouttage de gueule…

    Moi je dirais que c ette personne a fait consciencieusement son travail et qu’elle etait prete a tout divulguer jusqu’au bout… et qu’on l’a empeche de parler. POINT FINAL !

  4. NB: Il travaillait sur une mission de la police judiciaire dans le cadre de l’affaire Charlie Hebdo…

    MISSION de la POLICE JUDICIAIRE…. cad: En France, la police judiciaire est à la fois une mission et une division spécialisée chargée de constater les infractions à la loi pénale, d’en rassembler les preuves et d’en rechercher les auteurs.
    https://lesmoutonsenrages.fr/wp-content/plugins/wp-monalisa/icons/wpml_whistle3.gif

  5. Et pour finir et faire plus complet… :

    Pour les fonctionnaires cités aux deuxième à quatrième alinéas de cet article 16, ainsi que pour les commissaires de police et officiers de police, l’exercice de la qualité d’officier de police judiciaire est subordonné à une habilitation personnelle du procureur général près la Cour d’appel. Ils doivent être affectés à un emploi comportant cet exercice. Seuls les O.P.J. habilités peuvent exercer les pouvoirs que leur confère la loi dans le cadre de la procédure pénale.

    Les conditions d’octroi, de retrait et de suspension, pour une durée déterminée, de cette habilitation sont fixées par décret en Conseil d’État pris sur le rapport du ministre de la justice et des ministres intéressés. Cette habilitation est accordée après un examen.

    Les attributions des Officiers de Police Judiciaire (O.P.J.):

    -ils constatent les crimes, les délits et les contraventions
    -ils contrôlent l’activité des agents de police judiciaire
    -ils reçoivent les plaintes et les dénonciations
    ils ont le pouvoir de placer en garde à vue les personnes à l’encontre desquelles existent une ou plusieurs raisons plausibles de soupçonner qu’elles ont commis ou tenté de commettre un crime ou un délit puni d’une peine d’emprisonnement.
    en matière de crimes et délits flagrants, ils sont investis de pouvoirs propres leur permettant de mener des enquêtes de flagrance
    -ils peuvent procéder à des enquêtes préliminaires
    ils exécutent les délégations et les réquisitions des juridictions d’instruction.
    -ils ont le pouvoir d’effectuer des réquisitions à personnes qualifiées, d’interroger des fichiers nominatifs sans que puisse leur être opposé le secret, de faire des constatations, de mener des investigations dont effectuer des perquisitions et saisies
    il n’y a aucune hiérarchie entre les officiers de police judiciaire qui sont leur propre “chef” dans l’enquête qu’ils diligentent. Néanmoins, en matière de police judiciaire, ils sont sous la direction du procureur de la République, sous la surveillance du procureur général et le contrôle de la chambre de l’instruction.

    Les enquêtes préliminaires, en ce qui concerne les infractions commises à bord d’un navire, peuvent également être conduites par le capitaine du navire (article 28 du Code disciplinaire et pénal de la marine marchande).

    SINON MOI JE DIS RIEN… JE NE FAIS QUE CONSTATER … https://lesmoutonsenrages.fr/wp-content/plugins/wp-monalisa/icons/wpml_scratch.gifhttps://lesmoutonsenrages.fr/wp-content/plugins/wp-monalisa/icons/wpml_unsure.gif

  6. Avait-il été “Limogé” ? On ne sait jamais, à Limoge !

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